Reprise du message précédent :

Bon bah y'a pas a chier, trop court, jreste sur ma faim, c'est lourd, on est loin des 10+ donjons de a link to the past.
Jvoulais un truc super balaise pour la fin comme dans zelda 3 avec cette putain de tour interminable et ses énigmes de fou-furieux bah, dedans mon cul profond quoi.
Hors de question que je touche a OoT, bcp trop mal vieilli (surtout la 2D a l'intérieur des batiments )
 
J'en veux un plus gros :E

une bien belle review
 
 
 
 
Le jour de gloire est arrivé : Zelda : the Wind Waker, le jeu le plus attendu de l'année, est là, avec même une légère avance, puisque les gamers les plus têtus ont déjà trouvé ces nouvelles aventures de la saga The Legend of Zelda dans certains rayonnages parisiens. C'est le dixième volet d'une série qui est, depuis 1986, le symbole même du jeu vidéo, de son art, de sa culture, de son histoire et qui s'est déjà écoulée, tous supports et formats confondus, à plus de 36 millions d'exemplaires. Quant au nombre de joueurs ayant approché Zelda, considérant le très fort taux multiplicateur spécifique à ce loisir (un jeu se prête, s'échange, se troque et se revend d'occase... mais aussi se télécharge et s'émule plus ou moins légalement sur l'Internet), il est proprement, et colossalement, incalculable.
 
Brillant créateur. Mais Zelda n'est pas qu'une success story commerciale. C'est avant tout l'oeuvre munificente et inlassable d'un artiste complet : le considérable Shigeru Miyamoto (1). On lui doit non seulement Zelda mais aussi Mario, mascotte et fétiche de la maison Nintendo, dont Miyamoto est naturellement devenu le guide suprême. Depuis deux ans, il pilote les destinées de la console Gamecube, après avoir largement contribué à sa conception. C'est le plus brillant créateur de formes et d'univers ludiques de la profession, qui d'ailleurs, partout sur le globe, le respecte religieusement.
 
Pour chacune des générations de consoles produites par Nintendo il y eut un épisode de Zelda conçu par Miyamoto. Qui, chaque fois, a reproduit ce coup de maître : faire dégorger son meilleur à la technologie dont il dispose et imposer chaque épisode comme la référence historique absolue dans la période concernée. The Wind Waker ne déroge pas à la règle. On pourrait même dire qu'au contraire il la pérennise jusqu'au sublime. Car si comparer les épisodes de Zelda entre eux n'a pas grand sens, vu les différents seuils technologiques dont ils témoignent, la comparaison entre ce nouvel opus et la totalité des nouveaux titres aujourd'hui disponibles sur le marché est sans appel : The Wind Waker est, présentement, le plus beau jeu du monde.
 
Réglons d'abord son compte au faux débat qui a pu entourer le choix de Miyamoto en faveur du cell shading comme technique graphique (2) et qui a nourri de grosses interrogations lors de son annonce. Il s'impose en fait si bien que, malgré son audace radicale, il se fait parfaitement oublier : la symbiose du style et de son support est ici absolue. Le surgissement du premier monstre, dans la petite forêt de l'île de l'Aurore, emporte les dernières hésitations : la musique interactive, les fumerolles mauves, les éclats de lumière, l'éclatante prestance dynamique du combat sont un double coup au coeur et à l'estomac.
 
La profusion d'événements qui suivra, l'inaltérable énergie narrative, le maelström d'inventions poétiques, la mélancolie ou l'allégresse des mélodies, la profondeur de l'immersion, toutes ces qualités qui devraient être la promesse minimale d'un jeu vidéo sont ici portées à leur point d'incandescence maximal. L'aventure est cette fois placée sous le signe du vent, concept jamais gratuit qui permet de nombreuses déclinaisons métaphoriques et ludiques (voilier, cartographie, trésors, etc.). Elle ne manque, par ailleurs, pas de souffle : l'intensité du jeu dans ses premières heures tout comme la vastitude de ses espaces laissent deviner, en perspective, des dizaines d'heures de bonheur, encore augmentées du «temps libre» auquel ce volet encourage fortement (les climats, les paysages, la liberté de mouvement, le sablier des jours et des nuits : tout ici incite au vagabondage rêveur).
 
On n'ose imaginer la complexité des interfaces qui parviennent à produire un tel sentiment d'aisance, d'élégance et de générosité à tous les étages du game design. Ergonomie, gameplay, confort, contextualisation systématique des touches et des musiques : ce Zelda nouveau, du point de vue de la pure virtuosité virtuelle, pourrait valoir comme une véritable profession de foi du prince Miyamoto en faveur de l'art qu'il sert et comme une impeccable leçon de liberté. Leçon magistrale mais pas du tout amphigourique. La démonstration éblouit sans jamais intimider. A l'inverse, elle libère un enthousiasme contagieux, comme si le magistère de Miyamoto s'incarnait avant tout dans la pureté presque artisanale de ses dons, pour s'étendre jusqu'à un langage universel de l'âme. Langage amical mais secret, par lequel il caresse directement nos sens bouleversés : personne ne nous a jamais «parlé» ainsi.
 
«Eloge du même». Mieux que Disney, dont on rapproche souvent Miyamoto, au moins pour l'importance de leur influence formelle et générationnelle sur notre monde, c'est aussi à Tintin, et ainsi à Hergé, que l'on a envie de comparer Zelda, c'est-à-dire Link, héros impersonnel, donc idéal, de la saga (même si jamais comme dans cet épisode il n'a si bien flirté, par sa bouille et ses mimiques, avec l'humanité). Même rapport au temps, c'est-à-dire même puissance extraordinaire d'extraction hors du temps donc même intemporalité : il ne serait pas étonnant que Link-Zelda succède ou accompagne le mythe Tintin dans l'inconscient collectif des générations modernes. Mythologique aussi, cet inlassable «éloge du même» auquel se livre sans retenue la saga Zelda depuis les origines : le costume vert de lutin, l'épée et le bouclier, les rubis, l'enlèvement, le donjon. Personne ne se permettrait ce luxe insolent et répété de faire, défaire et refaire ainsi toujours la même chose, en la transmutant pourtant infiniment. Un des effets de cette nature catégorique est que Zelda impose son temps, le décrète.
 
Symphonie. Esthétiquement, l'univers graphique déployé dans The Wind Waker forme une vraie percée dans la trajectoire de Miyamoto. D'une certaine façon, c'est le premier Zelda postmoderne, peut-être même le premier Zelda post-Zelda : un jeu où le monde contemporain et ses plus sourdes références (beaucoup des créatures ennemies ont une touche qui rappelle le Picasso céramiste et ses Minotaures) ont infusé ; un jeu qui réorganise le feu d'artifices des formes où nous sommes tous désormais plongés, les faisant communiquer sans soudure, sans couture, mais en symphonie.
 
Synthétisons : ce nouvel épisode de Zelda, c'est au moins Hergé + Picasso + Disney + Miyazaki + Chrétien de Troyes (3)... Que faut-il ajouter pour convaincre ? Nulle part ailleurs n'est disponible aujourd'hui une aussi émouvante expérience de la beauté en mouvement.
 
 
http://www.liberation.fr/page.php?Article=107820

cai nul ya pas de note

 
cai nul, c pas un test console +

 
+1  

J'aime pas du tout
 
Ce n'est pas en disant une crotte qu'une merde pue moins
 
Ce zelda a clairement des graphismes enfantins car c une histoire pour gosse, ceux qui l'étaient lors des premiers zelda et pour les gosses d'aujourd'hui.
 
Faire une review de Zelda avec un texte trop intello, ca colle pas du tout je trouve. J'ai l'impression que c'est pour vouloir démontrer que le jeu vidéo n'est pas que destiné a des gosses...

le meilleur, c zelda III.

 
chacun a son avis sur ca ! ca sert a rien d'affirmer les choses comme ca..

Ca y est, j'ai recu le jeu ce matin en version collector  
 
C'est magnifique, accrocheur (un peu moins accrocheur que la version 64 je trouve pour le moment), je suis arrivé qu'au 1er boss pour le moment et pour l'instant je le trouve excellent  
 
J'ai aussi essayé Master Quest (comme j'ai fini OOT à 100% sur 64, j'ai essayé celui-là), et il à l'air plus chaud (c'est peut-être qu'une impression...). Par contre les graphismes ont pris un bon coup de vieux  
 
Bref, ca a vraiment l'air excellent tout ca, et comme j'ai recu zelda 3 sur snes hier, j'ai de quoi m'occuper avec tout ca

merde fo ke je my mette.......

j aime bien la review  
 
elle est passée sur libe??

putain j'ai oublié le mot de passe que les pirates m'ont dit a la poudrerie... si j'ai bien compris c pas le meme pour tout le monde !! "Toute ta vie recherche les ..."
 
    fo que je me retape le jeu ?     ou quelqu'un a eu aussi cette phrase?

 
ouf merci  

sisi, c très utile!  

 
ca depend des personnes koi, pour moi par exemple ce serait OOT le meilleur

Franchement jtrouve que Wind Waker est un jeu fun, qui au moins se tire du lot des nombreux autres zelda grace a ses graphismes et son cell-shading bien sur, mais reste tout à fait dans l'esprit de zelda.
Jpense que les vrais fans ne seront pas décus. Jle trouve plus agréable à jouer, moins prise de tete meme si parfois trop simple...
 
Bien sur ... on aurait tous voulu avoir un beau link avec les possibilités qu'offre la gamecube et bien sur nous faisons confiance a myamoto:  ca aurait été incroyablement magnifique :
 
http://viper55555.free.fr/screen1.jpg
 
n'est-ce pas??
 
mais bon il faut prendre WW comme un ptit avant gout, un ptit jeu amusant avant que ne sorte la Bete !( si il en sort une bien sur)
 
++ une vidéo alléchante (désolé de mauvais qualité)
 
http://viper55555.free.fr/zeldagcdebut.WMV

rah, je suis dans le bateau pirate (deuxième fois) et j'arrive pas à avoir l'item. C dur. :'(

 
 
  pas tous!
 
c'est c'que je pensais au départ au vu des quelques photos dispensées ci et là, link 3d vs link cell shadé mais j'ai vite retourné ma veste. Après les premières video en fait.
J'adore le Link de Wind waker, ses mimiques, sa fraicheur, sa personnalité pour moi, il n'a jamais été aussi attachant.

te suspendre aux lianes avec les lampes enflammées c'est ça?
si c'est ça mon conseil  :
 
- coupe le son ( ça évite de se stresser et de vouloir aller trop vite sur la fin )
- prends ton temps pour bien te mettre dans l'axe.

Ce qui m'a vraiment deçu dans ce jeu ce sont les musiques, elles ressemblent a ce méprendre a celles sur nes, c'est abusé...
Je m'attendais a une oeuvre orchestrale symphonique, mais nan, toujours les même musiques avec les même instruments...
Vraiment deçu la...  

 
c vré mé meme si j'aprécie comme tu dis sa fraicheur et ses mimiques et que je trouve ww excelent, jtrouve que ca ressemble plus aux fous du volant qu'a un zelda pur et dur qu'aurait pu faire nintendo.

 
zelda "pur et dur"
 
tu peux développer ? tu voulais un link ki boit de la bière et ki écoutes du hard rock avec un piercing ds le pif peut etre...

 
lol !! nan c vré jme suis mal exprimé, mais pour une aventure aussi prenante que zelda, et vu la force, le courage ect.. de link, jle verré mieux bien fait, bien formé, avec une belle épée, comme dans l'image précédente, il serait beaucoup plus imposant dans les héros du jeux vidéo, ca durcirait Le MYTHE de zelda, par rapport a WW ou il parait un ptit enfant..  
 
(une fois de plus je précise que jador ww !!)

je te parle du charisme du personnage.
Si tu me cozes gameplay + intérêt je te répondrais que wind waker est excellent et digne des meilleurs zelda (selon les goûts)
perso mon préféré c'est OOT.

 
de meme  

han, en fait je savais pas qu'on pouvait tourner avec R!  

²²²²²
 
 
effectivement t'as du avoir un péty peu de mal du coup  

 
kler je prefere avoir un prochain zelda en cell shading  

Erf , Moi quand j'ai vu Zelda en Cell Shading C'un Gros Boudin     ... Je la préféré avant mais sinon apres le cell shading ca tue et au bout d'un moment je men rend plus compte et cé nikel
 
xaT

en tout cas ce jeu est une pure bombe ! je suis en train d'y joué depuis 4h du mat jpeu plus m'arrété  
 
jm'arrete que pour ecrire sur le forum et allé pisser...
 
j'en suis a la tour des dieux : ca c du pur zelda.

 
tu vas pleurer ta maman, la partie jsute apres la tour environ 20min, c'est la partie ultime pour moi pour le moment :>

 
tu as fini le jeu??
 
je suis juste un peu décu dans la cohérence du jeu par rapport aux autres.. je comprend plus rien on joue avec ki, on est ou, on est quand.. je veux pas de réponse mais est-ce que y'a une réponse a la fin du jeu?

non j'y jous peu mais je l'ai eu avant la sortie, donc je l'ai tout de meme un peu avancer, personnelement je trouve que l'histoire et le jeu commence reelement juste apres la tour des dieux, enfin la partie juste apres je l'ai trouver trop exceptionnel

perso j'avais bien accroché au debut de ww ! mais j'ai voulu faire un pitite pause et essayer oot et pis ben... je decroche pas ! et ww se retrouve désormais de coté !
on aura beau dire, mais oot c un putain de bon jeu quand meme !

 
heu...

 
pour moi c le meilleur jeu vidéo auquel j'ai jamais joué ! (sans éxagérer! )

 
oui ???

 
normal, là t'est vraiment libre d'explorer le monde, de faire les mini-qu^tes, etc ..., t'as pas le bateau qui te fait aller là où il veut

 
ben je sais pas trop ce que ou qui désigne ce "on aura beau dire" étant donné que oot est considéré par une grande partie des joueurs comme un des tous meilleurs jeux de tout les tps...