Citation :
L'analyste souligne qu'à la fin 2014, l'inventeur du ticket restaurant revendiquait l'équivalent de 3,6 milliards d'euros de titres de services en circulation, contre 1,9 milliard d'euros de fonds réservés pour les rembourser.
Selon Morgan Stanley, même en tenant compte d'un milliard d'euros de créances commerciales, il reste encore un déficit de 700 millions d'euros à financer.
En tenant compte de ce facteur, le ratio dette nette ajustée/Ebitda du groupe grimpe à 5,6x, poursuit l'intermédiaire, qui estime que le prochain PDG pourrait donc avoir à trouver plus de 600 millions d'euros en dette ou en cash.
|