Reprise du message précédent :
Les fiches cuisine de Femmes et Travelos.

Aujourd'hui : La gaufre

              http://www.gaufrehouplines.com/img/musee2.jpg
        Salon d'un coiffeur-gaufrier à Liège-sur-Bastogneliège

"Sur mes cahiers d'écolier / Sur mon pupitre et les arbres / Sur le sable sur la neige / J'écris ton nom : gaufre". Ainsi parlait Paul Eluard, qui n'était quand même pas n'importe qui.
De récentes fouilles archéologiques dans le bassin d'Arcachon ont permis de mettre à jour les ossements de ce que l'on considère désormais comme le plus vieux moule à gaufres de l'histoire de la vie. La datation au Sucreglace 14 le situe entre la fin du paléolithique et le début du pilototomatique, ce qui confirme les précédentes théories basées sur les hiéroglyphes découverts dans les grottes de Gien. La Bible elle-même -la Bible, c'est quand même pas rien!- faisait déjà référence en latin à la gaufre dans "Le Testament 3, l'oeil du Tibre" : Fluctuat parabelum gauframes ("passe moi le nutella" ).
S'il est aujourd'hui établi avec certitude que la gaufre a été inventée pour justifier l'invention du moule à gaufres, on ne sait en revanche rien de ce qui concerne les primitifs accompagnements de celle-ci. Le pot de caca de bison retrouvé sur les lieux de fouilles dans le bassin d'Arcachon ne nous laisse pas sans réponse, certes. Mais quid de la confiture de fraises qui coule dans les trous? Hein?
La gaufre connut son essor dans les années 40, notamment grâce à la publicité bien involontaire qu'en fit le maréchal des logis Adolf Hitler qui s'en délectait les babines à s'en faire péter le bide. Les plus collaborateurs d'entre nous se rappellent avec une joyeuse émotion son discours de Munich en 1941 pour le traditionnel défilé du 1er mai où le Führer se pointa à la tribune avec la moustache maculée de la chantilly recouvrant la gaufre qu'il venait de s'empiffrer : la crise!
Le succès de la gaufre ne s'est jamais démenti même si ses ventes ont tendance à décliner ses dernières années en raison de son téléchargement illégal sur internet.

Recette traditionnelle (d'après "La gaufre illustrée" de Françoise Bernard).

Pour 150-200 personnes:
- 30 kilos de farine
- 8 litres de lait de vache (ou de bouillon de poule, selon les goûts)
- 8 litres de flotte (ou de cognac, selon les goûts)
- 100 kilos de beurre
- 200 grammes de pincées de sel
- 60 oeufs de poule (et un épluche-légumes pour retirer la coquille)
- 15 kilos de beurre, pour la décoration

Bouchez l'évier avec des cheveux. Balancez tous les ingrédients dedans, touillez jusqu'à l'obtention d'une émulsion non grumeleuse. Si besoin est, retirez les grues avec une égrumoire. A l'aide d'une brosse à poils souples, encollez les lés en répartissant la pâte, du centre vers les bords. Allez pisser, revenez. Prenez votre lé de papier peint comme vous pouvez, marouflez lui sa race contre le mur. Finissez le au nutella ou au sucre glace, mais ça fait éternuer.

 
Bravo con-frère pour cette bourrative participation.  
 
Mais, rectifions, ce pot de crotte de bison prouve l'utilisation par nos ancêtres de l'excrémenthérapie, c'est clair comme de l'urine de mammouth sur le pagne de Rahan.
 
   

 
Monsieur Batô pleure de rire, c'est vraiment pas bien malin de faire des trucs pareils, abruti, va

tu lui as dit que l'idée venait de toi?
moi je ne suis que la main qui tient le revolver

"On ne cours jamais aussi vite qu'une balle de fusil."
Idi Amin Dada (Monstre cannibale, dictateur africain, ami de Giscard)

Leçons de choses contre-naturelles.

Aujourd'hui : Le thé.

En ce temps là, vingt huit siècles avant notre ère, l’Empereur de Chine Shen Nong Ding Dong Ding  Dong Yakelkun avait coutume, chaque matin, de boire la pisse de ses concubines, pour se dégoûter d’elles, car il était très religieux. Ces braves domestiques faisaient grande consommation d’eau bouillie, afin de satisfaire le désir de leur prince. Ilami-Iliamilaminoqu, qui signifiait et signifie toujours là-bas « Rossignol du caroubier », souffrait depuis l’enfance d’incontinence urinaire chronique et était de ce fait la préférée de l’Empereur Shen. En la regardant s’accroupir sous les jasmins odorants, sa petite tasse en porcelaine entre les jambes, l’Empereur Shen lui disait avec gratitude :

- Ma cher Rossignol du caroubier, tu ne dois pas avoir peur d’être lente, mais seulement de t’arrêter…

Quand la cuvette était pleine de bouillon, ce qui est clairement une contrepèterie, Ilami-Iliamilaminoqu l’apportait à son maître qui s’empressait de l’avaler cul-sec en faisant une grimace nécessaire.

Mais voilà, les autres concubines étaient très jalouses. Elles résolurent de faire une bonne blague à leur souverain. Planquée derrière leur beaux paravents laqués, elles bridaient leurs yeux fardés, comme des fouines, en se parlant tout bas :

-Nous devons faire une bonne blague à Shen, notre seigneur et maître, qui nous oblige à pisser comme des outres percées parce qu’il veut se dégoûter de nous autres, parce qu‘il est très religieux.

- Oui, répondirent les autres concubines, sauf Rossignol du caroubier qui s’était retiré sous les acacias fleuris pour soulager sa vessie.

Les concubines résolurent de remplacer leur urine par un produit similaire qui aurait la texture, le goût et la couleur du pipi de concubine de l’empereur de Chine. Elles versèrent dans l’eau frémissante tout un tas de différentes saloperies que l’histoire a oublié, en faisant à chaque fois goûter leurs mixtures à Ilami-Iliamilaminoqu qui en pissait sans prévenir dans sa robe de soie, de plus belle.

Il existe un arbrisseau, dans le nord de la Chine, que les autochtones appellent le Jawel. Rossignol du caroubier décéda d’une infusion d’eau de Jawel et ça commençait à craindre sévère pour les autres concubines, qui durent pisser encore plus dans la faïence royale, pour satisfaire l’Empereur. En naviguant sur la toile mondiale, l’une des concubines découvrit soudain une nouvelle plante anglaise, que ses consœurs n’avaient pas encore utilisé. Miracle, quand elles plongèrent les feuilles de cet arbuste dans l’eau bouillante, elles découvrirent une boisson qui non seulement avait le goût de leur pisse, mais en plus se révélait toni-cardiaque, facilitait la digestion, augmentait les facultés intellectuelles, faisait tomber la fièvre, était utile contre les diarrhées, avec beaucoup de tanins qui nettoyaient les intestins, particulièrement riche en fluor sans compter le fait qu’elle faisait pisser comme quinze. Ce dernier point serait bien pratique, si l’Empereur se douterait de quelque chose.

Comme chaque jour, les concubines apportèrent chacune leur petit bol à l’Empereur, occupé à lire les textes sacrés en se curant le nez. Toutes, elles déposèrent en tremblant des guiboles leur précieux dépôt, en rampant devant leur prince, puis elles quittèrent la pièce à reculons. Toutefois, Shen Nong les empêcha de sortir, dès qu’il eût trempé ses lèvres à son bol :

-Qu’avez vous fait là, mes braves concubines ? Ce n’est pas là du vrai pipi.

Flowery Orange Pekoe, Lapsang Souchong, Terry Souchong, Fanning Dust, Earl Grey, Vert du Maroc, Oolong, Tuocha se mirent à pisser aussitôt dans leurs tuniques, tellement elles avaient peur de se faire décapiter pour leur audace. Mais, en fait l’Empereur était ravi :

- Ah !  Que voilà une bonne infusion vasodilatatrice qui concentre dans ses feuilles 25 % d’anti-radicaux libres, autre nom des antioxydants, des polyphénols, autre nom des tanins, et qui reproduit si bien à mes papilles l’odeur et le goût du pipi de mes concubines !

La douce et bien aimée Five o’clock profita de la bonne inclination de l’Empereur, constatant et le con se tâtant, que la nouvelle boisson donnait au prince tonus et vitalité. Dans la chine de cette époque, art de vivre rimait avec vie active. Five o’clock frémissait et Shen Nong lui ébouillantait la théière pendant qu’elle chauffait encore et encore le petit bourgeon terminal de cette nouvelle plante aux grands pouvoirs.

Pendant ce temps là, les autres concubines n’étaient plus jamais obligées de pisser dans leur tasse toute la journée. Elles se mirent finalement elles aussi à cette nouvelle boisson. Hélas pour elles, car elles découvrirent bientôt avec une surprise qui rendit leur vie trépidante, que ce breuvage les faisait pisser toute la sainte journée et aussi qu’elle n’arrêtaient pas de péter.

-J’ai pété, disait Flowery Orange Pekoe, tu pètes, disait Lapsang Souchong, vous pétez, disait Earl Grey Bergamote, c’est à cause de ce thé qui nous fait péter, disaient les autres dans un vacarme assourdissant qui faisait résonner tout le palais.

Voilà pourquoi le thé s’appelle le thé et pas vodka, ce qui est une autre histoire. Je vous laisse méditer là-dessus. Le thé fut ensuite imporpété au Japon, en Inde ou le thé indien se boit en octobre, partout dans le monde, jusqu’en France, passant chez les Anglais par des voies naturelles, en concurrence chez eux avec la Guinness, d’ailleurs Irlandaise.  

Astronautrique et encapsulage.

Aujourd'hui : 21 juillet 1969, L'homme sur la lune.
.

Les savants de l’époque fondaient beaucoup d’espoir sur l’examen de la lune, en espérant y découvrir la clé de la formation de l’univers. Les scientifiques du « Jet propulsion Laboratory », après l’envoi de nombreuses sondes, comparaient la lune à « un pain aux raisin » avec une croûte parsemée d’énormes protubérances, lesquelles auraient pu constituer un danger pour les astronautes. Ces « bosses » avaient déjà modifié, on le savait, quelques belles orbites. Au-dessus des mers lunaires, mers complètement desséchées, faut-il préciser, les missions de reconnaissance à Paulo avaient déjà découvert  des masses de matériaux appelés « Mascons ».
 Le costume des astronautes pesait lourd, certes, mais les petits équipements du chef de bord Armstrong, de Collins et Aldrin pesaient quand à eux un poids encore plus respectable. La lune était enfin à portée de leur main. On en rêvait depuis des millions d’années, désormais il faudrait la forcer pour y croire.
 Armstrong fut désigné pour y planter le premier son grand drapeau, la main sur l’étoilé, afin que les jeunes générations puisse revenir se recueillir un jour, le regard attendri sur cette vieille lune enfin déflorée. Il était clair que le président Richard Nixon devait en récolter les beaux fruits. On pensait à tort qu’Armstrong et Aldrin reviendraient sur terre porteurs d’une maladie lunaire. Cela se révéla faux, car la lune est très propre.

Ce fut une nuit pleine de magie.

16 JUILLET 1969 - U.S.A. - 11H 26

On se prépare à aller sur la lune.

14H 32

La fusée, belle et fière, la plus grosse jamais vue, se redresse à la verticale, puis élève en vrombissant sa masse fumante du centre spatial de Cap Kennedy, en Floride.
Dans leurs scaphandres, les trois astronautes sont tendus à l’extrême. Ils accomplissent les gestes cent fois répétés à l’entraînement.

18H41

Une fois en impesanteur dans l’espace étroit, les astronautes peuvent enfin prendre les commandes. En apesanteur, ou impesanteur, on tombe sans jamais atterrir. C’est comme ça à chaque fois que l’on va sur la lune. Ca flotte de partout, avec l’humidité soudain envahissante, de grosses boules traînent un peu partout.. Les astronautes sont bien souvent obligés de s’attacher pour pouvoir dormir. Ils doivent aussi s’activer beaucoup, sinon leurs muscles risquent de rétrécir.

20 JUILLET

Les astronautes mettent le feu aux rétro-fusées. Ils commencent à descendre vers la lune. C’est très dangereux, car soudainement l’ordinateur ne calcule plus leur position favorite. Les astronautes émettent de nombreux  signaux de détresse. Collins garde quand à lui la maison. Deux heures plus tard, les yeux lourds de fatigue, les astronautes abordent la merde de la Tranquillité, 156 pulsations minutes au cœur de Neil Armstrong. Ils évitent un grand cratère au pourtour labouré de masses brunes. « Comme du cacao », dira plus tard Aldrin.

21H 17

Explorant l’obscurité, ils entrent avec confiance dans l’éternité.
Il touchent enfin en douceur le sol lunaire, le pénètre, rebondissent et s’y posent lentement, du moins au début. Ils enfilent ensuite leurs protections respectives. Ils se sentent tout d’un coup plus légers.

3H 56

-Ca y est ! Une très belle vue, s’écrie Armstrong, je touche, j’explore, c’est très ferme ! Je fouille la surface inviolée de la lune devant 600 millions de terriens frustrés. « Quelle beauté, qu’elle magnifique désolation ! ». « C’est un petit pas pour l’homme, mais un bond de géant pour l’humanité »
Les deux hommes ont bien envie d’emporter tout ce que leurs yeux découvrent.
 Quand à eux, le nez sur leurs écrans dont ils ont déconnecté le contrôle parental, les ingénieurs de Huston, Texas, assistent également au plus grand événement technique de l’humanité. Ceux là lèvent, secouent leurs mains et débouchent le champagne qui les arrose de partout.
 Absorbés par leur labeur incessant sur la lune, les astronautes ne voient pas le temps passer. La descente finale et l’alunissage ont été les moments les plus difficiles. Edwin « Buzz » Aldrin avouera plus tard avoir fait pipi dans son pantalon; (j’étais le seul à savoir ce qui se passait, confira t’il dans son autobiographie : « Retour sur terre -1973 » .
Les astronautes prennent beaucoup de photos, de films. Ils laissent sur la lune de nombreuses traces, un de leur gros marteau, beaucoup d’urine et dispersent sur la sphère divine 300.000 microbes terriens à la vie cependant très brève, car on sait que les U.V touchent régulièrement la lune, en lui donnant cette couleur brunâtre caractéristique. Je vous laisse méditer là-dessus.
Mission accomplie, les astronautes se dégagent de la lune avec l’aide de leur engin aux pattes désarticulées, laissant cet univers sans vent.

Ils sont enfin soulagés.

Une encyclopédie, c'est une encyclopédie, si vous suivez pas le rythme, je m'en fous.
Moi j'ai tout mon temps.
 
Et pas de sommaire, comme ça, comme on ne sait plus si on a lu ou pas, il faut relire et ça rentre bien dans la tête :
 
D'un strict point de vue pédagogique, il faut supprimer les sommaires des manuels scolaires.
Merci pr Talbazar !

ferme la.

courant d'air ?

Gastronomie rapide
 
Aujourd’hui : Le kebab
 
Le 15 juillet 1781 à 12h11, Jean-René Kebab, employé municipal à la mairie de Neuilly-Plaisance et amateur de cuisine nouvelle, eut l’idée, pendant sa pause déjeuner, d’inventer un met raffiné lui permettant de manger l’équivalent d’une semaine de repas en 10 petites minutes (15 avec le supplément de frites). Le kebab était né. Malheureusement pour l’humanité, Jean-René mourut le 15 juillet 1781 à 12h25 d’une fracture de l’estomac, avant même d’avoir avalé l’ultime bouchée de son fameux sandwich. La légende raconte que le morceau aurait été ramassé par un dénommé Patrice Gollum, ex-bijoutier à la retraite, qui venait s’inscrire sur les listes électorales. Ce dernier fut tenté de disparaître avec le morceau dans une grotte, mais son psychothérapeute l’en dissuada, car c’eut été retomber dans d’obscurs travers liés à son passé, et que Patrice tentait d’oublier. Gollum s’engagea plutôt à continuer ce qu’avait commencé Jean-René Kebab et à faire connaître son œuvre au monde entier. Il entreprit donc de répertorier sur un grimoire chacun des aliments présents dans le morceau de kebab qu’il avait précieusement conservé. 12 volumes plus tard, Patrice Gollum venait de créer le premier chef d’œuvre de la littérature culinaire intitulé sobrement « Traité de kebabologie ou comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bouffe ». Il fit ensuite ériger un mausolée à la gloire de Jean-René Kebab, désormais rekebaptisé Kebab 1er, qui devint très vite un lieu de culte pour les pèlerins obèses du monde entier.
200 ans plus tard (230 avec le supplément de frites), le célèbre sandwich fait partie du patrimoine de l’humanité, au même titre que Coluche, le iPod ou encore Denver, le dernier dinosaure. Ses fidèles les plus fanatiques, parmi lesquels on retrouve des célébrités telles que Madonna, Britney Spears ou feu le Pape Jean-Paul II, ont même créé une religion, la Kebale, qui devint par la suite la Kabbale, et qui prône les joies des relents d’oignons, du cholestérol et de l’injection de sauce blanche par intraveineuse.
 
Recette du kebab allégé selon Patrice Gollum (in « Traité de kebabologie ou comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer la bouffe», P. Gollum, 1781, Editions Marabout) :
 
Pour une personne :
 
- 2 fines tranches de pain de 500 grammes chacune
- du veau (si possible, en entier)
- 1,5 litre de sauces diverses et variées, y compris corporelles *
- du poulet (si possible, en entier)
- 2 kilos de frites qui transpirent
- 2 kilos d’oignons qui sentent
- 1 demie feuille de salade
- 1 rondelle de tomate
 
* Cf. « Rumeur : Après une couille dans le potage, du sperme dans le kebab ! », Revue des deux mondes, 1998, pp. 11-12

Heureusement que j'avais des mouchoirs

Quel est ce topic ?

Une certaine idée du bonheur.

\o/
 
ALORS, J'VOUS L'AVAIS PAS DIT, PEUT-ETRE???

demain matin je fini mon exposé sur le rugby

Stipey, L'Autiste, je serais honorée de pouvoir déposer avec délicatesse vos contributions gastronomiques sur mon blog

Je sais pas pour stipey, mais moi, perso, j'ai pour règle de ne jamais rien refuser à une obsédée, quelle qu'elle soit.
 
Donc faites, je vous en prie.

Je sais pas pour L'Autiste, mais j'aime bien les cochonnes aussi.
 
Tu peux donc me déposer moi sur ton blog, mais t'aurais qu'à t'arrêter à la rue d'avant, y'a toujours de la place pour se garer.

Messieurs, vous êtes bien urbains, comme l'habitat du même nom.
 
Je m'en occupe dès que j'ai fini mon bigoudi. C'est dire si l'heure est grave.  
 
Comme c'est pas rangé, j'espère que je n'ai pas oublié de mentionner un autre article qui pourrait y trouver sa place ?
Monsieur Bazar, par exemple, j'aimerais lire sous votre alerte plume pleine de verve quelque chose comme :
 
Manies socio-culturelles
Aujourd'hui : l'apéritif anisé
 
C'est juste une proposition, évidemment  

Moi j'aime bien quand c'est le bordel. On aidera monsieur Bazar à ranger quand Larousse l'aura contacté

l'aura Larousse  

on dirait une partie de pacman

Je suis la madame Jourdain du calembour navrantissime

Je viens de penser que l'oursin de Talbazar doté de l'appendice de p47alto1 pourrait figurer glorieusement entre coquillettes et tartines au four!!!
Messieurs ? (je peux citer anonymement)

et du semi-ley rigolo

Je ne sais si comme le dit L'Autiste il est bien indiqué de céder en tout à une obsédée, je ne sais même pas si Mâme Bato est une obsédée et là n'est pas le sujet, mais la perspective de voir un mien appendice, accolé à un oursin qui plus est, glorieusement exposé sur un blog culinaire n'a rien de troublante. Et je ne suis pas conspirationniste. C'est donc pour cela que je donne mon accord.

comment ça c'est pas rangé ?
Mais tout est en ordre, bordel de mes deux.
Mais c'est vrai, je songe de + en + à rentrer dedans.
Frontalement, même.
ça devrait donner un truc comme pro-fesseur Monseigneur abbé Talbazar.
Avec une soutane en tweed, et pas de culotte, pour aller avec Nausicaa.

 
Monsieur Larousse a le petit doigt tout raide, et quand on lui balance un coup de poil à frire dans la gueule, il tombe en cendre et crame.
David Vincent, lui les a vus, en cherchant un raccourci dans un chemin de terre. Les éditeurs viennent pour envahir la terre.
David Vincent, sait, lui, que le cauchemar a déjà commencé.
 
mais vous ça vous échappe, bande d'embryons illétrés.
 

AH CA, POUR DIRE DES CONNERIES, Y'A DU MONDE§§§

elle l'est, puisqu'elle le dit elle même en légendant son avatar

 
excelent!!! la meilleurs je trouve (la fléme de lire des textes un peu long).
Les articles du topic ne sont pas forcéments tous instructifs ou droles et ca trourne un peu vite au délire intellectuel ou au vanne gamine mais ils sont tous bien écrit donc drapal :

ça commence à bien faire avec l'instructif drôle, jeune effronté.
Pour ça il y a la bible ou l'annuaire téléphonique.
 
Et y en a marre des drapeaux dans mon cul.
Mais tu peux dire à ta soeur de venir, si elle oublie son parfum.
Elle au moins, elle déteste pas les trucs un peu longs.

Et puis elle porte des culottes épatantes, sa soeur, surtout quand elle les enlève, un peu, là, tu sais, quand ça glisse sur l'arrondi de la fesse ?

 
C't'apprendra a draguer ma soeur

bah déjà, tu devrais pouvoir instruire tes connaissances orthographiques, même en te contentant d'y lire nos signatures.
ensuite, tu pourras tenter la lecture d'un texte entier sans que ta maman te tienne la main.

couché, stipey.
 
pas sur moi, idiot.