Hunters a écrit :
Moi je comprends que quand on traverse une souffrance qui n'a pas de fin on veuille en finir. L'avenir n'est pas systématiquement meilleur. Des fois on sent que la descente aux enfers est sans retour. On parle de l’égoïsme de la personne qui se tue, vis a vis de ceux qui restent... Mais qu'en est-il de l'inverse ? Pourquoi devrait-on endurer une vie de malheur juste pour que les autres ne soient pas eux-même malheureux de notre départ ?
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parce que les tendances suicidaires et la depression sont quelque chose de totalement neurochimique, face a une meme situation, certains sombreront, d'autres enverront tout chier et rebondiront.
parce que si on pouvait tourner une simple molette (et quelque part, c'est ce que les medocs font) sur certains neurotransmetteurs, la depression disparait et le moral revient.
parce que c'est une spirale descendante, un cercle vicieux. plus rien n'a d'interet, les niveaux de dopamine chutent, rendant tout fade et sans interet, et on broie du noir, et la dopamine chute et ... et a la fin, meme l'instinct de survie passe sur OFF.
Message édité par HumanRAGE le 11-03-2014 à 03:06:26
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When I give food to the poor, they call me a saint. When I ask why the poor have no food, they call me a communist. Helder Camara | Telling your employees they're "family" is the corporate equivalent of saying "I love you" to a sex worker.