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Quels sont pour vous les trois livres de philo à lire pour un honnête homme ?


 
15.4 %
 273 votes
1.  "La république" de Platon
 
 
6.7 %
 119 votes
2.  "La métaphysique" d'Aristote
 
 
15.7 %
 279 votes
3.  "l'Ethique" de Spinoza
 
 
1.5 %
    27 votes
4.  "Essai de théodicée" de Leibniz
 
 
15.0 %
 266 votes
5.  "Critique de la raison pure" de Kant
 
 
17.8 %
 315 votes
6.  "Par delà le bien et le mal" de Nietzsche
 
 
5.9 %
 105 votes
7.  "L'évolution créatrice" de Bergson
 
 
6.4 %
 113 votes
8.  "Etre et temps" d'Heidegger
 
 
7.5 %
 133 votes
9.  "Qu'est-ce que la philosophie" de Gilles Deleuze
 
 
8.1 %
 144 votes
10.  "Moi, ma vie, mon oeuvre" de obiwan-kenobi
 

Total : 2656 votes (882 votes blancs)
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Auteur Sujet :

Philo @ HFR

n°12484930
neojousous
Posté le 23-08-2007 à 17:16:49  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

foutre de a écrit :

>néojousous : en fait je voulais dire "repaire", c'est-à-dire l'endroit où habite un sataniste, c'est la maison quoi. et ils énoncent des règles d'hospitalité/inhospitalité serrées. tu dois trouver ça sur les sites en googlisant...
 
si tu veux, j'ai un ami, Heretik, qui se revendique sataniste ; je ne sais pas ce que peut valoir pour toi une discussion avec lui, mais si ça te motive...


 
Oué ça m'intéresse pas mal, si tu pouvais nous mettre en contact ;)

mood
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Posté le 23-08-2007 à 17:16:49  profilanswer
 

n°12485046
Baptiste R
Posté le 23-08-2007 à 17:30:47  profilanswer
 

Citation :

Valorisation de ton ego ?


De la psychologie, si vite ?
Non, juste qu'on est parfois bref (trop sans doute) dans l'espoir (la paresse, si tu veux) que l'interlocuteur comprenne sans difficulté et sans s'arrêter aux mots. Je comprend certaines personnes du premier coup, d'autres ont beau répéter, être clairs et parler de choses qui a priori me plaisent, rien à faire je pige pas. C'est affaire d'affinité (et avant ça, de bienveillance).
 
Par exemple j'ai lu ceci et la première fois j'ai pas compris du tout :
 

Citation :

baptiste R, c'est bien beau sur le papier, mais quand tu décides d'opposer deux valeurs, t'es déja pris dans une valeur, tu pourrais être pris dans sa valeur opposée ne permettant pas d'opposer deux valeurs. Ta définition marche pour un couple de valeurs, mais pas pour un système plus complexe possédant des rapports d'inclusion.


La deuxième fois non plus.


Message édité par Baptiste R le 23-08-2007 à 17:32:25
n°12485348
foutre de
Posté le 23-08-2007 à 18:03:19  profilanswer
 

moi inverser renverser, j'ai compris direct et j'ai pas trouvé ça ténu. en fait les valeurs (mais ce n'est pas une question qui leur est spécifique), quand on s'y oppose, soit on dit "autre de" (contraire de, ou négatif de, ou inversion), soit on dit "autre que" (différent sans rapport, ailleurs sans référence à) - les deux expressions sont en usage chez laruelle couramment, c'est un débat qui a tout un tas de vocabulaire pour le délimiter donc.
ça revient à dire que retourner un gant, l'inverser, ce n'est pas changer de gant, ni mettre une mouffle...

 

c'est intéressant cette histoire d'inclusion, tu devrais développer.

 

moi, j'ajouterai que le fonctionnement d'un concept consiste à tracer une limite et à nécessairement impliquer son contraire parce qu'il pose une identité : il y a "x" (compréhension/extension...flexion etc...) et donc tout le reste c'est "non-x".

 

la question est de savoir si le satanisme n'est pas simplement le négatif du christianisme (donc la même chose en miroir) ou radicalement autre chose, voilà comment j'ai compris le ténu. Mais ce sont deux questions qui ne m'interessent que fort peu


Message édité par foutre de le 23-08-2007 à 18:04:35

---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12485349
neojousous
Posté le 23-08-2007 à 18:03:24  profilanswer
 

Et tu as lu combien de fois ?
Sur ce, je vais faire la chouille ! rien de tel que de se détruire la tête après l'avoir utilisé !
Tchao tchao !!!

n°12485557
Baptiste R
Posté le 23-08-2007 à 18:30:10  profilanswer
 

Sur Wikipédia je tombe sur cette phrase :
"Il signifie une adhésion au principe que toutes nos convictions, nos buts, nos valeurs, nos désirs et nos actions devraient être fondés sur, dérivés de, choisis et validés par un processus rationnel aussi précis et scrupuleux qu’il nous soit possible, en stricte application des lois de la logique."
Elle est donc de seconde main et même si elle était signée LaVey, neojousous aurait bien sûr toute liberté de la refuser. Je me demande tout de même ce que lui inspire cette phrase et comment elle cohabite avec Spinoza ou Nietzsche.
Si je pose cette question, c'est évidemment loin de toute volonté d'asticotage. [:sa]  Je m'en voudrais de ne pas respecter les itinéraires intellectuels de chacun et c'est au contraire par intérêt pour leur altérité que je la pose.


Message édité par Baptiste R le 23-08-2007 à 19:03:34
n°12490105
Baptiste R
Posté le 24-08-2007 à 09:56:53  profilanswer
 

http://photos.plantes-et-jardins.com/450x450/Barri%E8re-anti-rhizomes-Rootcontrol.jpg
 
 
Barrière anti-rhizome.


Message édité par Baptiste R le 24-08-2007 à 10:23:50
n°12495286
Baptiste R
Posté le 24-08-2007 à 18:40:26  profilanswer
 

Dites,
Quelqu'un aurait-il la formulation exacte du mot de Bergson sur la philosophie comme approfondissement d'une intuition unique ? Merci d'avance.

Message cité 1 fois
Message édité par Baptiste R le 24-08-2007 à 18:40:46
n°12495404
foutre de
Posté le 24-08-2007 à 18:54:25  profilanswer
 

ben moi je ne sais pas
et les idées que j'ai sont trop vagues, et ça reviendrait à te dire "va chercher par là"
 
alors autant rien dire


Message édité par foutre de le 24-08-2007 à 18:54:53

---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12495420
sylvva
Posté le 24-08-2007 à 18:57:13  profilanswer
 

Baptiste R a écrit :

Dites,
Quelqu'un aurait-il la formulation exacte du mot de Bergson sur la philosophie comme approfondissement d'une intuition unique ? Merci d'avance.


 
en effet, Bergson dit quelque part que la philo est l'approfondissement de l'intuition,
unique, que pour faire de la philo il faut d'abord savoir respecter les autres
 
je cherche et je te donnerai les références précises

n°12495514
sylvva
Posté le 24-08-2007 à 19:07:58  profilanswer
 
mood
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Posté le 24-08-2007 à 19:07:58  profilanswer
 

n°12495817
sylvva
Posté le 24-08-2007 à 19:43:30  profilanswer
 


 
en résumé, Bergson dit que notre esprit fonctionne sur deux modes :
 
- le mode "intelligence" : c'est quand, motivé par un intérêt, il poursuit un but,  
ce qui lui fait prendre des informations venant du milieu, milieu que l'intelligence saisit par les sens sous forme d'espace, temps, événements
 
- le mode "intuition" : c'est quand il ne poursuit aucun but, et là, il n'a pas besoin de faire appel à l'intelligence (donc espace+ temps+événements) et se trouve ainsi en prise immédiate avec son intérieur-même, ce que Bergson appelle "absolu"
 
c'est donc par l'intuition qu'on accède à la réalité ultime
 
en fait, ce raisonnement a comme but pour lui de démontrer l'existence de Dieu

n°12495865
Baptiste R
Posté le 24-08-2007 à 19:49:17  profilanswer
 

C'est gentil de ta part mais je voulais juste la formule de Bergson. [:-noemie-]
 
Rahsaan, vaillant bergsonien, tu es mon dernier espoir !

n°12496278
Baptiste R
Posté le 24-08-2007 à 20:42:10  profilanswer
 

Question :  
Chez Michel Henry, en quoi la vie (c'est-à-dire, je le rappelle, l'auto-révélation, ce qui ne manifeste rien d'autre qu'elle-même, bref l'absolu) est-elle subjective et corporelle ? Pourquoi serait-elle nécessairement incarnée et pas une espèce d'ipséité cosmique, un s'éteindre soi-même universel, un se faire des papouilles stellaire, ou n'importe quoi d'autre ? Qu'est-ce qui exige conceptuellement que le Soi soit un corps singulier ?
 
*tun dun* Les spécialistes de matériel phénoménologique sont appelés au rayon archi-intelligibilité et archi-duchesse, merci. *tun dun*

Message cité 3 fois
Message édité par Baptiste R le 24-08-2007 à 20:42:39
n°12496416
foutre de
Posté le 24-08-2007 à 20:54:00  profilanswer
 

Baptiste R a écrit :


 
*tun dun* Les spécialistes de matériel phénoménologique sont appelés au rayon archi-intelligibilité et archi-duchesse, merci. *tun dun*


 :lol:  :D  :lol:  :pt1cable:  ;)  
 
on arrive.  
 
c'est une question d'affect, de sentiment, la vie c'est le sentiment, de soi, sous forme de pâtir, d'angoisse, d'ennui, d'allégresse (comme dit Sylvva), il ne s'agit pas du corps singulier puisque la singularisation conceptuelle du partès extra partès que permet l'ex-stasis intentionnelle (entendu comme ouvert de l"Être) lui est postérieure.
mais c'est en tant que matière (hylé) qu'elle est chair cette épreuve de l'autos. le corps singulier n'est qu'un résultat évolutif (lévolution étant le nom que prend la civilisation quand on la cherche dans la chair)
non?
 
et puis le corps henry, c'est un corps-possible, un corps puissance, une puissance qui se saisit Une dans le jouir indécollable de soi qu'elle est.
 

Message cité 2 fois
Message édité par foutre de le 24-08-2007 à 21:05:37

---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12496794
sylvva
Posté le 24-08-2007 à 21:19:33  profilanswer
 

foutre de a écrit :


 :lol:  :D  :lol:  :pt1cable:  ;)  
 
on arrive.    


 
la duchesse  :   :non:  
 
 
inutile d'arriver, même nombreux !
 
" L'intelligence est caractérisée par une incompréhension naturelle de la vie.»
[ Henri Bergson ]  
 
 

n°12497142
sylvva
Posté le 24-08-2007 à 21:40:57  profilanswer
 

Baptiste R a écrit :

Question :  
 Qu'est-ce qui exige conceptuellement que le Soi soit un corps singulier ?


 
 
ne serait-ce mieux que tu lises d'abord, les auteurs que tu veux comprendre ?  :)  
 
cela t'éviterait de poser des questions qui laisseraient perplexe l'auteur lui-même !
 
pour M. Henry la vie ne se voit pas de l'extérieur, ce qu'on voit de l'extérieur ce sont des êtres vivants, ce n'est pas la vie, qui, elle, se sent et s'éprouve de l'intérieur,
elle l'immanence radicale, et donc ignorant tout concept
 
 

n°12497211
foutre de
Posté le 24-08-2007 à 21:47:30  profilanswer
 

sylvva a écrit :


 
la duchesse  :   :non:  
 
 
 


 
 :??:


---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12497250
sylvva
Posté le 24-08-2007 à 21:50:11  profilanswer
 


on aura remarqué que la phénoménologie hait le concept comme le diable l'eau bénite
mais cela ne l'empêche pas d'en créer des tonnes et de n'exister que par eux !
 
moralité : en philo on peut dire tout et son contraire

n°12497264
Baptiste R
Posté le 24-08-2007 à 21:51:16  profilanswer
 

Mon dieu, elle a aussi lu Henry... toute la clique faut croire. Tu sais sylvva, je t'aimerais mieux sans culture.  
 

Citation :

ne serait-ce mieux que tu lises d'abord, les auteurs que tu veux comprendre ?  :)  


Heu. Bien sûr. Les seuls que je critique sans lire, c'est les analytiques.
 
 

Citation :

cela t'éviterait de poser des questions qui laisseraient perplexe l'auteur lui-même !


Quand l'auteur n'y retrouve plus ses petits, c'est un saut de paradigmes.
 

Citation :

pour M. Henry la vie ne se voit pas de l'extérieur, ce qu'on voit de l'extérieur ce sont des êtres vivants, ce n'est pas la vie, qui, elle, se sent et s'éprouve de l'intérieur,
elle l'immanence radicale, et donc ignorant tout concept


Heu, je sais. Mais je cherche à voir ce qu'on peut en foutre.
 
 

Citation :

moralité : en philo on peut dire tout et son contraire


N'est-ce pas ?

Message cité 1 fois
Message édité par Baptiste R le 24-08-2007 à 21:52:51
n°12497328
sylvva
Posté le 24-08-2007 à 21:56:39  profilanswer
 


 
 
pour comprendre la vie il ne suffit pas d'être intelligent, dixit bergson
 
pour faire de la philo, si , dixit la duchesse  :love:  
 
 

n°12497392
Baptiste R
Posté le 24-08-2007 à 22:02:06  profilanswer
 

Citation :

Heu, je sais. Mais je cherche à voir ce qu'on peut en foutre.


Et puis non je ne sais pas. Intérieur et extérieur c'est des métaphores spatiales foireuses.
 
 

Citation :

" L'intelligence est caractérisée par une incompréhension naturelle de la vie.»
[ Henri Bergson ]  


Toi t'es allée sur Evene (moi aussi, donc). :D
 
 
 
(Soit dit en passant, le diable ne détestait pas du tout l'eau bénite. Il y a un zinc pas loin des Champs et de la place du Pentacle et... bref.)

Message cité 1 fois
Message édité par Baptiste R le 24-08-2007 à 22:11:52
n°12497597
sylvva
Posté le 24-08-2007 à 22:13:36  profilanswer
 

Baptiste R a écrit :

Citation :

Heu, je sais. Mais je cherche à voir ce qu'on peut en foutre.


Et puis non je ne sais pas. Intérieur et extérieur c'est des métaphores spatiales foireuses.
 
absolument !
 
 

Citation :

" L'intelligence est caractérisée par une incompréhension naturelle de la vie.»
[ Henri Bergson ]  


Toi t'es allée sur Evene (moi aussi, donc). :D


 
suis-moi donc, je m'en vais de ce pas écouter sur France Cul
le délire systématisé de Maître (carré) Onfray !!   :hello:  

n°12498976
Baptiste R
Posté le 25-08-2007 à 00:25:36  profilanswer
 

foutre de a écrit :


il ne s'agit pas du corps singulier puisque la singularisation conceptuelle du partès extra partès que permet l'ex-stasis intentionnelle (entendu comme ouvert de l"Être) lui est postérieure.


Je ne suis pas sûr qu'on puisse écarter le cortès extra cortès d'un postérieur de la main, sans risque d'en faire un substitut contingent qu'on accepte parce qu'on est bien obligé mais qu'on n'assume pas pleinement. "L'ouvert", le jour, le règne de la relation ne doit pas être un poid et une gêne parce que le trésor aztèque (la possibilité du sens tout comme sa réalité effective), il est là dedans (le physique). Quand de Biran expédie le "jeu des organes" sous prétexte que nous n'avons pas attendu l'optique pour savoir voir (d'où la disjonction, qui laisse certes méditatif, entre connaissance absolue qui est déjà en notre possession et connaissance scientifique qui n'apporte que de l'inessentiel), c'est un peu irritant. L'opposition entre deux modes de manifestation (sur fond d'identité ontologique qui est là pour faire joli) est un divorce désastreux, comme le suggèrent les positions inverses que certains ont fini par tenir, genre Churchland qui voit dans les états mentaux non des illusions mais des abstractions approximatives qu'on pourrait réduire à des états biologiques (et nous éduquer en conséquence... j'admire l'audace existentielle de ce type). Voir l'esprit comme épiphénomène d'un système physique ou voir un système physique comme un infraphénomène de l'esprit, ce sont deux positions miroir (comme on disait l'autre jour). Le défi, c'est plutôt de chercher l'identité du corps et de la chair et de la thématiser effectivement, de ramener l'affectivité au sein d'une ontologie physique. Pour le dire tout autrement, les discours contemporains spécifient la vie en disant qu'elle est fabuleusement complexe, voire irréductible, voire un miracle et partant se demandent comment le complexe a pu émerger du simple. La question serait plutôt : comment le Simple a pu émerger du complexe, comment une ipséité peut-elle être physique (et un système physique être une ipséité, jusqu'à la coïncidence). Il y a des pages dans son bouquin sur Maine de Biroute où Henry parle du corps qui se porte lui-même, de "cette masse que soutient notre vie", je trouve ce discours superbe, déterminé et porteur parce qu'on est à la fois dans le monde et dans le rapport à soi.
Je ne sais pas, je trouve que si on reste à une phéno matérielle stricte, on se ferme beaucoup de portes. Tu me diras que c'est le cas de toutes les pensées, mais dans le cas présent, Henry est tellement obsédé par la recherche d'un fondement, qui plus est ne fondant rien d'autre que lui-même, que sa philosophie prend un parfum parfait et définitif. Y a une conférence qui titre "tâche de la phénoménologie à venir", mais je ne trouve pas que son oeuvre suggère un travail à poursuivre.

Message cité 3 fois
Message édité par Baptiste R le 25-08-2007 à 00:29:19
n°12499041
Baptiste R
Posté le 25-08-2007 à 00:38:01  profilanswer
 

Comme à chaque fois que le sens s'exhibe dans son opulence, j'ai envie de rétorquer "et le pathologique, et le 'ça marche pas' ?"
Mais ce salaud d'Henry y répond, parce que l'ipséité claudiquante est encore (et plus que jamais) affective, le lien pointillé avec la vie, c'est encore de la vie, laquelle est partout et, d'une manière ou d'une autre, triomphe toujours (phrase de Brontë qui m'inspire des cris fascistes). Henry c'est le sens déjà et toujours, autant qu'on en veut et qu'on en voudra jamais. Il suffit de, de "s'installer dans le vu".


Message édité par Baptiste R le 25-08-2007 à 00:42:12
n°12499944
sylvva
Posté le 25-08-2007 à 04:17:21  profilanswer
 

Baptiste R a écrit :


Y a une conférence qui titre "tâche de la phénoménologie à venir", mais je ne trouve pas que son oeuvre suggère un travail à poursuivre.


 
 
attendrissant ! combien tu as l'air de souffrir !
j'essuie une larme...
 
je ne sais pas si ça vaut le coup de se casser la tête  
avec ces trucs,  
la phénoménologie est une sequelle de la métaphysique scolastique,
une tentative d'inventer une assise scientifique à Dieu :
compréhensible, deux millénaires de christianisme inculqué à coup de bûcher
marquent durablement les esprits !
 
d'autre part, il s'agit, pour les esprits laïques choqués par le Mal,
de trouver un principe du bien autre que celui dispensé par l'Evangile
 
tous ces écrits sont dépassés et seule la sclérose dont souffre l'université,
expliquée en partie par l'inertie et la commodité qui atteint toujours  
ceux qui se sont casés, fait qu'ils sont ressassés
 
atteindre une vérité unique en sciences humaines est une utopie,
l'humain est question de valeurs,
et les valeurs sont différentes : ce qui est soufrance pour un chômeur
est une jouissance pour l'employeur, qui y gagnera plus !
 
et même les scienes pures et dures, avec la physique quantique qui montre
que l'observateur et la place depuis laquelle il observe
influent sur ce qu'il observe, ne sont plus assurées de pouvoir établir  
"la vérité"
 
alors, la pensée est actuellement dans un cul de sac ,
l'engoument pour la technique (qui donne un pouvoir), le culte de l'argent,
le panconsumérisme, l'exacerbation de l'intégrisme religieux,
sont les symptômes de cette perte de répères,
une échappatoire
 
c'est dans cette optique que j'incitais à abandonner les livres
( une fois après les avoir lus )  
et à vivre allègrement, tant que cela ne nuit à personne,
nous n'avons pas à prendre sur nous cette complexité des choses
 
amen   :)  
 
 
 
 

n°12499953
sylvva
Posté le 25-08-2007 à 04:45:20  profilanswer
 


bon, si vous n'êtes pas convaincus, prenez du moins du neuf,
 
ici, chez Mandrake :
 
http://anaximandrake.blogspirit.co [...] sme-1.html

n°12500357
foutre de
Posté le 25-08-2007 à 10:47:38  profilanswer
 

Baptiste R a écrit :


Je ne suis pas sûr qu'on puisse écarter le cortès extra cortès d'un postérieur de la main, sans risque d'en faire un substitut contingent qu'on accepte parce qu'on est bien obligé mais qu'on n'assume pas pleinement. "L'ouvert", le jour, le règne de la relation ne doit pas être un poid et une gêne parce que le trésor aztèque (la possibilité du sens tout comme sa réalité effective), il est là dedans (le physique). Quand de Biran expédie le "jeu des organes" sous prétexte que nous n'avons pas attendu l'optique pour savoir voir (d'où la disjonction, qui laisse certes méditatif, entre connaissance absolue qui est déjà en notre possession et connaissance scientifique qui n'apporte que de l'inessentiel), c'est un peu irritant. L'opposition entre deux modes de manifestation (sur fond d'identité ontologique qui est là pour faire joli) est un divorce désastreux, comme le suggèrent les positions inverses que certains ont fini par tenir, genre Churchland qui voit dans les états mentaux non des illusions mais des abstractions approximatives qu'on pourrait réduire à des états biologiques (et nous éduquer en conséquence... j'admire l'audace existentielle de ce type). Voir l'esprit comme épiphénomène d'un système physique ou voir un système physique comme un infraphénomène de l'esprit, ce sont deux positions miroir (comme on disait l'autre jour). Le défi, c'est plutôt de chercher l'identité du corps et de la chair et de la thématiser effectivement, de ramener l'affectivité au sein d'une ontologie physique. Pour le dire tout autrement, les discours contemporains spécifient la vie en disant qu'elle est fabuleusement complexe, voire irréductible, voire un miracle et partant se demandent comment le complexe a pu émerger du simple. La question serait plutôt : comment le Simple a pu émerger du complexe, comment une ipséité peut-elle être physique (et un système physique être une ipséité, jusqu'à la coïncidence). Il y a des pages dans son bouquin sur Maine de Biroute où Henry parle du corps qui se porte lui-même, de "cette masse que soutient notre vie", je trouve ce discours superbe, déterminé et porteur parce qu'on est à la fois dans le monde et dans le rapport à soi.
Je ne sais pas, je trouve que si on reste à une phéno matérielle stricte, on se ferme beaucoup de portes. Tu me diras que c'est le cas de toutes les pensées, mais dans le cas présent, Henry est tellement obsédé par la recherche d'un fondement, qui plus est ne fondant rien d'autre que lui-même, que sa philosophie prend un parfum parfait et définitif. Y a une conférence qui titre "tâche de la phénoménologie à venir", mais je ne trouve pas que son oeuvre suggère un travail à poursuivre.


 
 
impeccable.
 
Tu divises cependant deux voies, toi aussi. non plus "extérieur" et "intérieur", mais "du simple au multiple" (la question de la science moderne) ou "du multiple à l'un".
c'est en quelque sorte un même cercle.
j'avais déjà fait remarqué que chez valdinoci, il y a souvent, dans la problématique que revêtent ses livres, la descritption paralèlle de deux structures descriptives qui s'opposent (le pan donation et le pan réduction, par exemple). Mais il cherche à chaque fois ce qui implique leur identité, par ce qui ressemblerait à un terme unifiant la Différence entre les srtuctures. D'où les querelles avec Hegel.
Le cercle de l'un et du multiple, laruelle lui l'interdit, au nom de l'Un et selon lui, comme donnée a-thétique (de) soi.
Cette vision selon l'Un, n'étant pas un troisième terme, puisque non terminologique, mais "nom premier" en tant que Solitude, nom premier (de) l'homme, cette vision selon l'un, c'est le "à même lui-même", le "à même les choses-mêmes" de l'europanalyse.
 
Ce qui m'arrête en tant que séparation, divorce théorique, c'est le chemin de Laruelle, qui dégage l'Un avant l'Être et son indifférence passive unilatérale depuis des exigences deleuzienne et dérridéenne, c'est-à-dire le post-structuralisme/post-existentialisme ; alors que henry s'achemine depuis leur éviction, voire leur négation, voire s'en faisant une Ignorance. Etrange chemin bifide, divorce au coeur du désastre, où l'on saute (2 sens) ensemble


---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12500446
rahsaan
Posté le 25-08-2007 à 11:02:48  profilanswer
 

Baptiste R a écrit :

Rahsaan, vaillant bergsonien, tu es mon dernier espoir !


 
Plus vaillant que jamais, d'ailleurs, puisque je viens de relire attentivement l'Evolution créatrice, et j'ai trouvé ce livre génial !!  :love:


---------------
Mon roman d'anticipation, L'I.A. qui m'aimait : https://tinyurl.com/mtz2p872 | Blog ciné/JV : http://cinecourt.over-blog.com
n°12500475
foutre de
Posté le 25-08-2007 à 11:07:31  profilanswer
 

sylvva a écrit :

 


attendrissant ! combien tu as l'air de souffrir !
j'essuie une larme...

 

toujours ce mépris du non-travail pour le travail. On perd le sens fondamental de "gésine". Un femme en travail ne se contracte pas, elle est contractée

sylvva a écrit :


je ne sais pas si ça vaut le coup de se casser la tête
avec ces trucs,
la phénoménologie est une sequelle de la métaphysique scolastique,


ces séquelles on appelle ça la culture, séquelles de civilisation.
Tu sors ton révolver qd tu entends "culture" ? :lol:

 
sylvva a écrit :

une tentative d'inventer une assise scientifique à Dieu :
compréhensible, deux millénaires de christianisme inculqué à coup de bûcher
marquent durablement les esprits !

 

c'est une définition nietzschéenne de la culture (ne lachons pas prise)

sylvva a écrit :

 

alors, la pensée est actuellement dans un cul de sac ,


tu parles d'une pensée qui dépendrait des autres, de l'intersubjectivité politico scientifique

 
sylvva a écrit :

nous n'avons pas à prendre sur nous cette complexité des choses

 

amen


nous n'avons pas à la prendre : elle est sur nous. c'est encore chameau, lion, enfant... l'enfant peut jeter indifféremment le jouet fardeau, mais aussi indifféremment le reprendre, avec tout le jeu qu'il implique, jeu d'affects dans la variation imaginaire, métaphore. Retour, dans le Neutre (?).

  


merci pour le lien

Message cité 1 fois
Message édité par foutre de le 25-08-2007 à 11:09:15

---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12500675
l'Antichri​st
Posté le 25-08-2007 à 11:33:28  profilanswer
 

sylvva a écrit :


 
 
attendrissant ! combien tu as l'air de souffrir !
j'essuie une larme...
 
je ne sais pas si ça vaut le coup de se casser la tête  
avec ces trucs,  
la phénoménologie est une sequelle de la métaphysique scolastique,
une tentative d'inventer une assise scientifique à Dieu :
compréhensible, deux millénaires de christianisme inculqué à coup de bûcher
marquent durablement les esprits !
 
d'autre part, il s'agit, pour les esprits laïques choqués par le Mal,
de trouver un principe du bien autre que celui dispensé par l'Evangile
 
tous ces écrits sont dépassés et seule la sclérose dont souffre l'université,
expliquée en partie par l'inertie et la commodité qui atteint toujours  
ceux qui se sont casés, fait qu'ils sont ressassés
 
atteindre une vérité unique en sciences humaines est une utopie,
l'humain est question de valeurs,
et les valeurs sont différentes : ce qui est soufrance pour un chômeur
est une jouissance pour l'employeur, qui y gagnera plus !
 
et même les scienes pures et dures, avec la physique quantique qui montre
que l'observateur et la place depuis laquelle il observe
influent sur ce qu'il observe, ne sont plus assurées de pouvoir établir  
"la vérité"
 
alors, la pensée est actuellement dans un cul de sac ,
l'engoument pour la technique (qui donne un pouvoir), le culte de l'argent,
le panconsumérisme, l'exacerbation de l'intégrisme religieux,
sont les symptômes de cette perte de répères,
une échappatoire
 
c'est dans cette optique que j'incitais à abandonner les livres
( une fois après les avoir lus )  
et à vivre allègrement, tant que cela ne nuit à personne,
nous n'avons pas à prendre sur nous cette complexité des choses
 
amen   :)  
 
 
 
 


 
Jeune fille, votre bêtise n'a d'égale que votre laideur, " intérieure " (et  "extérieure " ?). Comme j'aimerai vous expliquer tout cela de vive voix, et plus encore (" paire de claques " et " coup de pied au cul " à l'appui), mais non, puisque manifestement votre pathos trouve son plaisir à se déployer dans le monde (dont pourtant vous critiquez les modalités malheureusement pas du tout, comme chez Michel Henry, pour mieux déterminer votre propre méthode par rapport à la phénoménologie intentionnelle - cf. Husserl - qui elle, effectivement, peut être considérée comme un vieil héritage de la métaphysique classique, ce qui explique que l’on parlera du " tournant théologique de la phénoménologie française ", et aider à comprendre que les descriptions mondaines, les monstrations purement a posteriori de l’immanence ne peuvent concerner qu’une méthode " ad hominem " essentiellement préoccupée par la " problématique de l’objet " laquelle perd dans des démonstrations, dans l’ordre bien mené d’une pensée déductive, le fondement recherché - l’être se manifestant lui-même ou la disparition de la différence entre l’être et l’existence du fait que " l’existence a cessé d’être la différence " -, c’est-à-dire l’expérience de l’épreuve absolue - l’expérience de la substance aurait dit Spinoza -, tout ce qui fait la richesse de l’épreuve de soi, à savoir le fait de s’auto-affecter sur le mode d’une ipséité vivante, méthode qui, en tant que réduction radicalisée, permettrait, sinon d’égaler ce que la pensée à elle-même découvert - en cela Michel Henry reconnaît la leçon hégélienne selon laquelle " la philosophie est toujours seconde par rapport à la vie ", intervient toujours trop tard puisque " ce qu’elle dit était au commencement " -, du moins respecterait la nature d’une activité essentiellement critique destinée à penser l’impensé, c’est-à-dire précisément l’irréalité de tout savoir, ce qu’est bien la phénoménologie matérielle de Michel Henry, laquelle justement s’élève à partir de l’épreuve a-priori de la vie qui elle-même s’engendre à partir de la Vie absolue, méthode donc qui n’est que " l’auto-explicitation de la vie transcendantale de la subjectivité absolue sous la forme de son auto-objectivation " - connaissance du second genre donc, c'est baptiste R qui va être content ! -, méthode qui enfin serait le signe de votre retour à l'immanence de la vie, auquel cas le silence de votre jouissance ne se transformerai pas en ressentiment, en souffrance ! Votre représentation de la question se déploie encore et toujours - mon désespoir est consommé jusqu’à la lie !!! - sur le plan de la transcendance, de la médiation qui à pour nom volonté, réflexion, décision, action...), puisque votre subjectivité transcendantale se déploie dans la négation de sa condition ontologique " religieuse " (qui relie...), refusant de découvrir (car seule l'acte " sauve ", ça n’est pourtant pas faute de l’avoir dit et répété, sur tous les tons et encore récemment dans le message de foutre de sur les limites de la psychanalyse…) sa condition originaire (c'est-à-dire son impuissance à se déprendre de soi, supprimer le " se souffrir ", le pouvoir - insupportable ??? - de se sentir), puisqu’au fond, loin de vivre, comme vous le prétendez, l’épreuve intensifiée de votre lien avec la vie, de laisser la vie vous reconduire à elle-même, par le libre jeu de ses forces, vous vous contentez de nier le rôle déterminant d’une philosophie de la vie (ce qui revient à nier la philosophie toute entière dans son essence, la philosophie comme fin, comme destination, comme " entéléchie " selon le vocabulaire d’Aristote), vous vous détournez de la réduction radicalisée qui seule pourrait vous permettre de franchir le seuil de la connaissance du troisième genre et vous permettre d’atteindre la béatitude (la philosophie est, comme il se doit, d’abord une Ethique, c’est-à-dire le moment du renoncement, de la rupture, de l’abandon, du lâché-prise, bref celui d’une véritable praxis, non celui de la conquête fut-elle neutre et désintéressée ! Jouir de soi, c’est s’affirmer dans tous les points de son être, et dans cette affirmation de soi, s’historialiser et s’incarner sous des modes particuliers et, notamment, sous le mode de la connaissance de soi comme auto-objectivation ! La phénoménologie matérielle est le " se comprendre " universel de la Vie, non seulement une de ses modalités, ce qui la rend incontournable et fait d’elle, précisément, une Ethique, c’est-à-dire, non pas un résultat " mort ", mais le moment de l’effort philosophique incarné dans un langage, celui de l’être-en-communauté qui habite tout Soi, se communiquant en un pathos-avec ! Vivre sans la communication philosophique, c’est là le grand danger – qui a pour nom barbarie -, bien plus redoutable que celui qui consiste à risquer de perdre ce qui se situe hors d'elle !), votre existence est et sera pour l'éternité un défilé chaotique de sentiments opaques, l'éternel retour du même " et l'ennui de ce qui est connu à jamais ", ce que Spinoza désignait sous le titre servitude !

Message cité 1 fois
Message édité par l'Antichrist le 25-08-2007 à 12:47:34
n°12500756
foutre de
Posté le 25-08-2007 à 11:47:41  profilanswer
 

c'est pourtant simple [apposition]
la complexité des choses

Message cité 1 fois
Message édité par foutre de le 25-08-2007 à 11:48:50

---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12501085
alcyon36
Posté le 25-08-2007 à 12:34:32  profilanswer
 

sylvva a écrit :


bon, si vous n'êtes pas convaincus, prenez du moins du neuf,
 
ici, chez Mandrake :
 
http://anaximandrake.blogspirit.co [...] sme-1.html


ha, encore des non-philosophes.... :lol:


---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12501121
alcyon36
Posté le 25-08-2007 à 12:39:29  profilanswer
 

foutre de a écrit :

c'est pourtant simple [apposition]
la complexité des choses


Citation :

"toute verite est simple."; n'est ce pas là un double mensonge?

:D


---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12501154
alcyon36
Posté le 25-08-2007 à 12:43:17  profilanswer
 

faut ptet se calmer un chouya sur les attaques ad hominem...enfin jdis ca, jdis rien;)


---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12501244
Baptiste R
Posté le 25-08-2007 à 13:02:04  profilanswer
 

L'Antichrist semble avoir une exaspération particulière pour les sottes cultivées. Il y a eu des cas ici, foulala...

n°12501262
foutre de
Posté le 25-08-2007 à 13:04:33  profilanswer
 

on se sent tout de suite reniflé de plus près


---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12501467
sylvva
Posté le 25-08-2007 à 13:37:56  profilanswer
 


l'antichrist,
 
je n'ai pas de leçon de philo à prendre, ni d'être en communauté-avec,  
de quelqu'un dont l'auto-objectivation, la véritable praxis, se révèle être  
une massive éructation machiste

n°12501502
sylvva
Posté le 25-08-2007 à 13:44:09  profilanswer
 


les autres petits satéllites s'y reconnaitront

n°12501808
Baptiste R
Posté le 25-08-2007 à 14:30:11  profilanswer
 

Je ne sais pas qui sont les petits satellites, mais le fait est que la grosse Bertha de l'Antichrist vise tellement large qu'elle ne peut faire, je le crains, que peu de mal à la cible. Pour une paire de claques, elle n'est guère cuisante.
Mais bon, une tirade avec une parenthèse de dix-sept lignes mérite malgré tout des aplaudissements.


Message édité par Baptiste R le 25-08-2007 à 14:41:18
n°12501900
sylvva
Posté le 25-08-2007 à 14:42:04  profilanswer
 


BR ( comme "braire" )
 
pour un petit crétin tu en es un grand !

n°12501924
Baptiste R
Posté le 25-08-2007 à 14:44:43  profilanswer
 

Mais je t'aime sylvva. Mon asinité a adoré le coup du "comme tu as du souffrir".


Message édité par Baptiste R le 25-08-2007 à 14:45:17
mood
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