pareil ding a en mois de 24h apres avoir envoye mes notes pour un summer il y a quelques annees

I agree Connexion, bien vu.  
Seul B-flat : un mandat à la vente est toujours néanmoins préférable puisqu'il renforce (très considérablement) la probabilité de pouvoir inscrire le deal à son CV ce qui est la seule véritable source de crédibilité et de différentiation pour un analyste qui veut se revendre dans une autre banque ou auprès d'un client à son compte.
 
C'est effectivement un sujet à mettre dans une balance : d'un côté tu apprends mais tu ne fais pas de deals, de l'autre tu fais du secrétariat mais tu inscris une deal-line sur ton CV

 
+1  
Et Sell side = fees --> ton MD est heureux, donc ton bonus est généreux    
 
CQFD

 
j ai deja vu des CVs avec des deals non closes... honnetement tu impressioneras plus un recruteur si tu bossais en buy side pour Carlyle sur un asset complique, meme si tu n as pas close, que si tu as fait le sbir en sellside sur le meme deal...

 
pareil ding a en mois de 24h apres avoir envoye mes notes pour un summer il y a quelques annees

même retour d'xp ici aussi

 
pareil ding a en mois de 24h apres avoir envoye mes notes pour un summer il y a quelques annees

dingé de Citi quand j'ai envoyé mes notes aussi (saoulard proof)

vas finir tes slides toi

Sans prendre la responsabilité sur comment tu peux délivrer le message clairement et sur la manière dont tu peux comprendre un process sans jamais y avoir participé tu peux trouver quelques idées ci-dessous.
 
Déjà, garde en tête que la phase exécutive est après avoir signé un mandat. Toute la phase marketing (pitch - plus ou moins ciblé), bidder sounding, revue de portefuille) est en dehors de la phase d'exécution. Tu peux le signaler pour faire valoir ta bonne compréhension (ou du moins y faire croire!) entre la phase marketing et la phase d'execution
 
 
Buy-side (à l'achat) - phase exécutive.
1) Valorisation de cible et remise d'une marque d'intérêt (le plus souvent sous la forme d'une LoI - Letter of intent). Cette marque d'intérêt n'engage pas le vendeur et ouvre seulement les portes d'un deuxième tour (dans le cas d'une enchère) ou d'une phase de Due Diligence en cas d'acheteur unique
2) Phase de Due Diligence
- DD Financière : tu vérifies la qualité de ce qui est retenu pour définir le niveau d'EBITDA que tu achètes (bien différent que celui publié dans les comptes) et les éléments que tu considèreras comme la dette pour le passage EV-QV (enterprise to equity value) et aussi les éléments qui feront le BFR normatif à retenir. Tous ces éléments sont critiques dans la négotiation du SPA. C'est fait par un DTT, un EY, un PwC, un Kap ou autre...
- Due Diligence Juridique : Tu définis quelle est la structuration de ton deal (titres, cash, cash + titres en général, utilisation de holding). Tu définis les risques tax (pour pas payer le redressement fiscal déclanché par les conneries de l'actionnaire précédent), les risques sociaux (pour pas payer les indemnités de Zahia qui a porté plainte contre ton futur journal parce que l'actionnaire précédent à accepté qu'on publie une photo de son string assorti à ses boucles d'oreilles). C'est fait par un White Case, Clifford Chance, Taj, Landwell.
- Due Diligence Environnementale et Commerciale
3) Confirmation du prix ou renégotiation du prix indiqué dans la LoI. Si tu payes pas all cash ou all equity (ce qui est très probable) tu dois à ce moment là déjà être allé voir un département d'acquisition finance qui t'aura fait une lettre de confort qui engage son financement de l'opération et qui sera passé par un comité de crédit de la banque. Ton offre est ferme et financée.
4) Négociation du SPA.
Chaque élément que tu aura considéré comme de la dette sera en moins dans la valeur des titres et donc sera ça de moins a payer. Chaque risque révélé dans la DD juridique sera un point de négociation dans les guaranties. La cible te protège contre les conneries qu'elle aurait pu faire...tu dois négocier tous ces points.
5) Signing (of the SPA)
Tu t'engages fermement à délivrer le prix négocié
6) L'opération passe par les autorités pour vérification de conformité (nottament les autorités de concurrence dits "antitrust" à Wall Street).
C'est là que si ta cible est côtée tu dois en informer l'AMF - on appelle ça faire une OPA, OPE, OPR (et p'tet même faire une offre sur la totalité des actions de la cible si tu dépasse certains seuils)
7) Closing.
C'est là que le transfert des shares s'opère et que tu es actionnaire de la société
 
 
Sell-side (à la vente) - phase executive
1) La banque d'affaires propose un Teaser à des acquéreurs potentiels identifiés. Le Teaser est un document anonyme (en blind) présentant les grandes lignes de la société et de l'intérêt de l'investissement. Il est censé encourager les acheteurs à vouloir regarder l'opportunité de plus près
2) Signature du NDA (non disclosure agreement)
La cible/son conseil te fais signer un doc disant que tu gardes toute l'info confidentielle qu'elle met à ta disposition pour toi.
3) Préparation de l'info mémo
La le junior en banque se fait des nuits blanches pour expliquer aux acheteurs exactement ce que fait la boîte et l'intérêt d'investir dedans, dans un document word (de plus en plus PPT) qui ne sert pas à grand monde mais qui fait parti du process.
4) Remise des LoI des acheteurs potentiels
5) Ouverture de la Data Room
Là le junior devient une secrétaire à plein temps pour organiser des conf calls de réponse aux questions de tous les acheteurs portant sur des milliers et des milliers de pages en data room.
6) Réception des offres fermes et financées
7) Négociation du SPA  
8) Signing
9) Vérification de conformité
10) Closing
 
C'est loin d'être exhaustif mais ça te donne quelques idées qui, encore une fois, ne vaudront rien si tu ne peux pas faire croire que tu les maîtrises complètement en pouvant rentrer dans chaque sujet. Pendant tes entretiens essaie toujours toujours de comprendre ce que tu dis, c'est beaucoup plus important que de savoir répondre à la question. N'essaie jamais de répondre par quelque chose que tu sais par coeur mais que tu ne comprends pas, tu peux par contre soumettre à discussion une réponse par coeur et avouer ta non-maîtrise de ce qu'il y a derrière. C'est beaucoup plus convaincant de faire comme ça. Bon courage.  
 
 

+1
Et surtout tu tiendras bcp mieux en entretien...

+1 Et Sell side = fees --> ton MD est heureux, donc ton bonus est généreux    
 
CQFD

 
 
-1
Pas du tout d'accord ... n'importe quelle IB advisor sur des deals d'une certaine taille preferera se positionner a l'achat s'il a le choix, ca permet de grossir les fees encore plus (financement, etc...)
Faut pas raconter n'importe quoi !

c est avec joie que je partage mon remier smiley perso
 

 
Oui si on parle d´IB ayant la capacité de financer le deal. Pour un pure advisor qui ne va pas accéder au financement, le sell-side est plus lucratif.

 
 
Good point ... donc n'importe quelle banque ayant une activite de financement / plateforme de distribution
pas pour les boutiques effectivement ...

-1
Pas du tout d'accord ... n'importe quelle IB advisor sur des deals d'une certaine taille preferera se positionner a l'achat s'il a le choix, ca permet de grossir les fees encore plus (financement, etc...)
Faut pas raconter n'importe quoi !

Faut pas me quoter comme ça
C'est bibos qui parlait

Entretien passé il y a à peu près 2 semaines à la SG à Paris pour un long-term, après un coup de fil on me dit que la réponse me sera donnée fin février...
Bon ou mauvais signe ?

c est avec joie que je partage mon remier smiley perso
 

Entretien passé il y a à peu près 2 semaines à la SG à Paris pour un long-term, après un coup de fil on me dit que la réponse me sera donnée fin février...
Bon ou mauvais signe ?

 
Pour la session de janvier, ils avaient précisé à des potes s'ils étaient ding ou en liste d'attente.
 
C'est pour le bureau de Paris ou de Londres (tu parles de long term).

 
Goldman Sachs conseille historiquement et encore aujourd'hui plutot les targets que les buyers et ca les empêchent pas d'avoir les plus grosses fees de l'industrie..

 
en sell side tu peux aussi faire du financement (Staple financing dans un LBO par exemple). le positionnement de la banque si a elle a le choix se fait sur l'historique avec les clients (arbitrage, opportunités futures) et sur la probabilité du deals  de se faire (si tu penses conseiller celui qui a la plus grande chance d'emporter la mise -> go buyside sinon sell side)
Goldman Sachs conseille historiquement et encore aujourd'hui plutot les targets que les buyers et ca les empêchent pas d'avoir les plus grosses fees de l'industrie..

 
 
Goldman c'est qd mm la grosse banque de clowns pistonnés et cooptés.
J'ai rarement vu un mec correct pris chez eux en IBD (y a pas besoin de comptences en IBD, du coup ca draine le max de pistonnés) par contre 'c'est vrai que les mecs du S&T sont solides
 
Franchement vivement que cette banque se casse la gueule, MS anyway est la meilleure banque M&A
 

 
c'est pourtant une statistique qu'ils aiment mettre dans leur pitchs.

 
des exemples?

 
 
Des ESCPs pourris, des recalés du conseil, des ASTs Second Tier