Reprise du message précédent :

 
sauf qu'ici ce n'est pas une demande de BAN, étant modo, ceci entre dans l'alinéa 3 paragraphe 25, catégorie 3234 du Tome VII page 121 324, troisième colonne en partant de la droire en haut à gauche des règles du forum, à savoir, un avertissement

Je rappelle à toutes fins utiles que le début imposé est "Elle s'ennuyait virgule à crier point"

Je me contrefous de la ponctutation et si vous êtes aussi à cheval sur les virgules, mon prochain texte fait 3 pages tout en SMS . Et puis "Elle s'ennuyait, à crier." c'est impossible d'enchaîner derrière (à moins de raconter la vie, l'oeuvre, la mort d'IZN en 1 ligne, bien sûr ).

C'est bien dommage, un texte mal ponctué c'est comme un vêtement coupé mais pas cousu, ça ne ressemble à rien.
 
Par ailleurs, je ne m'ennuie jamais.

va directement en enfer toi

j'ai remarqué qu'il y avait des gens qui avaient tendance à dire n'importe quoi

 
de rien, je le fais gratuitement  

 
 
Tu as le choix dans la date.

Sagesse n'est pas folie.

 
C'est pratique, tout de même, tu sais, une sorte d'alibi. Pendant ce temps-là, on fait ce qu'on veut et...

Alibi, bibi j'en suis baba
mais je m'egare....

la date de qui?  

 
la date de ton choix  

ôte moi d'un doute, quand même, sinon je me tais à jamais !

En 1954, pour la réédition de L'Etoile mystérieuse, le drapeau américain fut remplacé par celui du Sao Rico.

Tout va bien, monsieur Chopa ?

Je suis un peu chaud au retour de la pointe d'extrémadure, mais à part ça je plantais fermement mon drapeau (à défaut de bâton Dux). Je vais de ce pas lire les mots imposés m'dame.
Je risque d'écrire n'importe quoi, mais cette fois à cause du manque causé par la fin des binouzes à 1 €, et autres tapageuses tapas tape-à-l'oeil  

Tu devais pas m'envoyer un MP, à propos ?
J'en profite vu que t'es chaud, hein
 
Sinon, j'ai confiance en toi.

J'essairai de m'en montrer digne  

Cette sobriété...

il vaut mieux aller aux moules et revenir moulu qu'aller aux coques et revenir cocu.
ce petit top mauve, navy, c'est à mourir !
quoique avec le vert de tes tongues...

Mes tongs sont rayées, Talbazar, regarde mieux.

C'est pas un peu fini de discuter garde-robe alors que des foules immenses s'amassent déjà aux portes du topic avides de lire votre prose avant que nous réglions tout ça dans les arènes sur fond de sang bleu sur sable chaud

non!! palsambleu!!

Je vois pas les 4 situations dans ton texte  

 
Lequel ?

Le premier, le deuxième je l'ai pas encore lu

Les 4 situations sont bien évoquées, mais seule une est developpée

Tu es sûr de ne pas avoir loupé ton edit, je vois même pas le mot lapin dans le texte  

J'ai pondu un truc ce soir, ça risque d'éditer sec si je reprends un jour à tête reposée    
Pas de spoiler, si vous lisez faut  prévoir de l'aspirine et vous en prendre qu'à vous    
 
 
Elle s'ennuyait, à crier. Assise à califourchon sur son lit, elle se lamentait en maudissant le jour où elle était entrée dans la Navy. Oh, non pas que c’était la première à y entrer. Des tas de gens y entraient et en ressortaient tous les jours, des gros, des petits, des chauves, des durs tatoués, des grands mous, des pelotons, des compagnies, des régiments même : ouverte aux quatre vents, la Navy accueillait en son sein toute une joyeuse sarabande qui formait l’élite de la nation.
S’il fallait trouver l’équivalent d’une si grande et noble organisation dans la société des lapins, nous pourrions penser au Boulodrome sacré. Au cas où vous l’ignoreriez, le grand Boulodrome, surmonté de mâchicoulis gothiques se dresse telle une cathédrale au centre de Chihahua, la capitale lapine, afin de réguler la vie de ses administrés dans les moindres détails. Il est dirigé depuis des temps immémoriaux par les descendants de la lignée des Angoras, les plus doux parmi les lapinoux. Les Angoras sont chargés de la gestion des affaires internes, mais surtout de l’épineux problème de la cuniculture : bon an mal an on comptabilise 500.001 copulations officielles dans le royaume. Chaque année bissextile, un nouveau lapin Angora est nommé à la tête du Boulodrome, un mâle reproducteur autant que faire se peut, capable de bander comme un pendu. La société lapine peut sembler cruelle par son attitude ouvertement gérontophobe. Ainsi par exemple l’ancien monarque est immédiatement recyclé en carpette ou en foulard ; puis, vendu sur les marchés, il sert à acheter les saintes carottes de la communauté, car comme chacun sait un lapin ça ne mange pas de pain. De la famille des ombellifères, la carotte peut être plongée 5 minutes en friteuse puis conservée presque une semaine dans un Tupperware hermétique. J’ai bien dis Tupperware, si vous utilisez une piètre malfaçon je ne vous garantie pas que vos carottes se conservent aussi bien. Moi, j’dis ça, j’dis rien, mais à votre place ça m’énerverait qu’elles aient un goût de paprika faisandé, et je serrais capable de casser ma pipe en bruyère dans un geste de sublimation inconsidéré. Mais revenons-en à nos lapinoux. J’avais un bon ami, il s’appelait Roger Lapin. Il était tombé raide dingue d’une beauté sulfureuse, une pulpeuse rouquine, toujours moulée dans une petite jupe noire très sexy en latex. Belle à en damner un sein, voire deux. Roger lui avait conté fleurette dans un strip minable, puis l’avait définitivement séduite grâce à un « Rita, donne-moi ton cœur » de derrière les fagots. C’est dans un terrier qu’il l’avait emmené pour lapiner, mais juste quand Roger commençait à lui grimper sur le râble un métropolitain les surpris en enfonçant les murs comme du beurre, sans crier gare ni station de métro. Bein ça alors, je le croyais à peine quand il me raconta cette incroyable péripétie, mais le fait était là : un métro fou avait glissé sur une renoncule, il avait déraillé, et 50 lapin au moins passèrent l’arme à gauche en clin d’oeil. Heureusement que depuis ce drame on amidonne les rails pour l’adhérence, les paroissiens du Boulodrome peuvent dormir sur leurs 2 grandes et soyeuses oreilles. L’histoire aurait pu en rester là pour la soirée, un autre que Roger aurait débandé après un tel drame et jeté l'éponge. Mais à force de volonté, Roger avait réussi à fuir le tohu-bohu consécutif à l’accident et à coucher sa belle sur des rhododendrons (le moins qu'on puisse dire c'est qu'il n'est pas enclins à la procrastination).  
D’ailleurs tout s’enchaîna si vite qu’on eut bientôt un charmant petit mariage en province. Tout semblait se passer pour le mieux pendant les préparatifs, mais c’était sans compter sur les caprices de la belle. A une heure de la cérémonie, elle réclama que chaque invité gobe une douzaine d’huîtres, c’était paraît-il la coutume en Moldavie. Roger eu une réaction violente.  
- Hein mais tu veux ma peau ou quoi ? Dame oui ! Des huîtres à cette heure, mais où je vais trouver un bon ostréiculteur ?
- Voyons Roger, tu sais combien c’est important pour moi.  
- Grand bien te fasse ! Ah ! Mon royaume pour un ostréiculteur, qu’on m’en trouve un tout de suite ! Ceci est complètement ubuesque !
Puis Roger se calma, et se souvenant de la pub des Ferrero Rocher il fit venir les précieuses huîtres en hélicoptère. C’étaient de belles huîtres tubulaires, certaines virtuoses savaient chanter et danser la gigue en tonga. L’une d’entre-elles connaissait un fameux tour de claquettes. Une autre était spécialisée en macramé. Autant dire que ça lui coûta la peau des fesses (mais qui en voudrait de la peau (des fesses) de Roger Rabbit) car il dut se séparer des bons au porteur en emprunts russes qui constituaient l’essentiel de sa fortune. Enfin, il ne voulu pas joueur les vilains trublions à son propre mariage et il laissa vite tomber l’affaire.  
La nuit de noce fut torride, ils niquèrent comme des lapins, ce qui paraît normal, ensuite ils eurent pleins de petits mioches, Lore gagna la compétition en décembre et tout le monde vécu heureux jusqu’à ce qu’ E-nyar locke le sujet.

Miam miam

Elle s'ennuyait, à crier. Rita évita d'hurler, cependant, car elle était en deuil de son petit lapin, Play-boy, qui venait de casser sa pipe et pourrissait depuis huit jours parmi les rhododendrons et les renoncules de son balcon.
Une rencontre de Play-boy avec le chihuahua de sa voisine lui avait fait passer l'arme à gauche: finie l'intime cuniculture avec l'ami Play-boy ! Par vengeance et mesquinerie taquine, Rita décida d‘avarier la vie de sa voisine Gloriette, laquelle devait prochainement se marier en province. A force de volonté vraie, elle attendit la nuit, allongée dans une posture indigne sur sa carpette, véritable boulodrome en laine Angora. Rita savait que Gloriette recevait chaque soir son amant, un ancien scotcheur de timbres aux P.T.T, reconverti dans les huîtres Belons. C'était là l'occasion rêvée de jouer les trublions. Quand elle entendit l'homme sortir de l'ascenseur, Rita posa un nouveau vinyle sur sa platine et s'enfila un love-toy sous sa petite jupe noire, çà ne mangeait pas de pain. L'amant de Gloriette était en retard d'une bonne heure, en raison d'une panne d'essuie-glace du métropolitain. Rita ouvrit grand la porte au fameux paroissien, un petit blond de tailles moyennes. Il afficha d'abord un regard hermétique, mais ne résista pas longtemps à l'appel de la friteuse de Rita, car il avait très faim, au sortir du tohu-bohu citadin:
«  Mon royaume pour un steak » dit-il en enlevant son futal.
Rita délaça son  foulard réglementaire et dégrafa son impressionnant soutien-gorge, versant deux tonnes de paprika sur les patates tubulaires de son vis-à-vis, un ostréiculteur de quatre vingt ans, mais elle n'était pas gérontophobe. Là voilà qui commence à lui conter fleurette en lui plongeant une main décidée dans l'entrejambe, tâchant d'amidonner le truc du marchand d' huître, autant que faire se peut. Ce dernier se mit aussitôt à bander comme un pendu:
« Rita, donne moi ton coeur ! Enfin, moi je dis çà, je dis rien... »
Sitôt dit sitôt fait, il n'y aurait pas de malfaçon de la part de Rita. Elle lui tomba sur le râble et se jeta sur lui à califourchon, secouant les hanches en véritable virtuose du sexe:
«  Grand bien te fasse, poissonnier ! »
Perdu dans cette  sarabande extatique, le vieil ostréiculteur apprécia la péripétie amoureuse en bavant sur sa partenaire comme un gastéropode heureux. Bon an, mal an, y compris les années bissextiles, il ne voyait pas çà tous les jours ! On l'entendit râler jusqu'aux mâchicoulis de la grande cathédrale... Toutefois, au milieu de cette érotique sublimation, Gloriette, alertée par le bruit et l’odeur, se laissa pénétrer dans l’appartement pour surprendre le couple dans l’exercice de ses coupables fonctions:
« Merde alors, cria-t-elle, avec une moue dérisoire et vaine. »
Malheureusement, elle referma la porte violemment sur son crétin de chihuahua qui la suivait partout et le pauvre animal fut coupé en deux. La situation devenait ubuesque, mais Rita se trouva vengée. Elle enverrait plus tard ses condoléances à Gloriette, par bon au porteur, non sans une certaine procrastination. L’ostréiculteur, quand à lui, indifférent au sort du petit clébard, bavait toujours sur les seins de Rita comme une limace épanouie. En raison de son âge vénérable, il fit une attaque cérébrale et Rita l’enterra sur son balcon, juste à côté de son petit Play-boy aux longues oreilles, que la police des mœurs rendit finalement responsable de tout.
 

Héhéhéhé

 

 
ceci n'est pas une déclaration.
 

FINI§§§§  \o/
 
j'ai plus qu'à me relire, trouver ça naze, recommencer 2 fois, trouver ça naze 2 fois, sombrer dans l'alcoolisme, mourir.
 
merci iznii  

Ca me rassure, je suis pas le seul à fumer des fânes de carottes

ben si  

On fait comme on a dit ?

Il se dit des choses sur ce topic ?