Reprise du message précédent :
J'habite Madère

j'adore ma bite.

ça m'étonnerai

Astronautrique et encapsulage.  
 
La preuve par les images.
 
Aujourd'hui : La politique spatiale, enjeu électoral ?
 
A droite :
 

 
A gauche :
 

 
La réalité citoyenne !
 

La psychologie de para.  
 
La preuve par les images.
   
Aujourd'hui : La voyante extra lucide
 
 

Débats ni courts ni longs.    
   
La preuve par les images.  
   
Aujourd'hui : Les pets, miroirs de nos âmes ?
 

 
 
Peut-on impunément venir péter sur un forum, et cela peut-il, à l'instar de la masturbation, nous rendre sourd ?

permettez-moi, cher professeur, de rester coi.

quoi ?

Rester coi, quoi.

Va au coin, coin.

Les fiches jardinage de Talbazar le bêcheur.
 
La preuve par les images
 
Aujourd'hui : Bien bourrer son sillon
 
 
"Semer en lune montante et descendante demande belle et vigoureuse orbite"
 

Salon des inventions.    
   
Les machines essentielles du pr Talbazar :Seringue à mots.
 

 
Nous sommes une civilisation de l‘écrit, malheureusement, les jeunes d’aujourd’hui ne lisent pas assez et manquent singulièrement de vocabulaire.
 La seringue à mots est une invention opportune qui devrait leur fournir une assistance providentielle dans leurs études comme dans leur vie d’adulte.
 Absolument sans douleur, par simple contact sur l’épiderme, la seringue à mots diffuse dans le cerveau les mots qui nous manquent pour le dire ou l’écrire.
 Un vaste choix d’ampoules mettront à votre portée un nombre illimité de mots courants ou plus techniques, mais également de nombreux poèmes et citations, que l’on gardera en mémoire pour une durée de 15 à 20 heures, afin de nous aider à nous exprimer.
 Pourquoi dès lors ne pas profiter de cet excellent outil, approuvé par l’Académie Française, pour devenir écrivain ?
 

Les progrès de la recherche me laissent pantois !
Dire qu'avant on était obligé de lire ! Des livres, même, parfois !
 
Est-il prévu qu'une version vaccin existe, pour une rétention plus longue ?

Ils font pas ça en bleu métallisé?

non, mais une prise par les narines est envisagée.

Marketing et piège à cons.    
   
La preuve par les images.
   
Aujourd'hui : La grande distribution, un acte d'amour ?
 

Salon des inventions.    
   
Les machines essentielles du pr Talbazar : Mouvement du mois.
 

Les kinésithérapeutes ont étudié cette posture-clé de la gymnastique esquimaude pour vous permettre un auto-étirement et un développement musculaire maximum, afin d’éviter « la rouille ». Avant de commencer, prenez un aliment léger, goyave ou muesli Bernois, et terminez votre dîner après l’exercice, en respectant un délai d’un quart d’heure. Enfin, portez une salopette de vitrier, qui n’entrave pas les mouvements.

Posé sur les coudes, asseyez vous en recherchant l’instabilité, de façon à faire appui sur la colonne vertébrale. Contractez fermement les muscles fessiers, inspirez en contractant, puis levez la jambe gauche pour la faire passer derrière votre cou. Pensez à autre chose, puis ramenez votre jambe au niveau du sol, en atteignant l’amplitude totale du mouvement, respirez à votre rythme naturel.

A ce stade, faites vous probablement aider. Soulevez en même temps buste et membres inférieurs, en prenant appui sur les mains. Gardez les genoux serrés. Balancez vous d’avant en arrière, deux fois plus lentement que le mouvement n’a été exécuté. Bras tendu, revenez lentement au sol, jambes derrière la tête. Restez ainsi un instant sans respirer (pour augmenter l’apport de sang et d’oxygène). Approchez les pieds des omoplates, sans forcer, en ressentant mentalement cette contraction, (à faire 20 fois). Relâchez en expirant. Relevez les jambes en prenant appui sur les mains, mais attention, cet exercice doit être progressif. Basculez la tête en arrière, il ne s’agit pas d’une posture statique. Poussez les doigts vers le haut, le résultat est au bout.

Suivez ces quelques conseils qui vous éviteront claquages et courbatures : vous retrouverez une nouvelle silhouette et une démarche plus souple.
 

On m'a demandé y'a quelques temps de poster ça
 
 
LA FEMME
 
Femelle humaine. Présente à peu près les mêmes caractéristiques physiques que son mâle, si ce n’est qu’elle est pourvue de nichons de taille variable, et qu’une bite lui fait cruellement défaut. Privée de cet important centre nerveux secondaire, si utile à l’homme pour soulager le centre nerveux principal des tâches annexes (méditation, orientation, observation, etc) et lui permettre ainsi de se concentrer sur l’essentiel (la recherche de nourriture), la femme est constamment en surcapacité cérébrale, lui occasionnant des maux de tête récurrents et la plongeant dans une indécision permanente.
 
Passant ses premières années à ingurgiter des glaces, se faire tirer les cheveux par ses camarades masculins et fesser par ses éducateurs, la femme se prépare naturellement une vie sexuelle saine.
 
Malheureusement, à l’adolescence, le groupe humain perturbe notablement le développement psychologique de ses femelles, qui connaissent alors de sévères délires hallucinatoires : elles sont notamment déchirées entre l'espoir illusoire d’être un jour aimées pour leur personnalité et la crainte de ne jamais avoir d’assez gros nichons pour cela. Ce désarroi se traduit surtout musicalement, par la prospérité d’erreurs de la nature telles que Enrique Iglesias, les boyzbands, M. Pokora, ou encore Tokyo Hotel. La santé mentale des femmes (et, indirectement, des hommes) nécessiterait l’autodafé de l’ensemble des contes de fée ainsi que l’exécution publique des créateurs de niaiseries romantiques, comme Marc Lévy ou Barbara Cartland (dont l’âge a cependant fini par venir à bout), mais les pouvoirs publics rechignent à prendre les mesures nécessaires.
 
A l’âge adulte, la femme a généralement choisi entre le bonheur et l’hétérosexualité. Dans ce dernier cas, elle passe un certain nombre d’années à essayer de persuader un mâle qu’il est plus intéressant de baiser une fois par mois avec la même femelle « naturelle » (i.e. en pantoufles et survêtement) qu’une ou plusieurs fois par semaine avec des « salopes » différentes (i.e. des femelles spécialement apprêtées pour la chasse au reproducteur). Une fois ce but atteint, elle devra encore parvenir à substituer dans l’esprit de son  futur fécondateur l’épanouissement procuré par l’élevage d’un ou deux boulets sales et bruyants au plaisir des soirées arrosées entre potes.
 
Quand sa progéniture devient complètement ou partiellement autonome, les capacités cérébrales de la femme, libérées, entrent à nouveau en surcharge. Ceci coïncidant avec une hausse de l’activité cérébrale du mâle (due au déficit d’activité du centre nerveux secondaire), il en résulte souvent une séparation du couple, dont chaque partenaire entre alors dans une phase de renouveau sexuel. Si, au contraire, le ménage survit malgré tout à cette prise de conscience, la situation perdure jusqu’à la mort naturelle du mâle (statistiquement plus vieux que sa femelle, et de longévité moins élevée), laissant la femme trop âgée pour espérer encore partager gratuitement du plaisir charnel. Par défaut de moyens financiers, l’alcool fait fréquemment office de substitut.

On te l'a demandé gentiment ?

Euuh oui d'après mes souvenirs, pkoi ça ?

C'est pas un truc que j'aurais fait moi, par exemple ?

Sisi, c'est bien à toi que je pensais
 
Mais je me suis pas pressé, sur ce coup-là

Voilà, c'est pour ça que je n'étais plus très sûre
 
Mais quelle est l'origine de ce texte fondateur ?
 
J'aime beaucoup : "A l’âge adulte, la femme a généralement choisi entre le bonheur et l’hétérosexualité."

Chais pas trop, ça m'est venu cette semaine dans le métro, où j'ai la flemme de lire, ces derniers temps

Naturellement ce texte est une pure infamie, mais il est très bien tourné
(tu es mûr pour le prochain concours de nouvelles idiotes )

 
Tu m'as fait rire, crétin

Physiologiquement, il est indéniable que les femmes produisent de l'humanité, par où vous savez.
J'ai moi-même essayé, c'est impossible.

Elles n'ont rien d'autre à foutre?  

Le foutre du mâle restant un ingrédient nécessaire.
D'où la nécessité des sites de rencontre.

Ce qui nous conduit à un sujet pertinent :
 
Salon des inventions.    
     
Les machines essentielles du pr Talbazar :Lingerie transparente
 

 
L’invisibilité est un défi moderne lancé aux créateurs de lingerie.  
 Cette nouvelle fibre soutient en sculptant le corps, sans rien laisser apparaître à l’extérieur :  
  Et pour cause, cette lingerie exceptionnelle est réellement invisible ! Le pari de la transparence sous les tenues les plus près du corps est enfin gagné, avec cette lingerie généreusement vide, qui assure une absence de toucher à nul autre pareil, le confort en plus.  
 Cette collection à la géométrie sensuelle, voire évanescente, faite pour être oubliée, décline tous les superlatifs à la gloire des silhouettes féminines et pourrira singulièrement la vie des voyeurs.
 
 

Bof.
Cette invention passera inaperçue, faut quand même être aveugle pour ne pas s'en rendre compte.  

Ah ! il y a 6 milliards d’années, s’il avait seulement pu envisager l’existence future de cette encyclopédie, l’hominidé d’alors ne serait sans doute pas resté à quatre pattes, pendant encore un milliard d’années, à boulotter des termites, non, j’en suis sur, il se serait mis debout illico et aurait lancé au plus vite l’évolution afin d’arriver le plus tôt possible au rendez-vous de ce topic.
 
Ton projet est ambitieux et philanthrope, mais ta tâche reste colossale, et bien sur, je le comprends, des sujets majeurs ne peuvent qu’être effleurés.
C’est cependant dommage car certains de ces sujets seraient bien d’actualité et pourraient, à la lueur d’une relecture actuelle nous permettre de mieux appréhender l’avenir.
 
Je pense, par exemple, à cette crise majeure de l’ostréiculture dans les Ardennes à la fin XIXème siècle, sujet tabou, ignoré des manuels scolaires, et pourtant véritable drame humain qui vit bien des familles détruites, une blessure que porte encore au fond de leur ventre les descendants de ces familles.
L’enseignement que pourrait nous apporter l’analyse poussée des circonstances et des conséquences de cette crise pourraient éviter qu’un tel désastre social ne se reproduise.  
Ainsi, les dernières promotions de l’Ecole Nationale de Saint-Brévin les Glaudes  (l’ ENSBG) ne risquent-elles pas de connaître le triste sort des ostréiculteurs ardennais ?
Je rappelle, pour ceux qui l’ignore encore, que l’ENSBG, véritable institution, fleuron de notre système éducatif, et par là même de notre culture, forme, depuis 1971, les meilleurs imitateurs de Léon Zitrone.
Pendant longtemps, les lauréats de l’ENSBG avaient la certitude, , au terme de 12 années d’études exigeantes, de trouver un emploi richement rémunérés à la hauteur de leur compétences. Et oui, hier encore, le monde entier se les arrachait.
Mais hélas, les temps ont changés, avec la mondialisation et la concurrence des chinois et des indous, combien de lauréats resteront sur le carreau ? Que peut espérer, en 2008, un jeune qui se lance sur le marché du travail avec comme bagage un diplôme d’imitateur de Léon Zitrone ?
Voilà, je crois, le genre de problématique que l’encyclopédie pourrait aborder et, je l’espère, sans langue de bois.
 
Comme je ne voudrais par rester sur une note pessimiste et comme la culture, le savoir et l’envie d’apprendre restent avant tout une joie, je terminerais mon intervention en évoquant la mémoire de Zéphyrin Lambert.
 
Zéphyrin, modeste fonctionnaire, avait la science et la connaissance chevillées au corps, toute sa (trop courte) vie, il vécu de ses maigres appointements. Pourtant, chaque soir, en rentrant dans son modeste meublé,  Zephyrin Lambert oeuvrait opiniâtrement pour le bien de l’humanité.  
Bien sur, tout le monde se souviens de son mémoire, véritable pavé dans la mare : « La place du bouillon cube dans la classification de Mendeleïev» et du terrible lobbying des scientifiques d’Europe de l’Est afin de le faire taire.
Mais, ce que l’on sait moins, c’est qu’un soir, alors qu’il s’accordait une courte pause en feuilletant sa collection de timbres en buvant son Viandox, dans une tasse qu’il avait presque oubliée, emporté dans sa passion de la philatélie, sur le bord de son bureau.Il s’étonna que le breuvage n’était plus très chaud mais pas encore vraiment froid. Malheureusement, ce soir, le miracle n’a pas eut lieu et Zéphyrin, bien que sachant qu’il y avait là quelque chose d’important, ne pût trouver les mots et le formuler.
Et oui !!  deux ans avant Joseph Wladistoschky, Zéphyrin Lambert avait appréhender le concept de « l’hyper-tièdeur »  ( je n’ai malheureusement pas le bagage physique et mathématique permettant d’expliquer le concept d’hyper-tièdeur sans sombrer dans une sorte de vertige devant les grandeurs physiques en présence aussi je m’abstiendrais)
 
Je termine donc ma contribution en saluant la mémoire de Zéphyrin :  «  Repose en paix Zéphyrin ! » et te remercies chaleureusement Talbazar pour ton encyclopédie.
 
PS ; un jour viendra, ton encyclopédie sera étudiée dans les écoles

Cyril Demian, l'inventeur de l'accordéon  tel qu'on le connait, avait déjà découvert les propriétés partculières de l'eau chaude. Ton Zéphyrin là, il a rien inventé.  

 
Je ne voudrais pas rentrer dans une discussion de spécialiste ( je le repéte et le reconnais volontiers, je n’ai pas le bagage pour), mais il me semble que l’hyper-tièdeur, telle qu’elle fut décrite par Joseph Wladistoschky n’a vraiment rien à voir avec l'eau chaude.
Ce serait, si j’osais l’analogie, comparer la conductivité à la supraconductivité
 
Par ailleurs, dans son livre « Le tennis de table ou l’haltèrophilie, il faut choisir » (1962),  le professeur J. D. Kentz, dont les compétences ne sont plus à démontrer évoque l’hypothèse que J. Wladistoschky aurait eut entre les mains les lettres que Zéphyrin envoyait tous les jeudi à sa tante Muguette.
 
Il y a vraiment dans cette affaire des éléments troublants.

 
 
On sent bien l'inspiration qui va crescendo    
 
 
La place du bouillon cube dans la classification de Mendeleïev et l'hyper-tiédeur    

Je pense, par exemple, à cette crise majeure de l’ostréiculture dans les Ardennes à la fin XIXème siècle
 
Je m'inscris en faux (cul) tu fais une confusion avec la crise des moules corses au XVII ème, elles étaient trop baveuses.
En tout cas mareci pour cette honnête contribution.
J'oubliais, pour poster ici, faut payer.

Et Léon the trône, il est inimitable.
Pas comme la laine vierge, à qui il faut de la naphtaline dans le placard.