Reprise du message précédent :
 
 
 
Raconte vite fais l'histoire ^^

 
 
Toi aussi tu trouves qu'il se fait trop prier ?
 
 
 
 

Tout le monde s'en fout de mon histoire

 
Tu as posté ?    
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
Si j'ai lu... et je dis que si j'avais pu lire ses messages moi, j'me serai pas fait chier pendant 2 ans de plus avec ce type    

 
Moi-je-perso, ça me dérange vraiment pas qu'on fouille puisque j'ai rien à cacher.
 
D'ailleurs mon seul mail est sur outlook à la maison, PC sans mot de passe, et je ne cache pas mes mdp.
 
Par contre faut quand même régler le problème de confiance dans ce cas, car si même en ne faisant rien Mme a des doutes, c'est louche. C'est que soit elle meme est tarée et fait des choses dans le dos, soit qu'elle trouve que ton comportement change...
 
Ma dernière, malgré toutes les saloperies qu'elle faisait, était hyper jalouse.    
Elle n'aurait pas accepté 5% de ce qu'elle me faisait.
 
Je lui avait expliqué qu'il y avait 2 types de jaloux selon moi:
- ceux qui connaissent bien leur partenaire et ses vices
- ceux qui sont eux-même vicieux et qui croient que tout le monde est comme eux

Non, c'est madame qui a largué son mec parce qu'IL a fouillé dans son tel

 
Oui j'ai bien compris.....
 
Je disais donc que moi-je-perso, je ne larguerais pas une fille parcequ'elle fouille mes affaires, mais j'essayerais surtout de savoir pourquoi elle fouille, pourquoi elle n'a pas confiance.  
 
Après si c'est maladif, bof, j'ai rien à cacher in fine, donc si ça lui fait du bien.....

 
   alors ca... ca craint grave  
mais la nana elle savait qu'il etait avec toi  

 
   
y en a qui doute de rien  

Les gamins qui sont bien partis dans la vie
 
Effectivement ça pique.

 
Il existe le permis de conduire, il devrait exister le permis de procréer.....
 
Et je suis sérieux en plus.....

C'est pas parce que ça correspond pas à VOS critères que c'est forcément "mal". Dans la nature, les mâles meurent / se vont bouffer / se barrent tirer ailleurs. C'est comme ça

 
Ouais, mais en tant qu'humain, et pas simple animal, on a un trait de caractère (du moins, en principe) qui s'appelle "sens des responsabilités". Donc ta tentative de disculpation   ...

la responsabilité dépends des normes de la société aussi.

Allez, après avoir lu quelques histoires de ruptures j'aimerais vous raconter une rupture que j'ai infligée à une nana, j'espère que ça va vous plaire.
 
Attention, petit pavé.
 
L'histoire a commencé lors d'un mois de juillet, j'avais 19 ans et elle 18. Au début de notre relation, c'était directement assez chaud, mais elle m'avoue qu'elle n'avait jamais eu de relation sexuelle avec un garçon donc je freine un peu histoire de ne pas lui faire peur et de m'assurer quand même un vide grenier régulier.  
 

 
Puis arrive la vie de couple que j'estime idéale, on se voit régulièrement, on passe du bon temps ensemble et elle me plaît de plus en plus jusqu'à ce que je tombe amoureux d'elle et réciproquement. Je rencontre ses parents, je passe pas mal de temps chez eux (restaurants, week-ends, rencontre avec la belle-famille), ils me trouvent tout à fait à leur goût et ça ne me déplaît pas. Les vacances d'été se terminent et c'est la rentrée. Elle commence à l'université en sciences biologiques, moi aussi mais dans une autre ville.
 
Ses parents lui payent un kot (un studio en plus petit) et j'y passe beaucoup de temps. Comme c'est petit, les relations physiques sont plus que solicitées. Tellement solicitées que je découvre une nouvelle facette de sa personnalitée : c'est une pure nymphomane comme on n'en a jamais fait. Je vivais un rêve. Seulement, j'avais oublié que les bonnes choses ont une limite. Et j'en suis même arrivé à en avoir marre de faire des galipettes (c'est possible, oui, oui) et de ne plus avoir envie d'elle.  
 
Ce qui devait arriver arriva, je décide de la quitter et je le lui fais comprendre pendant un après-midi. Elle le prend extrêmement mal et me fait une scène monstrueuse. Je pars quand même. Quelques jours plus tard, je me rends compte que je dois lui rendre les affaires qu'elle avait laissées chez moi. J'arrange le coup, je calcule les horaires des trains pour tomber pile-poil à un de ses inter-cours. Mes calculs sont justes et j'arrive à l'avoir à la sortie d'un de ses cours. Elle me voit débarquer, me demande de rentrer chez moi et de balancer ses affaires. Restant un gentleman, je décide d'aller jusqu'à son kot pour y déposer ses affaires. Je précise que c'est une résidence estudiantine pour filles et que les garçons n'y ont pas accès selon un certain horaire. Je donne le sac à la réceptionniste et je lui dis que c'est pour rendre au kot n° machin.
 
Je rentre chez moi et le soir, je reçois un sms de son père me menaçant de porter plainte contre moi si jamais j'approchais encore une fois sa fille. Elle était allée raconter que je la harcelais et que j'étais venue la trouver pour lui faire peur (genre, tout casser à son kot, la frapper, me suicider...).    
 
Et depuis, je ne l'ai plus jamais revue.
 

La plainte, c'est juste, full of win.

 
Dans le même style, j'avais 16 ans, je sortais avec une fille depuis quelques mois mais j'avais décidé de la quitter. Je lui explique, elle, très accrochée, me fait du chantage au suicide, je passe outre et l'envoie balader.
 
Et là, surprise, sa mère appelle mes parents (ils ne se connaissaient pas n'habitant pas la même ville) et leur explique que c'est dégueulasse de ma part de la quitter pile poil au moment où ses parents (donc elle et son mari) sont en instance de divorce et demande donc à mes parents de me raisonner pour que je reste encore avec elle quelques mois... Evidemment, mes parents l'envoie chier, elle a bien fait une TS (elle devait en être à sa 20ème), évidemment, elle s'est ratée. C'était il y a plus de 15 ans, j'ai retrouvé sa trace grâce à copains d'avant, sur la photo, elle a l'air d'aller très bien

Ce que j'ai posté dans le topic ratal à plus sa place ici...
 
 

Pour le compte en banque et les meubles j'aurais aussi laisser couler.
 
Par contre, pour la caisse, ca aurait été cash : "Tu prends la caisse ? Tu prends le crédit ! "  

 
J'ai effectivement payé les crédits jusqu'au bout mais j'ai récupéré la voiture au bout de six mois une fois que la terre eut finit de s'écrouler autour de moi. Je ne pouvais bien sûr pas avoir de contact avec elle car j'avais encore le moral au fond des chausettes mais elle était resté en contact avec une personne de ma famille qui a servit d'intermédiaire

Ça compte comme rupture ou c'est HS : http://www.lefigaro.fr/internation [...] ruire-.php

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

ça pique

 
TDS  

elle a peut être rencontré le grand amour pendant sa captivité.
un beau révolutionnaire  

 
Il a été dit qu'elle avait eu un gosse avec un fajita en effet

 
il lui ressemble son gosse  

 
Ouais vendredi toussa, un des manouches qui la gardait quoi

Je l ai poutré, pas samedi la mais l autre d avant, depuis elle m appelle tous les jours...et il est hors de question que je décroche  

Première rupture et bonne grosse claque dans la gueule.  
 
Je devais avoir environ 14-15 ans. Ca faisait quelques mois qu'on était ensemble, on passait 99% de notre temps libre ensemble. Avec le recul, notre relation n'était vraiment pas très intéressante, une relation de gamin quoi. Mais sur le moment j'étais à fond dedans...  
 
Un jour elle m'attend en sortant des cours, elle est hyper froide et me dit de la suivre. Je n'avais rien perçu d'anormal auparavant, je ne comprenais pas cette distance subite.  
 
Là elle m'emmène chez mon meilleur pote que je lui avais présenté lors d'une bouffe au McDo organisée pour mon anni.    Déjà j'étais presque surpris qu'elle sache où c'était, ils se connaissaient à peine.  
 
On arrive et débarque dans le local à musique du pote qui tire une drôle de tête. Là je commence à m'impatienter et demande ce qu'ils me veulent. Ils me disent qu'il faut attendre un autre pote... C'est étrange mais soit. Éternel optimiste, je me dit que comme elle aimait bien la musique, ils m'avaient peut être préparé une surprise et que leur attitude avait juste pour but de brouiller les pistes. Le temps passe, je ne sais plus exactement, mais peut être 30min, voir plus sans un mot. Là j'en peu plus et demande des explications.  
 
Elle fini par me dire que lorsqu'elle partait de chez moi et qu'elle refusait que je la raccompagne c'était parce qu'elle venait là. Sans autre explication. Le pote à l'air de baliser à mort et ne dit pas un mot. Je la prends à part et lui dis: "Alors c'est fini ?" et là elle me sort le classique "Oui. Ca ne pouvait pas marcher entre nous. Mais on peut rester amis".  
 
En une phrase je venais de paumer mon meilleur (et un de mes seuls à l'époque) ami et ma première copine.  Je me suis cassé sans rien dire et j'ai croisé l'autre gars en partant. J'ai appris par la suite de mon entourage qu'en réalité elle fricotait avec les deux.  
 
Maintenant, leur médiocrité me fait presque marrer, mais sur le coup j'ai morflé    
 
 
 
 

 
 
Stoïque
 
Je crois que dans ta situation j'aurais pété un durite et ça aurait sans doute fini en baston

Je crois que je ne réalisais même pas sur le coup.  
Il m'a fallu quelques heures. Dommage, j'ai longtemps regretté de ne pas avoir tout retourné, juste pour la forme.

 
 
Ouais, ça sert strictement à rien mais ça défoule.

C'est encore meilleur quand c'est pas fait sur le coup, comme le dit le bon vieux proverbe

Aout 2003.
J'aim emmenage depuis 3 trois dans un studio sympa avec ma copine, dont je susi fou amoureux. Elle, 21 ans tout comme moi, chinoise vietnamienne. Avant d'emmenager, on avait auparavant passe pres d'un an a vivre ensemble dans une minnuscule chambre de bonne. La promiscuite n'avait ete que benefique pour notre couple, bref malgre notre jeuen age je me voyais bien aller loin avec elle, et cet emmenagement dans ce studio etait un moyen de concretiser encore plus notre relation.
 
les trois premiers mois se passent bien. Enfin je crois. au bout de deux mois, elle degote un taf de serveuse dans un resto a 20 minutes a pied de notre appart.  
 
Je me souviens de cette veille de rupture comem si c'etait hier.
L'apres midi, on passe un moment plutot calin. Je suis sur le canape, elle se met sur moi (on est habilles hein ), on s'embrasse, bref c'est cool. 17h, elle part au taf (elle bosse de nuit).
Elle ne rentre pas.
Tard, je l'appelle et, dans un melange d'inquietue et de colere, lui demande ou elle. je ne sais pas ce qu'il se passe, elle semble distante, perdue. On se prend un peu la tete, mais rien de vraiment mechant. Mais apparemment suffisamment pour declencher une situation etrange, qui fait qu'on sent qu'il y a un malaise latent, mais on ne veut y croire.
Le lendemain, je me reveille, encore plus inquiet.  
Elle viendra l'apres midi sans prevenir, valise a la main.
Son depart etait un peu houleux, moi coince entre la colere "ouais c'est ca barre toi" et l'inquietude "non stp ne pars pas".
Elle prend le strict minimum, et s'en va.  
Elle m'a dit partir dans sa famille, que je ne m inquiete pas, tout ca.
Je ne l'ai ensuite plus revue. Elle m'enverra un ou deux mails me disant de pas m inquieter, de sortir, voir des gens, etc.
 
Moi, forcement, je deprime, non pas a cause de la rupture seule, mais aussi a cause du sentiment d'incomprehension totale qui m'entoure.
 
Ajoutez a cela 700 euros de loyer a payer seul, les impots a payer, non contente de me quitter, elle me met dans une merde pas possible.
 
Un mois plus tard, elle semble de retour sur Paris.
J'arrive a pouvoir obtenir une mini entrevue avec elle quand elle sort de son taf, apres avoir passe un bon apres-midi non loin de son taf pour verifier qu'elle y bossait encore. J'esperais naivement qu'il y avait quelque chose a sauver.
Elle est la, distante, et moi j'ai envie de chialer. Je me retiens, elle me repete qu'il faut que je voies du monde, etc. 10 minutes a peine, elle me fait comprendre qu'elle a autre chose a faire, enfin, sans le dire.
J'insiste pas, je vois que c'est mort.
Je sors, m'acheter des clopes, en prevision d'une soiree de defonce. Elle part dans la direction opposee.
Je sors du bureau de tabac, et la vois main dans la main avec ce que j'ai devine etre un collegue de travail, qui se trouvait etre un des derniers contacts qui restaient sur son portable laisse chez moi.
 
A ce moment je me suis effondre, et j'ai fait les 20 minutes de trajet qui me seraient de mon appart (gare du nord - pte de la chapelle) en chialant comme un gosse.
 
J'aurais mis du temps a m'en remettre totalement (depression, boire pour oublier tout ca), et mes copines d'apres l'ont sans doute senti.
 
Aujourd'hui bientot 6 ans apres, il 'marrive encore a y repenser (pas a la fille, mais a la facon dont cette histoire a pu me detruire par le passe.
Je suis marie maintenant, en couple depuis 4 ans.
Elle, aux dernieres nouvelles, s'est mariee avec ledit collegue, pour divorcer 2 ans plus tard. Bien fait pour sa gueule. Ca parait degueulasse, mais je vois en cela une petite victoire personelle.