Reprise du message précédent :

Chacun son style de vie, s'il se sent bien comme ça tant mieux pour lui.
 
(Moi je me tirerais une balle au bout de quelques jours, mais bon…)

Ça s'appelle aimer son taf?

Tu joues au golf en loisir, y'en a c'est leur boulot, parce que c'est leur boulot ça devrait nécessairement devenir moins amusant que pour toi en loisir ?

Pour la première fois de ma vie en revenant de 15j de congés, je me suis dit au bout de même pas 6h de taff "putain ça m'avait manqué en fait", et j'en suis même pas au début du début de mon plan de carrière...

Si vous détestez vraiment vos boulots à ce point, il est plus que temps de vous reconvertir.
No redface

LOL, le taf qui manque.  
 
À moins d'être son propre patron, c'est une anomalie pour moi.  

Trouve une COGIP qui t'inspire d'avantage

Ça m'a étonné aussi
Ceci dit c'est pas LE TAFF qui m'a manqué mais ce que j'y accomplis et ce que ça m'apporte, je retrouverai le même apport avec beaucoup plus de confort et de quand j'aurai réussi ce que je souhaite faire

« Choisis un travail que tu aimes, et tu n’auras pas à travailler un seul jour dans ta vie ». Confucius

IKIGAI !!!

Ce qui doit être le cas de 1% des gens.  

Tu n'y es pas, ce n'est pas une question de détester son boulot ou non.
Peu importe le boulot, c'est la notion de "travail" que je déteste. Toute journée non régie par le salariat/entrepreneuriat est une bénédiction.

Pas sûr de comprendre : c'est le travail en lui-même ou sa marchandisation qui te pose problème ?

L'importance c'est d'être heureux

Dieu a dit

 
Désolé, c’est Lui qui commande  

Les deux.
 
Je veux juste être oisif.

Dit autrement : tu souhaites profiter de ce que la société peut t'apporter sans contribuer en retour... Sans porter de jugement de valeur, je crains que cet objectif illusoire t'enferme dans un cercle vicieux de frustration/rancœur

A moins d'avoir une maladie mentale, chacun aime s'occuper à faire quelque chose.
Il s'agit de rendre ce quelque chose utile et ça devient un travail.

El famoso  « je fais un travail utile ».

C'est quoi faire un travail utile ?

Utile pour ton patron peut être. Mais utile pour toi, ou pour l'intérêt général, c'est rare. A part les infirmières, les pompiers, ou des métiers comme ça, ce qu'on fait à la COGIP ne sert à rien.

À générer du pognon pour son employeur.
À moins que ce soit un job useless en effet.

On est dans un pays où chacun a largement le choix et les éclairages nécessaires étant gamin pour choisir sa voie et faire un métier qui lui plait.
 
Perso, j'aime mon travail mais pas la façon de le pratiquer (horaires, collègues imposés, hiérarchie, open space,...) la COGIP à papa c'est pas adapté à tous.

Je cherche encore la réponse.

Enrichir les BDD HFr

 
Remboursement du crédit inclus ou pas ?

 
Non inclus.

Utile pour toi et utile pour l'intérêt général sont deux concept très opposés.
De plus, la grande majorité des métiers sont d'utilité générale.

J'ai bien aimé le "très peu d'actions" avec 83K

83k€ d'épargne en actions c'est peu HFR compliant en effet

 
Je parlais là de 83k de trackers. En actions directes, j'ai 12k, donc peu comparé à la part investie en bourse.

un travail utile c'est un travail dont l'absence se ressent en cas d'apocalypse mondiale    
 
tous les travaux manuels sont utile par exemple (plombier, électricien, agriculteur, éleveur, etc.....)
ceux qui travaillent dans la santé également.
 
le reste ne sert à rien
 

Oui la santé marche toute seule, les travailleurs manuels facturent sur du papyrus

Bref c'est une définition de merde
Le travail il a le sens et l'utilité que tu lui donnes, c'est très personnel et subjectif comme concept

 
si ton job c est de faire se rencontrer l offre et la demande de facon optimale pour tout le monde, tu penses que c est inutile en cas "d'apocalypse mondiale" ? Tu penses qu'un plombier s'en sortirait mieux ?
 
Si t es rabbin tu penses que personne ne t ecouterait, si tout le monde risque de se transformer en zombie ?

Je ne m'attendais pas à mieux en termes de connerie.

vous avez très bien compris ce que je voulais dire, faites pas vos idiots  

un plombier servirait plus à quelque chose qu'un mec qui a passé sa vie à rentrer des chiffres dans un tableur excel.

en cas d'environnement social dégradé ou tout simplement détruit, je préfère être entouré d'un plombier, d'un électricien et d'un médecin que d'un cogipien excel(lent), d'un pompiste ou d'un commercial.

c'est simple à comprendre pourtant.

mon boulot par exemple (chauffeur), il est inutile en fait.
il existe parce que la société a besoin de moi.

mais si la société n'existe plus, je ne sers plus à rien.

et c'est pareil pour un trader ou les autres exemples que je donne.

+1

Utile ou pas utile, c'est très subjectif.
 
Un manuel sera parfois utile à l'intellectuel et vice-versa.
 
Après, si on définit l'utilité d'un travail en fonction d'une apocalypse mondiale, on peut aussi dire que si tout le monde meurt on n'a plus besoin d'infirmière.
 
En résumé : essayer de trouver un travail utile pour soi (son bien-être, ou le moins mal possible pour ceux qui n'aiment pas la notion de travail), c'est déjà pas mal.

Etonné que PinkFloyd31 ne comprenne pas qu'on ne retourne jamais à l'âge de pierre où s'exerce son environnement de travail qu'il juge utile.

Le "back"/"middle" permet de démultiplier très largement l'activité des acteurs "front" (que PinkFloyd31 juge utile dans des secteurs très précis).

En même temps il parle de plombier et électricien comme travailleur utile en cas d'apocalypse...

c'est ma définition d'un travail utile  

c'est celui qui est indispensable dans un environnement dégradé ou détruit.

c'est pas pour ça que cet environnement va se produire, mais c'est dans cet environnement qu'on différencie le travail utile d'un inutile.

je suis aussi étonné que vous ne compreniez pas ce concept.

autre exemple, un présentateur télé, ça sert à rien (sauf s'il sait remettre en état le système électrique d'un bâtiment ou s'il a la main verte).

c'est simple pourtant

un chimiste, ça peut servir aussi par exemple.
un mec qui sait réparer tout et n'importe quoi aussi.

Ce que tu ne comprends pas c'est que l"environnement dégradé ou détruit" (je te cite) selon l'état (très) primaire que tu penses n'existe plus même après une troisième guerre mondiale.
Ton paradigme/état de pensée sur la notion d'utilité n'est plus à jour.

biensûr que si.
il y a toujours quelque chose qui reste "après".
c'est dans un environnement de besoin de reconstruction qu'on voit qui est utile ou pas.