Reprise du message précédent :
rhâ putin dropal

Merci BashHfr  

+1

c'est quoi tous ces gens?

Le public.
 
Vas-y maintenant, fais rire!

j'ai fait mon temps, je laisse ma place aux jeunes.
 
j'en ai déjà repéré 2-3 qui ont un certain potentiel, dont un qui a déjà eu un post quoté sur BasHFR.
j'y crois.

ok, les banques nous cassent les couilles, sauf celles du sperme, dont c'est l'objet. Mais vois-je que la jeunesse reste avide de se cultiver sainement, à défaut de continuer de téter leurs mamans, ce dont je profite aussitôt, avec une certaine impudeur.
Bien, nous verrons donc prochainement un article sur la migration des anguilles.
Soit.

Faut pas snifer du venin mort, c'est mal.

le choix désarme.

 
Les yourtes, ces mamelons doucement ballotés par le vent sibérien, de la lointaine banlieue d’Oulan-Bator, ont leur pendant de l’autre coté du pacifique dans les grandes plaines de l’ouest là ou se redresse fier et majestueux le Tepee ( prononcer tipi).
Certains disent que: les yourtes viendrait de Vénus et les tepee de Mars. Cela pourrait effectivement expliquer leur différences morphologiques.
Les habitants des tepees sont les types. Les types sont communs et ne présentent aucun caractère particulier c’est pourquoi ils compensent leur absence de personnalité par la taille de leur habitation.  
Le type à essentiellement une activité verticale, il passe sont temps à se lever et à s’assoir dans son tepee, quand il se déplace il le fait sur la pointe des pieds, de temps à autre il peut sauter sur place et lever les bras au ciel et lorsqu’il prend conscience de sa minable existence, ses cheveux se dressent sur sa tête.
Paradoxalement, les types ne dorment pas debout. A la nuit tombée, les types s’étendent au centre de leur tepee, et dorment couchés sur le dos afin de se prémunir d‘une soudaine crise de priapisme. Son architecture en pointe, ne permettant pas de fixer un miroir au plafond, le tepee reste un habitat solitaire pour les pauvres types.  
Pour pimenter cette absence de vie sexuelle à plusieurs, c’est-à-dire plus qu’un, le type doit faire preuve d’imagination et se débrouiller avec les maigres ressources que lui prodigue son environnement; les plumes d’aigles, la graisse de castor et les bouses de bison.
Un type habile de ses doigts et pas fainéant, peut en combinant ces ingrédients se confectionner tous les objets nécessaires à son quotidien des plus vitaux aux plus subtils, car il faut bien l’avouer: Le type est un fétichiste de la  plume.  
Lorsqu’il quitte son tepee, le type est furtif et discret, et pour un œil peu averti passerait facilement inaperçu au milieu de la troupe du Moulin-Rouge, cela lui permet de rentrer facilement dans les coulisses des cabarets pour de modeste larcins.
Le type peut également améliorer son quotidien en troquant de la graisse de castor, lubrifiant naturel, dans les vestiaires de Chez Michou.  
Avec ces gains chichement gagnés, le type s’achètera de la drogue qu’il fumera avec son  calumet artisanal dans son tepee pour oublier sa vie de merde, car le type aime la pipe mais sa solitude et son manque de souplesse l’on contraint à fabriquer des calumets démesurés pour pallier le manque, et finalement trouvera le repos d’un sommeil agité, dans le rêve d’une vie meilleure où  il  pourrait planter son tepee entre deux yourtes.
 
 

autrefois, on pouvais trouver des teepes apaches, hier, mais aujourd'hui, ça coûte des sioux.

Ouais, marre de se faire plumer!

Faut savoir tourner l'apache.

Nan mais ce topic

Heu... Quel est le but de ce topic ? Les modos sont d'accord ? Franchement, c'est du grand n'importe quoi.

"dupneu", pour un mec qu'a pas inventé la roue...

Laisse tomber, ça tourne pas rond chez lui

Son post est tombe a plat.

Il est quand même gonflé.

Lui qui pensait s'éclater, il se fait chambrer.

Qu'il crève

Soyez un peu plus jantil avec lui, essayez d'enjoliver la situation

Il essaie de nous mettre la pression, et il faudrait la jouer low profile? Des clous, oui!

Il n'a vraiment aucune tenue ! Il pense peut etre porter secours a HFR?
 
Dans tous les cas il va encore rechapper à la modération.

J'aime pas trop les rouleurs et les fils de pute.

On est un tout petit pneu déjantés quand même  

ok, merci.

Je vais faire fermer ce topic !

Tu vas surtout te faire TT si tu continues à polluer ce topic

et le forum en général d'ailleur  
http://forum.hardware.fr/forum1.ph [...] earchall=1

Dupneu, arrête de couper les épingles à cheveux en quatre et viens danser la valve à quatre temps. Tous ensemble, prenons nous par les hanches, pour faire la chenille !

et surtout, bonne année à toutes les Michelines !

La migration des anguilles, j'ai dit, bientôt.
Ce sera de l'aqua-culture, quoi.

UROLOGIE MUSICALE
ou l'intérêt de pisser dans un violon
 
« Il est plus difficile de pisser dans un violon que de chier dans un saxophone »  
                                                                         Charlie Parker( 1920-1945)
 
 
 
Quelques témoignages pour débuter: André Rieux écrit dans son autobiographie: « j'avais seize ans, je venais de quitter le conservatoire et je cherchais alors de nouvelles sensations, c'est ainsi qu'un jour je décidai de pisser dans mon violon avant de jouer. Après plusieurs semaines de pratique intensives, les sensations espérées, je dois le reconnaître ne furent pas au rendez-vous, mais l'odeur qui avait imprégnée la caisse de résonance provoqua en moi le déclic: « c'est décidé, je jouerai pour les vieux ». Ainsi, pisser dans un violon fit ma fortune, et j'ai pu facilement, accoutumé à l'odeur acre de mon Stradivarius, affronter des salles de spectacles remplies de vieillards, grabataires et incontinents tout en gardant le sourire. »
 
 Autre témoignage, celui de Jean Edouard De la Mothe: « Ce jour là, j'ai pris mon destin en main, j'ai pissé dans mon violon et l'ai balancé à la tête de mon professeur. Alors, j'ai quitté la maison pour monter un groupe de hard-rock » Par ce geste de révolte, Jean-Edouard, avait refusé sa destinée, il ne voulait pas finir comme son père à la tête de l'empire de la tringle à rideaux.
Aujourd'hui à presque 50 ans, après vingt ans sur les routes, Jean-Edouard a fini par raccrocher sa guitare et, en quelques années, est devenu le premier producteur d'huile de cheveux de la région Nord-Pas de Calais. Pour lui aussi, pisser dans violon fût le geste fondateur d'une vie réussie.
 
Autre anecdote sur l'utilité de pisser dans un violon. Le savant Gaspard Gustave Coriolis, mathématicien et grand voyageur, alors qu'il avait embarqué au Havre à destination des Galapagos, sauvera la carrière du capitaine du navire d'un procès en incompétence. En effet, six mois après le départ, le navire tournait en rond au centre de la mer Noire, incapable de retrouver son chemin.
Alors, Coriolis fit parler son génie, empoignant le violon du second du capitaine, il se mis à uriner dedans, à la grande stupeur de l'équipage, et après avoir observé l'écoulement du liquide dans l'ouïe de l'instrument, désigna d'un geste majestueux le cap qu'il fallait suivre.
Deux mois plus tard, le navire arrivait à bon port.
 
Il existe en effet deux méthodes pour pisser dans un violon, la première, celle qu'utilisa Coriolis est la plus grossière, elle consiste à arroser le violon et laisser le liquide s'écouler sur la table bombée jusqu'aux ouïes, ouvertures en forme de f, d'où il s'engouffre pour remplir la caisse de résonance.  
Cette méthode, certes efficace, est cependant bannie des esthètes et; par ailleurs, est éliminatoire lors des compétitions.
Pour les amateurs de beaux gestes, il n'y a qu'une façon de remplir le violon: directement dans l'ouïe de l'instrument sans toucher les bords. C'est alors beaucoup plus difficile, mais le résultat en vaut la peine.
 
Ce sont les vingt-quatre violons du roi Louis XIV qui furent ainsi les premiers à s'illustrer dans cette technique et leur virtuosité était sans égale dans toute l'Europe.
Partout où allait le monarque, les vingt-quatre violons l'accompagnaient en musique, que ce soit à table, à la chasse, sur le trône, sur sa chaise percée ou encore sur Mme de Maintenon.
Les musiciens ne devaient cesser de jouer tant que le monarque ne leur avait pas demandé. Aussi, amateur insatiable, les sessions pouvait durer plusieurs heures. C'est ainsi, que les musiciens ne voulant déplaire au roi prirent l'habitude de se soulager, quand l'envie devenait trop pressante dans leur violon tout en continuant à jouer  
Lully, qui alors composait la musique du roi, comprit rapidement l'intérêt de cette nouvelle pratique et l'intégra à ses compositions créant alors des spectacles urino-musicaux qui préfigureront les grandes-eaux de Versailles.
On a récemment découvert, sur une partition d'un de ses célèbres morceaux : « L'ondée de septembre » des annotations qui ordonnaient aux violonistes de pisser à certains moments précis et notamment, dans cette œuvre, après les notes La et Ré.
C'est de cette œuvre qu'est née l'expression « Pisser à La Ré » qu'utilisaient les violonistes du roi pendant leurs répétitions. Puis, passant dans le peuple cette expression évolua pour devenir: « Pisser à raie » ( des cheveux ?) ou « Pisser à l'arrêt » ( d'autobus ?) les historiens s'interrogent encore.
 
Bref, pour en finir avec Louis XIV, si celui-ci ne fut qu'un piètre violoniste, il n'en fût pas moins un grand pisseur. C'est ce que relate l'ambassadeur de Venise, Gianlucca Pizzolini, dans son journal, après avoir assisté à l'un des spectacles des violons du roi, où malheureusement, ce jour là l'un des violonistes se montra fort maladroit. « De mes yeulx vus, le roy, fol de rage, estay desculloté devant la cours esbaudye, à longs jects continus, emplis la viole et le luy rendit tout desgoulinant et claspotant et luy dict « Voy ainsy je faist et doresnavant vous toujours ainsy faire". Oncque ne fust plus despyté que le pôvre musicien. »
 
Pour les étudiants désirant en savoir plus voici une bibliographie
 
 
RIEUX – André « Ma vie, à la rencontre de l'incontinence » Rotterdam 1998
Autobiographie sans concession, à lire d'urgence
PASCAL – Blaise « Les pissées: je pisse donc j'essuie » Paris 1659
Anecdotes philosophiques, avec parfois un manque de rigueur intellectuelle
MAC FLANAGAN – Elliot « The diuretic violin » Oxford 1976
La bible sur le sujet, aussi bien pour les premières gouttes du débutant que pour l'amateur éclairé avec, par exemple,  un article sur l'ecole serbo-croate. Malheureusement réservé aux anglophones, à quand une traduction ?
CORIOLIS – Gaspard Gustave « Chérie, J'ai encore pissé dans le lavabo » Rouen 1819
Le mathématicien toujours entre deux hémisphères nous livre son intimité
PINNA- Christophe « Vaincre la peur de pisser » Dammarie-lès-Lys 2002
Fabuleux touche-à-tout, le préparateur mental de la Star Academie, vient en aide aux débutants. Ce livre peut résoudre de sérieux blocages. Utile.
LAPELOUZE- Muguette « Comme vache qui pisse » Nice 1984
Livre au vitriol où la militante féministe qui dénonce avec verve la pratique d'une activité réservée aux hommes, on est loin de son premier ouvrage, ode à la femme: «Chier dans les bottes » 1975

talbazar, tu pourrais faire un index de ton superbe topic en premier post ? Ne serait-ce que pour avoir une liste complète des articles ?

J'ai pas lu encore, mais ça à l'air parfait, enfin en diagonal.
Là je dis merci de cet effort érudit, parfait.
Surtout si tu me prêtes ta femme, pour faire chier le pneu.
bravo, j'en veux les autres, encore, encore, plus fort.
 

les index, les sommaires, les appels dans la cour le matin pour voir si tout le monde est présent, ça me rappelle trop la prison.
alors non.

hé, au fait, par le plus grand des hasards, j'ai bu un kawa, l'autre jour, en face d'un quidam que je n'avais plus revu depuis trente années. Avec lui, je suis allé aux Indes en stop ! inutile de raconter l'émotion partagée !!!

Into the wild, dans son cul, à côté.

Même si ça me coûte, drapal

un drapeau blanc, en somme (bataille de la, 1917)

même en mai 68, une hirondelle n'a pas fait le printemps, mais les biloutes sont tellement rares, ici, que je t'embrasse tendrement, c'est jour de bonté.

Toi aussi t'as bossé dans une boite d'aliment pour poisson?