Un petit aperçu de votre civilisation sans compter ces KALB US qui extermine mes FRERES en IRAK etc...(Que Allah le tout puissant le misérécordieux leur envoie l'apocalypse a ces KALB!!
La Férocité Occidentale: MASSACRES, EXTERMINATIONS, ESCLAVAGE ET COLONISATION
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Les Européens napportèrent que mort et désolation pour les autochtones des Amériques. LAmérique précolombienne possédait des régions fortement peuplées avec notamment les Andes septentrionales, le Mexique et lAmérique centrale où sépanouissaient de merveilleuses civilisations : celles des Aztèques, des Toltèques, des Incas, des Mayas en particulier. La conquête européenne les a toutes frappées à mort et personne ne peut dire aujourdhui, comme le notait Aimé Césaire, " de quelles contributions supplémentaires (ces civilisations) eussent enrichi lhumanité " si elles avaient survécu. Pour donner une idée globale de la destruction de la population indigène dAmérique, remarquons quen lan 1500, il y avait en Amérique 80 millions dhabitants. Au milieu du XVIe siècle, de ces 80 millions il nen reste que 10 ( cf. T. Todorov, "La conquête de lAmérique" et R. A. Plumelle-Uribe, « La Férocité Blanche ») Les indigènes qui nétaient pas massacrés sur place étaient réduits en esclavage et cela ne différait leur fin que pour peu de temps. A chaque changement de bourreau, la victime était marquée sur le visage, au fer rouge, de linitiale de son nouveau maître. Si bien que, malgré leur très courte espérance de vie, les visages des indigènes avaient souvent lapparence dun alphabet. Tout Blanc peut torturer, massacrer et exterminer sans crainte dun tribunal.
Exemple 1
Des Chrétiens rencontrèrent une Indienne qui portait dans ses bras un enfant quelle était en train dallaiter ; et comme le chien qui les accompagnait avait faim, ils arrachèrent lenfant des bras de la mère et, tout vivant, le jetèrent au chien qui se mit à le dépecer sous les yeux même de la mère
( "La Férocité Blanche" p. 43 )
Exemple 2
Quand il y avait parmi les prisonniers quelques femmes récemment accouchées, pour peu que les nouveau-nés se missent à pleurer, ils les prenaient par les jambes et les assommaient contre les rochers, ou les jetaient dans les broussailles pour quils achèvent de mourir. ( "La Férocité Blanche" p. 43 )
LANÉANTISSEMENT DES NOIRS
La destruction de ces millions de Noirs, 400 à 600 millions [ L.M. Diop-Maes, « Afrique Noire, Démographie, Sol et Histoire » et daprès "Histoire Générale de lAfrique" (édité par lUNESCO) et surtout pas 15 à 20 millions comme le disent les descendants des bourreaux ], femmes, hommes et enfants, sacrifiés parce que noirs, nest jamais entrée dans la mémoire occidentale. A laube du XXIe siècle, les Noirs continuent despérer et de demander que justice soit rendue aux victimes de la suprématie blanche, cest-à-dire quon leur reconnaisse leur humanité et, en conséquence, le crime contre lhumanité dont ils furent victimes. Au mois davril 1998 aucun membre du gouvernement français nétait prêt à reconnaître que la traite et lesclavage étaient un crime contre lhumanité. Constitue un crime contre lhumanité, tout homicide ou acte de nature à entraîner la mort, commis en temps de guerre comme de paix, à lencontre dindividus ou de groupes dindividus, en raison de leur race, de leur nationalité, de leur religion ou leurs opinions. Contrairement à ce quavaient retenu les juges de Nuremberg (jugement des criminels nazis) le crime contre lhumanité est perpétré non seulement pendant la guerre, mais aussi en temps de paix, comme il est indiqué dans la Convention internationale sur limprescriptibilité des crimes de guerre et des crimes contre lhumanité, adoptée par lassemblée générale de lOrganisation des Nations Unies le 26 novembre1968. Le CODE NOIR, qui régit la chosification du Noir et qui a plus dun siècle de vie macabre en 1789, nest pas aboli, mais surtout le préambule et les 17 articles de la célèbre Déclaration du 26 août 1789 ne consacrent aucun mot à lesclavage ! Et pourtant, ce fut le Grand Siècle, le Siècle des Lumières ! Ces lumières, comme lécrit Louis Sala-Molins, "affairées à traquer tous les préjugés
sauf un : lesclavage des Noirs, la bestialité des Africains". Incontestablement, Jules Ferry a raison de dire que la Déclaration de 1789 "na pas été écrite pour les Noirs de lAfrique Équatoriale ".
LIMPACT Limpact consistait à incendier les villages des Noirs la nuit. Les survivants étaient capturés. Les Blancs supprimaient les humains non rentables ou pas en mesure deffectuer la marche jusquau lieu dembarquement (bébés, vieillards, handicapés, femmes enceintes ).
CAPTIFS Des dizaines de milliers de "captifs" périssaient tout au long du premier trajet : de la localité darrestation ( par exemple leur village ) au lieu dembarquement ( par exemple à Gorée )
DETENTION La mortalité sur les lieux de détention est énorme. ( des millions ) Par exemple à Gorée entre le XVIe et XIXe siècle, plus de 6 millions périrent à la suite de brimades, de privations et de divers actes inhumains. ( J.M. Mbemba, " Lautre mémoire du crime contre lhumanité " )
DEPORTATION Des millions de décès sont survenus au cours de la déportation des nègres. Les noirs trop nombreux et enchaînés, ne peuvent se mouvoir sur le navire. ILs étaient mal habillés. Ils navaient presque pas deau. Ils dormaient tout nus comme des animaux et mouraient dans labandon complet
Ils étaient entassés comme des sardines en boîtes. Ainsi beaucoup de Noirs tombaient malades et mouraient.
LES SURVIVANTS Les survivants du voyage étaient à nouveau triés. Les malades étaient exécutés.
EXEMPLE 1 Pendant le voyage qui dure un mois : " IL y a des maîtres qui pour se voir délivrés de lincommodité et de la mauvaise odeur des Noirs moribonds, les laissaient jeter à leau presque vivants. " " Jen ai vu quelques-uns qui agitaient leurs mains au-dessus de leau. " " IL y eut sur ce petit navire beaucoup de passagers qui, quand les esclaves étaient malades, les battaient cruellement avec des cordages." ( Lettre du Révérend Père Tavarès, témoin oculaire ; le 29 juin 1638 )
EXEMPLE 2 " La plupart du temps, on part pour surprendre le village à la pointe du jour ou à la tombée de la nuit, alors que les habitants sortent à peine du sommeil ou vont sy plonger
.. Deux ou trois obus suffisent pour incendier le village
" "En un clin dil la colonne a cerné le village et de quelque côté quils se dirigent, les malheureux trouvent devant eux un cercle de fer et de feu". "Des femmes nues, et dont la chevelure grésille sous les tisons, courent, leur nourrisson dans les bras, en jetant des cris de terreur des enfants les suivent, épouvantés, saccrochent à leurs cuisses, à leurs seins qui ballottent ; nus aussi, les hommes vont plus vite tous avec lespoir de se sauver." " Mais devant eux se dressent les canons des fusils étincelant au soleil levant. Les uns, dordinaire les femmes et les enfants, sarrêtent regardent, désespérés, larme terrible et résignés comme le cerf dans la clairière, reçoivent la balle, tournoient sur leurs pieds brûlés et tombent, rendant leur âme innocente dans la douce clarté du matin." "Les hommes semblables au taureau devant la pique du toréador, rebroussent chemin et, redoublant de vitesse, essaient dun autre côté. Et alors, on leur fait ce quen argot colonial on appelle la "chasse aux lapins". IL sagit de pincer nos fuyards en demi-cercle, de leur couper la tangente en leur logeant un pruneau au bon endroit. " " Tout blessé qui respire encore est effroyablement achevé, non sans avoir été mutilé si cest un homme, éventrée si cest une femme." ( Vigné DOcton, "La Gloire du Sabre" )
EXEMPLE 3 Morenas dénonce la "justice coloniale" : "Je ne veux point parler ici de ces malheureux quon fait rôtir dans un four ou qui ont été dévorés par des chiens ; ni des Noirs quon a fait périr de faim ou à coups de fouet, ou quon a fusillés pour se procurer un passe-temps ; ni de ces infortunés que des scélérats ont torturés en leur sillonnant le corps avec des torches enflammées ou en leur brûlant les parties naturelles avec un tison ardent. ( Joseph E. Morenas, "Précis historique de la traite des Noirs et de lesclavage colonial" )
EXEMPLE 4 Un jugement du conseil supérieur de la Martinique a condamné, le 17 juin 1679, plusieurs nègres à subir lamputation dune jambe, plusieurs négresses à avoir le nez coupé et tous à être marqués dune fleur de lys empreinte sur le front avec un fer rouge, pour avoir cherché à sévader. Les juges déclarèrent, dans cet arrêt, avoir usé dindulgence
( Joseph E. Morenas, "Précis historique de la traite des Noirs et de lesclavage colonial" ) ( "La Férocité Blanche" p. 57 )
Et aprés sa certains d'entre vous OSES me traiter de "fanatique"