Helter-Skelter- a écrit :
Pas de lien http désolé ... J'aime bien le principe des questions indirectes.
Bien sur, cela recense les réactions physiologiques d'un menteur (physique, gestuelle, verbale ...) mais explique bien que si un innocent est malmené, il risque de présenter les mêmes signes et donc de passer pour un menteur.
L'interrogateur peût gruger par le biais des questions indirectes ; par exemple, tu soupçonnes ta femme de te tromper ; tu peux bien sûr la jouer gestapo, interrogatoire un peu sec mais tu n'auras de certitudes qu'en cas d'aveux ; si elle est innocente, impossible de le savoir ; en rusant, tu peux amener la personne sur le sujet en "dépersonnalisant" ; par exemple, en lançant au milieu du repas "au fait, mon collègue de travail Thierry à des doutes sur la fidélité de sa femme et je ne sais pas comment l'aider ; tu n'aurais pas une idée ?"
Et là, tu es vite fixée ; si elle répond normalement, sans gêne ni signes physiques, elle est n'a rien à se reprocher (à moins d'avoir un self control de pilote de F1).
Ce "livre" donne une quinzaine de pages d'astuces dans ce genre ; avant de le lire, je me demandais comment tant de criminels passaient rapidement aux aveux mais après l'avoir lu, je me dis que des professionnels qui pratiquent ça tous les jours ne leur laissent aucune chance et déploient mine de rien des techniques très pointues ; dans les années 80, un flic essayait de choper un tuer avait fait boire de la soude à sa victime ; le flic recevait les suspects dans son bureau en laissant derrière lui une bouteille de soude annodine ; le jour où le tueur a été interrogé, il s'est liquéfié en apercevant cet objet annodin.
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