Je me réveille dans le courant de l'aprem la tête un peu dans un étau et soudain c'est le drame, je lâche ma cale du matin par réflexe[...] Je me dis bon, ça c'est fait

Bon je viens de m'inscrire sur le forum, autant tout de suite me jeter dans la gueule du lion et ajouter ma modeste pierre à l'édifice...
 
Il y a trois ans je venais de m'installer depuis quelques semaines dans mon nouvel appartement, liberté toussa, j'enchaine quelques soirées entre amis.
 
Un soir j'organise une petite soirée raclette avec quelques amis et amies, à savoir que dans le groupe d'amis il y avait une petite demoiselle avec qui je flirtais régulièrement, mais sans jamais que rien ne se passe. La soirée se déroule parfaitement, le vin coule à flots, on est tous un peut cuits, comme d'habitude on flirte mais cette fois-ci elle m'embrasse!  
 
Elle me demande si elle peut dormir chez moi vu qu'elle a un peu bu et qu'il y a fréquemment des contrôles de polices le week-end. Ca sent la bonne excuse en bois, bien sûr je ne dis pas non. Les convives s'en vont, nous voilà tous les deux, évidement je ne dors pas de le canap' et elle non plus, mais bon vous savez pas la bonne période tout ça, ça se limite à quelques attouchements, calins. (Premier demi ratal après les films que je m'étais fait!   )
 
Je me réveille dans le courant de l'aprem la tête un peu dans un étau et soudain c'est le drame, je lâche ma cale du matin par réflexe, sans penser que je ne suis pas seul...   Là elle se redresse, file à la salle de bain un peu verte sans me dire un mot rien.   ² Je me dis bon, ça c'est fait, je vais aller faire le café, après une grosse demi-heure je n'entendais plus de bruit dans la salle de bain, je vais voir, je l'appelle pour voir si tout va bien, pas un bruit, je rentre et la salle de bain est vide. Je prends mon portable pour lui envoyer un texto et là je vois qu'elle m'en a envoyé un... "Désolé mais si après le premier soir c'est déjà comme ça, qu'est-ce que ce sera dans un an..."    
 
Résultat je ne l'ai plus jamais revue, elle m'esquive systématiquement mais le message est passé et mes amis, les chacals, me rappellent souvent cette histoire!

moi aussi une bien jolie quand j'y repense.
J'avais 16 ans , en seconde je crois bien au lycée.
Un bon pote sortait avec une fille très jolie et j'étais bien jaloux quand même de ce fumier...    
D'autant plus qu'il les enchainait les filles.
 
Un matin, alors que j'allais aux nouvelles auprès de lui, il me sort "ha ouais, on a cassé avec machin hier..."
 
 
  Ha ben ça alors, quelle bonne nouvelle      
 
A la pause je vais la voir    
 " Bonjour machin , je me disais que, toi et moi .. enfin    
 
On pourrait sortir ensemble ?   ?
 
 
Et là sa conne de poufiasse de copine à côté d'elle commence à rire, l'autre lève les yeux au ciel:
 
" heu, non?!"    
 
Moi : Ok Ok, tant pis j'ai compris, nan mais c'est bon.. ok ... ciao .dehdghezdlij"  

si tu poses ton drapal, tu postes ton ratal

 
 Je me suis pris un jour un ratal pour la même raison avec une pincée de best-friendisation en plus...
 
Excellent ratal néanmoins  

Mouais... C'est une version édulcorée en tout cas, je voulais pas trop faire dans le détail, mais faut savoir qu'on était très amis (coup de fil tous les soirs), après ça beaucoup moins (car je lui ai dit, et à fort juste titre que ça me faisait souffrir de la revoir), et depuis qu'on est casé tous les 2 encore moins.!
 
Et voila, encore un homme malheureux victime de ses sentiments
 
Mais bon, pour paraphraser Ted Mosby dans How I met you mother (ou pas), chaque histoire réussie ou pas est une pièce de puzzle nécessaire pour recomposer le tableau entier, et aujourd'hui, vu le bonheur que je vis, je ne regrette pas du tout ces moments difficiles  

la fille qui veux, puis finalement non, puis renon, puis reoui, puis renon, et tiens si je me faisais un autre mec...

je fini par lâcher un laconique.... "Je t'aime".

Bon allez, comme je suis chaud, je vais vous raconter mon premier vrai ratal, un peu à la Ted Mosby finalement.

Bon je viens de m'inscrire sur le forum, autant tout de suite me jeter dans la gueule du lion et ajouter ma modeste pierre à l'édifice...
 
Il y a trois ans je venais de m'installer depuis quelques semaines dans mon nouvel appartement, liberté toussa, j'enchaine quelques soirées entre amis.
 
Un soir j'organise une petite soirée raclette avec quelques amis et amies, à savoir que dans le groupe d'amis il y avait une petite demoiselle avec qui je flirtais régulièrement, mais sans jamais que rien ne se passe. La soirée se déroule parfaitement, le vin coule à flots, on est tous un peut cuits, comme d'habitude on flirte mais cette fois-ci elle m'embrasse!  
 
Elle me demande si elle peut dormir chez moi vu qu'elle a un peu bu et qu'il y a fréquemment des contrôles de polices le week-end. Ca sent la bonne excuse en bois, bien sûr je ne dis pas non. Les convives s'en vont, nous voilà tous les deux, évidement je ne dors pas de le canap' et elle non plus, mais bon vous savez pas la bonne période tout ça, ça se limite à quelques attouchements, calins. (Premier demi ratal après les films que je m'étais fait!   )
 
Je me réveille dans le courant de l'aprem la tête un peu dans un étau et soudain c'est le drame, je lâche ma cale du matin par réflexe, sans penser que je ne suis pas seul...   Là elle se redresse, file à la salle de bain un peu verte sans me dire un mot rien.   ² Je me dis bon, ça c'est fait, je vais aller faire le café, après une grosse demi-heure je n'entendais plus de bruit dans la salle de bain, je vais voir, je l'appelle pour voir si tout va bien, pas un bruit, je rentre et la salle de bain est vide. Je prends mon portable pour lui envoyer un texto et là je vois qu'elle m'en a envoyé un... "Désolé mais si après le premier soir c'est déjà comme ça, qu'est-ce que ce sera dans un an..."    
 
Résultat je ne l'ai plus jamais revue, elle m'esquive systématiquement mais le message est passé et mes amis, les chacals, me rappellent souvent cette histoire!

 
   
 
oh nooooes

Y a 2-3 histoires où des mecs mettent des râteaux
 
Histoire de
 
Entre la première et la terminale, j'suis vraiment pas dégourdi mais mes potes sont sympas alors j'me trouve une copine cet été-là, l'été passe, , on s'voit tous les jours, la rentrée arrive... Le jour même, on va au café, "c'est fini", bon soit, à cet âge-là je m'en foutais complètement "ha ouais euh... bon demain y a tennis"...
 
Une semaine se passe, dimanche soir elle appelle, "je t'aime encore" ha ouais
 
Le lendemain matin, je l'attends à l'entrée du lycée, "tu veux encore de moi ?" , je trouve rien de mieux à dire que "avant l'heure c'était pas l'heure, après l'heure c'est trop tard"
 
On était ensemble dans un cours, pendant 2 mois elle a régulièrement porté un t-shirt que j'lui avais passé

j'ai rien compris    

 
 
Ouais bon ça va hein j'étais pucal de la déclaration (et pas que de la déclaration)

Je raconte vraiment MAL désolé

Elle voulait revenir, voillà tout

Y a 2-3 histoires où des mecs mettent des râteaux
 
Histoire de
 
Entre la première et la terminale, j'suis vraiment pas dégourdi mais mes potes sont sympas alors j'me trouve une copine cet été-là, l'été passe, , on s'voit tous les jours, la rentrée arrive... Le jour même, on va au café, "c'est fini", bon soit, à cet âge-là je m'en foutais complètement "ha ouais euh... bon demain y a tennis"...
 
Une semaine se passe, dimanche soir elle appelle, "je t'aime encore" ha ouais
 
Le lendemain matin, je l'attends à l'entrée du lycée, "tu veux encore de moi ?" , je trouve rien de mieux à dire que "avant l'heure c'était pas l'heure, après l'heure c'est trop tard"
 
On était ensemble dans un cours, pendant 2 mois elle a régulièrement porté un t-shirt que j'lui avais passé

J'avoue que parfois je me rattrape un peu aussi
 
Comme quand je discute avec une fille qui m'aura mis un ratal quelques années avant, qui maintenant est célibataire, n'attire que les gros cons et a une vie plutôt merdique...  
 
Quel bonheur alors de raconter à quel point je suis heureux aujourd'hui avec ma copine, j'ai même poussé le vice un jour à lui dire "mieux vaut être bien accompagné que seul"  
 
C'est mesquin... mais bon, la prochaine fois elle réflechiront à deux fois avant de basher un type bien  

J'adore la rancoeur, comme si mettre un râteau était un plaisir sadique

Les filles aussi se prennent des gros rateaux, j'en raconterai ptet si j'ai pas trop honte

[...]
"C'est qu'en fait demain aprem j'ai prévu de mastériser une partie de jeux de rôles, chez Nico... Tu te souviens de Nico ?"
[...]

Bon après avoir lurké beaucoup, c’est mon tour de poster….
Ca risque d’être long, en synthèse c’est un cas d’école de « best-friendisation » au long cours avec boussillage de deux amitiés à la clé.
 
Eté 1998, je pars en camp d’anglais intensif spécial prépa, dans un patelin paumé au Nord de Londres avec une vingtaine de Français. Malgré 8 heures de cours quotidiennes, on a tout de même pas mal de temps pour papoter, aller au pub, sortir etc… Il y a dans mon groupe une petite brune, un peu plus âgée que moi super sympa et qui, par coïncidence, est en prépa à 10 mn de mon bahut et habite également à 10 mn de ma piaule d’étudiant. J’ai une copine à l’époque, elle sort avec le beau gosse du groupe (qui, détail important, n’habite pas Paris), on sympathise sans arrière-pensée et on décide de se revoir en copain à la rentrée.  
 
Of course, pendant l’été, je casse avec ma copine de l’époque et elle se fait larguer comme une merde en septembre par le beau gosse du groupe après une relation très fusionnelle. Ca nous rapproche, et comme on n’est pas loin l’un de l’autre à la fois durant la journée et le soir, on déjeune et dine souvent ensemble (1 à 2 fois par semaine) et on passe des heures au téléphone entre temps. On a plein de points communs, on s’entend super bien, on passe ensemble de merveilleux après-midi à la patinoire. On va ensemble au bal de mon école, on danse merveilleusement ensemble, genre Travolta et Newton-Jones, on traverse ensemble à pied la moitié de Paris en plein hiver pour rentrer (bicauze pas de taxis) en discutant sans se rendre compte du temps qui passe tellement on est sur la même longueur d’onde tellement on est fait pour être ensemble.      
 
Un matin je me réveille, me rends compte que je suis raide dingue, je prends mon courage à deux mains et me déclare. Bien sûr, « tu es mon meilleur ami, j’ai peur de te perdre si on va plus loin, toussa toussa… mais on reste ami hein ? ». J’acquiesce en me disant qu’avec le temps, elle va tomber dans mes bras, je suis irrésistible, le beau gosse quoi !    
 
On continue à se voir autant, l’année s’écoule  et elle m’invite dans sa maison de campagne avec ses parents. On prévoit ça, je me dis que ça va la faire. Tout content, j’organise un déjeuner de fin d’année avec plein de potes et elles, histoire qu’ils rencontrent LA fille dont je leur rabat les oreilles à longueur de journée. Ils la trouvent tous super, je suis de plus en plus love, la date des vacances avec elle s’approche c’est top. Un soir elle m’appelle et me dit qu’en raison d’invités supplémentaires, nos chambres respectives seront occupées par des vieux tontons tata et qu’on sera obligés de dormir l’un à côté de l’autre sur un genre de pallier commun. Est-ce que ça me dérange ? Tu parles que non, à l’époque, j’étais jeune et innocent, je n’avais pas encore connu les plaisirs de la chair mais je n’attendais que ça).  
 
Donc on passe des premiers jours ensemble merveilleux, on discute toute la nuit, elle s’endort au petit matin, je la regarde dormir c’est merveilleux, c’est l’amour. Je ne fais discret, pas trop insistant, j’attends qu’elle se rende compte qu’elle est folle de moi. Un après-midi, on part se promener en voiture, elle conduit. Et en plein milieu d’une ligne droite, elle m’annonce qu’elle a flashé sur un de mes meilleurs potes, qui était assis en face d’elle au déjeuner de fin d’année. Elle connaît mes sentiments, n’a pas été attirée par d’autres garçons depuis son ex, mais ne veut pas mettre en danger notre amitié et me demande l’autorisation de sortir avec. Que j’accepte bien sûr comme le geek que j’étais suis toujours.
 
Je rumine ça pendant les vacances, ça me travaille. Lui ne m’a rien demandé, ne m’a parlé de rien, ne me parle de rien. Comme il sait qu’elle me raconte tout, il s’éloigne peu à peu de moi. Et moi bien sûr, comme je suis jaloux comme un pou, je ne fais rien pour le retenir. Un soir, je leur explique à tous les deux qu’elle est la femme de ma vie, et que je ferai tout pour qu’ils cassent, histoire d’ajouter un peu de ridicule à ma situation. Ce qu’ils feront (avant de se remettre ensemble), mais sans que j’ai rien à y voir. Le fait que je sois toujours aussi intime avec elle (on dort même une nuit dans le même lit après une grosse soirée sans qu’il ne se passe rien) continue à me rendre à moitié fou, mais je suis trop dans le truc pour m’en rendre compte.
 
Comme leur histoire me mine, je n’ai absolument pas la tête à mes études (alors que j’ai mes concours à passer à la fin de l’année), et je pars un peu en vrille avec des résultats qui plongent, vu que les cours ne m’intéressent pas et que je ne fais que penser à elle, à eux et à comment les séparer, jusqu’à ce qu’une vraie amie me fasse prendre conscience des choses et m’incite à m’éloigner des deux affreux, ce que je finis par faire.
 
Résultat des courses, j’ai totalement coupé les ponts avec  
   - un pote que j’avais depuis la 6ème (en même temps, il s’était comporté comme un enfoiré, en ne me parlant pas alors qu’il savait que j’étais 1/ raide dingue de la fille 2/ le 1er sur le coup en plus, donc pas de regret)  
   - une fille fantastique parce que le simple fait de lui parler remue trop de souvenirs douloureux.

allez, c'est à moitié un ratal, mais ça illustre bien la connerie de la jeunesse :
 
17 ans, à l'occasion d'un jour de l'an naze, je revois
une amie d'enfance que j'avais complètement perdu de vue...
 
ce qui est drôle, c'est qu'entre 7 et 12 ans, je passais tous mes étés chez elle (moi Paris, elle Nice)
donc :
- je connais bien ses parents qui sont accessoirement des amis des miens
- je retombe love d'elle (enfin comme on peut l'être à cet âge) à chaque été....
 
retour au jour de l'an, on se redécouvre, on se marre, on oublie les autres,
et à la fin de la soirée, décision commune, j'irai passer l'été chez elle, comme avant.
 
Août me voilà, allô c'est toujours ok ?, billet d'avion, paf paf me voilà...
 
et là, meilleures vacances de ma vie, tous les jours tous les 2 à la plage, papa musicien,  
ambiance bohême, vieux souvenirs qui remontent...
 
et ce qui devait arriver arrive, on s'embrasse, du fait que l'on se connaisse depuis un bail, ça va très vite,  
et au bout d'un mois, pas conscients que Paris-Nice c'est chaud, je lui promets qu'après mon année de prépa,  
je poursuis mes études chez elle... le grand amour quoi...
 
dans un élan de stupidité romantisme fou, je commande sous ses yeux un an PUTAIN UN AN
de billets A/R pour CHAQUE week-end....  3000 euros et des poussières,  
oubliée la première voiture, j'ai bossé tous mes étés au nom de l'amour !
 
la suite est d'un banal affligeant, je rentre, 15 jours plus tard, je reçois une lettre avec une belle enveloppe Diddle :
 
" on est allés trop vite, 1000 bornes, toussa"
 
UN AN NON ÉCHANGEABLE !

mais mes potes sont sympas alors j'me trouve une copine cet été-là