Reprise du message précédent :
c bien 41€
 
http://www.psychiatrie-francaise.c [...] nnelle.htm

 
Quoi donc ? MSN ?
 
Mon temps est précieux
 

 
Ah bah bravo le site de la sécu

tes consultations.

 
Les consultations que moi je donne ?
 
Ah bah je vais pas faire payer tt de même
 
Quoique je devrais

Il faut passer par le généraliste ? Si on ne le fait pas la base est de 49€ c'est ça ? En fait j'ai peut-être mal compris ton lien.

Il me semble que pour les moins de 26 ans on peut passer directement chez le psy.

voilà apres 26 ans tu doit passer par ton généraliste, sinon le psy pratiquera un dépassement d'honoraires...En pratique aucun psy ne le fait, il cochera tjrs la case "medecin traitant"

Ca c'est chouette

ah oui merci. C'est que j'ai plus de 26 ans d'où ma question.
 
Sinon vous assurez au taf avec cette dépression ? Moi je dois parfois me faire violence pour travailler.

Non je zappais souvent pour rester au pieu.

 
Nan c'est la merde au boulot, surtout que je combine avec la phobie sociale, donc j'ai droit à 'il faut etre plus proactif' etc... à chaque entretien d'évaluation.Je bosse dans l'info parceque j'aimais ça qd j'étais ado, mais la je passe mes journées à me faire chier, à faire des trucs pour lesquelles j'ai aucune motivation.
Je suis ingé en info et mon rêve c'est de me trouver un poste où on me laissera tranquille, sans avoir à cotoyer des 'conf-call' 'copil' J0, MPP ,régles applicatives et autre lexique bobo/pédant/neuneu/ à longueurs de journées.
Le seul truc qui me fait tenir c'est que j'ai pas envie d'avoir fait des études pour rien.

arf oui ça me donne envie ça aussi.
 

Moi aussi dans l'info en tant que développeur. Là on me donne plus de responsabilité en encadrant une équipe. Je les aides quand ils sont bloqués et je leur dit ce qu'il y a à faire. Ça m'accapare une partie de la journée donc ça m'oblige à être réactive. Mais lorsque j'ai mon taf à faire il faut que je me force. Heureusement ça ne s'est pas vu par chance. Ma dernière éval est bonne. Mais ça risque de ne pas durer.
Courage à vous tous.

Ixelllp (c'est pas l'ortho exacte) ça vous dit qqchose ?

Bon beh c'était IXEL
 
Du Milnacipran
 
Classe thérapeutique : Antidépresseur inhibiteur de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline
 
 
Vous connaissez ?

Bah c'est un antidepresseur assez récent, qui a la particularité de n'etre pas métabolisé par le foie...Meme classe que l'effexor et le zoloft

effexor j'avais déjà testé
 
 
C'est normal je suis complètement hs, vide, mou, impossible de me concentrer (j'ai d'ailleurs fais un somme)  
Et le seul truc qui a changé comparé aux autres jours, c'est la prise de 2 atarax 25 cette nuit. (je prenais plus rien depuis qq mois)
C'est asssez violent cette flemme généralisée

tu es sous traitement  AD là?

ha oui j'ai oublié, un ixel 25 pris hier soir, et ce matin

Bon je confirme ça doit etre l'ixel.
 
ç a allait mieux en fin d'aprem.
J'en ai pris un ce soir comme l'ordonnance le dit  
 
Et là je suis de nouveau dans le même état que en début d'aprem, j'ai qu'une envie : m'allonger

J'ai pu y tirer 2 filles . cassé qq murs. pris 15kgs (un peu de muscles aussi),  et j'y est perdus pas mal niveau mémoire.
 
Voilà en très gros.  
 
Mais ça m'empeche pas d'etre limite à me faire hospitaliser quand même.

clinique psy pres de toulouse.

90 jours environ à ma demande.  
j'essaierai quand on m'aura retiré cette attelle, que j'ai.

Attelle qu'on m'a mise suite à une fracture avec déplacement à un doigt, suite à un coup dans une porte. Pour l'anecdote.

Donc, pour faire un tit résumé.
Je parlerais de cette clinique psy pres de toulouse. Beaupuy.
Donc c'est pas des généralités, je ne sais pas comment ça se passe ailleurs.
Et j'étais blindé de médicament donc qq trucs restent noirs.

Donc, j'ai demandé à être hospitalisé vu que ça n'allait plus du tout. (vais pas m'étendre là dessus)
Et si ça continu comme ça vais surement découvrir une autre clinique mais sur bordeaux

Mon psy qui bossait à cette clinique me dit no pb, et s'occupe des formalités.
Puis me dit d'y aller à tel date.

J'y vais avec un peu de linge serviette etc...
Me présente à l'accueil puis signature d'un règlement.
Et go to mon unité.

Clinique divisé en 4 unités identiques, et une unités isolé dite d'urgence (pour y rentrer faut un pass, et les patients ne peuvent pas en sortir, parait que c'est hard là bas ) Endroit ou arrive les gens qui ont fait des TS apres leur départs des urgences d'autre hôpitaux.

La vie en direct (je zappe les plans cul surpris par les infirmières )
Levé vers 7h30, déjeuner , rdv journalier le matin avec mon psy, pour voir comment ça va et ajuster le traitement, repas du midi, du soir, et dodo.
Gros résumé pour cette partie.

Pour les repas, c'est hyper contrôlé, vu que j'étais sous vieil AD, j'avais hyper faim continuellement, donc j'ai de suite demandé : Double ration , ça plus les barre de chocolats, j'ai pris énormément de poids

Les médocs était pris avant les repas, sous contrôle d'infirmière.

Et pour l'ambiance : hyper bonne, pas mal de monde, groupes, pas mal de jeunes, et vu mon esprit, j'allais un peu partout, d'ailleurs me faisait souvent engueulé par les infirmières vu qu'on a pas à aller dans les autres ailes

Toutes les semaines, y avait un allait retour en bus pour une aprem à Toulouse pour ceux qui avait l'autorisation de leur psy.

Grand parc où ça fumait énormément, idem pour l'alcool, pas mal ce sont fait viré à cause de ça aussi

Et concernant le cout. ma mutuelle + secu a tout pris en charge, et on m'a jamais demandé de fric pour les qq murs qui ont pris des trous. ni même de tableau pour les cacher.

Lieux qui permets de s'isoler, mais à la fois de parler avec pas mal de monde.
ça peut permettre de réfléchir. au final je regrette pas trop. Surtout que je serai ptetre pas là pour en parler maintenant.

Edit si tu veux des détails sur un truc, demandes.

J'étais exactement dans le même cas que toi.
 
Je parle pas, peur de me retrouver avec un cas social etc...
 
 
quand je suis arrivé dans la chambre (double)y avait un gars (35 ans environ) qui jouait de la gratt seche en chantant Donc il m'a fait ma première visite de la clinique. on a pas mal discuté, et ça allait tres bien jusqu'a la première nuit
 
Il ronflait hyper fort, jamais vu/entendu ça donc direct j'ai demandé à changer de chambre ou autre. ils ont fait partir le gars dans une autre chambre (au grand malheur de ses nouvelles voisines qui supportaient pas la guitare ) et me suis retrouvé seul
Jusqu'au jour ou on me dit que j'ai un nouveau voisin qui arrive.
Et ce même jour, ya intercation entre un membre et mon ancien voisin, je m'interpose (alrs que le patient était du genre armoire ) et biensur, il me menace et tout. arrive les infirmières, debrieffing. Ce patient que je connaissais pas, c'était mon futur voisin
 
Donc il est allé ailleurs, viré au 1er jour
 
Et qq jour apres, j'ai eut un voisin, mon age, super introverti et joueur de tennis. et qui ronflait pas. ça c'est bien passé. jusqu'a ce qu'il parte, et me suis retrouvé tout seul. (plus pratique pour que ma femme me rejoigne (patiente elle aussi))
 
 
Conclusion, n'ai pas peur. ça peut te faire que du bien, les gens sont ouverts, pas de pb pour les accoster et discuter (chose que je ne permets absolument pas IRL)
Et pour la chambre, t'auras ptetre pas de voisin Tout dépends des effectifs.
Et tu peux avoir comme moi un avis médical pour etre au calme. En parler avec ton psy si ça se passe mal avec ton voisin potentiel.

Dans tout les cas t'auras pas une voisine ou alors seulement de palier.
 
Et c'est ptetre les autres qui te fairons parler. Mais essaies d'y aller d'abord c'est plus sur que d'attendre pour rien, si rien ne se passe

Je suis pareil . mais le contexte plus les medocs devrait te faire aller vers les autres

là peut pas t'aider. Au cas par cas surement.
 
Pour moi ils avait renforcés les neuroleptiques, et régulateur d'humeur, ils en avaient un peu marre de me voir me tapper dessus ou de me voir tapper dans  les murs

Salut tout le monde    
 
C'était juste pour vous dire que j'étais totalement sevrée. Plus de tête qui tourne, plus de crises de "j'ai envie de sauter", ni de vague sensation de vertige toute la journée.  
Ce fût pénible, mais il suffit de ne pas avoir une minute à soi pour y songer.
 
C'est donc possible !  
 
(Sevrage d'Effexor+Atarax sans réduction progressive)
 
C'est extra de pouvoir se saouler comme avant, de rire à en pleurer, et de pleurer pour rire.
Puis je me mets à perdre les kilos dûs aux effets secondaires, c'est plus confortable pour s'activer.
Mais. Bon, faut vraiment être overbookés.  
 
Courage les gens  
 
ps : j'ai arrêté de fumer itou.  

Bonsoir, j'ai été diagnostiqué schizophréne à l'age de 20 ans, s'en ai suivi un suivi CMP/Hop de jour encore ininterrompu à cette date...
Je prends actuellement du solian 400 1/jour, du temesta 2 cps de 1 mg
J'aimerais savoir au bout de combien de temps il est légitime de baisser le solian, en sachant que je n'ai plus de symptomes et que je n'ai plus été hospitalisé depuis 2 ans(je touche du bois)...
Je n'arrive pas à travailler pour le moment mais je fais des activités au CATTP 3 demi -journées par semaine.
Voilà pour le moment.
@+

5 ans sans rechute.

Bonjour tout le monde (j'espère que je suis sur le bon topic)
 
J'ai une amie qui en légère dépression depuis quelques temps. Cependant, ces derniers mois, ça a empiré Elle ne s'en sort plus et cherche à consulter mais elle se pose pas mal de questions.
 
Qui aller voir dans ce cas là ? psychologue, psychiatre, psychanalyste, psychotherapeute    
Physiquement, sa dépression se manifeste par des troubles du sommeil de plus en plus sérieux. Elle prend déjà des somnifères en petites doses. Pour passer des nuits plus calmes et réparatrices, il est clair qu'il faudrait peut être qu'elle prenne quelque chose d'autre.
 
Un détail : elle a essayé il y a plus d'un an d'aller voir un docteur qui faisait généraliste et psychanalyste (pas sur que ce soit exactement ça mais en tout cas ça commençait par "psy" ). Après plusieurs séances, elle a arrêté, le mec ne disant pas un mot pendant la séance et ne mettant pas du tout à l'aise mon amie.
 
Le problème est bien là : comment, sur Paris, trouver un bon docteur, celui qui vous écoutera vraiment et saura vous soigner. Je fais appelle au Hfriens pour me donner vos adresses, bon plans, feedback afin de trouver le meilleur spécialiste à même d'aider mon amie.
 
Merci d'avance  

L'atarax ça mets combien de temps a etre évacué du corps ?

 
L'atarax a une demi vie de 20 heures donc en 100 heures a peu pres il reste plus grand chose

même question avec la Sertraline ? Combien de temps pour évacuer ?

Sa demi vie est de 26 heures donc on multiplie par 5 ou 6 , il suffit d'ecrire demi vie +nom du medicament sous google pour trouver.

bon ok c'est normal si 8h apres, la digestion de 150 mg environ, je suis complètement vaseux.

J'ai répondu un peu à cotes: 5 ans c'est pour une tentative d'arret total du neuroleptique. Pour la baisse il n'y a pas de règle, mais tu as une faible dose de Solian, si c'est bien tolérer on peut tout a fait rester à 400mg et arreter après 5 ans.

 
Il faut voir un psychiatre qui lui prescrira si besoin un traitement.
Je n'ai pas d'adresse sur paris désolé, si ce n'est le CMP de son arrondissement.

 
OK jeunejedi...Vous êtes psychiatre ?
J'ai une forme déficitaire de schizophrénie(malheureusement pour moi) qu'on apelle plus communément hébéphrénie    
J'ai commencé le solian en mars 2006, j'avais essayé auparavant 2 autres traitements qui ne m'ont pas permis de me "stabiliser"...
Je me renseigne beaucoup sur le net et j'ai lu que pour les formes déficitaires, la posologie thérapeutique respective se situait entre 50 et 350 mg/jour...(dose de relance dopaminique).
C'est pas un peu trop 400mg pour une forme sans hallus ?  
Je me dois de préciser que j'ai parfois des sortes de flashs très spéciaux dans ma tête mais cela ne correspond pas à la définition authentique d'une hallucination.
Voilà.
Merci

Bon me revoilà ici moi.
 
Alors petit résumé :
Dépression latente depuis de longue année
Déclarée (ie j'ai accepté le fait que oui j'avais besoin d'aide) vers septembre 2004
Mise sous prozac en octobre 2004 par mon généralise.
Je me suis décidée à voir un psychiatre vers février 2004.
Malheureusement elle ne s'occupait que de mon traitement et pas du tout de ma thérapie...
Re direction vers une psychologue un ou deux mois après... Mais ça ne passais pas du tout du tout avec elle je n'étais pas à l'aise.
TS par ingestion massive de mes AD et anxiolitique en juin 2005.  
Arrêt maladie d'un mois et demi au total.
Premières semaines en attente d'une place en clinique psy, puis 3 semaines là bas puis une semaine avant de reprendre le boulot.
La bas mise au point d'un dosage plus adapté et changement d'AD, passage à l'effexor.
Après ma sortie ma psy continuais de me suivre pour le traitement et en parallèle j'en voyais un autre (psychiatre lui aussi) pour ma thérapie (rythme d'une séance par semaine)
Arrêt vers septembre 2006 (donc environ un an de thérapie)  
En parallèle arrêt des AD.
 
Depuis tout allais bien, des hauts et des bas comme tout le monde mais rien d'anormal.
 
Mais là depuis quelque mois ça vas de mal en pis...
 
Alors oui je sais globalement d'où ça vient mais je n'arrive pas à surmonter tout ça et j'envisage de retourner voir mon psy (celui de la thérapie car le courant passait beaucoup mieux avec lui qu'avec l'autre) pur lui redemander un traitement...
 
Parce que pleurer sans arrêt et sans raison j'en peux plus.
Vendredi après l'annonce d'une nouvelle (qui aurais plutôt du être bonne) j'ai "explosée" et me suis effondrée comme ça faisait très longtemps que ça ne m'étais pas arrivée.
 
Je n'arrive pas à remonter la pente et même si j'ai vraiment pas envie de reprendre quoi que ce soit, ça me semble un aveu d'échec à ma thérapie, je me demande si je ne vais pas être obligée de le faire...