Reprise du message précédent :
Akwel semble vraiment à la casse là. Une année a passé, le BN 2018 vient renforcer le bilan, cela devrait se refléter dans l'évolution du cours de bourse.. Et bien même pas.
 
Les ordres de grandeur :
 
BN 2018 80 m€
stockholder's equity 500 m€
plus de cash que de dettes..
 
market cap 384 m€
 
Les constructeurs auto sont bradés au regard du P/E mais souvent pas mal de dettes.
Dans le cas d'Akwel, on a décote sur le P/E et un bilan ultra sain.

 
quelqu'un d'autre a la même lecture ?  

Je croyais que BBS ne devait plus faire de stock-picking... je ne vois pas pourquoi il s'intéresse aux fondamentaux ou au bilan d'une valeur

Ce monsieur ne devait pas passer aux trackers #fullmuseau ?

il garde l'âme de dénicheur de pépites pour les frers stoques-piqueurs.

Chers Frers, existe-t-il un calendrier de détachement de dividendes via site ou appli ? J’arrive pas à trouver un truc fiable et lisible (pas faute de chercher pourtant..)

...

Il y a vraiment toutes les dividende européennes dessus ?  
 
Ça me paraît peu  

Pas trouvé le Graal non plus, à croire qu'il manque toujours un truc aux différents sites que j'avais trouvé...

 
Oui. J'ai du mal à passer aux trackers. L'idée de payer des fees pour avoir un panier avec des légumes pourris dans le fonds...
J'ai raté la hausse du début d'année, j'avais l'intention de rentrer sur des valeurs vanilles, AXA, BNP, Michelin, etc.

 
pourtant Michelin c'était bien descendu    
même BNP récemment
 
tu attends des valeurs impossibles    
 
les fees c'est 0.30%, même pas la variation annuelle    
 
et pense aux options  
je peux te former
 

 
Oui. J'aurais dû passer à l'achat début janvier sur les bancaires. Les autres valeurs, le creux était fin décembre pendant les vacances de Noël.  
Tant pis, j'attends la prochaine correction maintenant.
 
 
edit : pour les fees, c'est plus symbolique qu'autre chose... D'ailleurs, on va bientôt avoir des trackers avec 0% de frais.

Tu parles bien de Banca Generali, la filiale de l’assureur, petite banque privée avec 10 milliards € d’actifs et 2,5 milliards € ? (C’est vraiment petit, d’où ma surprise ; tu as un lien avec l’Italie ?) Ce que je peux en dire :

1) Je ne la connais quasiment pas, ce qui est bon signe (si elle avait eu des soucis à un moment où à un autre pendant la crise, j’aurais eu son dossier sur mon bureau). Donc ce que je dis est simplement basé sur une recherche rapide.

2) C'est une banque privée avec de la croissance organique (embauches, hausse des actifs sous gestion etc.), après maintes opérations de croissance externe (achat de la branche italienne de banque privée de Crédit Suisse en 2014).

3) Un actionnaire majoritaire a priori solide + des ratios de solvabilité élevés (CET1 17.5%) + des ratios de liquidité (LCR 393%, NSFR 197%) élevés = un risque idiosyncratique a priori limité.

4) Exposition aux titres souverains italiens (une hausse de 1 point de pourcentage leur coûte 30 millions €) + probable vulnérabilité du business model à un scénario de fuite des capitaux en cas de crise politique en Italie = sensibilité au risque souverain.

5) Des niveaux de valorisation un peu chers à mon sens (PER 13, dividend yield 6.16%, cours sur actif net 3.28 même si ce dernier ratio n’est peut-être pas très pertinent pour une activité de banque privée). Perso mes niveaux d’achat sur les banques italiennes sont plutôt un PER < 10 et un dividend yield > 8%. Le marché price probablement la qualité du soutien de l’actionnaire majoritaire.

6) Je comprends bien l’intérêt d’une offre de bancassurance, mais perso je me méfie des groupes intégrant assurance et banque. Ils sont plus opaques / difficiles à surveiller pour les superviseurs (j’ai bossé sur Banco Espirito Santo au Portugal, ça c’est mal terminé). Comme investisseur je préfère les pure players, donc banque OU assurance.

Ma conclusion c’est que Banca Generali me semble pas mal en termes de qualité / sécurité / croissance, mais peut-être un peu chère. C’est un achat que je ne pourrais éventuellement envisager que si on m’obligeait à acheter quelque chose dans le secteur financier italien (je m’intéresse à Intesa Sanpaolo, mais à part ça je serais très prudent).

Donc à mon sens, ça ne se justifie que si tu as un intérêt / une connaissance particulière de l’Italie, sinon on doit pouvoir trouver mieux à la maison (je ne parle même pas des pbs de retenues sur dividendes étrangers).

Sur l’Italie plus généralement, 2019 pourrait être compliquée : les tensions avec la France + la succession de Draghi à la BCE pourraient isoler l’Italie. Donc je pense qu’on peut « espérer » des niveaux encore plus intéressants sur les banques italiennes.

Glandoll : T’as vraiment envie que bbs soit sur les mêmes positions que toi ?

 
Michelin était à moins de 90 encore mi janvier et courant février (peut-être que 1 ou 2 jours)
 

 
c'est l'inverse    
 
et j'ai plus confiance en mes capacités qu'en la poisse légendaire de bbs

 
Point bas le 27 décembre, puis hausse graduelle. Certains attendent le début du rebond pour acheter, moi je préfère acheter dans (ce que je considère comme) le fond.

Tracker avec dividendes capitalisant, c'est quand même le top, ça permet de réinvestir les dividendes sans frottement fiscal sur CTO.
Celui qui part en mode stock-picking sur CTO, même si sa perf. brute est égale à celle du marché, il se fait gratter les impôts sur les dividendes, donc il sous-performe en net.
 
edit : malgré ce constat, je n'arrive pas à me résigner.  

 
oui et non
 
l'ETF paie du prélèvement à la source

C'est ce que je disais
 
Tracker World > all, tu finis par surperformer tout le monde... ou pas

 
Tu peux détailler ?

Pas de statut fiscal/juridique particulier pour les ETF, donc ils payent leurs impôts sur les PV comme tout le monde.

 
euh non    
c'est considéré comme un fonds donc pas d'impôt mais souvent une taxe d'abonnement à payer

 
bah 100 de dividendes bruts recus ne sont pas toujours 100 nets (même rarement 100)

 
Team All-in 3800 quoi, utilise un minimum la partie rationnelle de ton cerveau pour voir que ceux qui attendent le fond sont des spectateurs

 
Jacques Brel a parfaitement raconté la souffrance du stock-picker qui doit passer aux ETF :
 
« C'est le tango de la pluie sur la cour
Le miroir d'une flaque sans amour
Qui m'a fait comprendre un beau jour
Que je ne serais pas Vasco de Gama »
 
Passer aux ETF c’est abandonner ses rêves d’enfant, l’espoir de voir son talent récompensé, c’est épouser une femme qu’on n’aime pas vraiment faute de mieux, c’est se résigner à une vie médiocre. Bref, c’est mourir un peu. Normal que ce soit difficile.
 
Sinon sur les dividendes ETF vs. particulier, le post (classique) de GMK peut t’intéresser si tu ne l’as pas déjà vu :
 

 
après la moitié des boîtes sur lesquelles il investit touchent vraiment le fond donc je peux comprendre sa peur et son attentisme  

vrai parlé.    
mais  
mais
MAIS pour une fois j'ai pris 100% de la hausse, je bats meme un poil ma bonne Josiane adorée  

 
Vrai. Et puis même quand on n’est pas (comme moi) adepte du 100% investi, la question que devrait se poser l’investisseur ce n’est pas investir ou pas, a-t-on touché le fond ou pas… mais plutôt combien investir ?
 
Certains investisseurs sont comme des joueurs de poker qui ne feraient systématiquement que fold ou all-in, alors qu’en général un dimensionnement approprié des positions permet de régler la plupart des dilemmes de market timing et autres biais psychologiques destructeurs de performance.
 
Perso quand je me pose la question d'investir une louche ou pas parce que les conditions de marché sont stressantes ou autres, j'investis une demi-louche et je retourne me coucher. Si ça baisse, je me féliciterai pour ma prudence. Si ça monte, pour mon audace.

 
Tu te réjouis parce dans l'investissement boursier tu privilégies manifestement la dimension financière. En oubliant l'aventure, les émotions, le malheur, et la gloire. Quelle tristesse ! Sans la Bérézina, sans Waterloo, l'épopée napoléonienne aurait moins de grandeur. Les ETF transforment une aventure épique en bête confort bourgeois.

l'aventure SOLOCAL
l'aventure CGG
l'aventure ENGIE
l'aventure ACA
 

 
 
l'aventure SEQ  me suffit ! ......
frer Scipion ,perso je me méfie comme de la peste des banques.....il me suffit de voir la taille des engagements hors bilans pour me convaincre quelles memes ne doivent pas trop savoir comment cela se terminera quand la musique va s'arreter
 
je garde cependant de grosses positions sur les CCI des CRCA qui sont des quasi obligations avec un parfum de speculation(actios juridiques en  cours pour contester les conditions de rachat faites à CAS  dans la holding...)
deplus les caisses rachetent assez agressivement les CCI cela donne un filet de securité sympa
 

+1.

 
L'aventure CGG ne s'est pas trop mal passée pour moi début 2019...

JCN devrit accelerer et arreter de faire l"epicier sur EURS
 
Paris, le 27 février 2019
 
 
 
 
 
 
 
Communiqué relatif aux achats d'actions effectués dans les
conditions de l'article 5 du Règlement européen n° 596/2014
 
 
 
 
 
 
Le 20 février 2019, la société Foncière Euris a racheté 31 actions au prix moyen de 30,8000 EUR en vue de leur annulation.
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
C'est une blague?  

 ?

 
 
 
A ce rythme-là il faudrait 831 ans pour racheter la totalité des actions  
 
(Il est évident que toutes les actions ne sont pas à racheter)

Ah oui c'est 31, pas 31k  

'tain