|
Auteur | Sujet : Philo @ HFR |
---|
foutre de | Reprise du message précédent :
Message cité 2 fois Message édité par foutre de le 29-03-2008 à 19:24:27 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
Publicité | Posté le 29-03-2008 à 19:22:31 |
l'Antichrist | Je dirais, quant à moi, que la matière est un concept global, non spécifique, transgénérique, et qu'il n’appartient donc pas en propre à la démarche scientifique. Comme concept philosophique (puisque c’est à la philosophie que revient la charge de réfléchir sur le statut des sciences dans leur visée de vérité en réintégrant le plan de l’expérience humaine globale), il est nécessaire de penser la fonction ontologique de la matière à travers la question du devenir (c’est-à-dire du changement) : c’est elle qui rend la physique possible car elle seule peut montrer que la matière n’est pas une substance, mais un principe d’individuation (cf. Aristote) dans un ordre phénoménologique et non plus seulement physique. Est substance, le sujet individuel, composé de forme et de matière. Il faut alors doubler l’opposition statique de la matière et de la forme par l’opposition dynamique de la puissance et de l’acte. Comme substrat, la matière indéterminée n’est substance qu’en puissance et tend vers la forme : pour penser le fondement du réel, la matière ne suffit donc plus. Il faut passer du concept de matière à celui de nature. Il faut quelque chose de plus que la matière pour avoir une nature. Physiquement, comment s’achève une forme ou un acte ? La matière n’est qu’un moyen terme entre l’être et le devenir, elle est donc mouvement et cela fondamentalement, non comme une simple possibilité, mais comme une aptitude, comme une faculté. Une théorie philosophique de la matière ne peut dèslors que prendre la forme d'une philosophie génétique ou généalogique : c'est ce qu'a tenté Deleuze avec son "empirisme transcendantal" dans Différence et répétition. Au lieu de penser la pensée à partir de la question de la représentation, à partir d'une concordia facultatum centrée sur l'objet "matériel", il s'agit de rendre compte de la genèse de chaque faculté au sein de la rencontre volonté-corps hors de tout résultat perceptif, sensible, ou même cognitif. Car nos facultés sont les variations intensives du même rapport primitif, elles sont la pensée s'engendrant elle-même dans ses multiples opérations, pensée que les résultats empiriques n'expliquent et n'épuisent jamais. Aucune faculté n'a de miroir qui la réfléchisse extérieurement. Les facultés sont la génitalité de la pensée, la genèse de la pensée corporée, la pensée dans son étoffe empirique et transcendantal. Elles sont les rayons divergents qui naissent de l'épreuve radicale de la violence du corps en soi, le corps, ce médium du monde, que la volonté ne plie pas à son gré, duquel elle reçoit plutôt le flux des affects. Seule l’évolution de la matière vers la forme peut et doit être étudiée : partout la matière "recule" devant le composé, c’est-à-dire devant le vivant, devant nous-mêmes, pris dans l’expérience que nous sommes, c'est-à-dire comme union vécue de l'âme et du corps. La vie est un principe interne de mouvement. Il est impossible alors d’en rester à une modélisation abstraite du mouvement. Il faut passer à l’épreuve intime de l’effort, à l’expérience intime de la motricité qui me porte à habiter mon propre corps. Une réflexion phénoménologique sur le mouvement doit prendre en compte notre expérience intégrale du monde et penser ce mouvement dans la continuité dynamique de son passage : le mouvement n'est pas une succession discontinue de positions, mais un (c'est-à-dire indécomposable). C'est une puissance mouvante, union vivante du moteur et du mobile (le mobile est à lui-même son propre moteur). On ne peut donc simplement concevoir le mouvement dans l’extériorité d’un monde géométrisé : il faut le saisir comme intériorité. La matière n'est pas substance, c'est le changement qui l'est. La mobilité devient la réalité même. L'essence du monde matériel est de se dissoudre dans le passage. Or, dans l'expérience de mon propre corps, dans l'exercice des fonctions sensori-motrices, j'apprends à la fois à maîtriser mon corps et à construire mon identité : loin de l'objectivation vide parce qu'improductive du mouvement spatial des modélisations scientifiques, la réflexion philosophique veut penser le passage productif du temps de l'histoire humaine (individuelle et collective). Comme un morceau de musique, une vie n'est pas une chose qui change mais un changement pur, une histoire dont nous saisissons la substantialité mouvante dans l'expérience intime et irréductible de notre propre moi. Message cité 1 fois Message édité par l'Antichrist le 30-03-2008 à 06:37:24 |
rahsaan |
--------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
rahsaan | Ce que je voulais dire, en commençant par poser que le matérialisme n'est pas une doctrine de la matière, c'est que le matérialisme ne peut avoir qu'une fonction polémique, destructrice : la destruction de l'idéalisme sous toutes ses formes, c'est à dire toute doctrine qui subordonne le réel aux idées, ou qui dénigre le monde au nom d'un autre monde, ou encore la doctrine qui s'imagine que les idées naissent librement dans la tête des hommes, s'épanouissent et ensuite se réalisent dans le monde. --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
foutre de | j'ajouterais même que c'est toujours un piège de débutant que de soulever un concept sans entendre immédiatement qu'il ne peut fonctionner sans son contraire (ce que ton post montre bien), voire qu'il n'y a rien de plus substituable à un concept que le concept contraire (cf. ce que j'ai fait subir au post de néojousous hier...). rien de plus éloigné de la pensée, du début d'une pensée, que l'étiquetage terminologique (le terminologisme, c'est pas encore un courant philosophique identifié ?...). heureusement, la pensée veille...
Message cité 1 fois Message édité par foutre de le 29-03-2008 à 19:49:06 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
rahsaan |
Message édité par rahsaan le 29-03-2008 à 19:57:24 --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
rahsaan | Non mais, on n'est pas ennuyeux par hasard non plus. Message édité par rahsaan le 29-03-2008 à 20:08:12 --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
Publicité | Posté le 29-03-2008 à 20:11:18 |
hephaestos Sanctis Recorda, Sanctis deus. |
C'est la seule qui présente un réel intérêt quand on se pose des questions épistémologiques. C'est tellement courant d'entendre aujourd'hui des "gens" (experts, journalistes, scientifiques, lecteurs de la Recherche ou de wikipedia) se cacher derrière la science moderne pour éviter les questions dérangeantes que soulevait la science d'avant. La relativité et la quanticité sont la réponse à tous nos maux. La relativité, parce qu'elle montre que le monde est différent de celui qu'on perçoit, mais qu'on peut quand même le savoir. La mécanique quantique, qui nous sauve du déterminisme et de son insoutenable destin. Bien entendu, ces questions demeurent toutes entières. On ne peut toujours rien savoir de différent de ce qu'on sent, et chercher un libre-arbitre dans l'indéterminisme quantique (alors même que ce dernier n'existe pas scientifiquement) est parfaitement stupide. La physique quantique et la relativité n'ont qu'une seule utilité, répondre un peu mieux à certaines questions, elles n'ont rien changé à la relation qu'on a à la nature/l'univers/Dieu. Message édité par hephaestos le 29-03-2008 à 20:17:38 |
rahsaan | >Neo : Je n'ai jamais vu un mot en -isme (jamais !) employé de façon autre que vague et générale. Message édité par rahsaan le 29-03-2008 à 20:19:05 --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
rahsaan | Ça va finir que je vais aller citer l'article de Deleuze sur le structuralisme, où il dit dans quelle mesure l'usage des mots en -ismes est valable...
Message édité par rahsaan le 29-03-2008 à 20:22:31 --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
l'Antichrist |
Message édité par l'Antichrist le 29-03-2008 à 20:50:22 |
foutre de | je me permets de glisser, outre l'ennui qui est un critère légitime en ce sens qu'il est une nuisance au désir, à l'appétit et donc à l'effort qui anime la pensée, je me permets de glisser que le repérage, la classification, c'est une attitude fixiste, ou atomiste (iste iste...) : on indique des îlots, on postule des positions, on coordonne un espace. C'est très pratique quand on aborde la pensée, ou l'histoire de la pensée, en entomologiste, ou pour faire des classements bibliothécaires... (pour les concours, c'est utile aussi, pourquoi pas...) De plus, -isme ramène toujours l'idée de "partisan de -", de courant volontaire ; je l'admets bien quand il s'agit du "marxisme", déjà moins quand il s'agit du "nietzschéisme" (qui est un en soi un contre sens sur le contenu de la doctrine). Je ne suis pas sûr que penser ait quelque chose à voir avec le fait d'être partisan. ce qui à la rigueur peut-être acceptable en terme de méthode (mais c'est moins partisan que représentant d'une méthode, ça me semblerait plus juste). les mots en -isme sont des résumés, des raccourcis (et comme disait Valéry:" les raccourcis sont les chemins du diable" ). mais c'est la première fois qu'on le traduit comme tu fais :
Message cité 1 fois Message édité par foutre de le 29-03-2008 à 20:59:01 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
rahsaan | D'accord avec toi pour les -ismes comme raccourcis, qui sont les chemins du diable.
Message édité par rahsaan le 29-03-2008 à 20:54:50 --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
foutre de | oui mais si tu transcris à partir des travaux philologiques de néojousous, ça donne :"mon-cul n'est pas l'ouverture de l'être, mais le m'être-mon-cul de l'être" Message cité 1 fois Message édité par foutre de le 29-03-2008 à 21:11:34 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
rahsaan |
--------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
Profil supprimé | Posté le 29-03-2008 à 21:24:48 |
rahsaan |
Message cité 1 fois Message édité par rahsaan le 29-03-2008 à 21:30:29 --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
Profil supprimé | Posté le 29-03-2008 à 21:31:24 |
rahsaan |
--------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
foutre de |
allons, ça fait plusieurs fois que j'essaie de faire rire Neojousous, y compris en faisant des blagues sur les cyclistes d'appartement de la phénoménologie, alors je me trouve pas dur. d'autant qu'il est certainement plus brillant étudiant que moi. chais pas. maintenant tu me fais douter. je me demande si je l'ai vexé... tain.. c'est toi qu'es dur avec moi... (j'en bredouille des "j'veux bien" ) Message cité 1 fois Message édité par foutre de le 29-03-2008 à 21:39:01 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
Profil supprimé | Posté le 29-03-2008 à 21:38:50
|
rahsaan |
Message édité par rahsaan le 29-03-2008 à 21:42:14 --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
hephaestos Sanctis Recorda, Sanctis deus. |
Définir scientifiquement, c'est proposer un énoncé qui soit transmissible et à un autre aussi générique qu'on puisse imaginer : soi-même, son voisin, un étranger, un voyageur de l'an 3000, un singe, un dauphin... La science est uniquement affaire de communication. De politique, même, je dirais, mais j'aurais surement tort
En rien. Message cité 1 fois Message édité par hephaestos le 29-03-2008 à 21:46:21 |
foutre de | Pour la communication, je suis d'autant plus d'accord avec toi, hephaestos, que c'est le principe même de la mathesis universalis : un seul langage pour tous, qui use de concept à usage unique (un seul signe un seul sens). D'une certaine façon, c'est ce que j'aime dans l'épochè : c'est l'anti mathesis universalis par définition. elle court circuite toute unité signe-sens, elle nous dit : avant d'admettre que ça veuille dire quelque chose, admettons que ça ne veuille d'abord rien dire (et voyons...) alors vous allez me dire : quid de la transmissibilité ? et bien justement, si on suit un peu l'histoire de la phéno, de ceux qui l'ont commentée ou critiquée, on voit bien qu'il est constamment question de transmissibilité affective, via l'ambiance, la stimmung (heidzegger, scheler, henry, marion...), ou via le transfert (en psychanalyse) : quelque chose se communique quand le langage rate (lapsus chez les lacaniens), quand l'objectivité s'effondre (communion angoissée et fusion sacrificielle chez bataille), quand la complicité s'installe (klossowski) (il faut admettre que la complicité, en tant qu'accord tacite, c'est la version silencieuse du contrat social, sa version irrationnaliste pourrait-on dire) Message cité 2 fois Message édité par foutre de le 29-03-2008 à 23:18:37 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
foutre de |
--------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
neojousous |
Message édité par neojousous le 29-03-2008 à 22:40:37 |
foutre de | 228 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
l'Antichrist |
|
foutre de | tichrist, tu vas encore te faire dire que tu cherches à dépasser l'homme au moyen de la logique philosophique et que c'est une contradiction in praxi.. Cela étant, certains passages de ce qui vient d'être dit consonnent pas mal avec la lutte que laruelle engage contre les Autorités, l'autorité philosophique en premier lieu (comme pouvoir réel s'exerçant), au nom de cet individu premier, préséant, qu'est l'homme en tant qu'Un, à qui l'on veut faire croire qu'il a besoin de la philosophie pour se connaître lui-même alors qu'il est d'emblée donné avant que la philosophie advienne avec son impératif de connaissance réflexive... mais vous n'êtes pas particulièrement laruellien que je sache ? Message cité 1 fois Message édité par foutre de le 29-03-2008 à 23:16:29 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
foutre de | je viens d'écouter jusqu'au bout l'émission "répliques" d'alain finkielkraut de ce matin, avec roger pol droit et elizabête de fontenay.
--------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
hephaestos Sanctis Recorda, Sanctis deus. |
Message édité par hephaestos le 30-03-2008 à 07:42:05 |
le vicaire | je comprends pas bien votre allergie au "isme", du moins que vous n'entendiez pas les arguments de néojousous qui sont tout à fait recevables. Des fois je mets des "ismes" partout pour voir la tronche de certains "misologues". C'est chiant entre "ismistes" (mais parfois ils s'entendent aussi) sinon un petit "subjectivisme" entre le fromage et la poire et ça vous met un silence apaisant pour mieux digérer. Message cité 1 fois Message édité par le vicaire le 30-03-2008 à 10:19:17 |
l'Antichrist |
Message édité par l'Antichrist le 01-04-2008 à 07:09:02 |
foutre de |
balancer une étiquette, ça suffit probablement quand on est entre soi. mais je ne suis pas sûr que si je fouille dans le topic je trouverai une définition satisfaisante des mots en "isme" dont il est fait usage. En pathologie, par exemple dans le cas des enfants aveugles de naissances dont le développement psycho-cognitif suit des étapes spécifiques différentes de celles d'un enfant doté de toutes ses facultés sensorielles, on constate l'emploi de mots par l'enfant dont on peut assez vite évaluer qu'il ne connaît pas la réalité qu'ils recouvrent parce qu'il n'en a acquis l'usage que par mémorisation d'emploi linguistique et pas par expérience sensible directe (un enfant énucléé de naissance pourra vers 8 ans vous parler du vert sans aucune gêne même s'il n'a aucune données sensitives pour étayer son propos) ; on appelle ça le verbalisme, et c'est un réel souci éducatif pour les parents que d'éviter que leur enfant ne sombre dans le verbalisme, notamment pour des raisons d'autonomie à l'âge adulte. En philosophie, le verbalisme est une pathologie qu'on aurait grand tort d'ignorer, elle existe parmi les étudiants (et parfois parmi les enseignants aussi...), et participe à plein de l'acquisition des compétences conceptuelles : on commence par identifier un concept dans une lecture avant d'en avoir envisagé l'ampleur sémantique. Je me souviens que la première fois que j'ai rencontré le concept d'"être", c'était en lisant "l'oeil et l'esprit" de merleau-ponty, dont on m'avait vanté l'accessibilité ; comme le livre était petit et que j'avais le sentiment de n'avoir pas tout saisi, je l'ai relu encore deux trois fois ; à chaque lecture "être" prenait une dimension nouvelle (parce que j'avais lu heidegger depuis, ou aristote ou un commentateur quelconque), et à chaque fois je mesurais la pauvreté de ma lecture précédente. (cette anecdote uniqement pour Pascal75 et répondre au cahier des charges du topic ) quand je lis un post qui contient plus de 5 occurences de mots en "isme", je veux bien que ces termes soient acquis pour la personne qui les énonce (principe de bonne foi), mais je me demande à qui le post s'adresse et s'il apporte vraiment quelque chose aux échanges. (et ça fait des taches sur la moquette) Message cité 1 fois Message édité par foutre de le 30-03-2008 à 13:04:09 --------------- « Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement » |
rahsaan | Quand écrirez-vous enfin votre grand oeuvre, De l'unidualité ? --------------- Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com |
Publicité | Posté le |