Reprise du message précédent :
y'a quand même un truc qui va être casse-pompons avec les expressions de feu Rogr, c'est qu'il a mélangé les phrases à la première personne du singulier avec celles à la 3eme personne.
C'est chiant, j'vous jure!

Est-ce que quelqu'un osera utiliser Alain Delon pour passer outre cet obstacle technique ?

et parler de son apparition dans les toilettes...

 Ah la vache, mon pauvre Stipey, là je te plains, qu'est ce qu'elle t'as mis, la cheffesse scout !
 
Bon, Navy chérie, j'y serais samedi, au rdv, une rose blanche dans la pogne droite et le dernier numéro bi-mensuel du magazine 'havanes et autres déchets", je pense que ça serais super si tu t'habillais d'une robe longue, blanche, avec un voile de mousseline où d'organza et un serre tête en fleurs d'oranger. Les dessous, là tu gères, je pense.

non mais pour ça je pense que tu peux adapter ça dans un sens ou dans l'autre (voire dans un troisième - par exemple s'il s'agit de lesbiennes tu mets "elle" partout), ce genre de manipulation est je crois autorisé par les lois du topic

t'es fin saoul, t'as fait un tas de fautes indignes du rang de tes habituelles sorties.
 
pour te faire pardonner, va enfiler une petite jupe noire...

je parlais à tas d'bazar, hein

ok

merci,voilà qui me facilite la tâche (caravane)

Stipey je n'ai pas bien saisi ta phrase sur les roux, songerais-tu à remettre en cause la prééminence de Lorelei ?  

L'oursin aboie et le char à voile passe. Rimini m'inspire, on dirait le Sud.

non, je disais juste qu'elle porte bien le couvre-chef, Lore. Même quand l'Italie n'est pas triste.

Laffont.

Hé bien je devrais faire ça plus souvent

 
It's a trap!

nigaud!

si on insulte mon pseudo, gaffe gaffe : je pète mes babouches, ça va saigner.

 
Si ça tombe pendant les règles de madame, tu n'as aucun mérite.

Dans un autre topic, la demoiselle dans le second bateau disait :  

Je suis consultant, payé pour donner des conseils. C'est souvent bien plus amusant quand je ne suis pas tenu de les appliquer .
 
Mais je vais voir si je peux faire un effort .

Pfiouuu là. Déjà 2 pages, 23 paragraphes, 1174 mots, 6 mots imposés, 1 expression imposée, 1 situation imposée évoquée et déjà une brune.

si tu nous ponds un truc de 150 pages, je te préviens que je ne lis pas  

 
A combien tu t'arrêtes ? Je ferai exprès de mettre la partie érotique au delà de cette limite, et à chauffer le lecteur au moins 20 pages avant, juste pour te punir

je ferai une recherche sur "cotte de maille" et j'irai directement lire le passage où ce mot est mentionné

 
Grand fou va!
Pour la peine, ce passage sera sans intérêt, et sentira la poussière.

je lui eternuerai dessus, et sans mettre ma main devant ma bouche

Calmos, atchoum et grincheux (ok simplet proof)

 
ok, Blanche Neige.

On dit relever le gant

J'aurais parié sur forcené, moi  

 
Et je dirais même:
 
Oui à coté de Rimini, même Palavas a l'air sexy  
Car à coté de Rimini, la Grande Motte ressemble à Venise
 
   
 

C'est fort triste

            Refusant d’utiliser le mot dentiroste d’une façon utile, nous étions là, toute la sainte famille réunie, pour passer les fêtes de Noël ensemble. Dans ce chalet perdu en pleine tempête, ma mère, pour cette occasion unique, avait préalablement passé l’aspirateur sous les radiateurs. Dans sa chambre close, ma sœur, délaissant pour une fois son éternel sudoku, aspirait pendant ce temps autre chose, comme une forcenée du carmel, en vue d’une ultime téléportation tantrique.  
 Dans le jardin, la neige tombait drue sur le poulailler familial comme, au mois de mars, les impôts sur le contribuable. La réception battait son plein. Maman avait parcouru sans relâche les foires aux bestiaux pour nous cuisiner une truie entière de deux cent kilos qu’elle posa sur la table avec un air complice et l’aide de mon frère. Les tétons de la bête pouvaient remplir la main d’un honnête homme. J'hésitai un instant entre la crevette rose récemment épluchée dans mon assiette, et le téton qui pointait à ma droite. J'optai pour la crevette, sans toutefois quitter le téton de l'oeil. Il gisait au milieu des framboises, ornant la grande marmite d’un triomphal érotisme culinaire.  
 Ma sœur, dont les mensurations idéales lui avaient valu d’être en son temps élue miss Bretagne, était devenue perméable au rosé provençal. Elle bava sur son pigeon aux petits pois, que le grappin de sa concupiscence avait choisi entre autres mets savoureux :
- Cette mayonnaise pue, et ce pigeon dégage une impressionnante odeur de vieux collant !
- Tu n’y connais rien, rétorqua ma mère abusive, c’est parce que tu n’as jusqu’ici connu que les pigeons de Paris. La fermière sait que sa poule mue, aussi vit-elle au champ.
- Bof, c’est pas comme si c’était grave, mais maman, tu aurais pu te laver les mains avant de farcir cet ersatz de dinde.
 Puis, après un long voyage à dos de chameau, ayant parcouru les immensités arides du bassin méditerranéen, tout engoncé dans sa sainte cotte de maille sacrée afin de  bouter les bolcheviques hors du département de l’Isère, Dieu nous apparu dans les toilettes. En fait, c’est ce qu’affirma mon petit frère, un ado au duvet rare, habillé de guenilles. Il venait de s’avaler au petit coin quelques fumées hallucinogènes qui le firent galoper dans la pièce en criant :
- En avant, en avant Guinnnngamp, en avant Guingamp !
-Arrête de toujours dire ça, lui répondit ma sœur en s’assurant de la trique de son concubin.
- Vous avez une chose étrange qui sort de votre pantalon, s’extasia ma mère en jetant un regard oblique à sa montre à quartz, dans la fébrilité de l’attente des douze coups de minuit.
- Ce n’est que mon furet de plombier, que j’irai ranger tout à l’heure avec les entonnoirs.  
 Car il exerçait la profession noble de psychothérapeuite chauffagiste  Il connaissait par cœur, en bon disciple de l‘abbé Julio, les grands secrets merveilleux pour aider à la guérison de toutes les maladies physiques et morales et déboucher convenablement son bac à douche.
 Mais alors qu‘on vomissait notre dessert, Dieu nous apparut vraiment, tout auréolé de nos étrons respectifs. Mon beauf profita de l’aubaine constituée par notre surprise commune pour attraper ma sœur en la collant sur les restes de truie. La sensibilité conjuguée de la peau du cou et des deux tétons ressortait du prodige : il resta pensif. Pas vraiment longtemps :
-Tourne-toi !
 Dieu portait sur le front un bandeau de kamikaze ornée de la parole de vérité. Ancien juré au comité miss auvergne, il avait autrefois bien connu ma frangine. Ce ne fut pas sans étonnement qu'il la vit déambuler nue dans l'appartement : il la reconnut grâce à cette chevelure noire qui avait focalisé toute son attention lors de leur première rencontre, et qui pouvait rivaliser avec les plus hallucinantes du genre, hélas disséminées aux quatre coins du globe :
- Vilaine que tu es, vois ce saint bâton de dynamite, je m’en vais , une fois pour toute, dans les siècles et les siècles, te le coller à l’endroit du péché pour t’en faire glorieusement exploser ton insatiable cul de mécréante.
 Cela nous fit éclater de rire à l’unisson, avec une hétérogénéité hilare. A pleines dents, nous commençâmes à goûter cette soirée inoubliable avant de baisser les lumières. On se tapa tous sur nos ventres gonflés de truie comme des derboukas. Seule ma sœur s’échinait sur d’ultimes problèmes de plomberie :
- Quel crampon, cet ange du salut ! Hurla ma sœur qui s’appelait marie-madeleine. La truie restant, quoi qu’il arrive, la femme du cochon.
 On la voyait mouiller les pans de son jean, en proie à d’endoréiques écoulements de satisfaction lubrique. En sustentation, elle plongeait en cadence son beau visage crispé dans le plat d’encornet encore fumant. Voilà pourquoi Dieu, perdant patience et dans le but louable d’écrire le prochain testament, fit péter le chalet en nous micronisant dans la nuit étoilée. Cette étrange lueur obligea les rois mages à garer leurs Harley-Davidson près du bourg de Gstaad, où leur divine intuition leur avait annoncé la naissance d’une nouvelle légende du rock and roll..  
Lets’go : a ouane ! a two ! a truie ! :
- «  O FISC 2000 ! »
 
   
 

Donc voilà, vous avez exactement l'inverse de ce que je suis en train d'écrire

J'ai ri beaucoup, tout de même, malgré l'absence un brin inquiétante de Rimini

terriblement bon

Y'a un truc, je suis sûr qu'il y a un truc  

mais non, mais non...

Tu es trop urbain, Monsieur Chopa