Reprise du message précédent :
oui
j'ai frolé la mort
j'ai sauté de 15m de haut
finalement! fracture du foie qui s'est résolue toute seule

Je suis resté bloqué sur un escalator durant 1 journée entière...
 
Ouai je suis Belge...Pourquoi?

Plusieurs fois.
 
Une vrille dans un planeur épouvantable à piloter des années 40/50.
 
Evité plusieurs fois in extremis ces tarés d'éleves pilotes de l'ENAC dans leurs Beechcraft King Air qui foncent dans les ascendances et dans les circuits des aéro clubs sans jamais regarder dehors, on se met aile dans aile avec eux et ces tarés ont le nez cloqué sur le tableau de bord sans jamais regarde dehors s'il y a du monde.
 
Mon infarctus dont je n'aurai pas du sortir vivant en écoutant les médecins. Mon coeur s'était arreté et en attendant les pompiers je faisais des mouvements avec les bras et les abdos pour provoquer des pressions dans la poitrine pour faire circuler le sang. Et quand je m'arretais je me sentais partir dans l'inconscience.
 
Une electroction qui s'est arreté à quelques cm de mon coeur, sinon j'y passais.
 
Et d'autres fois dont je n'arrive pas à me rappeler.

En parlant d'électrocution:
Je retapais une vieille maison, j'avais fait poser unr poutre en fer scellée dans le sol (une bonne prise de terre, quoi), je m'appuie d'une main à la poutre, et de l'autre j'actionne un vieil interrupteut, du type avec le capot rond en métal chromé.
Il y avait une "perte" electrique, sur l'interrupteur, le courant m'est passé à travers, de la main droite à la main gauche, en passant bien sûr par le coeur.
Je me suis mis à gueuler, sans pouvoir bouger, et je sentais mon coeur faire des bonds!
 Ma femme qui voyait ça se demandait quelle mouche me piquait,et ne comprenait rien.
  Par chance, un mouvement involontaire m'a fait lâcher l'un des deux contacts, au bon moment pour que le coeur ne s'arrête pas.
  Pour information, le contact dans l'interrupteur venait du fait que l'usure y avait produit une quantité de limaille de laiton,qui transmettait le courant au capot exterieur.

Oui.
J'ai rencontré un platane par un aprèm pluvieux.
Coma.

Moi en allant au collège environ 14 ans, j'allais en vélo, il était 7h du mat, je possédais pourtant bien des lumières sur mon vélo et a une intersection, une Ford Scorpio a grillé le stop et m'est rentré dedans. Je me suis donc cassé la gueule.
 
Résulat juste ématomes, ecorchures, vétêments déchirés et vélo HS.  
 
Bref je me suis vachement bien sorti.
 
Chose rassurante que ma sorti la jeune dame après être venu chez mes parents le soir même pour rembourser les fringues, vétêments... il a eu de la chose, une scorpio est très puissante si j'aurais appuyé à fond, il serait surment à l'hopital  
 
Bref elle ma donné quand même 600Fr a l'époque pour mes dommages corporelles + environ 1500Fr entre le vélo et les fringues

Comme tout le monde, j'ai frôlé la mort plusieurs fois et certainement d'autres, sans le savoir.
 
D'abord, sans certains médecins, je serais mort depuis longtemps.
 
J'ai beaucoup voyagé et plusieurs fois, je me suis retrouvé dans des situations armées très tendues.
 
La pire anecdote dont je me souvienne est un atterissage en catastrophe à Buenos Aires. Les conditions étaient abominables : nuit noire, orage, pluie, etc. Mais il fallait se poser car l'avion avait une avarie moteur grave. Le pilote a fait plusieurs approches dans des turbulences énormes. Une fois, il a même touché le sol puis et remis les gaz, ça n'en finissait pas. Dans l'avion, c'était le grand silence. Quelle que soit l'issue, tout le monde avait hâte d'en finir. Par les hublots, on distinguait les dizaines de gyrophares des camions de pompiers attendant au bord de la piste. Finalement, l'avion s'est posé comme une plume, tout le monde était euphorique et applaudissait le pilote. C'est mon pire souvenir car en avion, on est la sensation de ne pas être maître de son destin. On ne peut que s'en remettre à celui qui tient les commandes, à Celui qui tient les commandes en amont ou à la chance, selon qu'on est croyant ou non.

Un truc banal, un accident en deux roues qui aurait pu être dramatique a une demi-seconde près...
 
Je roulais tranquillement avec ma mob toute neuve sur une departementale en ligne droite quand soudain en sens inverse je crois un pote...Voulant lui parler, je ralenti, regarde dans mon retro si rien ne viens derrière moi et je commence a faire demi-tour...
 
J'avais a peine tourner entamé le demi-tour que ....PAF, une camionnette (qui devait être dans l'angle mort du retro) vient heurter ma roue avant...Je me retrouve sur le macadam, la mob projeter sur plusieurs mètres, la fourche, la jante, le guidon et la bulle complement explosés...Moi : même pas une égratignure...
 
Heureusement qu'il n'y avait pas de voiture en face, la chauffeur a pu au dernier moment se deporter a gauche pour eviter de me rouler dessus...Sur le coup j'ai pas trop réfléchi aux conséquences qui auraient pu être dramatiques, je pensais qu'a ma becane...Ce n'est que par la suite que j'ai réalisé le bol que j'ai eu...

à ma naissance, je n'ai poussé mon premier cri qu'après 5 minutes, j'ai eu droit à une intubation, une désobstruction et de l'oxygène (j'ai mon carnet de santé en face de moi )    
 
 (mais ça va, je ne garde pas de séquelles ... enfin, je crois   )
 
sinon, je ne me souviens pas avoir frôlé autrement la mort    
 

Tous les soirs avant de m'endormir.

 
"fracture du foie" ?

Moi 2 fois, les 2 fois à la mer.
La première fois je me suis bêtement noyé, mais coup de bol pas possible quelqu'un m'a vu disparaître sous la flotte et est venu me repêcher alors que j'étais inconscient depuis un moment déjà. -> 1 semaine de coma.
 
La deuxième fois on s'amusait à grimper sur des fallaises sur une île au large et à sauter dans la flotte, manque de bol un fois en haut je glisse et me fait une chute de 4m sur les rochers acérés. -> 5 jours de coma et les jambes lacérées par les arêtes rocheuses.
 
Le vacances à la mer ça me réussit pas... Et pourtant j'y retourne toujours avec autant de plaisir!

 
Tiens moi une fois au lycée j'ai failli finir en brochette  
Cours de sport, on va dans un grand terrain vague qui servait pour les activités diverses
 
Le groupe d'élèves est réparti en 2 : un qui fait de l'endurance, un autre qui fait du javelot
Je me retrouve à courir avec d'autres
5 minutes plus tard, perdu dans mes pensées, je cours le long du tracé quand un javelot se plante à mes pieds, genre à 20 cm  
Je sais plus si c'était un problème de balisage de zone, erreur du lanceur, ou de distraction de ma part, quoi qu'il en soit j'ai failli me retrouver avec de l'alu dans le bidon ou ailleurs  
Le prof était livide sur le coup, a poussé une petite gueulante, mais sans plus ; apparemment ça l'a pas traumatisé outre mesure
En même temps dans mon bahut les profs de sport avaient dû avoir double ration lors de la distribution de connerie  

Ah bon?les tiens aussi?

Sujet de philo : Faut-il avoir frôlé la mort pour apprécier réellement la vie ?
 
A vos plumes/claviers.

Et si on dit qu'on meurt chaque jour un peu plus, ca compte ?

 
Pour relativiser certaines choses, il faut avoir frôlé la mort oui.
Par contre, pour apprécier la vie, c'est un problème de caractère.
 

choc allergique. chui allergique au poil de chat (saleté de bete     ) et d'ailleurs pas qu'a ca.
suis allé un soir chez une amie qui possedait plusieurs chats (jusqu'a la j'avais jamais eu de veritables problemes  je restais jamais bien longtemps en connaissance de cause ... mais il parait que plus on est en contact avec l'allergene, plus on s'imunise contre et plus on est susceptible de reagir violement). j'ai commencer a prendre une crise d'asthme. hop comme d'hab petit coup de ventoline et de toute facon on allait sortir. ca a été mieux 5 minutes et j'ai commencé a suffoqué (c'est atroce)
 
apres trou noir. parait que je me suis evanoui et que chui devenu tout bleu. me suis reveillé a l'hosto 2 jours plus tard dans un sale etat.  
 

 
 
 

Un jour, j'ai traversé une rue

Si c'est l'avenue de la Grande Armée à 17h au feu vert hors des clous, oui, t'es passé pas loin

tain mais vous me faites flipper avec vos histoires
 
j'ai failli me noyer à 6-7ans à la plage au porge (pour les connaisseurs)
je suis "tombé" dans une baïne et j'ai commencé à faire le bouchon au rythme du remplissage/vidage de la baïne
j'avais beau pagaillé pagayer avec mon simili kroll (?) crawl, je m'en sortais pas
ma soeur à coté commençait aussi à bouchonner
le temps que mon père réagisse (le courant en plus dans la baïne ) un couple qui se baignait à côté est venu nous chercher
tout ce que j'ai eu est une peur bleue et 3-4l de flotte au fond de l'estomac
je vous jure qu'inconsciement, ça m'a calmé de l'océan et encore maintenant, je flippe toujours un peu
 
sinon, en voiture, un virage mal négocié sous la pluie, le cul qui s'allege et je me suis retrouvé sur la voie de gauche ave les voitures en face...
la 2eme peur de ma vie, c'est pas passé loin le choc frontal, la voiture d'en face a fait un ecart pour m'eviter et j'ai réussi à reprendre le controle de mon véhicule...
idem, ça m'a calmé pour la "vitesse" dans les virolos ²
 
edit: merci cardelitre

C'est toi le kroll...

J'ai frôlé la mort des tas de fois. J'attire les accidents faut croire.
 
-J'ai déjà reçu une décharge de 220 volts en réparant une prise de poêle électrique. Le courant était soit disant coupé selon mon père...
 
-Je suis tombé du haut d'un toit pour me casser trois vertèbres.  
 
-J'ai eu plusieurs arrêts cardiaque, trois opérations à coeur ouvert.  
 
-J'ai eu un terrible accident à 16 ans. Ma belle voiture neuve perte totale.  
 

oula la
merci, je corrige

Avec ton coeur arrêté tu étais encore capable de bouger les bras?  

Putain 2 fois dans le coma quand même!  

Non je ne vois pas l'intérêt d'avoir frôlé la mort pour apprécier réellement la vie.
 
J'ai toujours apprécié la vie sans jamais avoir frôlé la mort (où bien je ne m'en souviens pas...).
 
Par contre voir un ami/proche décéder, ça fait bien réfléchir, et après on relativise beaucoup plus quand il nous arrive des petits trucs.  

Il y en a qui le cherche aussi

Bah non apparement il pas eu de chance...

Ah oui excuse moi, tout le monde le fait ca, tout le monde sait qu'il n'y a aucun risque  

ben c'est ce que m'a dit le chirurgien en chirurgie viscérale en tout cas!

tu es sur que ce n'était pas un plombier zingueur par hasard parce que se fracturer un organe...

oui je suis sûre

en effet :
Fracture du foie : lésion généralement traumatique qui traverse le  
parenchyme du foie de part en part (comme le rein)
 
bon par contre je peux pas vous en dire plus :x

J'ai rattrapé mes heures de sommeil pour les 10 prochaines années...

Vas-y, dis que t'as jamais fait de trucs dangereux quand t'étais gosse...

je me suis fait électrocuter en voulant déplacer un appareil électrique (poigner dans la bobine sous tension pour le déplacer, c'est pas l'idéal)
 
j'ai fait un tonneau + glissade asser violent à cause du verglas il y à deux mois, resté pendu dans la carcasse la tête en bas, et m'en sortir avec juste une côte fêlée  
 
en atelier fer, je travaillais sur un tour à métaux, j'usinais un bloc d'alu qui étais mal serré, il à volé pas loin de ma gueule parce que je faisais le malin et que j'ai pas fermé le garand    
 
bref, jamais de gros bobo, mais ça fait toujours réfléchir.

Dans une colo à la montagne à 12ans, au cours d'une randonnée VTT, le mono (ce con) lance : le premier arrivé au camp ne fout rien de la soirée (bouffe, table, vaisselle), s'en suit acceleration... pointe à 45 kmh (preuve compteur) et ... stoppé net à la gorge par une corde à linge (j'etais debout sur les pedales pour la vitesse) le vélo qui part tout seul et moi qui tombe sur le dos... Gros choc et gorge lacérée, 2-3 jours pour m'en remettre (respiration, saignements) et cicatrice d'1cm de profondeur pendant 1 ou 2 mois...
 
Pour aller chez des potes le plus vite possible on (moi + copine) peux prendre un raccourci... mais faut traverser une voie férrée et la longer sur 100m, d'habitude le panneau previent bien avant le passage du train mais la rien aucune signalisation, on s'engage, arrivée à mi chemin on entend la bete arriver, klaxon à fond et gestes du conducteur affolés, on effectue le plus beau sprint et on s'eloigne de la voie juste à temps (longé les barrieres jusqu'à une porte, pas de possibilités de sauter au dessus, c'est un pont) digne d'un film de bruce willis !

 
 
Je prefere meme pas imaginer pour le 1er accident

 
Je te trouve très chanceux. Car ici au Québec, l'hiver passé, un motoneigiste est décédé de cette façon.

 
Conclusion: une corde à linge peut vous égorgez.

Paris en aout temps radieux, il est environ 13 heures.
La ville était déserte comme toujours à cette époque et je me balladais rive gauche.
J'arrive sur le boulevard St Germain et m'apprête à le traverser en face du café Mabillon.
Je jette un oeil sur le boulevard qui était incroyable vide de tout véhicule.
En plus c'était vert pour les piétons !
Du coup j'y vais tranquille sans trop faire gaffe; en fait j'étais même plutot en train de matter la jeunesse dorée à la terrasse du café en face.
Je suis assez observateur et je remarque tout d'un coup que le ciel s'est brusquement assombri.
Je m'arrête net au milieu du passage clouté en me disant "c'est quoi ce délire"  
Je lève la tête, le ciel est bleu de chez bleu.
Du coup je fais un demi-tour sur moi-même et par la même occasion je sens un truc qui effleure mon épaule.
Genre y'a une meuf dans mon dos qui veut me parler et vient de me toucher l'épaule
Le problème c'est qu'en me retournant je vois rien de rien .. et le ciel est toujours bleu de chez bleu d'ailleurs j'ai l'impression que la lumiere est revenue.
Le feu est toujours au vert pour les piétons, je jette un oeil sur les voitures qui arrivent -rien- je jette un oeil dans l'autre sens et la seule chose que je remarque c'est un gros bus qui s'éloigne.
Dans le rétro du bus je vois le conducteur qui gesticule dans ma direction. Par contre il est déja assez loin et dans ma tête c'est ambiance "je rêve ou je viens de juste de manquer de me faire écraser par ce bus"
En reprennant mon chemin je remarque la geule des mecs en face à la terrasse. Ils étaient pétrifiés et me regardaient un peu comme un revenant
 
En fait j'étais passé dans l'ombre du bus et c'etait bien lui que j'avais senti dans mon dos en me retournant.