Reprise du message précédent :
C'est bon j'ai assez donné dans le Queyras

Un petit up sur mon projet "Vis ta vie à la montagne".
 
Je commence à repérer des opportunités, ça va des Ecrins côté Serre-Ponçon ou Vallouise aux hauteurs de Bourg-Saint-Maurice. Ce dernier choix m'irait très bien je crois : bon ratio localisation / commerces / services / distance pour rentrer au bercail quand il faut.

BSM mieux desservi à tous points de vue... mais aussi beaucoup plus fréquenté/encombré (mais j'imagine que tu éviterais soigneusement les week-ends de chassés/croisés et autres chutes de neiges exceptionnelles ).

Oh, ça me fait pas trop peur. Serre-Ponçon niveau encombrement en été, c'est pas mal aussi  
 
Je pourrais en effet m'adapter aux conditions du moment, je ne serais dépendant de rien sauf urgence.
 
En plus, ma copine pourrait arriver à BSM en train. Un peu long depuis Lyon mais quand même, c'est un gros plus.
 
Dans tous les cas, je ne vise jamais les centre-villes (ni n'ai besoin de m'y rendre souvent) mais les hameaux.
 
Oh la la  

J'ai eu la même réaction que Thatiflo en lisant la 1ère phrase
Ton projet semble cependant bien réfléchi et cohérent. Par contre, attention : passe d'abord un automne et hiver sur place avant de prendre ta décision finale... Ce qui est cool l'été peut-être plus difficile l'hiver.
 
Tu as regardé du côté des vallées du chablais : Bellevaux, Bernex, Habère-Poche ou encore plus perdu : Novel , Samoens ?
C'est un bon compromis avec le train direct pour Lyon au départ d'Evian/Thonon... et si tu n'as pas besoin d'une connexion haut débit.
Tu pourra même te baigner l'été...

Je ne vais pas éditer ma phrase pourrie maintenant que vous avez quoté  
 
En effet, j'essaie de ne pas trop m'enthousiasmer et de prendre les choses comme elles viendront, sans avoir trop d'attentes précises, si ce n'est de profiter des grands espaces le plus souvent possible.
 
Je vise des locations pas trop chères, qui ne représentent pas un gros engagement même s'il faut signer un bail de 1 an. Après, on verra !
 
A propos du Chablais, j'avais regardé rapidement (une opportunité de job à plein temps là-bas s'est présentée la semaine dernière d'ailleurs) mais sans insister, ne sachant pas trop à quoi m'attendre. De ce côté-là, je connais juste les Gets. Je vais me replonger dans la zone  
 
Pour le moment, on doit me répondre pour un logement en Tarentaise.

on parlait de gore il y a quelques semaines
un retour sur celle-ci ?
http://shop.privatesportshop.fr/te [...] anero.html

merde c'est pour femme

J'avais relancé le sujet il me semble car je cherchais une veste, mon choix s'est porté sur une North Face Apex flex GTX 3 couches que j'ai eu avec 50 € de remise. Je ne regrette vraiment pas pour le moment, je m'en sert systématiquement pour la rando, mais aussi pour du trail et VTT, elle fait très bien le taf avec ces conditions pourries depuis plus d'un mois, vent fort, pluie, grêle... il n'y a que pour les températures sous 0° que je n'ai pas eu l'occase de tester encore, mais très confiant de par la modulation des couches que je pourrais effectuer. J'ai pris légèrement plus grand en taille pour glisser une mini doudoune par exemple, et ma polaire rentre nickel avec mouvement du corps ok. Donc en wind-stop elle est parfaite, sous les grosses averses pour le moment ça passe, pas d'infiltration, la capuche est juste génial, il n'y a qu'au niveau respirabilité que je dois gérer. Je met juste une seconde peau + un technique léger mais chaud de chez Décath, donc sudation lors des efforts mais même trempé dedans je ne ressens jamais le froid, reste qu'au printemps elle pourra rester au placard car ça fera vite étuve là-dessous. Je cherche déjà une softshell pour parer à cela.

http://zupimages.net/viewer.php?id=18/03/m1i5.jpg

Himalaya : une opération de secours hors norme, mais sans espoir pour l’alpiniste polonais
 
La Française Elisabeth Revol a pu être sauvée, mais pas l’alpiniste polonais avec lequel elle tentait l’ascension hivernale du Nanga Parbat.
http://www.lemonde.fr/sport/articl [...] _3242.html
 
p'tain les commentaires sur sa page Facebook, c'est chaud  

Un reportage sur le Mt-Blanc et les agences (on y voit même le maire de st-gervais qui a fait sa liste de matos obligatoire) : https://youtu.be/RQsWl3iqFpI

Eh ouais, on vit une belle époque    
Mieux vaut retenir l'ascension des deux sauveteurs, y'a du skill !

Je vais pas m'étendre mais on ne peut absolument pas passer sous silence la réalisation d'Élisabeth et de son ami polonais
Une hivernale en 8000, je ne pense pas qu'1/100 de la population puisse se rendre compte de l'exploit accompli
Sa mort est tragique, le fait d'y aller c'est accepter ne pas en revenir ...

Vivement le biopic/docu film pour agrandir ma collec' de drames en montagne    
J'attends toujours Climbing the stairs sur la vie d'Edlinger

Une de mes dernières re-lectures d'ailleurs:
https://www.amazon.fr/Nanga-Parbat- [...] 2081355159

En mode alpin en plus.
Ce sont les 2ème à avoir réalisé l'exploit.
 
Une question, pour officialiser l'exploit, est-ce qu'ils ne doivent pas redescendre vivant et par eux même ?
 
Si il y a des joueurs parmi vous, je conseille le jeuxde société K2 qui retranscris bien la pression et l'ambiance de haute montagne
 
Sinon les commentaires des polonais sur la page FB font peur.... la moitié a envie de déclarer la guerre à la France

Si. Tomek n'a pas réussi (enfin, sa mort est pas définitivement confirmée je crois...). Quant à ER c'est plus litigieux, elle est redescendue seule à 6000m ?
 
 
 
 

 
Tomek est mort, se refugier dans une crevasse a 7200m pour se proteger du froid, ca n'est valable que si tu laisses passer une tempete et que tu peux repartir. On est plusieurs jours apres l'incident, je pense qu'il ne faut pas se faire d'illusion.  
 
Apres parler d'exploit, alors que tu as perdu ton co-equipier, pas sur que le choix des mots soit tres bon. Officiellement ou pas, je pense qu'elle s'en fout un peu. Elle a perdu un proche et ami, c'est ce qui restera de l'experience pas vraiment le sommet. Andy Cave, dans Learning to Breathe, en parle tres bien. Expe en  Himalaya ou il perd un ami.
 
Merci pour la recommandation du jeu, ca semble excellent mais introuvable. Je suis frustration  

 
 
sur Amazon
https://www.amazon.fr/K2-Broad-Peak [...] ref=sr_1_1
 
mais les commentaires en anglais parlent d'"extension", alors je sais pas si c'est ça ? ce référencement Amazon moisi

 
Oui c'est l'extension, il faut le jeu de base. Je le trouve que sur Amazon CA pour ~100€.

Faut faire une version HFR, Ascension de la butte Montmartre  

Oui autour des 6000m.

oui, le mot exploit est surement litigieux, certains s'en foutent de perdre un compagnon de cordée... Kilian a cette réputation  : de repartir finir sa traversée des alpes après avoir perdu son pote...
Mais je pense qu'il faut avoir du courage aussi pour prendre la décision de laisser ton collègue pour sauver ta peau. Surtout qu'il était malade et blessé, il n'y avait pas grand chose à faire
pour faire un record, c'est juste vomissable...

Je ne savais pas que K2 était épuisé... mon exemplaire prend tout de suite de la valeur  
Tu habites dans quel coin ?

oui, le Broad Peak est l'extension du jeu de base

Deux alpinistes arrivent à un sommet, le premier s’assied, déballe le casse-croûte et laisse échapper une des deux pommes qui dévale la pente. Il se tourne vers l’autre et lui dit “merde, ta pomme !”
 
http://www.ledauphine.com/sport/20 [...] ere-course

 
Je suis au Royaume-Uni, a cote de Bristol
 

Voilà, c'est à lui que je pensais.

Un peu loin pour te proposer une partie....

On se fait une ki'k2 ?

 
Je paie les Ales, et puis y'a des montagnes pas loin, viendez    

AFP, publié le mercredi 31 janvier 2018 à 22h48
 
Une "sacrée aventure", et puis le drame. Depuis sa chambre d'hôpital en France, l'alpiniste Elisabeth Revol revient pour à l'AFP sur sa conquête du 9e plus haut sommet du monde dans l'Himalaya, dont son compagnon de cordée polonais Tomasz Mackiewicz n'est pas rentré.
 
A Sallanches (Haute-Savoie, alpes françaises), où elle est soignée pour des gelures graves aux deux mains et au pied gauche, ce petit bout de femme - 1m56 pour 43 kg en retour d'expédition - relate sobrement, techniquement, son ascension du Nanga Parbat (8.126 m) au Pakistan - une première pour une femme en hiver, sans oxygène ni sherpa.
 
"C'était ma 4e tentative hivernale, la 7e pour Tomek et la 3e ensemble", détaille la rescapée. En "himalayistes" expérimentés, ils affrontaient de nouveau cette montagne dite "tueuse" sans appréhension, malgré les risques "que l'on accepte".
 
Partie de France le 15 décembre, Elisabeth Revol s'était engagée le 20 janvier, encordée avec ce "passionné" de Polonais "en communion avec la montagne", dont elle parle encore au présent.
 
Quelques jours plus tard, à plus de 7.000 m d'altitude, ils touchent au but. "On était bien à ce moment-là", confie-t-elle, les yeux pétillants. Ils tâtonnent pourtant dans "le cheminement compliqué" de la pyramide sommitale. A 17H15, un peu en retard, ils hésitent mais l'envie l'emporte: 45 minutes plus tard, c'est gagné.
 
Mais le plaisir est de courte durée.
 
"Là Tomek me dit +je ne vois plus rien+. Il n'avait pas utilisé de masque car il y avait un petit voile pendant la journée et à la tombée de la nuit, il a eu une ophtalmie (inflammation de l'œil, NDLR). On n'a pas pris une seconde au sommet. C'était la fuite vers le bas".
 
- Message de détresse -
 
Tomek s'accroche à une de ses épaules et tous deux entament une "descente très longue" en terrain plus que difficile, de nuit.
 
"A un moment, il n'arrivait plus à respirer, il a enlevé la protection qu'il avait devant la bouche et a commencé à geler. Son nez devenait blanc et puis après les mains, les pieds", détaille celle qui envoie alors un message de détresse.
 
Au bas d'une cuvette, ils se mettent à l'abri du vent, mordant, dans une crevasse. Tomek n'a plus la force de remonter au camp. Au lever du jour, la situation est dramatique: "il avait du sang qui coulait en permanence de sa bouche". Des signes d'œdèmes, stade ultime du mal aigu des montagnes, fatal si le blessé n'est pas soigné dans les plus bref délais.
 
"J'ai alerté un peu tout le monde, parce que Tomek ne pouvait pas redescendre tout seul", poursuit "Eli".
 
Des messages sont échangés pour organiser les secours. Dont certains se sont perdus dans l'immensité himalayenne, suscitant des incompréhensions. "On m'a dit: si tu descends à 6.000 m, on peut te récupérer et on peut récupérer Tomek à 7.200 m (en hélicoptère, NDLR). Ça s'est fait comme ça. Ce n'est pas une décision que j'ai choisie, mais qui m'a été imposée".
 
A Tomek qu'elle quitte alors, elle dit simplement: "écoute, les hélicos arrivent en fin d'après-midi, moi je suis obligée de descendre, ils vont venir te récupérer".
 
Elle envoie le point GPS de sa position, protège son ami tant bien que mal et, persuadée d'une issue heureuse, part "sans rien prendre, ni tente, ni duvet, rien". "Parce que les hélicos arrivaient en fin d'après-midi", ressasse-t-elle. Mais ils ne sont pas arrivés.
 
- Hallucination -
 
C'est donc une seconde nuit dehors, "sans équipement" comme Tomek dans sa crevasse. "Je savais que j'allais m'en sortir, j'étais dans mon trou, je grelotais de froid mais je n'étais pas dans une position désespérée. J'avais plus peur pour Tomek, beaucoup plus affaibli".
 
L'altitude lui provoque alors une hallucination - elle y avait toujours échappé jusqu'alors. Elle imagine qu'on vient lui porter "du thé chaud" et que pour "remercier, il faut donner une chaussure". Elle passe le pied à l'air pendant 5 heures. C'est la gelure.
 
Quand le jour revient, elle compte toujours sur les secours. Posée à 6.800 m, Elisabeth décide de ne pas bouger, pour "se préserver, emmagasiner de la chaleur". Elle entend une rotation d'hélicoptère en bas du glacier "mais il était déjà trop tard, le vent se levait".  
 
Quand elle apprend que l'hélicoptère ne pourra venir que le lendemain, et qu'elle va devoir passer une troisième nuit dehors, elle choisit de descendre. "Ça commençait à être une question de survie", dit la jeune femme, qui n'avait pas reçu le texto lui annonçant que deux alpinistes polonais partaient à sa rencontre.
 
Elle décrit une descente prudente, "calme", malgré des "gants humides", le "froid vif" qui gèle ses doigts et la "douleur" dès qu'elle tient une des cordes fixes de l'itinéraire. Vers 3H30 du matin, elle atteint le camp 2 vers 6.300m. "J'ai vu deux frontales dans la nuit. Je me suis mise à hurler et je me suis dit: c'est bon", ajoute l'alpiniste dont la voix se brise dans un sanglot.
 
"Ça a été une grosse émotion", admet cette grande pudique. D'autant que ses deux sauveteurs sont Adam Bielecki, qu'elle connaît - ils avaient un projet d'ascension dans l'Everest - et Denis Urubko, sa légende sur les 8.000 mètres.
 
La suite est connue: son évacuation vers Islamabad dimanche, son retour en France mardi soir. L'avenir, Elisabeth Revol l'aborde au jour le jour. "Récupérer au maximum", éviter peut-être l'amputation, et surtout "aller voir les enfants" de Tomek.
Repartir en montagne ? Sous le regard complice de son mari Jean-Christophe, l'enseignante drômoise reconnaît qu'elle a "besoin de ça". "C'est tellement beau".

La conclusion en dit long sur le pouvoir d'attraction de la montagne    
 
C'est l'occasion pour moi d'apprendre qu'on peut ressentir des symptômes dès 2500m, j'imaginais pas.

 
Tu fais Paris-Mexico ("seulement" 2300m) en avion, t'es en pleine ville tu te rends compte de rien, tu cours pour attraper le métro, et là l'altitude tu la sens  

Pour les lunettes, c'est vraiment dommage mais un ciel voilé c'est traître. C'est vite fait d'oublier que tu les portes plus depuis quelques heures... Et boum.
 
D'ailleurs faut que je trouve des bonnes de glacier, je pensais tester les Demetz que quelqu'un conseillait ici, trouvables au Vieux.
 
Sinon mon petit projet avance doucement, je pense concrétiser mon installation à BSM d'ici fin février.

Si tu veux pas douter tu fais Paris >> La Paz en Bolivie et tu montes à ta chambre d’hôtel par les escaliers

Je me suis acheté une Haglöfs NEGAL pendant le black friday sur Private Sport Shop et j'en suis super content. Utilisation pour le moment en ski et en cascades de glace. Taille S pour 1m73/65kg
Le model, avec une belle promo en ce moment :
https://www.snowleader.com/nengal-j [...] 00595.html

J'ai fait un joli accro dans mon sur-pantalon gore tex, je suis preneur de conseil pour réparer avec des bandelettes autocollantes ou autre

Ou le telepherique de chamonix a l'aiguille du midi a presque 4000, tu sors de la cabine, tu montes 15 marchés et tu souffles

En parapente on utilise des patchs en Ripstop quand une voile est trouée. C'est impossible à décoller ensuite !
 
http://www.horizon-reparation.com/ [...] un-ripstop
 
http://www.soaringshop.fr/accessoi [...] 04776.html
 
https://www.airetaventure.com/produ [...] ntenu=1081

ou le kili... à 5000m tu essaie de sauter à pied joints... et tu n'y arrive pas...
Voir tu te réveillé essoufflé par tes rêves..
 
Sans parler d'hallucination, mais à 5800m, si le guide n'avait pas fait remonter 2 porteurs pour m'aider à descendre, je restais là haut...  Trop épuisé pour boire l'eau de la gourde et jamais je ne me suis senti aussi bien, calme, reposé, serein...
malgré ma femme qui m'attendait au camp de base parce qu'elle avait fait demi-tour lors de l’ascension finale et mon fils qui était resté en France...
Bref, ça fait peur !  
J'ai envie de refaire de la haute montagne, mais j'ai trop peur que cela me reprenne... J'ai 3 gosses maintenant, faut arrêter les conneries...

Les bandes thermo-collantes, c'est pour les tentes. Tu peux trouver facilement des kits de reparation gore-tex avec une colle speciale et des patchs de gore-tex (ex. Amazon). Sinon tu renvoies a Hagloff, quasi toutes Les marques proposent de reparer gratos.
 

Tu recouds (couture classique) et tu mets de la colle gore-tex par dessus (se trouve au Vieux et dans n'importe quel Shop montagne). Testé et approuvé sur multiples coups de crampons, piolets, rocher etc.

La garantie de la marque, a voir effectvement mais ça peut prendre un certain temps (genre Patagonia peut aller jusqu'à 2 mois, mais c'est peut être plus court chez eux).

Je vais tester ça, jai commandé un patch.

C'est un pantalon Mountain Hardware, je l'avais depuis une semaine et bim : coup de crampon  ... juste au dessus du renfort anti coups de crampons  

Je note pour la réparation fabriquant, merci !

Avec 3 gosses je pense que tu as connu bien pire fatigue qu’une randonnée à 5800m