Reprise du message précédent :
 

garder la pièce qu'on devait insérer dans le caddie, j'étais assez fort à ça aussi
puis ma mère s'est mise à utiliser des jetons

Quand j'étais tout petit, j'avais chippé des pièces jaunes dans les tiroirs du papa pour les échanger contre des billes à la récré    
Le surlendemain, les parents du complice de recel interpellent les miens et, montrant les pièces : "c'est à vous ces Napoléons ?"  

Drapal, juste pour voir faman s'inventer des histoires sur un nouveau topic

En vacances quand j'avais 15 ans j'ai pissé dans une bouteille de panaché que j'avais refermé correctement, pour l'offrir quelques heures plus tard a mon cousin lorsqu'il aurait besoin de se désaltérer...
 
Il a recraché la première gorgée...

Je drap aussi !
 
une toute petite : j'ai balancé un oeuf pourri sur la porte de mon ancien voisin du dessus qui se démerdait toujours pour déplacer tous ces meubles la nuit.
 
Sinon, en terminale, je me suis retrouvé avec un espèce de gland. C'était le genre "moi je suis meilleur que vous tous" alors qu'il avait vraiment une face de winner avec les boutons qui vont bien, un début de calvitie et un gros bide sous son pull jacquard.
On se souvient tous d'un jour où, pour une raison encore inexpliqué, il est venu avec une cravate en cours et s'est mis devant notre prof d'histoire géo (seul de nos profs qui portait tout les jours costard/cravate) et lui a dit : "le mienne est mieux que la votre".    
Bref, un pote a eu l'idée du cdp du siècle. Toute la classe ou presque était dans le coup. Ce gars a fait croire qu'il allait prendre en photo tout le monde dans la classe en gros plan. On se prète au jeu, jusqu'au moment où arrive le tour de "face de poulpe". Il avait préparé une couronne en carton style "galette des rois" où était marqué au marqueur "Rois des cons". Bien sur, au moment de la photo, un gars a posé la couronne sur la tête de notre winneur qui tirait son plus beau sourire .
J'ai ensuite récup la photo et j'en ai tiré un poster format A2 qui a fait le tour de la classe.
Au final, j'ai quand même eu pitié et j'ai refusé de l'accrocher dans le couloir du lycée. Bon, on s'est quand même bien marré dans la classe.

Et hop un petit CdP (en fait trois en même temps devrai-je dire) pour flagger le topik :

Durant mon service militaire j'étais logé avec 6 coéquipiers de mésaventure, une fois n'est pas coutume, dans un Foyer de Jeunes Travailleurs vide.
Vide car désaffecté, plus aux normes, genre bâtiments à la limite de la ruine (eau marron qui sort des robinets si on ouvre trop fort, fenêtres avec cadre en métal rouillé qui laisse l'air s'échapper, prises non conformes avec châtaignes obligatoire en cas de branchement, etc...)...
Après avoir passé pas mal de temps à visiter les différents étages, tout le monde s'alloue une chambre qui semble être la meilleur à son goût.

Bien sur dans ce groupe il y a toujours le gros relou. Pas méchant, même avec un bon fond je dirais, mais le roi des casses-couilles et des dégueulasses.
La vaisselle jamais faîtes, le ménage non plus, mais surtout, surtout, un vrai porc quand il passait aux chiottes... Y en avait partout, jamais un coup de bombe pour chasser l'odeur épouvantable, en fait vous voyez Gros Dégueulasse dans la bédé de Reiser, ben c'était son fils.

Etant au même étage que lui avec 2 autres camarades, il y a eu un moment où, fatigué de lui répéter 10 fois par jour qu'il devait faire des efforts, la diplomatie (surtout durant le service militaire) fait défaut.
Fomentant une vengeance dont le Colonel John "Hannibal" Smith aurait été plus que fier tant le plan devait se dérouler sans accroc, nous nous sommes préparés comme un commando armé.

Le jour (c'était une nuit d'ailleurs) est venu où le Gros Dégeulasse, appelons le Eric (parce que c'est son prénom ) c'est enfermé dans les chiottes pour libérer la taupe qu'il avait au bord du trou.

Ni une ni deux, une équipe bloque la porte avec une série de lacets de rangers noués ensemble en attachant les deux poignées des chiottes juxtaposées.
La deuxième équipe lance l'assaut à base de pétards (petit à moyen et mitraillette, on avait peur d'utiliser des mammouths dans un espace aussi restreint) et surtout bien sur de boules puantes parfum fumier et vidange de sani-broyeur.
Un troisième escadron de la mort était en soutien en arrière, équipé de balais, afin de repousser toute tentative de rejet de pétard ou boule puante.
L'attaque a été menée rapidement et sans l'once d'un mouvement d'hésitation. Le matériel de frappe chirurgicale s'est glissé sous la porte des chiottes. On a entendu les cris de bête féroce s'échapper de sa prison de faience ("enculés" "vous allez payer" "bande de batards" etc).
La patrie aurait été fier de nous.

Et c'est à ce moment là que je me suis souvenu que le gardien du foyer (oui on avait un gardien, même si l'immeuble était désaffecté...) n'aimait pas trop quand on le réveillait de sa  longue sieste diurne et nocturne.
Esquivant mes petis camarades, je me suis précipité dans ma chambre au bon moment, car le gardien, une espèce de golgoth cinquantenaire turc, était sur le point d'arriver à l'étage.

Bien sur, ce qui devait arriver arriva, mes complices de crime se sont fait choper, le malheureux Eric a pris doublement cher (l'attaque plus le gardien bien vénére), mais moi, en tant que bonne grosse teupu, j'ai eu le réflexe de sortir de ma chambre, l'air endormi en marmonnant d'une voix plaintive "mais euuh vous pouvez pas faire moins de bruit"...
Le gardien m'a gentiment demandé de rentrer dans ma chambre, que tout était fini.

J'ai alors entendu Mister Gros Dégueulasse tenter de me balancer "hey mais c'est lui qui a commencé et tout..." mais le gardien n'a pas voulu écouter.
Comme il se doit, dans l'armée, on tolère les putes mais pas les délateurs, je me suis venger en me réfugiant dans la chambre d'Eric (pendant que lui et mes camarades se faisaient vertement tancer dans la loge du bas), en lacérant la superbe moquette murale marron d'un coup de schlass, en la décollant du mur afin de créer une sorte de vasque, ou plutôt de pissotière, et en me soulageant copieusement dedans.
Je suis alors rentré tranquillement dans ma chambre dormir.

Bilan des opérations :
-Un gros dégueulasse puni de sa porcheri'attitude
-Mes camarades tombés au champ d'honneur par mes soins
-et une moquette murale imbibé d'un doux parfum "urine du soir"

Pour ma part, absolument aucune honte de ce magistral CdP...

edith: J'ai oublié le CdP de l'administration survenu quelques jours après ma quille : Mes camarades ont été relogés dans une maison de retraite... Que du bonheur ^^

Erf les bourrins
(je ne juge pas )

 
Dans le même genre en 5ème, une fille sans amis, qui trainait toute seule à côté d'un mur du collège, assise comme une clocharde, et je lui avais donné 5 centimes   Elle m'a plus jamais parlé
 
(Même le prof de maths lui avait fait un coup de pute : elle avait été absente et n'avait pas rattrapé le cours, il lui dit "vous auriez pas pu demander à une amie ?" et se répondant à lui même "ah mais suis-je bête, vous n'en avez pas"   )
 
Autre coup de pute, en 4ème je pense : goûter de Noël, plein de gâteaux, bonbons et y'avait une meuf obèse dans la classe. Et moi, voulant faire le malin, qui lui dit "pas pour toi [prénom de la fille], t'es au régime pour Noël". Division de la classe en deux, entre tous les gars explosés de rire et les meufs qui venaient réconforter la fille en question qui pleurait.

 
Qualidad
 
EDIT : il faudrait une alerte genre "alerte je ne juge pas"

drap

J'en ai moult mais par lequel commencer ?
 
Bon. Allons-y par le dernier en date. Très simple.
 
Un matin, en arrivant au boulot, je vois deux minipelles neuves garées dans un coin du hangar. Du beau matériel. Quand je demande au patron à quoi elles vont nous servir, il me répond que c'est pour lui car il fait des travaux de terrassement chez lui. Il en a offert une à son gendre puisqu'apparemment elles étaient en "soldes" : 2 pelles à 25000 € l'unité pour 5000 € en liquide. Ensuite, il ricane en m'expliquant qu'il les a achetées à des gens du voyage.
 
Quel bon plan.
 
Evidemment, petit appel anonyme à la gendarmerie depuis mon portable. Le gendarme me dit que les pelles ont été volées à un loueur de matériel Kubota non loin. 30 secondes plus tard, la gendarmerie téléphone à mon patron pour l'interdire de quitter son lieu de travail car ils vont débarquer simultanément à son domicile et à l'entreprise. Ca a duré toute la journée, ils ont saisi des ordis.
 
Si tu me lis, Jean-Pierre V., c'était pour ma prime de fin d'année vieux sénile.

oh putin

Ouh que c'est moche la délation

 
"C'est un devoir"  

l'enflure

 
Drapaaaaaaaal !
Vive le topic des coups de pute  

Alerte coup depute
mais y va se douter que c'est toi

bonjour c est jean pierre V, tu viendras me voir lundi a la premiere heure

Si c'est vrai, c'est énorme...
 
J'espère que tu as un boulot de secours. Ou alors, tu pourrais te faire embaucher dans l'entreprise volée ? S'ils n'ont pas de taf pour toi, tu peux toujours postuler comme gardien de nuit. Apparemment, ils en ont besoin

 
Oh putain    
 
Nous avons trouvé Le Maitre du Topic !    
 
   

Le mec il est pas très finaud de se vanter d'une chose pareille d'un côté
 
Et mon avis perso c'est que si il est capable d'alimenter le vol de cette façon alors qu'il est chef d'entreprise, c'est un sacré pourri
 
edit : le top du cdp aurait été de faire intervenir un tiers pour le faire chanter un peu et gratter quelques milliers d'euros    
là c'était juste "presque gratuit", ça a son charme aussi

 
 
 
Je suis sûr qu'il faudrait 25 minutes aux mecs de 4 chan pour retrouver l'entreprise en question, ton identité et téléphoner à ton patron

 
 
Han      
 
 
 

Une BD dans l'esprit du Topic:
http://ultimex.over-blog.com/8-categorie-10270851.html

 
   
 
 
sinon, bien joué    

 
 
Me concernant, rien de bien glorieux, à part des installations de VNC sr le PC de mon frère pour l'emmerder quand on s'engueulait... du classique quoi

   
drapal masquaÿ

Petit CDP...
 
Une amie m'avait invité à aller passer un weekend à Biarritz avec des potes à elle. Détail important : tous s'étaient avérés être de sinistres cons et je m'étais bien fait chier. Même mon amie m'avait gonflé. Je n'avais qu'une hâte, rentrer chez moi et ne plus jamais les revoir.
 
Vers 18h, bien que nous soyons encore à 400 km de chez nous, on s'arrête dans un pré pour ramasser du bois et faire un petit barbecue. Pas stressés, les mecs. Je dis ça parce qu'on devait absolument être rentrés le soir même, un des types ayant un oral pour une grande école de commerce le lendemain matin. Ce dernier faisait le type trop cool "ouais, on a le temps de rentrer, c'est bon".
 
Alors que je ramassais du bois, je trouve par terre le trousseau de clés de la voiture qui nous ramenait.
 
C'est alors que me vint l'idée de CDP magistral. Je me suis enfoncé dans les bois aussi loin que j'ai pu et j'ai balancé les clés dans un mur de ronces de 3m de haut. Je suis revenu, on a allumé le feu et mangé tranquillement. Depuis mon CDP, j'étais de super bonne humeur, tout content de mon coup.
 
C'est seulement à 21h, au moment de repartir, que le chauffeur s'est rendu compte qu'il avait perdu ses clés. Grosse panique, engueulades, on s'est tous mis à chercher les clés dans la nuit à la lueur des portables. Comme on ne pouvait pas prendre le train, on a attendu que le frère du chauffeur nous apporte un double des clés, vers 2h du matin. On est rentrés à 6h du mat.

 
 
   
 
 
 
 
Nan mais, le vrai CDP, on en subi pas soi-même les conséquences.
Enfin, pour moi.