Reprise du message précédent :
Salon des inventions.  
 
Les machines essentielles du pr Talbazar : La boîte noire pour piétons
 
http://img183.imageshack.us/img183 [...] tonxo2.jpg
 
Dispositif de collecte de données, qui, une fois mis en place dans le talon d’une chaussure, peut permettre aux piétons de se gérer avec un maximum d’efficacité. Il s’agit d’obtenir des enregistrements complets relatifs à l’identité des piétons, à l’utilisation de leur pas, et aux événements survenus dans les secondes précédant une chute.
 La boîte noire pour piétons s’installe aisément et s’adapte à tous type de chaussure, ce qui rend inutile l’achat de chaussures spécifiques et coûteuses.
 Ce dispositif, qui est sûr et fonctionne 24 h sur 24 h, fournit des données complètes et précises sur tous les talons sur lesquels il est installé.
 Tous les mouvements de la chaussure et toutes les informations concernant le déplacement du piéton sont enregistrés, notamment la date, le départ, l’arrivée, la distance, les vitesses moyennes ainsi que les temps morts et les arrêts.
 Les informations peuvent être transmises et acheminées jusqu’à un ordinateur pour affichage où impression.
 La boîte noire pour piétons enregistre également les informations sur les 20 secondes précédant une chute et contribue ainsi à en déterminer les causes et les responsabilités.

Permettez-moi de vous tirer mon drapeau pour ce topic ô combien farfelu.

personnellement, je te permets tout.

 
Tire ton drapeau, du moment que tu gardes ton pantalon.
et rajoute un article, on en manque.  

Séquence poésie.

Aujourd'hui : Un poète maudit, A. Raynié. (1802-1803)

Le grand poète Albert Raynié naquit dans un chou , mais mourut toute sa vie à Monaco, ce qui prouve qu’il avait fait son chemin et qu’il n’était pas trop stupide. Il fut un poète délicat et sensible, mais à l’esprit mal aimé, contrairement au reste. Véritable éboueur de nos consciences.  L’exemple de son père, contrôleur du fisc à Genève, le porta de bonne heure à faire des vers. Il en chiait aussi pas mal, des fois, de ces Ascaris, de ces mollusque forts et harmonieux, en raison de quelques frisées mal lavées. La frisée est une race de salade, bien entendu, dont nous feront  bientôt l’article.

Le père de Raynié le fit tonsurer à l’age de onze ans, car il fréquentait les milieux Skinhead, par vocation. Ce n’était pourtant pas celle du petit Albert, doué d’une bonhomie enjouée, d’une insouciance et d’une conversation orientée, qui l’emmenait tard le soir à faire de nombreuses saillies avec ses jeunes amies. A la vue de ses frasques, sa mère, de son côté, le voyait plutôt prédestiné au barreau. C’est au couvent des Effeuillées, à Paris, qu’il a passé toute son enfance. Il vécu ensuite chez sa tante qui lui témoigna longtemps une affection si peu maternelle.

 Il a discipliné la littérature et organisé notre dégoût national. Il connaissait personnellement quelques satyres, qu’il appelait par leur prénom. Ses épîtres trahissent bien souvent la lassitude du génie, et ses vers seront les derniers débris de notre langue pour former cet amas qui s’enfle, et s’élève mollement !

Raynié besognait sans relâche la muse de la tragédie, la couchant sur le lutrin, dans des lieux isolés, obscurs, bien clos, dans des alcôves enfoncées. Ses vers présentent alors la forme d’un fin duvet, léger et rebondi, voir pompeux. Notre langue dans le palais a conservé ces accords, pour mieux les avaler. On voit bien que le fond de son héroïne lui appartient en propre. Tout l’artifice du poète aboutira à harmoniser les petits verres avec le grand vers, et à faire paraître le petit verre plus long que le grand vers, grâce à l’intelligence des rejets, contre le mur où ailleurs. La vertu n’est qu’un nom.

Albert Raynié a gardé dans sa tête la quasi-intégralité de ses satires, ses odes, ses épigrammes, ses débauches, et ne nous a laissé en tout et pour et tout que ces trois lignes magiques marquées par le génie. Trois lignes uniques qui ne se prennent pas par les narines, comme tout ce qu’on prend par ailleurs à Monaco :

                                    Ah… Les belles corniches
                                     Où nichent et bichent
                                     Les jolies Mercedes 540 K.
 
 On pourra dire que toute la théorie littéraire du poète incompris  Albert Raynié se résume bien dans ces seuls vers . Je vous laisse méditer là-dessus. On y verra sans artifice, plus d’une césure, et plus d’un enjambement imprévus qui légitiment sa hardiesse. Sous le ciel dégagé de Monaco, nous nous laisserons inspirer ces lignes, qui sauront nous garder sur les rails.

Mon oeil vagabond s'est posé par hasard sur ce topic surréaliste et une lueur de respectueuse admiration l'a aussitôt fait briller  

ben tu m'étonnes!

Lueur, c'est léger un peu.
 
Il aurait peut-être été préférable de dire : "Je me suis évanoui(e) d'admiration".
 

tout à fait exact
 
dis donc nausicaa, ça t'écorcherait la gueule de t'ébaubir???

attend je suis en train de taper un article sur l'épilation.
poilant, je l'espère;
je devrais pas être au RMI.  
C'est mon avis, n'en déplaise aux petits crapauds hallucinogènes.

j'ai du mal à terminer le mien sur Pithiviers, mon bon talbazar

ben édite le pas fini, on imaginera le reste !

j'ai aussi du mal à le commencer

c'était pareil en 1914, mais après qu'est ce qu'on s'est marrés !

c'était mieux avant.

 
A la demande générale je rectifie donc....
 
Mon oeil vagabond s'est posé par hasard sur ce topic surréaliste et une lueur de respectueuse admiration l'a aussitôt fait briller. Ladite lueur se transforma illico en véritable rayon laser qui me fit m'ébaubir au point d'en tomber évanouie    
 
 

c'est beaucoup mieux.
 
Faisons l'amour sur un cheval.

Branlette du matin, et tout ira très bien.
A. Raynié.

 va falloir trancher.

Salon des inventions.
 
Les machines essentielles du pr Talbazar : Appareil pour voir la vie en rose
 

 
Comme le dit la chanson:  
« Quand il me prend dans ses bras, je vois la vie en rose ».  
Cette solution organique somme toute aléatoire ne peut évidemment pas faire l’affaire des célibataires. De nombreux livres nous  promettent de voir la vie en rose, mais ce ne sont après tout que de mornes manuels théoriques.
 Cet appareil, d’une efficacité redoutable grâce à son pylône central équipé d’un filtre spécial, permet à l’utilisateur une vision du monde totalement rose, sur un angle visuel de 180 degrés. Ce filtre auto directionnel, constitué d’une matière solide d’un mélange inédit de polycarbonate, néoprène et polytétrafluoréthylène, présente une grande garantie de stabilité de sa couleur. En effet, le rose du masque facial, étudié en laboratoire pour exercer sur l’homme une puissante influence positive, possède une douce luminosité, qui sait générer chez le manipulateur un ineffable sentiment de romantisme, propre à calmer les nerfs les plus éprouvés
Bien que nous ayons tous un sens de la couleur qui nous est particulier, ce rose unique saura faire l’unanimité.  Car malgré tout, nous savons bien que les goûts des couleurs ne relèvent pas de la psychologie individuelle, mais d’un apport des sciences sociales, de l’histoire et de l’anthropologie, et que la connaissance des comportements nous renseigne chaque jour que nous désirons tous voir la vie en rose, ce que permet avec une déconcertante facilité cet appareil révolutionnaire.
Afin de voir la vie en rose, il est également bon de prendre un certain recul, ce qui sera facilité par le siège réglable en de multiples positions.
 Cet appareil à voir la vie en rose offre enfin la possibilité d’un consensus tant attendu. Les petites filles seront ravies, et leur parents charmés des vertus relaxantes de cet appareil  aussi salutaire que pratique.

de cheval.

Sévices de table

Aujourd'hui: Le salsifis

En dépit d'un nom scientifique plaisant -Tragopogon porrifolium, ça vous musique dans le conduit auditif, non?- le salsifis fait partie des sévices de table infligés à personnes incapables de se défendre. De se défendre aussi bien d'un dégoût certain que de l'autorité des ceusses qui osent présenter cette astéracée à la consommation humaine. Qui n'a gardé en mémoire ces mornes empilements de bâtonnets filandreux et vaguement repoussants, servis indifféremment dans de tristes réfectoires ou à la table familiale les jours où la maîtresse de maison tient absolument à ce que ses proches expient à sa place son mal-être, ses algarades professionnelles ou son syndrome pré-menstruel? Qui, je vous le demande?
On sait de lui qu'il fut importé en France au XVIe siècle, sans doute du Maghreb. Mais contrairement à ce qui s'est produit pour d'autres végétaux franchement glorieux, le nom de l'initiateur de cette acclimatation a été soigneusement oublié, sans doute pour éviter à sa famille l'opprobre consécutif à une telle ignominie.
On raconte aussi qu'il a une saveur comparable à celle de l'huître. Nul ne sait d'où est issu un tel racontar nuisible. Il est notoire que le salsifis n'a aucun goût précis, même pas celui d'être totalement insipide.
Pourquoi donc me direz-vous parler d'une erreur de la nature qui a tout de même commis bien pire -du cafard au chihuahua, la liste est longue et non exhaustive ?
Parce que même pendant le saint Carême, les sévices continuent.
Bien loin de disparaître, supplantés par des nourritures acceptables par un palais humain, on trouve encore des boîtes de ces racines -qu'un cochon repousserait dédaigneusement du groin- dans les rayons, de nos jours, en plein XXIe siècle. Pire, certains végétariens/bio/macrobio à poil dur les recommandent, au même titre que d'autres radicelles tout aussi vomitives comme le panais, le topinambour ou autre scorsonère. La raison de cet engouement? Officiellement, il paraîtrait que c'est bon pour la santé, sans doute sur le même principe qui veut que tout ce qui est franchement pénible ou dégueulasse a des vertus curatives ou formatrices. A moins que ne soit là à l'%u0153uvre la logique pervertie qui veut que parcourir 40 km sur les genoux, s'abstenir d'allumer la lumière, se priver de bouffer pendant la journée ou renoncer aux plaisirs de la chair constitue une action de grâces aux forces occultes et jusqu'à ce jour non établies qui présideraient aux destinées de ce monde.
Cependant, en s'intéressant de près -ce que l'amour de la science impose parfois à l'homme est difficilement soutenable-  au nom des diverses variétés et en gardant à l'esprit la forme générale du salsifis, on est en droit de se demander si cet amour irraisonné, et guère plus défendable que l'apologie de l'écorchage à vif d'un humain autre qu'un conseiller ANPE, ne serait pas en fait motivé par de basses motivations zoophiles. Si on tremble à l'évocation du résultat final, on imagine l'utilité que peut avoir pour un dépravé un Mammouth à grosse racine ou un Blanc géant de Russie.
En résumé, le salsifis est incolore, fibreux, immangeable, absolument insuffisant et utilisé à des fins bassement pornographiques par des dégénérés sournois.
Delenda est salsifi.

tu toucheras pas un radis, pour ce truc.

Crois-tu que pour autant ma bonne humeur se fane?

Bouillons de culture et autres jeux de société.

Aujourd'hui : La bi-culture.

D’une certaine manière, nous naissons tous quasiment sous X. Une éprouvette de laboratoire ne détrônera en effet jamais une saine pornographie, une belle sauvagerie érotique, dans la conception de nous autres. Notre propos n’est pas non plus de nous appesantir sur les pauvres diables nés de père ou de mère inconnus, ce qui arrive tout les jours, même quand le père, même facteur, n’est pas celui qui le croit.

Nous parlerons avec précision de ces gens que la vie porte entre deux chaises à tenir deux drapeaux. C’est ce qu’on appelle du terme générique et génétique et j’en ai la trique, du bi-culturage. Comme il existe des bi-sexués, des bicyclettes à pédales et des bielles de transmission.

Voilà des gens qui pensent dans une langue et s’expriment dans une autre. Ils n’ont  pourtant pas tous fait l’ENA (école nationale autiste), mais il est franchement parfois très difficile de suivre leurs propos. Surtout quand ils s’obstinent à vouloir plus ou moins les chanter, comme Ophélie Winter, la pauvre.

La lettre J désignera le Japon, la lettre F désignera la France; Dans le cas précis d’un individu bi-culture né de parents japonais et français, nous établissons deux combinaisons possibles : JF-FJ. Mais la résultante, en l’occurrence notre blaireau sino-hexagonal, est loin d’être évidente. Notre cobaye ne vient pas du Pérou, d’où ces cochons sont originaires, mais sera tour à tour, selon sa sensibilité du moment FF-JJ-JF-FJ.

Si, à l’occasion d’un Karaoké, assis à l’ombre d’un bonzaï, on fredonne ces quatre combinaisons, (FF-JJ-JF-FJ.), on éclabousse son vis à vis surpris des miettes de son sandwich au pâté, et « J’aimerai bien sucé », devient pour le coup, dans un langage bi-culture proche du japonais  : « Humprheybienfufé ». Incompréhensible, c’est clair, sauf à s’accompagner des mains, ce qui dans notre exemple, ne nous aiderais guère et serait purement optionnel.

On le vois bien, la bi-culture est un drame quotidien qui enferme ces pauvres bi-culturés * dans une sorte de schizophrénie verbale dont le traducteur de chez Google est passé maître.

* (La moyenne Encyclopédie du pro-fesseur Talbazar / Codes labiaux - Le langage des signes. VOL 1)

From a certain manner, we all are born almost under X. a test-tube from laboratory will indeed never détrônera a healthy pornography, a beautiful erotic brutality, in the design of us others. Our matter is not either to become heavy us on poor devils born of unknown father or mother, which arrives the every day, even when the father, even factor, is not that which believes it.

If, at the time of Karaoké, sitted in the shade of a bonzaï, one fredonne these four combinations, (FF-JJ-JF-FJ.), one splashes its opposite surprised with the crumbs with his sandwich to pie, and “I like sucked”, becomes for the blow, in a language Bi-culture close to Japanese: “Humfprheybienfufé”. Incomprehensible, it is clear, except being accompanied with the hands, which in our example, would hardly help us and would be purely optional.
One see it well, the Bi-culture is a daily drama which locks up these poor Bi-culturés in a kind of verbal schizophrenia whose translator from Google became Master.

Loin de moi l'idée de "trollesquementpolluer" ce topic de salubrité publique, aussi je ne répondrai pas ici à ce type de proposition....  
 
Néanmoins, je rends hommage (à mon corps défendant...) à stipey pour avoir suggéré par sa réponse l'éventuel thème d'un prochain article :
 
Quid de nos jours de : l'amour cheval-resque ?

bah comme tu l'auras remarqué par toi même, ce topic n'est qu'une fumisterie d'excuse à 2 balles pour pécho de la meuf.
tu ne pollueras donc rien en ne faisant pas ta mijaurée et en te couchant là, j'ai dit!
 
le thème est alléchant (allons bon!), j'attends le corps (et bien dites-moi!) de ton texte

la queue de cheval est un sujet de coiffure.
Aux franges du permis, je chevauche la muse, dont j'abuse et rabuse, sous la couette, en lissant les chignons des méduses.
Nausicaa, c'est un prénom de méduse chevelue.
Je suis médusé.

et puis, article sur la bi-culture :
 
cobaye = guinea-pig
 
des petites cochonnes d'inde lesbiennes, c'est pas de la balle, ça ?

L'Hygiène et ses pratiques.

Aujourd'hui : L'épilation.

 Chaque femme songe à s’épiler, au moins une fois dans sa vie, adoptant chacune sa méthode. Qui n’a pas croisé la sienne assise dans la baignoire, le couteau de boucher à la main, avec le poing en entonnoir, partant de douteuses extrémités, procédant sous la pression, en allers-retours des chevilles aux cuisses vers le centre du corps, jusqu’à ce qu’une eau fiévreuse les recouvre ?

Les poils prennent en effet leurs aises autour du nombril, sous les bras, sur la nuque, dans le nez, l’anus et au creux de la paume de certaines feignasses. Si l’on ne s’y intéresse pas, ils deviennent vite encombrants !  Certaines crèmes encouragent en plus le massage, au comble du plaisir et peuvent aider à la pénétration, qui sera rapide. La charpente cutanée de votre chérie d’amour agit en fait comme une étonnante culture hydroponique. Avec un peu de soleil, sous l’influence des U.V, son corps devient un jardin vertical et ses poils des lierres  aux lianes intrépides contre lesquels une fille de bonne éducation devra lutter sans relâche, en serrant bien les jambes. C’est bien connu :  l’Hygiène emprisonnera toujours  la santé.

Néanmoins, une végétation foisonnante aux allures tropicales appréciera bien sûr de temps à autre le petit jet tiède et salutaire d’un tuyau d’arrosage, toutefois ces ruissellements recyclés par une éventuelle petite pompe s’évacueront mal avec les eaux usées, tout chargées  par ailleurs d’une bonne quantité d’acide urique et d’un plaisir coupable. Mais ce n’est pas très esthétique.

Finalement, avec quelques outils et un courage à toute épreuve, il est désormais facile de s’épiler la couenne. Prévoyez au minimum deux ou trois tailles hebdomadaires, pour limiter la pilosité par trop expansive. Une première solution rapide et économique consiste à déposer de la glue sur les poils avec un pistolet à colle. Quand les poils seront collés entre eux, maintenez les avec un fil de fer bien serré à leur base, à l’aide d’une pince plate. Coupez ensuite à ras les poils avec la pince coupante, c’est pratiquement sans douleur.

Ce sera moins vrai si vous utilisez les derniers modèles de rasoirs 250 lames. Sachez qu’en appliquant un coton imbibé de gasoil sur les plaies largement ouvertes, vous n’éviterez pas l’hémorragie ni les odeurs de semi-remorque. Renoncez finalement aux crèmes dépilatoires qui provoquent rougeurs et picotements des joues. Si vous insistez quand même, vilaine petite coquine, c’est votre choix ; respectez alors le mode d’emploi, n’en avalez pas, pour plus de sûreté. Une bonne crème dépilatoire sera au préalable testée sur un animal disponible, votre chatte, par exemple.* Dans les 24 h qui précédera l’épilation, on s’appliquera courageusement par voie interne un produit alcoolisé en provenance d’Ecosse, de Russie ou du Mexique, histoire de cernée une bonne zone. En effet, en quelques minutes, quand on s’épile, un rien peut vous irriter. Il vaut mieux prévoir…

L’épilateur électrique, le modèle Cloclo de chez Braun, par exemple, sera plus efficace, voir définitif, si l’on plonge en apnée dans sa baignoire, prise branchée, interrupteur allumé. Attendez que vos poils aient un mètre ou deux, avec un aspect moquette, avant de les arracher, couper alors éventuellement votre maillot au ciseau, pour ne pas trop souffrir. Une heure ou deux enfermée par - 40 dans un congélateur, porte fermée, anesthésiera certainement la douleur.

 On pourra tromper son mari, c’est parfois excitant, en se décolorant les lèvres, mais cela ne trompera que lui. Proscrivez la tenaille à épiler, même sur un duvet abondant. N’oubliez pas qu’au-dessus des lèvres, cette zone est particulièrement innervée et donc très sensible. On pourra aussi s’assouplir la peau à la batte de base-ball qui arrachera la peau et les poils en un éclair, avec l’aide d’un partenaire motivé. Par contre des bandelettes imprégnées de cire appliquées en roll-on vous enverront directement rejoindre le département des antiquités Égyptiennes du musée du Louvre.

Quelques gestes précis des doigts sont recommandés, en se bouchant le nez, pour dilater les porcs. Je vous laisse méditer là-dessus. L’épilation « longue durée » se fait poil par poil, avec l’aide d’un laser agréé par l’armée. Il vous détruira le bulbe à coup sur.  Toutes celles qui appliqueront ces méthodes n’en reviendront jamais. La meilleur époque pour s’épiler sera avril-mai, et septembre aussi, les poils ayant le temps et l’audace de s’implanter avant les grands froids. Enfin, en décembre, n’oubliez pas de faites réviser la tondeuse, dont il faudra faire la vidange,  avant de la laisser au garage.

* ( La moyenne Encyclopédie du pro-fesseur Talbazar / Leçons de choses contre-naturelles : La chatte - VOL 1)

sale bi-gorneau!

FAIS UN SOMMAIRE§§§
 
j'accumule du retard dans la lecture et je galère à retrouver les textes non lus, mon petit salbatar.

tu te demmerdes, mon petit pey.

Enfin un topic culturel intéressant  
 

Non, non, la culture ça ne représente aucun intérêt.
Sauf pour les huîtres, qui en manquent.
Nous ferons d'ailleurs bientôt un article dans la fiche métier, à propos des belons :
 
Fiche métier : La mollardiculture.

un breton, nous v'là frais

 
 
Je suis d'accord.
Un sommaire.
Au moins par ordre alphabétique.
 
Parce que je ne sais plus où j'en suis non plus.

arrête de picoler.

"Vole comme un papillon et picole comme une guêpe." Mohammed À-L'Eau, 2007

Transports et emportements.

Aujourd'hui : La sécurité routière.

La sécurité des routes est une bonne chose. Elle permet de combattre efficacement l’anémie, en faisant prendre l’air aux gendarmes et autres entreprises partenaires. L’arnaque consistant à nous faire payer un droit d’entrée en arrivant dans les bourgs de moins de 100 habitants, afin de combattre le réchauffement des pneus freinant pile aux nez des chiens errants,  n’a pas été votée et c’est tant mieux. Mais il subsiste d’autres devoirs légaux aux délinquants potentiels que nous sommes à peu près tous, dès qu’on nous dit de la boucler. Une étude récente démontre que la courtoisie au volant présente un certain risque; Si vous remarquez que les automobilistes qui vous croisent vous font d’une manière peu ambiguë des appels de phares répétés afin de vous prévenir d’un contrôle radar intempestif, vous allez immédiatement les remercier d’un signe éloquent de la main *, si vous êtes poli et courtois. Ce faisant vous lâcherez votre volant une demi-heure où deux pour pratiquer vos légitimes remerciements. Voilà qui constitue une conduite irresponsable, bien que courtoise, et qui sera sévèrement sanctionnée. Vous devez impérativement garder les deux pieds sans lourdeur excessive et les deux mains sur le volant, environ 11h20 de position, heure de Tokyo.

La prévention routière n’est pas un vain mot. Imaginons un instant, alors que vous êtes en train de rouler à votre vitesse préférée, que vous téléphoniez au volant sans boucler votre ceinture : une mauvaise nouvelle risque de vous projeter violemment en arrière (environ 15 G), sur les genoux de votre passagère arrière, soudain ravie d’apprendre que vous allez bientôt divorcer. Afin de promouvoir le bleu-indigo, une loi sur la sécurité routière a mis fin au permis blanc. On ne peut plus conduire en cas de retrait de permis, sauf peut-être la nuit, tous phares éteints, au volant d’une voiture volée, en cas d’évasion, mais ce n’est guère citoyen.

Les efforts des constructeurs sur la conception des climatiseurs ont favorisés l’essor de la conduite à cons pagnés. 20 % des français, choisissant d’emprunter soudainement les sentiers battus, ont saisi ici l’occasion d’entamer une formation et un certain nombre de talus, au sein de leur famille.  On trouvera dans les auto-écoles label rouge des dépliants complètement bourrés de conseils sur l’attrait indéniable de conduire en avalant des bourbons secs jusqu’à destination, sans modération. Les auto-écoles labellisés rouge ne vont pas tarder à fermer, dépêchez vous.

Depuis mars 2004, le jeune conducteur dispose d’un capital individuel de 6 points sur son permis, au lieux de 12. On voit et constate que la sécurité routière sait faire profiter des soldes aux moins expérimentés. Pour se faire rembourser des six points qu’il vient perdre au bout d’une heure de conduite seulement, le jeune conducteur pourra contacter le service clientèle de la gendarmerie la plus proche de son domicile, dans les 5 jours ouvrés suivant la disparition de ses six points. De même, il pourra téléphoner au procureur de la République, voir au préfet,  (515 euros TTC) pour obtenir les points qui lui manquent pour faire douze. Il recevra en retour rapide un formulaire d’injures légales à retourner complété et accompagné impérativement de toutes ses pièces justificatives d’identité. Un simple appel, jeunes gens, vous permettra de déclencher sans attendre une intéressante procédure !

En cas de perte ou de vol de votre permis de conduire, il est prudent de faire en toutes circonstances comme si vous n’étiez au courant de rien, surtout si vous avez monnayé la disparition, ou le dit vol, avec un ressortissant du Mali, d’immigration frauduleuse.
 La liste d’attente au permis de conduire est parfois très longue. Dans certains départements, il faudra compter jusqu’à huit mois de patience sur le bord de la route, en raison d’un manque criant d’examinateurs. Les pouvoirs publics établissent donc chaque année un plan de recrutement d’inspecteurs au sein des écoles des beaux-arts, qui réfléchissent aussi, par un usage pratique et répété, aux couleurs standards des éthylotests. Le taux de réussite de l’examen du code de la route à chuté de 70%, car des questions plus difficiles ont été glissées dans les nouvelles séries de tests. On vous demandera par exemple si un coup de pompe au volant vous autorise à éteindre les feux tricolores, ou s’il faut bondir sur le bitume en criant sa joie au milieu de la route, si par hasard vous découvrez dans sa voiture une pop-star effondrée sur son siège, le volume de son I pod poussé au maximum.

On le voit, la loi sur la sécurité routière est devenue draconienne, et si vous en avez les moyens, il est aujourd’hui préférable d’engager un chauffeur consentant, pour un duo charmant, avec des gestes lents remplis d’attention, sinon vous risquez quelques vieilles embardées sur le trottoir. Je vous laisse méditer là-dessus, car le feu vient de se mettre au vert et que j’ai tout d’un coup le sentiment de bloquer abusivement la circulation de ce forum.

* ( La moyenne Encyclopédie du pro-fesseur Talbazar /  Codes labiaux - Le langage des signes- VOL 1)

Un article à la technicité ardue, pour les férus de manipulations reproductrices.
 
Bricolages sulfureux.
 
Aujourd'hui : Technique et pratique du tirage.
 
                      Les grandes étapes de la reproduction.
 
 Il nous faut souligner immédiatement que n'importe quel sujet ne peut fournir (à priori) un résultat satisfaisant, quelque soit l'habileté du tireur.  
 
Le sujet :
 
L'intervalle de brillance du sujet varie considérablement d'un sujet à l'autre. La solution consiste à diminuer l'intervalle de brillance du sujet, en donnant un éclairage supplémentaire aux parties les plus sombres ou à éviter ce genre de sujet.
 
L'émulsion :
 
La nature de l'agent développeur, la composition du bain révélateur, la température et la durée du développement influent nettement sur la nature des agrandissements. Dans le choix d'un révélateur, il est essentiel de tenir compte du type d'émulsion que l'on désire fortement traiter dans un bain.
 

• Caractère d'un bon négatif.

Un bon type négatif aura un contraste de 1,6 (log 40 / 1) * 0,8 = 1,28, donc finalement très doux en fonction du sujet. D'autres critères interviennent cependant pour juger de la qualité d'un type négatif. Ils sont d'autant plus importants que le négatif est destiné au tirage direct (par contact) ou au tirage par agrandissement. Pour des sujets mobiles, le temps de pose doit être déterminé en fonction de la vitesse et du sens de déplacement du sujet par rapport à la surface sensible. Le temps de pose doit être calculé pour le noir et le blanc, seulement en fonction des régions du sujet qui présentent de l'intérêt.
 Pour accélérer le séchage et prévenir la formation de cernes, il est prudent de plonger dans une solution d'agent mouillant. Si le support est taché de marques grasses, il est bon de l'essuyer avec un chiffon doux, pour dissoudre et éliminer ces taches.
 

• Principes du tirage positif.

La reproduction positive, ou tirage, consiste à faire une bonne impression, soit par contact direct, soit par projection. La reproduction positive obtenue après traitement porte souvent le nom d'épreuve. La plupart des dispositifs sont réalisés par contact, étant donné qu'ils sont surtout destinés à la projection. Certains gaz, toutefois, sont susceptibles de provoquer un voile nuisible sur les émulsions.
 
 On ne touchera qu'avec des mains parfaitement  propres, sèches, et en évitant de poser les doigts sur la couche sensible, généralement concave. En cas de doute, humecter légèrement un doigt et l'appliquer : le côté gélatiné adhère à la peau. Il est fortement recommandé au tireur de procéder à un étalonnage fréquent et répété. La température joue un rôle essentiel dans le développement : plus elle est élevée, plus elle favorise l'action du révélateur. Une température basse s'oppose à cette action. Une dose de bromure de potassium ralentira fortement le développement, pour éviter toute surprise, il est bon que le tireur soit averti de cette particularité.
 
 Si la solution reste transparente, le bain est encore actif, s'il se forme un précipité jaunâtre, le fixateur est épuisé et doit être jeté sans regret. Un mélange trouble indique d'ailleurs qu'il est en voie d'épuisement. Après séchage à l'air libre, les épreuves se décollent d'elles-mêmes, parfaitement glacées. L'agent brillant permet une meilleur adhérence de la gélatine sur la plaque des glaceuses et prévient la formation de gouttes sur les épreuves. Si des traces blanchâtres apparaissent sur les épreuves séchées à chaud, ceci est dû à la présence de matières salées.  
 
 Le virage des épreuves nécessite une propreté absolue dans toutes les manipulations. Le collage sera réalisé avec une grande presse à monter.L'image de quelques filets produit parfois un effet agréable, et avec l'encaustiquage, les épreuves acquièrent de la vigueur et de la profondeur. On les frottera dans ce cas avec un tampon imbibé passé contre de la cire vierge.
 
 Les tireuses automatiques par contact, aujourd'hui en usage permettent un débit régulier de 600 à 900 épreuves à l'heure, ce qui autorise un prix de revient minimum. Des tireuses en bandes seront utiles aux petits formats. L'échantillon sera développé pendant la durée recommandée pour le type utilisé. L'examen des parties, effectué en lumière blanche, après un rinçage rapide du bout d'essai, renseignera vite sur la valeur du temps de pose correct. Il vaut mieux diminuer l'intensité de l'éclairage, que choisir une série de temps de pose trop brefs. Avant de soumettre un négatif à l'agrandissement, il faut s'assurer qu'il présente toutes les conditions de netteté et de propreté requises
 
 L'ouverture du diaphragme doit être déterminé avec soin, pour fournir un temps de pose d'au moins 8 ou 10 secondes. Je vous laisse méditer là-dessus. Nous sommes alors en mesure d'appliquer l'une des méthodes précédemment décrites, à savoir le tirage par contact, ou le tirage par projection. Il est important de souligner que cette recherche du temps de pose doit toujours s'effectuer sur la (partie intéressante) du sujet et si possible, sur des zones très voisines les unes des autres.