Ben un multi c'est bien quand c'est amené finement, ou alors le faire en douceur au fil des posts, ou alors quand c'est nouveau mais la c'est mort  

A qui le multi?

Ben un multi c'est bien quand c'est amené finement, ou alors le faire en douceur au fil des posts, ou alors quand c'est nouveau mais la c'est mort    

Tu peux essayer de changer de sujet, et rester dans tes envies malsaines de luxe ou affronter la réalité.  

Lagavulin 12 ans Special release alors.
 
Laphroaigh, j'ai du mal avec les versions jeunes ; je n'en ai jamais bu de vraiment vieux.

Mais n'est ce pas la réalité qui nous amène ces envies de luxes pouvant devenir malsaines?
Ou bien l'inverse d'ailleurs.

Mais avant tout, qu'est-ce que le luxe?

Hum
Mais n'est ce pas la réalité qui nous amène ces envies de luxes pouvant devenir malsaines?
Ou bien l'inverse d'ailleurs.

Avec ce recadrage ça passe mieux non ?
 
http://www.izipik.com/images/20101 [...] gtarin.gif

 
C'est vouloir s'en échapper, se rêver en quelqu'un qu'on est pas.
 
Les générations précédentes n'avaient pas de problèmes à s'assumer.
On ne leur serinait pas non plus à longueur de journées des séries américaines de gens super beaux super riches et d'histoires extravagantes après qu'ils aient passé l'âge de 5 ans et du petit chaperon rouge.

Chuis d'acc.

 
 
Hum  
Mais n'est ce pas la réalité qui nous amène ces envies de luxes pouvant devenir malsaines?
Ou bien l'inverse d'ailleurs.

 
C'est vouloir s'en échapper, se rêver en quelqu'un qu'on est pas.

Avec ce recadrage ça passe mieux non ?
 
http://www.izipik.com/images/20101 [...] gtarin.gif

http://hfr-rehost.net/http://self/ [...] 3b6271.gif

Et en png  
http://hfr-rehost.net/http://self/ [...] 7bf84d.png

Qui est-ce qui va avoir une montre à noël :  
http://www.izipik.com/images/20101 [...] ed_enl.jpg
 

Tout pleins de mots

Fuir la réalité par des pratiques diverses amenant à la sécrétion d'endorphines est un usage vieux comme le monde, réservé au départ à des initiés (chaman, oracle...) et aujourd'hui toléré, voire encouragé pour le commun des mortels. Cette société basée sur la consommation à outrance, encouragée dès le plus jeune âge, vantée par la publicité imposant une génération de personnes minces, bronzées et souriantes, dans un monde où il fait toujours beau, n'offre qu'une échappatoire: le déni et la drogue.  
 
Parce que même avec du déo Axe qui protège 48h sans laisser de marques sur ta chemise lavée avec Persil, même en te brossant les dents avec le dernier Colgate ultra blanc, même en te rasant avec un 5 lames et en appliquant du baume Mennen, même en roulant en Audi, ta femme ne fait toujours pas 90-60-90, tes gosses ne comprennent pas leurs problèmes de math, tu choisis toujours la file la plus lente au supermarché, ce temple dans lequel tu sacrifie tes revenus à tes idoles marketées, bref puisque tu as une vie de merde selon le diktat des publicitaires, il ne te reste plus qu'à te réfugier dans l'alcool ou l'achat compulsif.  
 
Ô ironie, tous ces palliatifs sont encore et toujours tributaires de l'argent, cet argent que tu peines à gagner, soumis par une hiérarchie que tu détestes, entouré de voisins aussi misérables que toi mais qui t'insupportent, peut être parce qu'ils te renvoient l'image de ton propre échec.
Tous les hommes du monde triment, ou croient trimer, en espérant un jour avoir l'idée ou la rencontre qui changera leur vie.Tous ces hommes qui s'enferment dans des prisons qu'ils ont eux-même construite, et qui jetteraient la clé au loin si tu leur donnais, esclaves volontaires de leur seul maître: l'argent.
 
La propriété est le vol, ils sont d'accord quand tu parle de leurs biens, parce qu'ils ont peur qu'on leur enlève la jouissance stérile de tous les trucs et les machins qu'ils accumulent sans fin, par contre, s'accaparer les biens du voisin, alors là, pas de problème, car enfin c'est le but de ce consumérisme de merde: accumuler toujours plus, chérir ces vains objets jusqu'à la mort, reclus et oubliés dans un hospice que la mort visite plus souvent que les familles des pensionnaires, parce qu'il est bien gentil, papy, mais tant qu'il n'est pas froid, pas question de se déchirer pour le partage du fric et des biens, et le rocher de Sisyphe de redévaler la pente avec encore plus de force, prêt à épuiser une nouvelle génération de maudits.

C'est pourquoi tu viens ici toi, non ?    

http://i43.tinypic.com/fw0kjn.jpg

 
T'as arrêté la clope?    
 

Fuir la réalité par des pratiques diverses amenant à la sécrétion d'endorphines est un usage vieux comme le monde, réservé au départ à des initiés (chaman, oracle...) et aujourd'hui toléré, voire encouragé pour le commun des mortels. Cette société basée sur la consommation à outrance, encouragée dès le plus jeune âge, vantée par la publicité imposant une génération de personnes minces, bronzées et souriantes, dans un monde où il fait toujours beau, n'offre qu'une échappatoire: le déni et la drogue.  
 
Parce que même avec du déo Axe qui protège 48h sans laisser de marques sur ta chemise lavée avec Persil, même en te brossant les dents avec le dernier Colgate ultra blanc, même en te rasant avec un 5 lames et en appliquant du baume Mennen, même en roulant en Audi, ta femme ne fait toujours pas 90-60-90, tes gosses ne comprennent pas leurs problèmes de math, tu choisis toujours la file la plus lente au supermarché, ce temple dans lequel tu sacrifie tes revenus à tes idoles marketées, bref puisque tu as une vie de merde selon le diktat des publicitaires, il ne te reste plus qu'à te réfugier dans l'alcool ou l'achat compulsif.  
 
Ô ironie, tous ces palliatifs sont encore et toujours tributaires de l'argent, cet argent que tu peines à gagner, soumis par une hiérarchie que tu détestes, entouré de voisins aussi misérables que toi mais qui t'insupportent, peut être parce qu'ils te renvoient l'image de ton propre échec.
Tous les hommes du monde triment, ou croient trimer, en espérant un jour avoir l'idée ou la rencontre qui changera leur vie.Tous ces hommes qui s'enferment dans des prisons qu'ils ont eux-même construite, et qui jetteraient la clé au loin si tu leur donnais, esclaves volontaires de leur seul maître: l'argent.
 
La propriété est le vol, ils sont d'accord quand tu parle de leurs biens, parce qu'ils ont peur qu'on leur enlève la jouissance stérile de tous les trucs et les machins qu'ils accumulent sans fin, par contre, s'accaparer les biens du voisin, alors là, pas de problème, car enfin c'est le but de ce consumérisme de merde: accumuler toujours plus, chérir ces vains objets jusqu'à la mort, reclus et oubliés dans un hospice que la mort visite plus souvent que les familles des pensionnaires, parce qu'il est bien gentil, papy, mais tant qu'il n'est pas froid, pas question de se déchirer pour le partage du fric et des biens, et le rocher de Sisyphe de redévaler la pente avec encore plus de force, prêt à épuiser une nouvelle génération de maudits.

Qui est-ce qui va avoir une montre à noël :  
http://www.izipik.com/images/20101 [...] ed_enl.jpg
 

Cré vingt dioux, Eddie Vedder et Into The Wild, ça roxe toujours autant, même après le 3e visionnage

Je vois ce topic souvent en tête et ca m'étonne, le contenu est un peu désespérant mais tellement prévisible.

C'est une mauvaise idée de remplacer la clope par le crack, peut être..  

Tu devrais , il est plein d'enseignement pour les générations futures ce petit.

I did read...  

C'est lu.  
 
Mais c'est pas drôle en fait.  

 
Passe aux pastilles vichy.
http://www.ina.fr/pub/alimentation [...] es.fr.html

La vieille référence aux valseuses    
En fait tu me propose de soigner mon rejet de la société de consommation en... en achetant des bonbons?  

dites, vous pensez que ça passe une montre de 42mm sur un poignet de 16,5 ??  

Et celle qui veut que ce ne soit pas buvable, sauf à le diluer dans du coca?  

Ou avec des glaçons pendant qu'on y est ?  

ou les deux  

C'est limité aux bonbons?