Reprise du message précédent :
couché, stipey.
 
pas sur moi, idiot.

Hey je proteste!!! j'en ai lu plusieurs en entier (sinon je n'aurais pas pu en faire la critique) et ce sans que ma mére ne me tiennent la main(j'ai eu un peu peur au début mais je commence a m'y faire)!

nan mais est-ce que les gens vont au Louvre pour se contenter de dire, devant chaque oeuvre : "mouais, peut mieux faire..."?

par contre si tu lis tout d'un coup tu vas froler l'indigestion, tel l'enfant qui bouffe tout son paquet de M&Ms à 19h

ILS DOIVENT S'EXTASIER !!!!
 
"Oh ! ah ! mais que c'est beau, que c'est grandiose !!! C'est magnifique ! Quel chef d'oeuvre !!!"
 
Sinon on les vire manu militari.

voilà!
ou sinon ils restent à la buvette et ils achètent un dépliant.

Les gens vont au Louvre parce qu'il y a des marches.
Il Y a de jeunes anglaises qui descendent les marches, souvent.
Si on se place disons dix marches plus bas, et qu'on attend qu'elles fassent demi-tour en nous voyant, il y a des chances pour qu'on mate leur cul d'anglaises qui remontent les marches du musée du Louvre.
et après on met tout ça en ligne et on passe une bonne journée.
Instructive bandante et drôle.

Il paraît que la bibliothèque F.Mitterand n'est pas mal pour les marches et pour les chutes.
 
A essayer.
 
Pas moi hein.

je confirme, dès que tu parles on te dit "chute!!"

La F.M à des vitres.
Si on se place côté jardin, on a une vue imprenable sur les petites anglaises qui se promènent au rez de chaussée.
Quand on les appelle, elles ont compris que c'est plus la peine de fuir et elles relèvent leur jupes d'anglaises qui ont tout compris.
Et après on se tire aux halles, parce qu'on est dégouté de ce qu'on sait.

 
Au Louvre les gents pensent "peut mieux faire" mais ils ne l'expriment pas car ils ne savent pas a qui l'adresser. Ici nous pouvons faire part de nos critiques aux auteurs et nous ne nous en privons pas, au risque de blesser les ames sensibles.

seul mon cul commence à souffrir, à cause des drapeaux.

 
Ce n'est pas marqué à l'entrée qu'on peut faire des critiques.
 

Dis donc ma petite bzzz bzz, t'es en grande forme, ce soir.
On fait l'amouur ?

un spécial soeur à gui haume
 
Salon des inventions.
 
Les machines essentielles du pr Talbazar : Appareil à chanter juste
 
 
 

 
Vous voici prêts à affronter tous les castings ! Il est désormais possible de chanter à tue-tête tous ses tubes préférés, et de faire mieux que son idole favorite ...  
 Ce micro spécial supprime les apprentissages fastidieux et les cours dispendieux. Peu importe les qualités de départ, vous serez toujours au top ! Improvisations superbes des duos, interprétations magistrales de vos compositions, prime time fabuleux, cet appareil fera de vous la star dont vous rêvez...
 Tonalités exceptionnelles, trémolos himalayens, cet appareil à chanter juste tient tout bonnement du miracle ! Même avec la voix la plus criarde et la moins évidente, l’intonation sera toujours parfaite. Vous résisterez sans effort à toutes les sélections et ferez immédiatement vos preuves sans craindre l’élimination.
 Pensez à ce que deviendra votre existence, quand vous subjuguerez un  vaste auditoire, au cours de concerts mémorables... Les maisons de disque et les studios d’enregistrement s’arracheront vos prestations pour produire vos single à la pelle !
 L’appareil à chanter juste possède un amplificateur intégré, en plus d’un réglage précis du volume et une détection automatique du rythme est évidemment possible.

Celui-la est un peu décevant. Tu fais une pub traditionnelle pour un objet, à l'idée certe intéressante, sans l'agremmenté de jeu de mots ou ammusant (comme pour l'article de la chatte). Je reste sur ma fin
 Toujours est-il que la lecture n'est pas déplaisante pour autant, grace a un style irréprochable, qui mérite bien un petit drapal :
 
P.S.: j'en veut bien un, car comme tu l'a deviné ma soeur chante mal et trop souvent.

Frivolité, l’impensable indispensable
 
Aujourd’hui : le bigoudi scratch
 

 
Mesdames, Mesdemoiselles, et ceux parmi vous, Messieurs, qui possédez encore la pleine jouissance de tous vos cheveux, voici l’heure venue de faire toute l’illumination, d’éclairer d’un jour neuf et repassé de frais sous les bras le bigoudi scratch, qui est, comme trop de tristes sires épris de fer à friser les gaufres l’ignorent encore, l'arme secrète du cheveu mi-long et l'allié objectif de la gonzesse – quand celle-ci ne risque pas de croiser qui que ce soit (et surtout pas quelqu’un qu’elle connaît) au moment précis où elle sort de la salle de bains en pareil équipage. Il y a tout de même des limites, presque des normes, à l’emploi bien tempéré du bigoudi scratch.
 
Le bigoudi scratch, pourquoi ?  
 
Tout d’abord, il faut savoir que le bigoudi scratch remonte naturellement à la plus Haute Antiquité, à l’instar de la blonde, dont il est, en quelque sorte, si je puis me permettre, le diadème étoilé, la couronne d’épines, le sic transit gloria mundi. Ce qui n’a rien, mais vraiment rien à voir avec une médecine contre la constipation passagère, je vous retiens tout de suite. D’une main. De l’autre, je me recoiffe. Enfin j’essaie. Disons que, sans l’invention de la blonde, d’une part, le monde respirerait morne, Paris Hilton (Maldoror, 2006 & 2007)  serait vraiment ridicule et Marilyn une énième starlette un peu potelée à grain de beauté ici. Ici, oui, pour que les idiots ne se trompent pas quand il s’agit d’embrasser. Mais qui parle d’embrasser les brunes, je ne veux même pas vous le demander. Alors que, moi, on m’embrasse tout le temps, par exemple. Mais terminons plutôt la phrase précédente, enfin un peu avant, même. Et, donc, d’autre part, l’homme se sentirait moins intelligent. Moins sophistiqué. Moins fier de sa Black & Decker à percussion vibrante. Absolument plus obligé de regarder Sex and the City en cachette.
 
Depuis l’Antiquité arboricole (Calvino, 1957), le cheveu de la blonde est la cause de nombreux tourments. Il se doit d’être lisse. En effet, la blonde frisée, surtout si elle est paresseuse (Vilmorin, 1953 ; Delbard, 1962), finissant généralement son existence dans un saladier encombré de lardons rissolés, il est aisé de comprendre l’effroi qui saisit même les plus téméraires d’entre ces créatures à l’idée d’un sort aussi funeste, voire lyonnais (Bocuse, 1968).  
 
C’est un soir de septembre (Marc Aurèle, 177), alors qu’elle attend son tour en compagnie d’une quarantaine d’autres prévenus, que Blandine, enroulant machinalement les mèches de ses cheveux d’or autour de hérissons domestiques, pour se préparer au supplice, découvrit le principe du bigoudi scratch : «Blandine fait preuve d'un courage extraordinaire […]. Livrée aux bourreaux qui avouent n'avoir jamais vu femme souffrir si courageusement, elle se borne à répéter : "Je suis blonde ; il ne sera point dit que je mourrai mal coiffée." Suspendue par les bras et livrée aux bêtes, celles-ci n'en veulent pas. Exposée au gril (Foreman, adapt. 1999), elle est roulée dans un filet de rétiaire […] et livrée à un taureau sauvage, qui la lance en l'air avec ses cornes, puis on l'achève par le glaive.»  
La jeune sainte expira en effet amplement cloquée et dans un bain de sang, mais force fut de reconnaître, une fois les hérissons rôtis distribués aux pauvres, qu’on n’avait encore jamais vu de chevelure aussi lisse quoique animée des plus exquis mouvements que l’imagination pût concevoir. Et pourtant c’était à Lyon.
 
A l’heure de la modernité
 
Aujourd’hui, la femme active n’a nul besoin de faire la nique à un empereur bouffi d’orgueil, voire de s’expatrier dans de dangereuses contrées infestées d’erinaceidae à puces voire de footballeurs de ligue 1 Orange pour assurer à sa chevelure ce «lissé gonflé» qui fait toute la différence quand il s’agit d’accrocher la lumière et le regard de cet homme qui passe, là, oui, lui, le grand brun avec des poils qui dépassent de l’encolure un peu ouverte de sa chemise.  
Elle entre dans le premier Monoprix qui passe, et se dirige d’un pas ferme et amplement chaloupé vers le rayon des capillaires.
Elle snobe le bigoudi-en-mousse, qui, malgré des dehors moelleux de sénateur rhodanien, fait toujours usage de sa large mâchoire de squale atrabilaire.
Elle méprise le bigoudi-à-pique, parce que d’abord c’est juste pas possible de se coller des trucs pareils sur la tête (Faizant, 1951-2005), ensuite parce que la pique du bigoudi-à-pique pique, et quand elle ne pique pas, elle tombe, et avec elle le bigoudi, et on n’a pas toujours de pelle sous la main pour les ramasser, d’autant qu’on en oublie toujours (Prévert & Kosma, 1945) et qu’après le chien s’étouffe avec, et c’est rien que de la misère alors que déjà le monde court à sa perte et que Billancourt est complètement désespéré (Laguiller, 1981, 1988, 1995, 2002, 2007).
Elle arrive devant le bigoudi scratch, qui est là, dodu comme il faut. Il a de jolies couleurs. Souvent il est rouge, ou même bleu.
Elle ignore les plus menus de la bande, forte de ce principe transmis à l’oreille par des générations de gourmandes : «Size does matter.» Et puis les petits font des frisettes, et on ne va pas recommencer avec les salades, vous avez vu où ça nous a menés ?
Elle choisit les gros, les king size. Elle caresse du bout des doigts les petites boucles de leur Velcro si brave, si courageux.  
Elle rentre chez elle. Elle se lave les cheveux. Elle les essore dans une serviette douce. Elle les peigne. Elle ne crie pas aille aille ouille parce qu’elle est bien élevée et que l’après-shampoing au beurre de karité c’est pas fait pour les chattes (quoique…. Elle met un disque de Daho (IZNII, 19??), elle danse en secouant la tête, comme ça, les yeux un peu rêveurs. Le temps que ce soit presque sec mais pas tout à fait.
Là, elle enroule, comme Blandine, oui, ses cheveux, mèche après mèche, sur les bobines qui chatouillent. Ça ne fait pas mal. Ça pèse un souffle d’ange. Si elle veut, elle branche son sèche-cheveux, mais une blonde est une blonde, elle a toute la vie devant elle. Elle allume une cigarette, elle fait un gâteau au chocolat, elle téléphone à un amant qu’elle aurait, en province, loin de Rueil (Queneau, 1944). Elle vit.
Et puis un moment plus tard, elle sait. Ses cheveux sont secs. Elle décroche, en un battement de cils, les bigoudis scratch. Elle ne souffre pas. Elle les range, si elle veut, ou bien elle les laisse dans le lavabo, mais souvent elle les range, comme un secret qu’il faut garder. Celui du lisse et gonflé.  
Elle se remet du rouge à lèvres. Ses cheveux brillent ; la lumière vient s’y étendre, bienheureuse. Elle peut faire entrer les lions. Elle n’a pas peur.

Georges, si tu me lis, là où tu es
http://www.pianotype.net/doc/tomatotopic.htm

 
Oh ! Je me met ça de côté (non t'as l'foutoir. Rien à voir).
 

Dans La Marine, chapeau bas pour cet article sur le bigoudi scratch.
 
Vos références à Queneau et à la "Chanson de Prévert" vous honorent.

Maintenant, j'attends avec une impatience humide l'article de stipey sur le rugby.

comment tu me mets la pression avant d'en entamer la lecture

Héros chétifs de notre enfance
 
Aujourd’hui : Bruce Lee
 
Bruce Lee, de son vrai nom Jean-Mouloud Chong, est né à Hong-Kong, en Autriche, le 27 novembre 1940. Son père, acteur de second plan pour des films d’entreprise, l’initia très tôt à l’art subtil de la comédie dramatique, se promettant de faire de Jean-Mouloud une véritable star de cinéma. Il l’inscrivit en parallèle à un cours de Kung-Fu, parce qu’il trouvait que son môme, comme il le confiera quelques années plus tard dans une interview accordée à David Pujadas, « c’était vraiment trop une lopette ». Jean-Mouloud reçoit donc ses premières tartes dans la gueule dès l’âge de cinq ans et il y prend très vite goût, tant et si bien que chaque soir, en rentrant de l’entraînement, il reproduit les mouvements qu’il a appris sur High-Kick, son chien incontinent, autrefois champion de Chine de combats de chiens. Cependant, si le jeune Jean-Mouloud développe très vite une aptitude particulière à délivrer des coups de tatanes à une vitesse avoisinant les 567 km/h, il a encore du mal avec le jeu d’acteur. Son professeur de théâtre, Oscar Sisto, trouve que Jean-Mouloud, rebaptisé Bruce pour faire davantage star, n’est pas assez naturel lorsqu’il récite son texte. En clair, et selon ses propres termes, « le problème, c’est que Bruce lit ». Il n’en faut pas plus au jeune Jean-Mouloud pour claquer la porte du cours d’art dramatique, ainsi que la gueule de son professeur.
Bien décidé à empoigner la vie, le cœur léger et le bagage mince, il dit au revoir à son père et à High-Kick, et part pour les Etats-Unis d’Amérique, qu’il rejoint à la nage, histoire de s’échauffer. Une bonne demi-heure plus tard, Los Angeles, la ville du cinéma et des putes en maillots de bain, l’accueille à bras ouverts. Pour survivre, Bruce fait de la figuration dans des séries télé telles que « Melrose Place » ou encore « Arabesque », dans lesquelles il distribue moult coups de lattes à des cons de californiens beaux comme des dieux. C’est lors du tournage d’une scène particulièrement romantique, où il est censé briser la nuque d’une figurante, que Bruce tombe amoureux de Moa-Meida, sa future femme, qui lui donnera un fils, Bruno-Vandé, et une fille, Christina-Rea. Il se fait ensuite remarquer par un célèbre réalisateur de cinéma, Claude Lelouche, qui lui offre un contrat mirobolant pour incarner un apiculteur masqué dans une série intitulée « Le Frelon Vert ». La carrière de Bruce, que l’on nomme désormais Bruce Lee (en raison de son obsession à porter des pantalons de toile du même nom), est lancée.  « Big Boss », « La Fureur du Dragon », « La Fureur de Vaincre » et « La Fureur du Samedi Soir » font un véritable carton lors de leur sortie en salles, mais ce n’est qu’avec « Opération Dragon » que Bruce connaîtra la consécration. Il y incarne un chirurgien chargé de retirer l’appendicite à un animal sacré. Ce film, véritable révélation pour les enfants du monde entier, qui voient en Bruce Lee l’archétype même du héros moderne en marcel et sandales de gymnastique, est considéré par les experts comme le plus réussi de celui que l’on surnomme désormais « Le Petit Dragon ». Les productions suivantes ne seront d’ailleurs que de pâles copies de ce chef d’œuvre du cinéma. Citons pêle-mêle « Les Ninjas contre le Petit Dragon », « Le Petit Dragon se rebiffe » ou encore « Fantômas contre le Petit Dragon ». Bruce Lee, sentant le vent tourner, décida de ne pas pisser dehors.
Sur les conseils de son ami David Carradine, haute autorité bouddhiste, (Cf. « Le bouddhisme », in La moyenne encyclopédie du professeur Talbazar / Spiritualité), il retourna dans son pays natal et ouvrit un restaurant à l’hygiène douteuse appelé « Le Petit Dragon en a plein le cul ». Bruce Lee mourut d’une crise d’éternuements durant son sommeil le 20 juillet 1973. La légende affirme que sa mort a été préméditée par la mafia chinoise, qui aurait glissé une gousse d’ail dans les draps de Bruce, légume auquel il était terriblement allergique. Pour ses fans du monde entier, en tout cas, cela ne fait aucun doute : Bruce a succombé à l’ail au lit.

sait nul, j'est pas trot rigolait.
 
/gui haume

en fait, c'est succulent

Arrête.
 
Ce mot me fait venir.
 
J'arrive.

arrête de m'interromper, j'ai un article érotique à finir, moi.

Bon. Alors, j'en suis sûre, désormais : oui, la dialectique peut vraiment casser des briques

bruce lee maçon  

Milieu

Rapports humains et fesses de société.

Aujourd'hui : Interviewe d'une blonde.

En regrettant qu’elle n’impressionne que la pellicule, nous donnons aujourd’hui la parole à une blonde, bien qu’à l’image du Yorkshire, ce soit bien là la seule chose qui lui manque.

- Je sais que je grave sans effort, grâce à mon naturel, des messages indélébiles dans la mémoire des autres. Mais ma vie n’a pas toujours été une partie de castagnettes. J’ai perdu ma mère à l’age de huit ans dans un centre commercial, parce que le père Noël * m’avait demandé de le suivre dans les toilettes pour y faire des photos de nous, assise sur ses genoux. J’ai fini par l’épouser, car j’ai toujours été rassurée par l’extrême maturité.

Quand je ne suis pas indisposée, je suis douée d’une beauté racée qui fait tourner les têtes, avec le don de donner aux gens, j’ignore pourquoi, d’immenses éclats de rire. Je ne sais jamais ce que les gens attendent de moi, mais ça marche à coup sûr. Ma blondeur m’enveloppe en me précédant, sans me laisser le choix de rester en arrière. Elle est ma part de non-dit, mais j’ai horreur que l’on fasse plus attention à mon parfum qu’à moi. Une de mes rares amies brunes m’avait un jour suggéré de porter le sien. Depuis j’en ai toujours le flacon dans la main, ce faisant, je n’adopte pas son allure élégante et racée, et j’ai dû apprendre à devenir ambidextre.

Je trouve que dans la vie, à mon égard, trop de gens agissent par charité, mais souvent, je ne m’en rend pas bien compte. La blondeur est encore un peu restrictive et j’ignore encore pourquoi, vaguement insultant. Un ami très savant, le pro-fesseur Talbazar, m’a dit que les blondes sont capables d’entendre les sons de fréquences inaudibles aux autres, ceci doit expliquer c’est, je le crois.

Ce que je voudrais vraiment, mon désir le plus cher à l‘heure actuelle, c’est qu’on n’arrête pas le progrès. Blonde ou pas, jolie ou pas jolie, j’estime qu’il faut juste faire attention de ne pas rester devant les projections. Quand je fais mes courses, j’ai tout le temps le trac, et dans mes rapports avec les autres, qui me demandent toujours mon numéro de téléphone, je sais faire illusion, tout en étant artificielle. C’est mon principal atout. Je sais bien que, tout au fond, les hommes ne cherchent qu’à me faire plaisir.

Dans son sac, aujourd’hui :

-J’en ai plusieurs, dans lesquels je ne met jamais rien, mais qui sont toujours assortis à mes robes. Quand je les remplis, il me faut des heures pour en sortir. Je peux y mettre une enclume, quand même, ce qui me donne beaucoup d’allure.

Son soin visage :

Quelques paires de claques, j’ai l’habitude, bien qu’elles aient un effet desséchant.

Son produit pour le corps :

Je suis une adepte de l’ecrémenthéraphie* et je mâche beaucoup de persil.

Ses gestes du soir :

Lire mon répertoire téléphonique, pour mémoriser les noms de mes amis. Avant d’aller dormir, je prend le temps d’ôter les dépôts de bactéries.

Ses cheveux :

Blonds, que je confie à mon psychiatre, une fois par semaine.

Son maquillage :

Excessif, on me le dit souvent. J’ai tenté la peinture à l’huile, une fois, mais sans siccatif ça ne sèche pas très vite.

Son sport :

Je fais souvent le trottoir, dans les deux sens, jambes tendues pour favoriser un angle de 90°. Je suis très sensible aux secousses.

Son régime :

Dictatorial, c’est ma façon de me rassurer, une concession à ma part de virilité.

Son parfum :

« Fleur d’Anus, de chez Fumier ». A cause de cette note exquise de la pêche. Son sillage rayonnant devient rapidement moelleux. Les hommes se détournent avec tant d’impertinence quand je m’en asperge !

Sa couleur préférée :

J’ai eu beaucoup de mal à me décider. J’ai eu l’astuce de toutes les mélanger, ce qui donne une sorte de marron bistre foncé, pour aller avec mon parfum.

* ( La moyenne Encyclopédie du pro-fesseur Talbazar / Grands criminels- Le père Noël. VOL 1 )

* ( La moyenne Encyclopédie du pr Talbazar / Médecines et barres parallèles - L’excrémenthérapie. VOL. 1 )

 
je suis certain que tu cogites un article qui nous sera de la bombe utile.  
 
Et c'est marrant cette manie répandue par beaucoup de vouloir m'insulter, je m'en vais comme un prince.

Je vais me raser la tête

Et la chatte, alouette, gentille alouette...

fini \o/
 
je vais pioncer, du coup.

Byoncé spa une fille célèbre avec une glotte, ça ?

Et des cuisses capables de tirer un coup franc à 45 mètres.

déjà 36 articles postés !!!
nous qui, comme Navy, ou plus sûremement, La guêpe, ne guettons que les braguettes des pantalons, le Panthéon nous guette, chers camarades.
Et l'ignorance, déjà rapidement, recule.
Nous avançons et elle recule, comment vouloir que l'on s'ennuie ?

c'est toujours mieux que brasser des pics

golf,masturbation,etrangler des chats, inceste...  
 
Tu dois prendre tes cachets, mon petit Xamoth, ou Stipey sera encore obligé de surveiller la chambre.