Reprise du message précédent :
Ca fait longtemps que je n'ai plus mangé un katsudon aussi bon que ceux du Higuma en 2004/2005.  
 
J'ai mes adresses pour les meilleurs "sushis"/"ramen"/"okonomyiaki"... etc, mais pour les katsudons, j'ai pu rien qui se démarque vraiment dans ma besace

Sinon, le Hakata-Choten, je l'aime bien celui là, oui. Il rivaliserait presque avec le Kotteri Ramen Naritake pour les ramens, il est beaucoup plus diversifié, et surtout en fait des assez originaux (comme les noirs au jus de poulpe ou un truc comme ça, et les ramen à bouillon rouge à cause de je ne sais plus quel ingrédient). Par contre, je n'y ai jamais pris de Katsudon (j'avais même pas fait gaffe qu'ils en faisaient). Du coup, quand il y a trop de queue au Kotteri Ramen, on se rabat toujours sur celui là, maintenant. Je confirme que les gyozas y sont très bons, mais je ne les ai pas trouvés exceptionnels. Enfin ils sont très bons quoi, mais à jeu égal avec pas mal d'autres du coin (du moins d'après mon goût qui n'est peut-être pas assez développé pour voir la différence)

Et tu penses quoi de Hokkaido ?

Kunitoraya 3, t'as essayé ? C'est ce que j'ai mangé de mieux en terme de katsudon.

un petit classement (je ne sais pas ce qu'il vaut) pour les restos de la rue Ste Anne et autour
 
http://www.esprit-voyageurs.fr/le- [...] inte-anne/

J'ai testé "La vie est belle" à Wimereux ce samedi soir. C'est un ancien chef étoilé en cuisine, qui propose une carte simple, de saison et locale pour des prix contenus. Ils sont dans la rue principale de Wimereux, un site web existe aussi: http://www.restaurant-lavieestbelle.fr/
 
La vie est belle
24 rue Carnot
62930 Wimereux
 
La salle est conviviale mais une petite odeur de poiscaille flotte quand on rentre, dommage. Service très sympathique et efficace. Réservation conseillée le weekend. La carte est courte, mais fait envie (cliquable):
 

 
Les entrées sont excellentes:
Une timbale de crabe et haddock sur velouté de butternut, délicieuse et bien parfumée. Portion très bien pour une entrée:
 

 
Crème aux oeufs de hareng. Top aussi mais ma préférence va à la première.
 

 
Pour le plat, Turbot pour moi, St Jacques pour madame. Très simple, grillés au beurre avec quelques légumes en accompagnement.
 

 
Dessert: le baba avec glace au café en grains. Le baba aurait pu avoir une meilleure texture, on aurait dit une génoise. La glace et la crème anglaise étaient très bonnes.
 

 
Bilan des courses: 2 apéros, 2 entrées, 2 plats, 1 dessert pour un peu plus de 60 boules. Très raisonnable, excellent rapport qualité-prix.
 

 
Bonus: la Manche en Décembre
 

 
tag : LaVieEstBelle62930

Pour 60 balles t'as eu du turbot en quantité raisonnable? Pas mal !

Petite demande de conseil, j'ai un bon cadeau Relais Châteaux à utiliser d'ici fin janvier, qu'est-ce que vous me conseilleriez sur Paris entre les adresses suivantes, sachant que j'irai jusqu'à 150 € / personne sans le vin ?
 
- Passage 53 : déjà passé ici mais sur d'autres sites j'aperçois des avis un peu négatifs ces derniers temps
 
- Lucas Carton : je ne connais pas, ils ont des formules avec accord mets/vins qui me semblent alléchantes
 
- Hélène Darroze : hum, vu le foin que ça a fait ici c'est pas ma priorité, m'enfin s'ils me font pas le coup de la résa CB à la main pourquoi pas
 
Ça donne pas accès à beaucoup d'adresses en fait, ce genre de bon, ou alors les tarifs partent vite dans la stratosphère

Allonge un peu et va au pre catelan

T'as un bon mais tu dois payer   C'est quoi cette arnaque  

• Passage 53, ah ouais ? Lien ? mince, je comptais y retourner l'an prochain.  

• Lucas Carton, depuis que Senderens s'en est allé, je n'ai aucune idée de ce que ça vaut. Avant c'était très bien avec des accords mets-vins ad-hoc. Pas retenté le Passage non plus...

• Darroze : à fuir pour cause d'irrespect au client. Jamais je n'y mettrai les pieds.

Il y a quoi comme autre choix dans ton bon-cadeau ? Si c'est possible, tente l'Arpège (Passard) au déjeuner.

Ah tiens, pseudo-CR rapides, en passant...  

• Guy Savoy : excellent. Le menu déjeuner est abordable et très bien tel quel. Les autres menus sont à des tarifs devenus délirants. Ah tiens, il a déménagé depuis et est dans le 6e maintenant...

• Ledoyen, maintenant que c'est Alléno aux commandes, ça se la pète, c'est cher pour ce que c'est ('tain les tarifs des vins   ), pas au niveau d'un 3 étoiles. Ils te font même payer l'eau   . J'aurais dû y retourner quand Le Squer était encore là-bas.

• Je suis revenu dernièrement à l'Astrance. Toujours aussi excellent.  Le service est toujours aussi adorable, la cuisine au sommet. Si mes souvenirs sont bons, pour 150 €, je crois que tu peux avoir un menu déjeuner (entrée/poisson/viande + desserts) avec les vins.

Deux coups de cœur récents (on va dire moins de 9 mois ) :

• Comptoir Tempero (déjà pratiqué deux fois), dans le 13e, métro Nationale : créatif, excellent RQP, E/P/D pour 30 €. Ça manquait cruellement dans le secteur.

• Kokoro, dans le 5e, métro Cardinal-Lemoine : créatif, excellent RQP pour Paris, pour quelques 35 €.

Oui, et des St Jacques aussi (pas en photo). Le plat de turbot est à 19€ . Avec une entrée avant les quantités du plat sont nickel.

Ah ben ouais, tu as raison, la prochaine fois qu'on m'offre un bon avec une valeur faciale je le refuse et j'exige un unlimited gold platinum, bordel, faut pas déconner

Uniquement valable sur la sélection visible sur leur site : https://www.relaischateaux.com/fr/destinations/france . Y'a pas tant de restos sur Paris, au final.

Je connaissais pas ce principe  
Dans la sélection, je connais que Pierre Gagnaire, que j'ai trouvé exceptionnel. Mais pas dans ton budget je pense.

Alors mes choix seraient :  Gagnaire menu midi, Passage 53,  Taillevent. Je ne suis jamais allé au Pré Catelan, mais tu l'avais pas déjà fait ? Des amis à moi ont trouvé ça superbe.

Jamais fait le Pré Catelan, les retours ont l'air biens et le lieu joli, mais les tarifs bien élevés. Pareil pour Taillevent, encore que leur formule déjeuner semble raisonnable comparés à d'autres. Bon, je verrai selon les dispos de mon invitée pour cibler soit un déjeuner chez eux ou chez Gagnaire, soit un dîner au Passage 53, en gardant peut-être Lucas Carton en plan B si jamais il n'ont pas de place.

Le souci c'est que pour les dîners, toutes les tables en janvier doivent être déjà réservées... Bonne chance !

Puisqu'on parle du Pré Catelan, je confirme que c'est bien.  
 
J'y ai dîné la semaine dernière avec ma copine et on n'est pas près d'oublier.  
 
Déjà, le décor est superbe. Le restaurant est niché au cœur du bois de Boulogne, dans un cadre bucolique et boisé. (Bon, il faut juste faire abstraction des J9 garés un peu partout avec des boas accrochés au rétroviseur, mais sans ça Paris ne serait pas Paris. )
 
Dès l'entrée dans les lieux, on est frappé par la beauté de la salle Napoléon III et de son superbe plafond classé signé Caran d'Ache.  
Le vert domine, et juste après la grande salle et ses immenses tables, il y en a une plus petite où le maître d'hôtel nous a installés, près d'un joli sapin de Noël argenté.
 
À peine assis, on découvre le programme de notre dîner : le menu du Pré avec alliance mets et vins.  

 
Le sommelier arrive avec un chariot rempli de seaux de champagne. Il nous demande si on préfère un rosé ou un blanc.
Ma copine opte pour un rosé, on lui sert un Roederer 2008.  
J'opte pour un blanc, on me laisse le choix entre un Pierre Gimonet Blanc de Blancs ou un Dom Pérignon 2006.
Après une petite hésitation (miam le blanc de blancs), je choisis le Dom Pé.
Sans surprise, le champagne est excellent.
Ma copine n'est pas trop champ donc elle me laisse la moitié de sa flûte.
 
Puis les choses sérieuses commencent.
On nous apporte une petite mise en bouche : un potage velouté à la truffe noire qui exhale une délicieuse petite saveur boisée de champignons, très fin, très léger, un régal (pas de photo, désolé).
 
On enchaîne avec le crabe au caviar (sans doute du Baeri ?), présenté dans une boîte de caviar estampillée "Le Pré Catelan" dont il suffit de soulever le couvercle pour découvrir une petite merveille reposant sur un lit de glace.

 
Le sommelier nous sert un Chablis remarquable en accompagnement, et en regardant la longueur du menu, on comprend vite qu'on ne pourra jamais tout boire.  
On se résigne donc à se contenter de quelques gorgées dans chaque verre, sinon on ne tiendra même plus debout au moment de l'addition.
 
Ensuite, on nous sert un joli "risotto aux perles du japon", cuisiné avec du tapioca. Là encore, les saveurs automnales de champignons dominent, le plat est parfaitement équilibré, tant au niveau des saveurs que de la quantité, c'est parfait.

En arrière-plan, on peut voir un palet de beurre salé sur lequel est inscrit "Pré Catelan", un beurre fermier de Vendée de grande qualité auquel j'ai mis une sacrée claque, en bon drogué du beurre que je suis.  
 
Une remarque au passage : ce qui m'a le plus impressionné dans ce restaurant, au-delà de l'excellence de la cuisine, à laquelle on s'attend de toute façon, c'est l'excellence du service. Je n'avais jamais vu ça ailleurs.
Dès la seconde où il manque un petit pain, un palet de beurre, ou n'importe quoi d'autre sur la table, quelqu'un arrive et apporte ce qui manque, en toute discrétion, sans même qu'on remarque sa présence.
 
Un autre point très positif : contrairement à ce que je craignais, le service n'est pas du tout guindé. Le maître d'hôtel, le sommelier et l'ensemble du personnel ne sont jamais coincés, obséquieux ou trop protocolaires. Ils sont toujours avenants, souriants et décontractés, n'hésitant pas à blaguer tout en s'adaptant parfaitement à leurs interlocuteurs. Voyant qu'on était plus jeunes et moins "XVIème" que la table d'à coté, ils se sont montrés beaucoup plus détendus avec nous, et on a vraiment apprécié cette intelligence qui a compté pour beaucoup dans le plaisir qu'on a eu à dîner là-bas.
 
Après le risotto, la langoustine en ravioli et sa crème de foie gras. Un pur délice. Je donnerais mon âme au diable pour savoir faire des sauces aussi parfaites : des saveurs subtiles mais franches, sans toutefois qu'aucune n'écrase l'autre. De l'art, du grand art.

Le sommelier a accompagné ce petit chef d’œuvre avec un vin blanc de folie, un vin grec si je me souviens bien (je commençais à être bien chaud, là ).
Ça aussi, c'était super : les vins étaient aussi excellents qu'originaux et variés. Pas les sempiternels Bordeaux-Bourgogne, comme trop souvent.
 
Après, on a pris une grosse grosse claque avec le plat qui nous faisait pourtant le moins saliver a priori : le cabillaud aux algues, beurre aux zestes de citron vert et son embeurrée de pommes de terre.
Ma copine a horreur du poisson et elle a du mal avec tout ce qui vient de la mer en général. Donc quand j'ai vu cabillaud + algues, je ne l'ai pas trop senti.
Surtout que le cabillaud, c'est bon, mais ce n'est pas un poisson particulièrement prestigieux.
Eh bien Le Pré Catelan a transformé le plomb en or, au point que c'est le plat qu'on a préféré tous les deux.
Une cuisson parfaite de chez parfaite, une texture fondante avec juste ce qu'il faut de fermeté, un goût délicat, pas trop iodé, une sauce à se damner (encore une fois). Et l'embeurrée avait un goût incroyable.  
C'était tellement une tuerie que j'ai demandé au maître d'hôtel comment ils avaient cuit ce cabillaud, soupçonnant une cuisson sous vide basse température.
Et j'avais vu juste. Il m'a répondu que le poisson avait été cuit sous vide en BT mais il n'a pas voulu me donner la température et le temps de cuisson exacts. C'est de bonne guerre, je comprends qu'ils gardent leurs secrets.  
(Oui, le beurre a encore diminué )

 
Pour continuer, on nous a servi une volaille fermière avec un superbe vin corse, un Granit, qui se mariait à la perfection avec cette viande fort goûteuse et sa délicieuse sauce aux saveurs de champignons.

 
À ce stade, nos estomacs commençaient à crier grâce, mais le moment était venu de déguster le plateau de fromages.  
Autant dire la partie du repas que je préfère et que je ne raterais pour rien au monde.  
On fait rouler devant nous un chariot couvert de dizaines de fromages à l'affinage parfait, je n'avais jamais vu un plateau de cette taille, c'était tout bonnement gargantuesque.  
Bien que mon ventre fût au bord de l'explosion, je n'ai pas pu me retenir de prendre un morceau des plus beaux fromages, que j'ai dégustés du plus doux au plus fort. Pour couronner le tout, le sommelier arrive et nous sert un Pomerol succulent, bien qu'un peu costaud pour moi vu mon état (14,5° c'était chaud pour une fin de repas ! )
Les meilleurs d'entre vous auront reconnu de la fourme d'Ambert, du Langres, du camembert, une flaque d’Époisses ( ) et du comté.
Hors champ, dans l'assiette de ma copine, un chèvre doux et de la tomme au vin jaune dont j'ai finalement hérité, ma douce n'en pouvant plus.

 
Histoire de nous achever, on nous apporte enfin des mignardises et la fameuse pomme en sucre soufflé de Chrystelle Brua, pomme que je rêvais de manger depuis des lustres. J'étais trop content qu'elle soit au menu !
À l'intérieur, crème glacée au caramel, cidre et sucre pétillant (ça pétille vraiment, j'ai adoré ! Et ce goût de cidre ! )



 
Après tout ça, il restait tout juste une petite place pour un café, qui lui aussi était particulièrement excellent. Ça devait pas être du Nespresso.

 
Pour ce qui est de l'addition, on en a eu pour 532 euros "seulement", grâce à Vente Privée.  
Le menu du Pré avec l'accord mets et vins, qui est normalement à 380 euros par personne, nous a coûté 266 euros chacun, soit une économie de 228 euros au total.
 
Ceci fait, il ne nous restait plus qu'à rouler jusqu'à la voiture, dont j'ai tendu les clés à ma copine. Moi, j'étais rond comme une queue de pelle, mais heureux !
Pour résumer, c'était de loin le meilleur restaurant qu'on ait jamais fait, non seulement au niveau du cadre et de la cuisine, mais aussi et surtout au niveau du service, d'une efficacité et d'une discrétion hallucinantes.
 
Donc, golden alerte qualité pour le Pré Catelan, où on n'hésitera pas à revenir prochainement.
En attendant, on dîne la semaine prochaine chez Georges Blanc à Vonnas.  
J'ai hâte de voir ce que ça va donner, et on ne risque pas d'être déçus, mais je vois mal comment ça pourrait surpasser le Pré Catelan.  
La cuisine de Frédéric Anton et Chrystelle Brua servie par une équipe aussi professionnelle dans un cadre aussi magnifique, pas facile de faire mieux.
 
 
 
tag : PreCatelan75016

Lolivà - 74-76 boulevard de Ménilmontant 75020 Paris
 
italien
 
tarifs : compter une bonne trentaine d'euros pour entrée/plat/dessert (pas de formule)
 
+ cuisine bonne et originale
+ sélection de vins accompagnée de bons conseils
 
- je ne vois rien de négatif, ah si, ils pourraient avoir plus de choix en digestifs
 
Une adresse italienne récente, dans un espace sobre et clair, on voit les cuistots bosser au fond de la salle. Les plats sont très sympas, déjà dès l'apéro on nous a apporté un petit assortiment de morceaux de burrata, de petits cube de polenta à l'encre de seiche et une sorte de crème citronnée avec des toasts. En entrée j'avais testé leur velouté aux châtaignes et à l'endive rouge, les feuilles de cette dernière apportant une touche d'amertume bien vue. Leur tartare d'espadon et de mangue était sympa aussi, le plus original était encore la langue de boeuf, qu'ils préparaient poêlée avant de l'assembler en pseudo-terrine. Côté plat j'avais pris des pisarei e fasò, une sorte de gnocchis mais sans patate, confectionnés avec de la pâte à pain et cuits avec des haricots : simple et savoureux à la fois. Dans les autres choix : raviolis de Noêl à la viande et au parmesan dans un bouillon léger, tagliatelles à l'encre de seiche avec des fruits de mer, et St Jacques à la mandarine avec de la polenta à l'encre. Tous étaient aussi fort bons.
 
En dessert sans même insister le cuistot m'a préparé un assortiment avec leur cannoli maison et une sorte de gâteau sec d'Émilie-Romagne, qui était bien chargé en amandes. Le semifreddo était bien fait, mais manquait peut-être un peu d'originalité. En tout cas leurs glaces sont faites maison. Leur limoncello était sympa, la vieille grappa très expressive, mais leur top côté digestif était une grappa blanche assez suave et tirant sur la pêche. Dommage qu'ils n'aient pas plus étoffé cette partie, je pense qu'il y a moyen de proposer encore d'autres grappas originales. Côté vin je n'ai pas noté les références précises, le blanc était un Malvasia assez frais avec une jolie pointe d'acidité, en rouge on est resté sur un plus classique Barbera, suffisamment léger pour bien accompagner la suite. La carte fait de ce côté la part belle à la biodynamie.
 
Chouette adresse au final, le rapport qualité/prix est très bon, le service impeccable, bref à garder précieusement sous le coude quand on sort dans le quartier.
 
http://www.restaurantloliva.fr/
 
tag : Loliva75020

Hello,

En transit "forcé" a Paris pour une journée, j'aimerais en profiter pour dejeuner dans un bon restau avec ma moitié. Le hic c'est que ça serait juste après un red-eye de 12hr d'avion, on ne sera pas en jeans/basket mais on ne pourra pas être sur notre 31 non plus. Ça se joue? Je vise un ~2 étoile, si vous en connaissez ou le dresscode peut être relativement casual ça m'intéresse!

Passage 53 - 2 étoiles, pas guindé

Merci! Entre temps j'ai regardé des reviews de Taillevent et ça m'attire pas mal, par contre c'est visiblement pas casual du tout. Un col roulé avec une veste de base ça passerait? Sinon on ira au passage 53, visiblement moins prise de tête.

Non mais tu vas au Resto, tant que t'es pas en guenilles tu t'en tapes.

Visiblement il y a un dresscode pour cet établissement. Une review sur le site de Michelin parle même de redingote!

C'est mentionné sur leur site :
 

http://www.taillevent.com/le-resta [...] n-d-acces/
 
Bon, c'est pas non plus le Rotary, où tu ne peux pas rentrer sans cravate, mais tant que tu ne te pointes pas en blouson et t-shirt ça doit aller.
 
EDIT => et puis v'là la review idiote en question :
 

http://restaurant.michelin.fr/rest [...] nt/2ab9sgk
 
Conos de restaurateurs à l'ancienne, moi j'te collerai tous les plats en libre-service et je virerai les 3/4 du personnel, ça fonctionnerait beaucoup mieux.

 
   
Visiblement, un McDo sera de circonstance.

Merci beaucoup! J'avais raté ce paragraphe sur leur site.

Les sans culotte
31 place des charrons 57000 Metz
 
Un restaurant creperie situé près du centre ville, dans un quartier qui est resté encore populaire.
 
C'est très sympa, on a à notre disposition une carte avec un très grand choix de galette et une ardoise sur laquelle d'autre plats sont inscrits.
A table,tout le monde a pris des galettes sauf un ado qui a choisi une escalope de veau à la crème avec des pommes de terres sautés. Il était loin de moi mais ca avait l'air sympa et en bonne quantité.
Les galettes sont très bonnes, les garnitures bien fournies. La pate est un peu moins bonne que ce que j'ai deja pu goûter notamment en Bretagne mais dans le coin c'est la meilleure pour moi.
Le cidre est un peu cher (12 €) la bouteille mais excellent en tout cas pour ce qui est du brut et du fruité.
 
J'ai pris une crepe au chocolat noir en dessert, elle était très bonne!  
 
Bref, une adresse à laquelle je retournerai sans doute, tant pour l'atmosphère conviviale que pour le gout des bonnes choses.
 
Apéro, galette, crepe, café, cidre il faut compter entre 35 et 40 € par personne...
 
tag : SansCulottes57000

 
La veste obligatoire pour le repas, c'est un peu ridicule.

Complètement d'accord, jamais je ne mettrais les pieds dans un resto qui impose le port de la veste.  
C'est l'enchaînement de locutions anglaises que j'ai trouvé ridicule. Pourquoi dire "casual" quand on peut dire "décontracté", etc. ?

 
Je vais redire la même chose que d'hab. prends ta voiture et fais quelques km, tu découvriras des resto bien plus accueillant et qui se donnent plus que sur Paris intra. Le principe, c'est grosso mod que des types qui peuvent dépenser sans trop compter, il y en a plein à Paris et le besoin de fidéliser est faible. Le resto à 100 km de Paris n'a pas d'autres choix, il doit tout faire pour faire venir des clients, en plus de sa clientèle locale.  
Dans ta liste, j'ai testé les Templiers. De mémoire, un bon souvenir. On a eu un peu peur au début avec les mises en bouche, qu'on peut retrouver dans des resto bien moins notés. Mais le reste nous a bien plus, aussi bien qualitativement que quantitativement. Ça date de peut être 3 ans, j'ai du mal à être plus précis.

Merci Skol pour cette revue ! Mon prochain devait être l'Astrance, mais je passerai d'abord par le pré Catelan. Et ensuite, je sortirai de Paris  

 
Pendant que j'y pense, le Pré Catelan nous a simplement passé un coup de fil 48 heures à l'avance pour s'assurer qu'on viendrait bien, et chez Georges Blanc on nous a juste demandé d'envoyer un mail 3 jours avant pour confirmer notre venue.
Pas d'acompte débité sur la CB.

Pas plus qu'un mec fagoté en survet en train de bouffer au milieu d'un cadre classieux
 

Merci pour la suggestion mais j'ai pas de bagnole, et de toutes façons mon cahier des charges reste "un resto sur Paris".

Tu as une voiture   , tu pars au ski et pour éviter les bouchons, tu fais un arrêt à Chambéry ? Je te conseille l'Atelier.
 
Vous entrez dans un petit resto, proche de la bistrologie. Le chef est trés accessible, il prend une chaise et discute de vos goût, il ira même jusqu'à adapter un plat pour plaire à ma fille.
La formule gastro est à 40€, avec pour nous une entrés de fois gras (avec une pointe d'amertume, la seule petite fausse note du repas), un risotto à tomber (homard & st jacques), un veau à la cuisson extraordinaire et un dessert choco/framboise qui marche toujours. Ma femme a plutôt pris un dessert avec une glace au yoghourt bulgare, une tuerie pour terminer le repas.
Bref, une belle formule un accueil très sympa, des plats à l'assiette sans attendre des heures, etc... Une belle réussite que je conseille. Il y a de memoire des formules moins chères.
 
tag : LAtelier73000

 
 
Je supporte pas les gens qui font pas l'effort de s'habiller un peu pour aller dans de beaux restaurants.
 
Ca fait parti du truc, un peu comme pour aller à l'Opéra.

Ouais enfin les gens qui ont jamais foutu les pieds à Garnier et qui viennent en robe longue cheap et smoking en pétrole parce qu'"il faut s'habiller pour aller à l'opéra" c'est rigolo aussi

C'est pas pareil. Autant pour un opéra la fonction du vêtement ne gêne pas du tout, autant au resto c'est un peu plus utile
Je parle pas d'arriver en guenilles, mais globalement pompes de villes pantalon propre chemise et un blazer si t'as envie tu passes pas pour un rustre.

non mais pantalon chaussure chemise veste c'est très bien hein.
 
je parle de ceux qui veulent aller au resto en Tshirt pantacourt quechua

Je suis en costume toute l'année, donc pas de veste pour moi. Mais habillé quand même, c'est largement possible
Il y a quelques années, j'ai vu un aréopage d'américains en très/trop casual, chez Marc Meneau. Certains étaient même en jogging. Mais ils commandaient de la romanée conti comme des carafes d'eau. Personne ne les a empêché de rentrer.