INSATISFAIT de la marque MOBALPA :
Nous regrettons d’avoir choisi MOBALPA qui se dit vous apporter toutes les garanties que vous êtes en droit d’attendre d’une grande marque alors que leur * CONTRAT DE SERVICES a été BAFOUE concernant les points suivants, je cite :
- § 9 : « une écoute permanente : nous nous engageons à répondre à vos éventuelles demandes sous 72h ouvrées et à tout mettre en œuvre par la suite pour les satisfaire »
FAUX pas respecté et pour preuve, après avoir contacté «le Service Relations Clients au siège social à Thônes» celui-ci n’a pas été en mesure de nous donner une réponse favorable à notre demande. Au contraire il s’est déchargé du dossier en nous invitant de contacter le directeur du point de vente indépendant (distributeur de la marque .Ils nous ont indiqué que GRACE à nos REMARQUES ils pourront améliorer les services proposés par leur réseau de distribution.
- § 11 : « votre satisfaction appréciée : la marque Mobalpa se soucie de votre satisfaction et s’engage à la vérifier à l’issue de votre achat à travers une enquête »
FAUX personne ne nous a contacté.et puis, quelle aurait été l’issue après « enquête » ? : Y aurait-il eu une suite en cas d’insatisfaction ?? ou bien une simple enquête sans suite juste pour que ce paragraphe apparaisse sur leur contrat afin d’appâter le client ?
Erreur sur les plans / perte de confiance , explication :
Prise de contact, en février 2009, avec le vendeur concepteur : nous avons montré les plans de la cuisine, ses ouvertures et ses dimensions générales.
Nous avons pris le soin, très tôt dans les entretiens, de donner des cotes fonctionnelles indispensables en complément de nos plans et en autre l’axe du boisseau pour l’évacuation de la hotte…Ce dernier est devenu l’objet majeur du litige !
puis nous nous sommes laissés guider en toute confiance par les suggestions du vendeur.
Les premiers plans indiquaient à gauche de la plaque de cuisson et du four, un meuble « bouteiller » de 45cm.
C’est là, la première preuve que la position de cet axe, à ce moment là, communiqué par nos soins, était tracée au bon endroit.
le contrat fut signé en mars 2009, En bonne harmonie avec le respect de leur contrat de services, (point N°7) le vendeur s’est elle même déplacée pour « vérifier » l’ensemble des cotes de notre cuisine avant de lancer la fabrication.
Entre temps, en confiance, nous avons aussi commandé notre salle de bains.
Puis arrive le premier jour de la pose de la cuisine.
Au retour de notre journée de travail, quel ne fut pas notre choc (le mot est faible) en voyant la découpe pour la plaque dans le plan de travail…fortement décalé par rapport à l’axe du boisseau d’évacuation !
On ne parle pas d’un écart tolérable de 0.5 ou 1cm, mais de 22.5cm !!!
Le poseur lui-même nous fit comprendre du regard qu’il y avait un problème et bien qu’il ait retenu ses mots, admis néanmoins qu’il n’avait jamais vu cela « en 17 ans à monter du Mobalpa ».
Une première phase émotionnelle nous envahit, faite de dépit, de stress, et de questions : « comment allons nous vivre avec cela, …la honte à la montrer… ».
Puis vint la phase plus cartésienne, règle en main, pour constater que la position de l’axe du boisseau sur le plan est fausse !
C’est la 2ème preuve que la responsabilité du vendeur est fortement engagée.
S’en suivent de stériles entretiens téléphoniques, puis un RDV à la maison, pour tenter de nous faire croire que « ce n’est pas si grave que ça…vous n’avez qu’à faire un cadre autour du boisseau…etc !?»
Une dernière tentative de négociation téléphonique pour un dédommagement, fut pire que tout.
Le rire et certains propos sont pénibles à entendre quand on a déboursé une somme non négligeable (cuisine et salle de bain) en affaires avec le même vendeur.
Même si le mélange de tristesse et de déception qui nous habite n’est pas près de s’estomper, nous avons reçu la personne responsable et décisionnaire pour constater qu’il ne s’agit pas d’un « détail » qui a reconnu qu’il y a problématique avec la hotte mais, à l’évidence, ne souhaitent pas prendre la mesure qui s’impose pour réparer ce préjudice.
Comme il n’est question ni de déplacer le boisseau, ni de refaire cette cuisine, nous continuons de formuler le souhait de dédommagement, en réparation de l’erreur commise par le vendeur.
Nous n’avons obtenu à ce jour, aucune réponse satisfaisante au regard du préjudice moral et financier que nous avons subi.
Très déçus, nous transmettons ce dossier aux associations de consommateurs pour condamner et faire appliquer le contrat de services qui n’est pas en adéquation avec la réalité.