Reprise du message précédent :

scénariste cinéaste.
c'est la FEMIS du pauvre.
le seul point interessant c'est les projets qu'on a pu monter: quelques cours métrages interessants.  
 
une voie de garage Deluxe sinon.
ou alors si on continu jusqu'en DESS, on peut finir...
prof de ciné de fac.
 
j'y ai echappé de justesse.
 

ta echappé a l'ESRA

 
Enfin, peu importe, on s'enfonce dans une voie sans issue. Je maintiens ce que j'ai dit, à savoir que pomper une szcène sans l'assumer (le mentionner), c'est franchement ne pas respecter l'auteur et le cinéma en général. J'irai jusqu'à dire que c'est faire tout sauf de l'art, qui est sensée être une activité créatrice - de l'esprit.

mercrediiiiiiiiiiiiiiii

jusqu'ici je n'ai lu que de bonne critique ou des critiques pas catastrophique. Je vais finir par croire que Emmerich a réaliser le film de sa rédemption....

koi ke ce sois, je serais content ...
jmatend pas a voir un film d'auteur hein
ca ne peut ketre une bonne surprise

Chimene Badi chantera la chanson du film !!!

c'est vraiment la fin du monde.

Facile !
Le clip passe déjà d'ailleurs, belle chanson !

le film en met plein la vue, mais n'est pas scientifiquement crédible
 
http://www.spacedaily.com/2004/040 [...] 73svx.html

Pas de séances VO sur Lyon pfff

Emmerich  
 
Oui je sais ça fait pas bcp avancer le débat mais à mon avis à moi que j'ai c'est vraiment le plus mauvais réalisateur en activité. Je m'abstiendrai donc...

 
Y'en a des bien pire  
si si
Et perso le debut d'independance Day est bien mené (si si)
Jusqu'a la fin de l'attaque

 
Les gens ont le droit de s'améliorer dans leur carrière

 
J'aimerais le croire, mais la BA de The Day after Tomorrow était tellement "ID4esque" que j'ai du mal à lui accorder le bénéfice du doute

 
Des noms

 
Au pif : Jan de bont

Bon me demande si il est sorti en Belgique, pour que j aille me faire lobotomiser au cinoch

 
John B. Root

jvais le voir ce souar jvous le dirais... arf faut que je speed si yen a qui vont à l'UGC paris bercy, à tout de suite!

Perso, voilà ma critique :
 
Bon qu'on se le dise une fois pour toute, entre nous, les films où les américains sont les seuls habitants de notre planète (alors forcément c'est obligatoirement eux qui la sauve, et bien souvent leur président qui plus est, en plus il tombe jamais de vélo et ne s'étouffe jamais au bredzel dans les films donc c'est même pas réaliste), ben c'est pas mon dada (remarque on aperçoit une photo satellite à un moment et on y voit l'Europe, si si, enfin non, juste la France en fait, et l'Espagne aussi, mais bon là bas les gens sont morts vite fait n'étant sans doute pas résistant et comme y'avait pas de héro à filmer on y filmera pas une seule image là bas, dans ce coin paumé). Oui donc, je continue : La famille américaine super unie qui s'aime plus que 180 millions d'euros en petite coupure cash à prendre ou à laisser, ça y est aussi. Le père qui va de Washintown à NewYork à pied en raquette dans la neige tel un héro par -40°C pour aller chercher BIIIIP (oula le spoiler insoutenable), ça y est aussi. La mère qui refuse de prendre part à l'évacuation du pays parce qu'elle est obligée de laisser son patient leucémique (un gosse de 10 ans qui aime les histoires dans les livres, forcément on ne peut que s'attendrir face à ça) dans sa chambre de soin, ben ça y est aussi. Le groupe solidaire "qui ne part pas sans l'autre au péril de sa vie", ben ça y est aussi en puissance 79 ... les solutions aux problèmes super compliqués ont toujours une solution à porté de main etc etc etc etc ......... Bref, vous l'aurez compris, rien de bien chamboulant.
 
MAIS! et ouais ya un mais (bon je dis pas spoiler parce que bon, c'est vu dans le trailer tout ce que je dis) ... Ba ouais : les effets spéciaux bordel. Si le dernier tiers du film est plutôt chiant (le film se découpe comme ceci : l'avant du pendant, le pendant et le pendant du juste après du premier pendant ; comme quoi le titre du film est logique !), le milieu est énormissime mes amis : je sais pas si on peut parler de scène d'action mais bordel, je sais pas ce qui m'a pris, la scène de NewYork m'en a foutu plein les yeux, effets spéciaux sublimes dignes de Matrix3 d'un point de vu technique et meilleurs d'un point de vu émotionnel (au passage les loups sont impressionnants de réalisme au niveau photo et animation). Je devais super bien être immergé in da movie vu que je pense avoir été le seul dans cet état  et c'est tant mieu ! De voir tous ces gens évacuer la ville avec l'eau qui monte et qui monte jusqu'à ne presque plus avoir pied (une piscine géante avec 1 million de baigneur avec plans larges au ilieu de centaines de bagnoles et bus mdr), ba j'ai pu ressentir leur stress en fait, tous les véhicules dans ste flotte, ça a dû demandé bcp de moyens ça c'est clair, mais ça a payé : on s'y croit ! Et alors le pire, c'est qu'on attends ce qu'on sait qu'il va se passer (vu dans le trailer ) : ze raz de marée trop bien animé niveau masse physique héhéhéhéhé. Bon, mis à part quelques comportements pas très dignes de réalisme niveau humain (mon sac !! je l'ai oublié dans la voiture, aidez moi !! - et là la gnognoche du semi-héro, au péril de sa vie va le chercher alors que NewYork est dans le chaos total quand même, excusez là, elle avait que ça à faire sans doute -). Bref, cette scène déchire grave, j'avais le coeur qui battait grave (on me pardonnera la répétition de language jeun's). Un bon point aussi pour les tornades au début du film, Los Angeles ravagé par des mégas tornades. Bref, blablabla.
 
Le style de film qu'on voit au cinéma et qu'on oubli tout de suite sorti dans la rue. Dommage, le film était bien parti, la fin est un peu raté ... et puis les trucs style "et non ! on pas fait le cliché !" ben ça me fait rire parce que bon, soit c'est le cliché et c'est rigolo ("Mr le président, vous devez sauver le monde !" ) soit c'est pas le cliché mais comme y'a pas d'autre alternative qu'une seule autre situation ben ya rien de splendide ... cliché ou pas au final, ici c'est pareil. Bref, si vous avez rien pigé je vous en veux pas, vous verrez pas vous même.
 
Moi si je dois le conseiller, voilà ce que je dirai : Tu aimes independance day ? Ba vas-y alors. Tu aimes les sfx en plus d'aimer independance day ? Alors vas-y avec tes klinex©(tous droits réservés blablabla).

j'en sort.
+ les effets spéciaux. crédibles. mais TOUS les plans, je dis bien TOUS les plans sont dans les BA. Résultat: aucune surprise, rien.  
 
+ Dennis Quaid fait ce qu'il peut.
 
+ j'ai trouvé le jeu du gamin pas mal. j'ai pas dit "bien". j'ai dit "pas mal".
 
+ Emmerich s'essait des passages moins joyeux mais annoncé avec des balises digne d'une piste d'aéroport.  
 
+ scène des loups.  
 
- pompage
dans l'ordre:
- rencontre du troisième type: le gamin qui regarde une lumière aveuglante derrière une porte est remplacé par un technicien de surface. le plan, le montage sont les mêmes. zero pointé.
- LOst World: l'heroine se retrouvait sur une vitre qui se fissurait=> Emmerich remplace la vitre par un dôme. Le pompage est moins appuyé mais même situation, même mise en scène.
 
Cela dit, Emmerich essait d'innover. Ils remplacent les boules de feux s'engouffrant dans les rues par de la flotte. Il s'autopompe? une autofellation cinématographique?  
 
et le plus gros du pompage est NY sous la glace de AI même si encore une fois l'original gagne: le New York sous la glace de Spielberg est plus crédible en 1 minutes de survole que la demie heure d'Emmerich.  
 
Reste deux éclats de rires: les citoyens américains qui franchissent le frontière mexicaine - le froid sera arrété par les douanier mexicains - et le Président US qui annule la dette mexicaine en suivant.  
 
Pas aussi politiquement incorrect que cela le laissait croire dans la pseudo critique de dvd rama - on sort les klennex pour le pseudo Donald Rumsfield qui se découvre un coeur, le film reste consensuel et ampoulé de cliché - on aura sauvé le chien.
 
note pour un projet de maitrise de cinéma: "place du chien dans l'oeuvre de Roland Emmerich".
 
Reste que Emmerich est fasciné par la pluie et New York, il sait restitué une ambiance apocalyptique, de fin du monde. Une fois de plus la fin du monde touche essentiellement l'Amerique du Nord - pas de bol - et le reste du monde est résumé en une série de photo sattelites. Frustrant et énervant.
 
Un remake français de tous les films de Emmerich ferait rire.  
Une flotte de vaisseaux ET se place au dessus des grandes villes - genre Paris, Clermont Ferrand, Brest.
Une lezard géant vient trouver refuge à Cherbourg.
 
Le monde - la France surtout - traverse une période de bouleversement climatique: Nantes est rayé par des tornades, Paris par la neige pendant qu'un père de famille traverse l'Oise et la proche banlieue pour sauver son fils qui a trouvé refuge à Chatelet Les Halles.
 
2/6.
2004 pue de sous les bras.

faut dire que le challenge n'était pas vraiment difficile.

 
"Pas mal" en français ça veut dire mieu que "bien" ou aussi bien ... tu voulais dire "pas mauvais" sans doute ^^

 
oui voilà. sinon le gros barbu est pas mal aussi. bien aimé le duo qu'il forme avec le jeunot.

 
Incomparable à Matrix3 d'un point de vu technique, mais disons que niveau photo réalisme dans un autre registre, les plan de vues sur les villes ainsi que l'animation de la flotte (surtout l'animation de la flotte, mais on me dira que c'est pas compliqué) restent quasi-parfaits. Je pense tout de même que ça a demandé pas mal de boulot les sfx de ce film ... les 2/3 du budget y sont passés tout de même.

perso je trouve les FX de matrix 2 et 3 surfait et très mauvais. J'avais l'impression d'etre dans une cinématique de jeux vidéos pas un film. le ciel final de matrix 3 est une honte. z'ont même pas été foutu d'aller dehors filmer un vrai levé de soleil.

 
Je comprends ce que tu veux dire ... tu dois penser de même pour Starwars Episode 2 je pense. Quand je parle de Matrix au niveau sfx, je pense au fait que leurs effets spéciaux sont "neufs" et "innovants" (plutôt d'un point de vue technologique pour les 2 derniers d'accord). Ce sont des films basés sur les sfx et si on y trouve des défaut c'est certainement dû à la jeunesse de leurs techniques

oui mais vois tu, même dix ans après, la scène où le T rex de Jurassic Park sort de son enclot et pousse sonc cri "fonctionne" encore. On y croit. Or là, les FX du moment on y croit pas . On "voit" les trucages alors que le meilleur trucages du monde est celui qu'on ne voit pas. et je suis un grand fan de film a FX. donc j'exige d'etre satisfait.

en anglais mais tellement ça.
 

Encore un film que je ne verrais jamais

 
C'est clair, Matrix est loin d'être une réference.
La séquence avec les "100" smiths ou l'agent vs Morpheus sur le toit du camion (bluescreen) sont largement baclée AMHA.

c'est même de l'escroquerie à ce niveau. j'ai failli sortir de la salle quand j'ai vu Morphéus sur son camion avec l'écran en retroprojection.

 
Le truc c'est qu'entre animer un T-REX et animer un personnage humain y a un gouffre énorme et de ce point de vue là(clones 3D) matrix 2 et 3 restent les meilleurs même si certains(pas tous ) plans sont un peu ratés mais c'est normal c'est mille fois plus difficile à faire qu'un T-REX ( Après tout on a jamais vu un dinosaure de notre vie comment peut-on voir les défauts d'animations de celui-ci ? Alors qu'avec un clone humain 3D ça se voit presque tout de suite , quoi que dans certains plans du duel néo/smith de matrix3 cela reste super bien fait ...)

je les ai trouvé sans defauts les fx des matrix, je dois etre trop bon public

Quelle bande de pinailleur

Moi je suis resté pendant le duel néo/smith, je trouve que visuellement ça arrache et on sent une puissance dans les coups ,puissance qui avait un peu disparu pendant la scène 100 smiths d'ailleurs ... toujours très réussie compte tenu du challenge (clones humains)

 
Sérieux, la baffe de néo à la fin de matrix 3 avec la déformation du visage d'Hugo Weaving, c'était plus que bien fait quand meme

  , image de synthèse en plus, ça doit être la première fois qu'un visage humain est aussi bien rendu en image de synthèse

 
Moi c'est le contraire, je préfere 100x plus la scene avec les 100Smith, hormis les clones pas parfait visuellement, pour mettre au point ce balais cinématographique, je n'ose immaginer les moyens et le boulot fournis.