À quel point Le PYR s'est fait Bégauded ? (la seule question qui s'impose) 1. Au point de frire sur place (Je suis un partisan du feu.)
2. Maitre Bégaudeau l'a remis à sa juste place (Je suis un partisan de l'école.)
3. Ce fut une extermination sans commune mesure ! (Je suis un gauchiste.)
4. PIERRE-YVES ROUGEYRON 88 !! 88 !! 88 !! 88 !! (Je suis fan de Bon Débarabe.)
5. SOUMET LA FRANCE A TA DOMINATION !!!!!! (Je suis vraiment très fan de Bon Débarabe.)
6. Le PYR est un crypto-communiste !! (Je suis de droite très duuuurrreeeeuuuu)
7. Je ne sais pas, je ne sais plus ! (Je suis totalement dans l'incompréhension totale face à ce débat.)
8. Un Feu d'artifice, vraiment, incroyable défenestration d'un droitardé (Je suis un Goya.)
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Scoinscoin | L'helleno-chretien a écrit :
Tous les idéalistes, tels que les idéologues radicaux, finissent toujours par se diviser. Le centre, lui, a l'avantage d'avoir peu d'idées et beaucoup d'intérêts communs.
Il suffit de voir pour quelles raisons la France est aujourd'hui une République élective plutôt qu'une monarchise constitutionnelle. Le maréchal de Mac Mahon aurait pu rétablir la monarchie dans les années 1870, mais il a refusé le pouvoir parce qu'il refusait de commander sous drapeau bleu blanc rouge. Il exigeait le drapeau blanc à fleur de lys.
Ce mec a renoncé à ses idées pour un bon sang de drapeau, que la monarchie aurait pu faire changer au bout de quelques années. C'est le résumé de toute l'histoire de la droite radicale depuis 1789. Les seuls qui ont réussi étaient des révolutionnaires de droite, des gens qui faisaient table rase du passé tout en faisant mine de le continuer. Napoléon Bonaparte, Hitler, Mussolini... Tous ont créé leurs propres symboles en amalgamant l'ancien.
Tous les autres ont échoué par purisme.
Je précise que le présent post n'est aucunement une apologie de Bonaparte, Hitler ou Mussolini, dont je n'aime pas les idées ou accomplissements. Ni un regret quelconque de la monarchie. C'est simplement mon analyse de la droite radicale et de ce qui permet, chez elle, d'arriver au pouvoir ou pas, en Europe.
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Un maréchal d'Empire et président de la République refusant de commander sous drapeau tricolore ? Allons, allons.
Vous confondez avec le ridicule Henri d'Artois, ci-devant comte de Chambord. |