Ok boomer

Les notes sur 10 c'est typiquement un truc de jv.com non? ou c'est la génération 2000 en général?

T’es ridicule

Je mets 4/10 à ce débat.

Je te l'ai pas dit en vrai, je l'ai dit qu'à ton avatar.

J'te taquinne. Tes ratals/honte boulot ça m'est arrivé plusieurs fois aussi, je connais par coeur, le lendemain de soirées où tu vas au taf et tu sais même pas avec qui t'as foiré, et t'as qques meufs de l'équipe que tu connais à peine qui te flinguent du regard.

Les notes sur 10 c'est typiquement un truc de jv.com non? ou c'est la génération 2000 en général?

C'est pas considéré comme de l'attouchement ça ?

T'as jamais fait un "top 5" de ta boite, avec quelques collègues ?

Il m'est arrivé un truc rigolo une fois, en soirée pro.
 
Ca bougeait pas trop en soirée cogip dans un bar, tout le monde était posé à papoter comme des petits vieux. J'étais, comme d'hab, en train de danser comme un débile tout seul, et à un moment je décide que ho, ça suffit, je vais chercher une cavalière.
 
Je me pointe au milieu du groupe cogip, et comme je suis toujours dans le respect, je siffle une meuf et je lui fait signe de venir danser, elle vient   Bon faut dire que j'avais pas fait au hasard, une nana avec un peu de caractère et le verbe haut, j'aime bien.
 
En plus elle aime bien se coller, nickel, j'étais pas venu pour tortiller du cul à 20 mètres en regardant le plafond pour éviter un eye contact malaisant
 
Malheureusement, j'étais complètement crevé, une période de merde niveau fatigue, et je ne contrôle absolument pas une émotion naissante qui éveille le bras d'enfant dans mon futal. Et ledit membre est coquin, il chatouille la cuisse de la nana à travers le pantalon    
 
Bizarrement elle est retournée discuter avec les autres, j'ai pas compris  

No zob in the job pour ma part

Drap, le topic a l'air d'avoir un super rythme

Celui qui dessinait les seins d'une allemande et qui n'a jamais pu la retrouver à la gare.  

J'ai raté ça, c'est quoi ?

J'étais en première année de fac et c'était le dernier jour des partiels.
Avec un pote (stip), on s'était dit qu'un vernissage de plusieurs galeries avec alcool à volonté n'était pas une mauvaise idée pour terminer l'année scolaire, le buffet étant sponso par ricard, l'ami des zonards.
On devait rejoindre ma copine de l'époque (2 ans ensemble ) et un de ses potes.
 
On arrive en avance, il fait beau, il fait chaud ou l'inverse, on boit qques coups et on commence la visite des galeries.
Dans la première galerie, y'avait une activité interactive (en gros l'artiste a tellement peu de talent qu'il faut faire le boulot), dessiner des chaussures posées sur une étagère.
Et c'est là que ça s'est passé, je me suis retrouvé comme à l'école sur un petit banc à coté d'une allemande magnifique, blonde, des seins d'oktoberfest tous les deux un peu cons à pas trop savoir quoi faire devant notre bout de papier et ces pompes usagées.
 
Alors, j'ai baissé le regard en biais et j'ai dessiné ses seins,je sais pas pourquoi, il faisait sombre et 5 minutes plus tard, je lui ai montré le dessin. On s'est échangé qques regards et qques minutes plus tard, dans un recoin de la galerie, on se roulait des pelles comme jamais j'en ai roulées sans même s'être parlés.  
 
On sort de la galerie, on se sépare un instant, je vois mon pote, ma copine, je sais même plus ce que je lui ai dit mais j'ai dû assurer vu que je l'ai pas revu ensuite.
Ma copine allemande et moi sommes collés l'un à l'autre, impossible de se séparer, elle avait ce haut d'été décolleté orange et une poitrine dorée, on convient de se retrouver à minuit à Bastille près de son hotel, elle devait aller diner avec des potes artistes ce soir là, elle repartait à Munich le lendemain. L'idée de se retrouver directement à l'hôtel l'avait dérangé "fous lai franzais, fous foulez hallé à l hotal tout da suite", j'avais proposé de faire un tour de vélo vers Bastille.
 
C'est là que la lose a commencé. Il était 20 heures, j'avais rendez vous à minuit, je suis allé avec mon pote chez lui passer un peu le temps, jouer un peu de gratte, boire qques coups. Le bus est direct, je prévois large pour repasser chez moi chercher le vélo. Ce con de putain de bus tombe en panne et y'a une manif sur le trajet
J'ai couru 3 km pour aller chercher ce putain de vélo et ensuite 4 km à donf pour me rendre à Bstille, je suis arrivé à 00H40, elle était pas, plus là, je le saurais jamais.
 
Je suis rentré et j'ai regardé les horaires des trains de paris vers munich le lendemain, y'en avait quatre, 6 heures, 12 heures, 15 heures et un trian de nuit à 22 heures.
J'ai passé toute la journée à la gare de l'Est, j'étais devant le quai de chaque train 30 minutes à l'avance jusqu'au départ du train, rien...
Le dernier train, celui de nuit, j'étais épuisé, un pote m'a rejoint pour me donner du courage mais toujours rien, j'étais effondré, on s'est torchés la gueule, il m'a dit "Pars à  Munich, va coller des affiches partout dans la ville", je connaissais même pas son prénom.
 
J'ai jamais ressenti d'attirance aussi forte, de sentiments aussi rapides que ceux là, ce jour là, j'aimerai jamais plus.

Les Allemandes, ces allumeuses