Reprise du message précédent :

             
 
Mais tu racontes nawak là c'est pas possible.  
 
Le régime d'intégration fiscale est réservé aux boites françaises.
 
Le régime du bénéfice mondial consolidé a été supprimé en 2010 je crois.  
 
Stop la désinformation

 
oué pas loin; c'etait un peu moins mais idem Kerviel jsuis quelqu'un de tout à fait classique, je suis pas un X-Goldman ; le truc c'est que dans un job ou 40% du revenu c'est du variable, quand ca part en couille t'as plus que les yeux pour pleurer
les mecs qui sont arrivés encore quelques années avant ils tapaient tous du 6 chiffres à mon age fin bon ceux qui arrivent maintenant ils restent direct sur le carreau

 
Trouver un taf qui plaît vraiment c'est un peu une chimère je trouve. Passé le temps de la nouveauté, on en revient au même: le travail c'est un truc qu'on aime pas faire mais qu'on fait quand même pour gagner sa vie.

demande des conseils à lapin

 
j'ai discuté avec une personne de l'ambassade, pour choper un visa entrepreneur/investisseur c'est 400K usd qu'il faut mettre sur la table en dessous c'est "sur dossier". il reste le mariage

Je comprends du coup, à ce tarif là on a quand même les moyens de vivre correctement à Paris, surtout à 25 - 30 ans    
 
Bon courage en tout cas  

La société mère est française mais elle peut bien intégrer des filiales qu'elle possède à au moins 95% si celle-ci sont soumise à l'IS dans leur pays respectif non ? J'ai pas vu dans le 223A que c'était limité aux sociétés françaises en fait.
 
edit : ok, si la société française est possédée par une société mère étrangère là ça fonctionne.

 
 
Brdayl, violent ce déclassement social !
C'est propre à notre génération, mais c'est encore plus violent dans votre profession.

viens à Nice, en cette saison tu peux cueillir des américaines à la pelle sur la promenade

 
non Enfin faut être un passionné aussi  
 
Après ya d'autres soucis de mixer passion et job : ne faire plus que ça  

 
Mariage gay autorisé maintenant    
 
Je me mets dans le ton du topic meme si je sais pas pourquoi on dit que tu es  

Le pire c'est meme pas ca; c'est la pression de malade (pour ceux qui ont lu liar's poker, le boss derriere toi toute la journée "combien t'as fait", "pond nous un mémo la dessus", "reste jusque 22H demain pour couvrir le discours de la fed" ), et les menaces du genre "t'es pas content tu dégages" (entendu texto)  

 
surement des jaloux    
 
 

 
Je crois que les niches et les montages fiscaux vise justement à REDUIRE le bénéfice imposable.

Je me dis naivement qu'il serait très simple de jouer les ecarts entre le cac et ses futures,  partant du principe que les cours se recroiseront toujours.

Ca me.parrait meme trop simple pour etre honnete. C'est quoi le hic ?

T'es prêt pour les options binaires toi  

CA GAGNE 7 / 10

non il faut acheter la veille d'un détachement de dividende, l'encaisser et revendre le titre après.

Non mais je suis serieux. Je crois meme que ca se fait sous l'appellation "call/put synthétiques".

Bon la par exemple, y'a pas assez d'ecart, mais sur des fortes volatilités, je vois pas comment ca peut foirer, sachant que le gain ne sera evidemment que de quelques pips.

Par exemple j'ai pas eu les couilles de le faire sur le brent/wti parce que ca demandait une trop grosse couverture, mais coup je m'en veux un peu d'avoir joué petit bras...

 
Ils se recroiseront mais dans quel sens ?

Gnéee

Tu peux faire ça dans tous les sens que tu veux: des sociétés françaises à l'IS ne pourront partager leurs gains/pertes qu'entre sociétés françaises soumises à l'IS
 
Une société qui souhaite chapeauter l'intégration fiscale doit être 1/ française 2/ ne pas être détenue à plus de 95% par une autre société (exit la filiale française à 100% d'une mère étrangère)
 
Dans l'intégration tu ne peux mettre que des sociétés Fr soumises à l'IS, même si il est vrai que tu peux avoir une société détenue par une société étrangère, elle même détenue par une société française (arrêt Papillon).

Oui, enfin, le truc c'est pas ca hein...
C'est des transferts de benefices d'une entité a une autre par des moyens tout justes legaux.

Je peux t'expliquer mais je pense pas que ce soit la peine.

 
mais concrètement tu veux faire quoi? acheter le panier parfait et vendre les futures?

Non.

Admettons Cac cash > de 10 points aux futures.

Je vends le cash via Cfd, j'achete le Fce et quand ca se rejoint je solde.

Ca me fait 6/7 pips in the pocket avec un risque proche de 0.

C'est du gagne petit et les conditions ne sont pas souvent favorables , mais bon...

En théorie,  ca peut fonctionner avec tous les produits qui cotent cash et futures.

En net, tu gagnes le taux sans risque.

Désolé,  mais j'ai pas compris  

Non mais les problématiques de flux internationaux entre entreprises d'un groupe en effet c'est autre chose. Mais c'est pas de ça que parlait Dreamer18 en affirmant que l'intégration fiscale permet  un partage des gains/pertes entre filiales au niveau mondial, ce qui est juste faux

effectivement, un simple jeu de prix de transfert passés en charge dans les filiales à pays à fort taux d'imposition permet d'optimiser sa fiscalité

On n'est plus dans les années 30 hein.  
 
Tous les pays ont des législations prix de transfert depuis 40 ans, et ça ne fait que s'alourdir d'année en année.

Par contre,  tout ce qui fournitures immatérielles par exemple, ca passe sans souci.

les prestations de services sont un très bon moyen de remonter du cash d'une société française vers une holding animatrice (convention de management fees) qui remontera elle même ce cash au luxembourg.

Technique Microsoft (de mémoire) : MS en Irlande facture assez chez à MS France les Windows et Office, pour que MS France ne fasse qu'une petite marge (et donc pas énormément de bénéf).

 
Pour toi, public chéri de Singapour  
 
http://www.zerohedge.com/news/2013 [...] -financing
 
 
 
 
 
 
Mais je suis d'accord avec toi, je dis juste essayer d'équilibrer les sources.
Et oui, les alicaments, c'est de la connerie
 
 

 
Exact. On va dans le mur de toute façon, et y'a deux ou trois solutions. La solution en cours c'est "on va tout polluer et exploiter plutôt que de changer quoi que ce soit, c'est facile et ça peut rapporter gros, et on va laisser la facture à nos enfants, comme d'habitude   "
 

 
Dans le documentaire, ce qui n'est pas mentionné, c'est que la zone en question est au dessus d'un ancien bassin minier de charbon. C'est les suites de l'exploitation houillère qui font que l'eau du robinet prend feu, pas la fracturation hydraulique.
 

 
Alors, pour la reconversion, il faut déjà que tu calcules ton niveau validé d'années après le bac (licence ? maîtrise ?), voir si tu peux gratter des titres reconnus par l'Etat via la VAE (long et pénible, mais nécessaire). Il faut que tu vois si tu peux pas passer des certifications (TOEFL, IELTS, le machin Voltaire...) Il faut que tu voies combien tu peux investir dans ta reconversion. Avec une petite idée de ce que tu peux faire, tu dois te lancer dans un bilan de compétences soit en solo avec des bouquins, soit en payant un cabinet, soit en le faisant payer au titre du fongecif ou du pôle emploi.
Mon conseil: quitte à changer de boulot, prendre un truc qui serve aussi à titre personnel. Identifier la nouvelle carrière non pas par ce qu'on sait déjà faire, mais ce qui via la reconversion permettrait d'achever des buts personnels. Et si possible, trouver un truc qui permette de survivre en cas de nouvelle crise globale.
 
La question est: Quel domaine de profession sera toujours toujours nécessaire, quelles que soient les circonstances ?
 

 
Dit le fonctionnaire qui a droit a une généreuse perm' de 1 mois aux frais de la princesse, et qui la passe devant son ordi

 
à part la vente d'armes j'ai pas d'idées

Torcher des culs, déboucher des chiottes ou des artères, réparer des toits...

La bouffe, les fringues, ou encore mieux la vente de vent, autrement nommé le conseil.

Vider les bourses.

C'est pas déjà ce que tu fais ?