Amis du gadin, bonsoir et merci pour vos récits
 
(1) Quand j'étais jeune, un printemps, une fille du quartier me collait un peu.
 
On faisait des choses très romantiques ensemble, de longues promenades en campagne dans les herbes hautes pour voir le coucher du soleil. On mangeait des glaces au bord du lac après une promenade en barque. On allait au cinoche et même à des soirées dansantes ensemble... Mais voilà, à cette époque, je ne connaissais même pas ce mot "romantique". Et souvent, j'étais surtout pressé de rentrer chez moi jouer peinard à Need for Speed 1 en écoutant mes K7 de Dance.
 
Elle avait beau être mignonne, ça ne m'inspirait rien, l'idée de la toucher ne m'a jamais traversé l'esprit. J'étais trop gamin. C'est seulement il y a peu que j'ai percuté en repensant à tous ces moments merveilleux. Mince mais bien sûr, quel idiot ! Allez, j'arrête de parler de ça
 
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(2) Plus tard, au lycée, une fille charmante s'intéressait à moi. Chez elle, je n'avais perçu aucun des signes pourtant flagrants, la seule chose qui me laissait penser ça est que les gens n'arrêtaient pas de nous taquiner et que ça ne la dérangeait pas.
 
Un soir, alors que mes traitres de potes m'avaient laissé tout seul avec elle, elle m'a demandé si je voulais sortir avec elle. J'ai répondu "oui" parce que je ne sais pas dire "non". Elle m'a demandé de la raccompagner chez elle. Arrivés devant sa maison, on s'est arrêtés face à face et elle m'a dit "tu ne me dis pas au revoir ?" Là, attachez-vous bien, je lui ai dit "au revoir" et je lui ai fait... la bise !
 
Le lendemain, tous mes potes étaient là "alors, tu l'as emballée, tu lui as roulé un gros patin ?" et moi
 
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(3) Plus récemment, une fille me plaisait bien. J'y allais doucement avec elle car elle sortait d'une rupture et n'était pas très bien dans sa peau. Afin de lui changer les idées, plusieurs weekends de suite, je l'ai emmenée faire plein de choses hyper romantiques : une virée en montagne en moto, du cheval sur la plage, etc. Bref, j'ai sorti le grand jeu.
 
Un soir, sentant que c'était torride, elle m'a dit "tu me plais énormément, ça n'a rien à voir avec toi mais je ne peux pas me mettre avec quelqu'un tout-de-suite, je ne suis pas prête, excuse-moi".
 
Une semaine plus tard, je l'ai croisée au cinéma avec un mec au bras  
 
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(4) Il y a un mois, je vais chercher une amie chez elle pour l'amener dîner dans un restau super classe. Je suis propre, bien sapé, la voiture est impeccable comme jamais : j'ai mis les petits plats dans les grands.
 
Le dîner se passe comme dans un rêve, elle a l'air de passer une excellente soirée, ça semble bien engagé pour moi.
 
Et soudain elle me dit "ça me fait plaisir de dîner avec toi ce soir, au moins je sais qu'il n'y a pas de sous-entendus, que c'est en tout bien tout honneur" et moi "glooooooooooups".
 
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(5) j'étais très proche d'une fille qui était en couple depuis 5 ans. Un jour, elle a appris qu'elle était cocue alors elle a tout plaqué pour venir s'installer non loin de chez moi. Elle n'avait plus d'amis car elle a coupé les ponts avec tous les amis communs qu'elle partageait avec son ex.
 
On a passé du temps ensemble. Je l'aidais à remonter la pente tout en sentant que mon tour était venu. Forcément, elle ne voyait que moi.
 
Et là, elle a réussi un double combo : 1° elle est sortie avec un associé à moi à qui j'en ai voulu donc ça a foutu la merde entre nous 2° il était plus vieux qu'elle de 20 ans et objectivement ultra moche. Personne n'a compris ce que cette minette faisait avec un boulet pareil et ce jour là, en les voyant je me suis dit : "laisse tomber avec cette fille, s'il restait qu'une chèvre et toi, elle prendrait la chèvre"
 

Une semaine plus tard, je l'ai croisée au cinéma avec un mec au bras

Ses ratals

Le 1 et 2, c'est typique GSNALF quand même. Surtout le coup avec NFS

(...)
 

   
Putain la numéro 5 je connais la même. Ca fait 5 ans que j'essaye plus ou moins de la pécho, elle m'adore et pourtant elle préfèrerait encore se taper un lépreux mongolien séropositif plutôt que moi. Les joies de la bestfriendisation    
 
Sinon, comme ce topic est devenu celui des anecdotes de GSNALF au lieu de celui des ratals, j'ai une loose comparable à celle d'Hephestos à raconter... sauf qu'elle m'est arrivé à l'age de 18 ans en terminale (j'ai été dépucelé qu'à 21 ans   )
A cette époque j'avais ma bande de 4 potes, on était toujours au fond de la classe à déconner. On était pas des cancres, on avait de bonnes notes et on était bien vu des profs, mais on aimait bien faire les cons au fond    
On fantasmait pas mal sur la petite bonasse de la classe, petite rousse, 1m60 à tout casser mais très bien proportionnée nommées Séverine (si tu me lis)
Mais je n'espérais rien, je n'avais pas beaucoup confiance en mon pouvoir de séduction et un tas de mecs bien gaulés genre sportifs lui tournaient déjà autour.
Un jour de Décembre que j'étais arrivé en avance au cours, je me retrouve seul avec elle, et voilà t'y pas qu'elle me fait la bise qu'elle se tient tout contre moi et commence à me taper la discute. Moi j'étais pétrifié, j'ai du lui répondre des trucs genre ("ouais", "t'as raison" et "c'est clair" )
A partir de ce jour, elle n'a pas arrêté de me mater en cours (à chaque fois je captais son regard, et là elle me décochais des grand sourires), de s'asseoir près de moi, de discuter...
Avec le recul il est évident qu'elle avait décidé de me pécho, et qu'elle attendait quelque chose de moi. Mais moi je me me trouvais des excuses bidon pour ne rien tenter ("c'est pas possible, elle a sûrement déjà un copain", "elle souriait à quelqu'un qu'était derrière moi dans l'axe..." )
Et ça a trainé comme ça jusqu'en Juin, et après le bac je ne l'ai plus jamais revu.    
C'était y'a 10 ans pile poil, j'y repense pas tout les jours, mais disons souvent...  

   
Putain la numéro 5 je connais la même. Ca fait 5 ans que j'essaye plus ou moins de la pécho, elle m'adore et pourtant elle préfèrerait encore se taper un lépreux mongolien séropositif plutôt que moi. Les joies de la bestfriendisation    
 
Sinon, comme ce topic est devenu celui des anecdotes de GSNALF au lieu de celui des ratals, j'ai une loose comparable à celle d'Hephestos à raconter... sauf qu'elle m'est arrivé à l'age de 18 ans en terminale (j'ai été dépucelé qu'à 21 ans   )
A cette époque j'avais ma bande de 4 potes, on était toujours au fond de la classe à déconner. On était pas des cancres, on avait de bonnes notes et on était bien vu des profs, mais on aimait bien faire les cons au fond    
On fantasmait pas mal sur la petite bonasse de la classe, petite rousse, 1m60 à tout casser mais très bien proportionnée nommées Séverine (si tu me lis)
Mais je n'espérais rien, je n'avais pas beaucoup confiance en mon pouvoir de séduction et un tas de mecs bien gaulés genre sportifs lui tournaient déjà autour.
Un jour de Décembre que j'étais arrivé en avance au cours, je me retrouve seul avec elle, et voilà t'y pas qu'elle me fait la bise qu'elle se tient tout contre moi et commence à me taper la discute. Moi j'étais pétrifié, j'ai du lui répondre des trucs genre ("ouais", "t'as raison" et "c'est clair" )
A partir de ce jour, elle n'a pas arrêté de me mater en cours (à chaque fois je captais son regard, et là elle me décochais des grand sourires), de s'asseoir près de moi, de discuter...
Avec le recul il est évident qu'elle avait décidé de me pécho, et qu'elle attendait quelque chose de moi. Mais moi je me me trouvais des excuses bidon pour ne rien tenter ("c'est pas possible, elle a sûrement déjà un copain", "elle souriait à quelqu'un qu'était derrière moi dans l'axe..." )
Et ça a trainé comme ça jusqu'en Juin, et après le bac je ne l'ai plus jamais revu.    
C'était y'a 10 ans pile poil, j'y repense pas tout les jours, mais disons souvent...  

Ça se passe il y a une dizaine d’années, j’avais 15 ans, on était en vacances en camping avec des amis, on découvrait la vie, les copains, les fêtes le soir, les conneries en tous genres.
 
De mon coté, j’étais déjà à l’époque un GSNALF accompli, je n’avais jamais embrassé une fille sur la bouche, j’étais terrorisé à cette idée et je n’envisageais même pas de faire plus.
 
Arrive dans le camping cette fille, Émilie, qui connaît déjà des années d’avant quelques copains. Émilie est cool, Émilie est très belle, Émilie est sexy, elle avait un accent très charmant de je sais plus où. Je la regarde d’un air rêveur, sachant très bien que de toutes façon je suis moche, con et triste, mais que ça coûte rien de la regarder. Et je continue de passer un bon moment avec les autres potes, c’étaient d’excellentes vacances.
 
Et rapidement, quelque chose d’assez étrange s’est passé : Émilie s’intéresse à moi. C’est tellement clair quand j’y repense depuis que j’ai du mal à réaliser comment j’ai pu m’imaginer à l’époque qu’il pouvait y avoir un doute, même minime. Elle s’est mise à me parler beaucoup, on discutait pendant des heures, enfin au moins des minutes, on se racontait nos vies et nos rêves d’adolescent, elle me prenait par la main, par la taille, s’asseyait sur mes genoux. Le lendemain, elle m’invite dans sa tente pendant que ses parents ne sont pas là, elle me dit de venir avec elle sur le lit de ses parents pour discuter.  Et on a discuté, de choses personnelles, elle m’a raconté ce qu’elle aimait chez les hommes (enfin, les garçon quoi, elle avait quinze ans elle aussi ). Elle m’a pris la main, est resté collée à moi tout le temps, et sans doute d’autres choses que je n’ai pas remarqué.
 
Et moi, pendant tout ce temps, je n’ai à aucun moment fait le moindre début d’esquisse de mouvement pour aller vers elle, pour montrer que j’étais attiré.
 
Elle a finalement abandonné, on est allé retrouvé la « bande », j’ai eu mal au bide pendant toute la journée jsuqu’au lendemain (j’en étais encore au stade « peut-être que je lui plais ??? mais si je lui plais pas, omondieuomondieuomondieu !!!???!!! »). Le lendemain soir alors qu’on passait encore un moment en tête à tête, le playboy du coin se tape l’inscruste, on discute à trois, il la fait rire, au milieu de la conversation il lui dit un mot gentil, il lui offre un collier à la con, se penche, l’embrasse et hop, emballé. Et moi j’étais à coté, comme un con. Je me suis cassé pendant leur premier baiser, un premier baiser d’ado qu’a bien dû durer 10 min. Bien sûr à l’époque j’avais envie de tataner l’autre type, je me rendais pas compte à quel point c’était moi le débile de l'histoire.

Ok
 
Je copie mon message des CDP:
 

Ça se passe il y a une dizaine d’années, j’avais 15 ans, on était en vacances en camping avec des amis, on découvrait la vie, les copains, les fêtes le soir, les conneries en tous genres.
 
De mon coté, j’étais déjà à l’époque un GSNALF accompli, je n’avais jamais embrassé une fille sur la bouche, j’étais terrorisé à cette idée et je n’envisageais même pas de faire plus.
 
Arrive dans le camping cette fille, Émilie, qui connaît déjà des années d’avant quelques copains. Émilie est cool, Émilie est très belle, Émilie est sexy, elle avait un accent très charmant de je sais plus où. Je la regarde d’un air rêveur, sachant très bien que de toutes façon je suis moche, con et triste, mais que ça coûte rien de la regarder. Et je continue de passer un bon moment avec les autres potes, c’étaient d’excellentes vacances.
 
Et rapidement, quelque chose d’assez étrange s’est passé : Émilie s’intéresse à moi. C’est tellement clair quand j’y repense depuis que j’ai du mal à réaliser comment j’ai pu m’imaginer à l’époque qu’il pouvait y avoir un doute, même minime. Elle s’est mise à me parler beaucoup, on discutait pendant des heures, enfin au moins des minutes, on se racontait nos vies et nos rêves d’adolescent, elle me prenait par la main, par la taille, s’asseyait sur mes genoux. Le lendemain, elle m’invite dans sa tente pendant que ses parents ne sont pas là, elle me dit de venir avec elle sur le lit de ses parents pour discuter.  Et on a discuté, de choses personnelles, elle m’a raconté ce qu’elle aimait chez les hommes (enfin, les garçon quoi, elle avait quinze ans elle aussi ). Elle m’a pris la main, est resté collée à moi tout le temps, et sans doute d’autres choses que je n’ai pas remarqué.
 
Et moi, pendant tout ce temps, je n’ai à aucun moment fait le moindre début d’esquisse de mouvement pour aller vers elle, pour montrer que j’étais attiré.
 
Elle a finalement abandonné, on est allé retrouvé la « bande », j’ai eu mal au bide pendant toute la journée jsuqu’au lendemain (j’en étais encore au stade « peut-être que je lui plais ??? mais si je lui plais pas, omondieuomondieuomondieu !!!???!!! »). Le lendemain soir alors qu’on passait encore un moment en tête à tête, le playboy du coin se tape l’inscruste, on discute à trois, il la fait rire, au milieu de la conversation il lui dit un mot gentil, il lui offre un collier à la con, se penche, l’embrasse et hop, emballé. Et moi j’étais à coté, comme un con. Je me suis cassé pendant leur premier baiser, un premier baiser d’ado qu’a bien dû durer 10 min. Bien sûr à l’époque j’avais envie de tataner l’autre type, je me rendais pas compte à quel point c’était moi le débile de l'histoire.

On a quand même une belle bande de winners sur ce topic
Moi pas grand chose à raconter, à part une fille en colo quand j'avais 14 ans qui me collait tout le temps, me prenait la main, calait toujours son sac de couchage à côté du mien (camping belle étoile), toussa, et comme j'étais un pur GNALF à l'époque, j'ai RIEN fait, jusqu'à ce qu'elle s'endorme.
Et là un mec me mate et me fait :
-Mais t'es vraiment qu'un con !
-Ben, pourquoi ?    
 
J'avais rien vu tellement je croyais impossible qu'une fille s'interesse à moi

 
 
terrible histoire  

 
incroyable...j'ose rien dire tellement ça pique les yeux

drapidrapodanzunbato etbonjouraklem

Père castor, raconte nous une histoire  

Bah là j'ai pas grand chose de probant en tête...m'en suis mangé des beaux hein, mais c'était pas spécialement rigolo, y'en a même qui me pèsent encore sur la gueule

intéressant, tu es toujours avec ta copine ?

omg un peu plus je pleurs là

elle m'a quitté le jour de la st valentin

J'étais en première année de fac et c'était le dernier jour des partiels.

J'ai passé toute la journée à la gare de l'Est, j'étais devant le quai de chaque train 30 minutes à l'avance jusqu'au départ du train, rien...
Le dernier train, celui de nuit, j'étais épuisé, un pote m'a rejoint pour me donner du courage mais toujours rien, j'étais effondré, on s'est torchés la gueule, il m'a dit "Pars à  Munich, va coller des affiches partout dans la ville", je connaissais même pas son prénom.

 
Alors que si tu étais retourné à la galerie d'art tu l'aurais retrouvé la bas