«Il y a eu un petit moment de confusion, ça je ne peux pas le nier, mais qui est lié à une difficulté d’arbitrage. Il y a eu une petite intrusion, qui n’aurait pas dû se produire, mais qui était plutôt bon enfant, de la part de supporters marocains, a-t-elle déclaré, ce jeudi matin sur franceinfo. Ça s’est ensuite entremêlé avec un long temps d’arrêt dans lequel il y a eu un peu de tergiversations sur le plan de l’arbitrage. Un débrief a été fait entre le comité d’organisation et la Fifa. Tout va rentrer dans l’ordre.»

Dans les années 20 ou les années 30, la France c’était le moteur, Paris c’était la ville regardée dans le monde entier, qui inspirait. Ce n’est plus le cas. Moi qui voyage beaucoup, on se fout un peu de nous. Constamment les grèves, les casseurs, les trucs comme ça… Les gens ont peur de venir.

«Il y a eu un petit moment de confusion, ça je ne peux pas le nier, mais qui est lié à une difficulté d’arbitrage. Il y a eu une petite intrusion, qui n’aurait pas dû se produire, mais qui était plutôt bon enfant, de la part de supporters marocains, a-t-elle déclaré, ce jeudi matin sur franceinfo. Ça s’est ensuite entremêlé avec un long temps d’arrêt dans lequel il y a eu un peu de tergiversations sur le plan de l’arbitrage. Un débrief a été fait entre le comité d’organisation et la Fifa. Tout va rentrer dans l’ordre.»

«Il y a eu un petit moment de confusion, ça je ne peux pas le nier, mais qui est lié à une difficulté d’arbitrage. Il y a eu une petite intrusion, qui n’aurait pas dû se produire, mais qui était plutôt bon enfant, de la part de supporters marocains, a-t-elle déclaré, ce jeudi matin sur franceinfo. Ça s’est ensuite entremêlé avec un long temps d’arrêt dans lequel il y a eu un peu de tergiversations sur le plan de l’arbitrage. Un débrief a été fait entre le comité d’organisation et la Fifa. Tout va rentrer dans l’ordre.»

Dans les années 20 ou les années 30, la France c’était le moteur, Paris c’était la ville regardée dans le monde entier, qui inspirait. Ce n’est plus le cas. Moi qui voyage beaucoup, on se fout un peu de nous. Constamment les grèves, les casseurs, les trucs comme ça… Les gens ont peur de venir.

Je vis dans le 18e. C’est d’une saleté sublime, comme une ville du Moyen-Orient. Roland Barthes écrivait : « Je n’aime une ville que quand elle est habitable ». Mme ­Hidalgo a réussi à faire de Paris une ville qui n’est absolument plus habitable pour n’être plus que visitable. Mais elle va être réélue, car ça plaît aux bobos. Je dis bravo  !

«Il y a eu un petit moment de confusion, ça je ne peux pas le nier, mais qui est lié à une difficulté d’arbitrage. Il y a eu une petite intrusion, qui n’aurait pas dû se produire, mais qui était plutôt bon enfant, de la part de supporters marocains, a-t-elle déclaré, ce jeudi matin sur franceinfo. Ça s’est ensuite entremêlé avec un long temps d’arrêt dans lequel il y a eu un peu de tergiversations sur le plan de l’arbitrage. Un débrief a été fait entre le comité d’organisation et la Fifa. Tout va rentrer dans l’ordre.»

A cause de la circulation dans Paris, les épéistes français, désireux de faire un repérage au Grand Palais, ont mis un temps conséquent pour effectuer le trajet depuis la Seine-Saint-Denis.

Les tireurs tricolores, depuis le village des athlètes situé en bordure nord de Paris, en Seine-Saint-Denis, ont rapidement rejoint, en une quarantaine de minutes, la Place de l'Etoile et l'Arc de Triomphe, avant de rester bloqués avenue Marceau.
 
Un barrage de vérification des QR codes permettant l'accès à la zone a immobilisé des dizaines de véhicules devant eux

Le déploiement de navires américains et européens en mer Rouge, tout comme les bombardements des Etats-Unis et du Royaume-Uni sur le Yémen, n’a pas dissuadé la milice rebelle, qui contrôle l’essentiel de ce pays, de poursuivre ses opérations.

A cause de la circulation dans Paris, les épéistes français, désireux de faire un repérage au Grand Palais, ont mis un temps conséquent pour effectuer le trajet depuis la Seine-Saint-Denis.

Les tireurs tricolores, depuis le village des athlètes situé en bordure nord de Paris, en Seine-Saint-Denis, ont rapidement rejoint, en une quarantaine de minutes, la Place de l'Etoile et l'Arc de Triomphe, avant de rester bloqués avenue Marceau.
 
Un barrage de vérification des QR codes permettant l'accès à la zone a immobilisé des dizaines de véhicules devant eux