Reprise du message précédent :
bravo d'avoir mis le doigt sur un sujet crucial !
 
et moi qui croyais que les alliances se portaient au deuxième doigt de la main gauche, alors que visiblement, c'est au clitoris qu'il faut la passer !

Sauf qu'il faut recharger le truc à chaque fois avec une nouvelle bague. A l'usage, c'est très cher.

tiens, et si on remplaçait ces putains d'alliances par des piercing ?
 
voilà qui inaugure de nouveaux rituels très tendance.

 
Pas douloureux en plus...
 
 

chochote

c'est toi qui le dis.

Salon des inventions.  
 
Les machines essentielles du pr Talbazar : Casserole à friction.
 

 
 
Si l’on fournit du travail à un système pour vaincre des forces de frottement, le système s’échauffe et produit de la chaleur.
 La production de chaleur par frottement est donc un phénomène physique bien connu, qu’exploite à merveille cette casserole à friction, spécialement adaptée.
 Certainement bientôt approuvée par l’UNITAH ( union intersyndicale des fabricants d’articles pour la table, le ménage et activités connexes), cet ustensile permet de cuire longuement (très longuement), de petites quantités, comme savaient le faire nos aïeules.
 Belle, avec son corps en fonte d’aluminium anodisé et vitrocéramique émaillé, cette casserole à friction s’adapte à votre énergie et résiste aux très fortes températures. Son entretien est facile et sa forme étudiée évite les débords.
 Son tambour à friction délivre une douce cuisson sans feu à la force de votre poignet, sans risque de surchauffe : il suffit de tourner suffisamment la manivelle du couvercle pour vaporiser l’eau de cuisson et favoriser une cuisson à l’étouffé, sans dessèchement. Il est inutile d’ajouter de la matière grasse pour mijoter longtemps (très longtemps).
 Utilisez au mieux votre énergie, sans gaspillage inutile et lourde facture de gaz ou d’électricité !, qui plus est, vous serez certainement en pleine forme avant de passer à table !
 
NB : La lecture des durées de chauffe mesurées fournies par le fabricant doivent être interprétées avec souplesse.

autrement dit, une bonne queue dans la main, le ventre rempli et le cul au chaud.

bonjour,  
 
mossieur Talbazar j'apporte une bien modeste pierre au monument d'érudition curieuse de votre topic fameux : une vraie solution pour soulager le g33k moyen migraineux hydrocéphale psychopathe obsédé par le(s) son(s) de son petit compagnon à ventilateurs : Silence ultime, hasard ou réalité scientifique?

J'aurais dit une bonne coupe de cheveux pour ma part.

warf nan ça c'est que du décorum, ça n'enlève pas le bruit ou les poils dans la tête

deg-tcd

Pédé  

Izn, jalouse  
 
 
Obsy, ah! toi aussi tu as voté "plus fort"

Astronautrique et encapsulage.  
 
Aujourd'hui : La plaque de Pionner 10.
 
La NASA a confié, en mars 1972, à un engin spatial un premier message destiné à des extraterrestres. Ce message est fixé sur le flanc de l'engin Pioneer 10 qui a pris le départ le 2 mars 1972 de Cap Kennedy :
 

 
 
Sur sa lancée, l'engin s’est perdu dans la Galaxie en direction de la constellation du Taureau dans le voisinage relatif d'Aldébaran, la plus bril­lante étoile du Taureau, qui se trouve à 68 années-lumière de notre monde solaire.
 
Un anonyme éboueur municipal de Laglande, capitale de la planète R.P.S - Labialéyénital, a trouvé cette plaque dans une poubelle de cette ville et s’est décidé à montrer ce vestige humain à son chef, lequel s’est empressé de le montrer à son gouvernement, lequel  l’a refilé à un sévère comité scientifique de décryptage de saloperie terrienne erratique et polluante.
 
Après examen et constatant que cette plaque n’est pas une carte de fidélité gravée en braille à l’usage des clients aveugles d’un supermarché terrien, ils donnèrent à leur président-dictateur les conclusions suivantes :
 
Les mâles humains ont un sexe en forme de vulve :
 

 
La reproduction des humains est l’affaire des hommes, qui se servent beaucoup de leur main droite, en se caressant la vulve :
 

 
Les femelles humaines n’ont pas de sexe, en revanche, des oranges poussent sur leur poitrine.
 

 
La nourriture principale des humains sont les oranges qui poussent sur la poitrine des femelles humaines :
Ces repas d’agrumes sont pris tous les jours à midi et minuit pile, heure solaire, sous peine de mort, mais cette dernière affirmation est contestée :
 

 
Ces oranges sont pressées à l’aide d’astucieux appareils de pressage :
 

 
 
Ces oranges donnent une chiasse perpétuelle aux humains qu’ils doivent évacuer par ce qui semble être un anus, situé à l’absence de sexe de la femme et à l’opposé de la vulve de l’homme :
 


 
Conclusion : les terriens sentent la merde à l’orange.

Ouais ben j'espère que ton armée d'Anamaying, là elle va pas s'attaquer aux Territoires du Nord hein.
Passe que sinon je fais donner mes Légions d'Algandar, et ça va chier, foi de'Elkar de Aalgurd !    

Quel beau jour, tiens.

mour pourrir, tiens.

Ou pas.

JE VEUX PASSER EN PAGE 22

Nan !  

trouvé sur le net, dans un blog dont on ne parlera jamais assez
 
 
Article paru dans « La Gazette du hareng-pommes de terre » de mars 1977.
 
Le Coupatan ©
 
                           
 
Combien de fois avez-vous trop ou pas assez fait cuire vos meringues ? Moi perso, jamais. Mais vous, combien ? Et vos petits pois, combien ? Dites un chiffre, à dix près, mais je suis certain que ce chiffre est suffisamment important pour que vous ayiez envisagé sérieusement le suicide. Alors bon, dans un élan de philanthropie et aussi un peu parce que j’aime bien faire mon intéressant devant les filles, je m’en vais là vous donner la solution universelle, la panacée force 4 à toutes les déconvenues de pseudo-cuisiniers que vous êtes, tas de cons. Par contre pour vos problèmes de surcharge pondérale, vos vergetures disgracieuses sur le front et vos soucis d’érections odorifères, là je ne peux pas grand-chose. Vous voulez pas non plus que je vérifie la pression des pneus, tant qu’on y est ? Ou alors peut-être avec un bonnet qui descendrait jusqu’aux yeux, je ne sais pas. Ou alors peut-être que le suicide n’était pas une si mauvaise idée, si on y regarde bien.
 
Doncques, je disais donc que j’ai ce qu’il vous faut, non ne me regardez pas comme ça, ça me gène, je ne parle pas de ça mais du rudement fameux Coupatan © aussi communément appelé Minuteur en plastique orange. Pas besoin d’avoir fait du latin à la Sorbonne pour comprendre que coupatan est un jeu de mots d’une incroyable drôlerie. Moi perso je ne suis pas drôle et j’ai jamais fait de latin (j’avais pris cyclisme en 2ème option obligatoire) et bien pourtant j’ai compris la subtilité, alors faites un effort ou mettez un bonnet qui descendrait jusqu’aux yeux.
 
Alors le Coupatan © communément appelé Minuteur en plastique orange c’est bon an mal an ni plus ni moins que grosso modo un minuteur en plastique orange qui coupe à temps. D’aspect orange, il arbore un très joli design aux courbes arrondies et à la plastique plastique sexy. Les premiers Coupatan © étaient en béton cellulaire et d’une taille peu raisonnable (cf. lithographie n°1). Aujourd’hui des efforts considérables ont été faits et il tient aisément dans la main, pourvu que l’on ait de gros doigts. Il se décline même en plusieurs coloris : orange clair, orange foncé, …
 
                             Lithographie n°1
 
                             
   Oh mon Dieu, mais ça ne rentrera jamais dans la cuisine ! - Musée de l'Ustensile et du Récipient, 1974.
 
 
Son fonctionnement est très simple, même pour ceux qui n’ont jamais fait de cyclisme à la Sorbonne. Sur la partie occidentale de l’appareil se trouve un cadran graduel ainsi qu’un bouton indicateur du temps à cuire, c’est son nom, que l’on prendra soin de tourner dans le sens des aiguilles à tricoter jusqu’à se faire juxtaposer le curseur rouge du bouton avec la graduation symbolisant le temps de cuisson des petits pois, sauf si on fait des meringues. Bon ok, je vous l’accorde, jusque là on n’a pas réinventé l’eau tiède, comme dirait l’autre, mais j’ai oublié son nom. Alors elle est où la feinte ? Qu’est-ce qui justifie que je prenne un crédit un crédit sur 15 ans pour m’acquitter d’un tel objet alors que je n’ai jamais fait de cyclisme ? Reste tranquille, j’allais y venir ! Minute papillon. Moi perso j’ai fait du cyclisme alors me posez pas la question à moi. Ce qui fait l’attrait indiscutable du Minuteur en plastique orange, outre le fait qu’il soit en plastique en orange (ce qui le rend indispensable à tout esthète qui se doit) c’est son révolutionnaire sélecteur de plat à faire cuire, c’est don nom. Oh putain de Marie, un sélecteur de plat à faire cuire ! Je sais pas si vous vous représentez bien le truc, là ? Et en relevant un peu le bonnet ? Non ? Bon ben re-suicide toi.
 
Alors pour les butors d’entre vous, je vais faire du zèle de serviabilité et vous expliquer la chose parce que quand même ça m’enquiquinerait que vous vous couchiez aussi con que vous ne l’étiez ce matin. Ainsi, cependant (je sais, mais j’aime bien ce mot) la partie droite de l’appareil recèle une molette digitale (qui se tourne avec le doigt, donc) permettant l’affichage du plat à faire cuire, c’est un fait, mais aussi et surtout l’indication du temps de cuisson dudit plat à faire cuire au préalablement sélectionné. Elle est pas belle la vie ? Ah non c’est vrai, pardon.  
 
Et comme si ça ne suffisait pas déjà, pour le même prix vous avez un double orgasme puisque l’affichage du temps de cuisson est bimodal, il vous indique quel mode de cuisson choisir, ou l’un ou l’autre, c’est selon. Le tout grâce à une signalétique chromatique fort astucieuse. Ainsi, un idéogramme au dessus de l’indicateur de temps symbolise un four dessiné en blanc sur un fond noir. Il signifiera que lorsque le temps sera affiché en blanc sur fond noir, il s’agira d’une cuisson au four, le chiffre de droite indiquant le temps de cuisson, celui de gauche propose le thermostat adéquat. De même, sous la fenêtre d’affichage du temps une cocotte en fonte et une poêle sont dessinées en noir sur fond blanc. La lecture du temps de cuisson, lorsqu’elle se fera en noir sur fond blanc, se réalisera comme suit : le chiffre de gauche pour le temps de cuisson à la cocotte, celui de droite pour le temps de cuisson à la poêle. A la cocotte ou à la poêle comme chez mamie, c’est possible. Il suffira de se référer aux chiffres pour peu qu’ils soient noirs sur fond blanc. Ou au four comme chez tata, pas de problèmes, si les chiffres sont blancs sur fond noir. Jetez un œil à la vue de face du tableau de bord (ci-dessous) pour mieux comprendre le bordel :
 
                       Vue de face du sélecteur de plats à faire cuire
 
                       
 
 
Oui, c’est carrément génial, mais c’est pas comme si j’avais pas prévenu. Et alors son utilisation est carrément fastoche, elle ne nécessite ni CD d’installation ni étude du latin à la Moutarde. Imaginons par exemple que l’on décide de faire cuire un rôti de porc. On ne sait pas encore si on doit le faire cuire au four, car c’est meilleur, ou à la poêle car c’est pas bon mais qu’on n’a pas de four. On tourne la molette de sélection du plat à faire cuire jusqu’à tomber sur Rôti de porc, puisqu’on est partis sur cet exemple. « Flan » c’est pas ça, « Haricots secs » ça fait péter, « Lentilles » c’est pour les yeux, « Meringues » ça fait des miettes, « Pâté en croûte » c’est dégueulasse, « Petits pois » sont rouges, « Rosbeef » on approche… « Rôti de porc » alléluia ! Les chiffres sont en blanc sur fond noir, c’est donc sans surprise une cuisson au four. Thermostat 6, 35 minutes, nous apprend-t-on. On tourne le bouton du four sur 6 (se référer à la notice du four, chacun sa croix) puis réserver le même sort au bouton indicateur du temps à cuire de votre minuteur en plastique orange jusqu’à positionner le curseur rouge sur la graduation correspondant à 35. Laissez le Coupatan © faire son travail.  
Le tic-tac fait tic-tac, le compte à rebours a commencé, en témoigne la rotation progressive du bouton autour de son axe dans le sens inverse des aiguilles d’une meule de foin. Vous pouvez retourner à vos occupations telles que le cyclisme sur piste ou la violence conjugale. 35 minutes et 6 thermostats plus tard vous entendez tinter la sonnette en véritable ferraille de Montluçon. Ca y est, le rôti de porc est cuit juste comme vous l’aimez : croustillant à l’extérieur et saignant à l’intérieur. Notez que ça marche aussi pour les haricots verts, le rôti de porc n’était qu’un exemple.  
 
Et voilà, à vous la réussite, à vous les cakes, les pommes de terre, les artichauts, les putes et la coke. Merci mon chien ? Non, merci Stipey. Par contre, faites quelque chose pour ces vergetures, c’est d’un laid…
 
La SNCF et son personnel accompagnant vous remercient d’avoir voyagé en leur compagnie et vous souhaitent une agréable fin de vie, pourquoi pas.
 
 

Mais

Mais quel pédé, quoi

http://fr.youtube.com/watch?v=RwmmHpXxHiw

http://fr.youtube.com/watch?v=AGw6j2gIOjg&NR=1

Je préfère lire les posts de stipey.
 
Et puis il n'y a pas un mot de français là, sans compter que je vois pas l'intérêt de souligner en bleu une phrase incompréhensible.

je constate encore les affres de la censure officielle sur un sujet crucial

Salons des inventions
 
Les machines essentielles du Pro-fesseur Talbazar :Parabole cible
 

 
 
 Les chiffres sont édifiants :
 Les enfants de 4 à 14 ans passent plus de 2H par jour à regarder la télévision. Rappelons que la consommation télévisuelle des adultes tourne, elle, autour de 3H,10...
 En 1995, la télévision est restée allumée dans chaque foyer plus de 5H par jour (314 minutes).
 En voilà assez!, oublions les signalétiques peu efficaces : la parabole cible vient à point à notre rescousse pour redonner aux enfants le goût des activités de plein air.
 La télé rend idiot, isole, fatigue, perturbe psychologiquement, et surtout, incite à la violence. Selon une enquête de l’institut supérieur de l’audiovisuel de 1995, un enfant peut assister en moyenne à 9,5 crimes ou agressions par heure à la télé (soit 1596 par semaines et 22 992 crimes par an !).
 Montée sur un bras télescopique à la place de la tête numérique, un fusil-mitrailleur télécommandé de précision prendra la parabole pour cible, pour des heures et des heures d’amusement sain, offrant à ces chères petits un défoulement plus que salutaire.
 Une deuxième option gardera en place la tête numérique, mais l’inclinomètre électronique à bain d’huile et affichage digital permettra le pivotement intégral de la tête, pour un tir analogique plus instinctif, l’arme au poing, cette fois .
 Grâce au pointage numérique, ferez vous Pan dans le mille ?

Salons des inventions  
 
Les machines essentielles du Pro-fesseur Talbazar : Gantelet de protection
(pour râpe à fromage)
 

 
Voici une idée lumineuse, qui permet de râper le fromage jusqu’au talon, sans se blesser douloureusement les doigts, tant il reste vrai qu’il vaut mieux prévenir que guérir...
 Forgé en véritable acier de Tolède, dont la technologie des artisans en matière d’armure n’est pas une légende, ce gantelet de protection pour râpe à fromage est le complément idéal de vos fabuleuses soirées pizzas où spaghettis à l’Emmental.
 Avec l’insouciance de celui ou celle qui n’a plus rien à craindre, vous râperez rapidement tous vos fromages à la tranche jusqu’à la croûte, sans souci des mauvaises blessures aux doigts et avec une facilité qui devrait vous épater.
 De bonnes économies sont également à prévoir !
 

Il me le faut

C'est pour fister C3PO?

je réclame une censure, un bannissement de l'Obsydien

Astronautrique et encapsulage.

Aujourd’hui : Les soucoupes volantes ou OVNIS.

De tous temps, à toutes les époques et en tous lieux, l’apparition soudaine de grosses boules a provoqué des idées lumineuses chez les contemporaines de ces phénomènes. Mais c’est à partir, où plutôt en tournant légitimement le dos au 24 juin 1947 que le grand public, généralement de taille moyenne, ce qui illustre la précision de mon analyse, entend parler de trucs, de bidules, de machins, là, à gauche, au nord ! De beaux et désirables engins brillants et fuselés comme des cigares. Ces oblongs mystères survolent les spectateurs au mépris de leur redevance télévisuelle, avec dédain, de leurs rapides et suggestives translations nocturnes.

Ce jour-ci, Kenneth Arnold, représentant en extincteurs d’incendies et aviateur, s’envoie en l’air avec sa secrétaire, au-dessus de lui et du magnifique sommet de l’état de Monaco, près de Bogota. Il recherche une pauvre et malheureuse épave injustement écrasée dans la montagne, il n’a pas que ça à foutre.

« Je n’avais pas que ça à foutre, confiera-t-il plus tard aux inébranlables enquêteurs, car le corps vieillissant accuse les limites de son âge, hélas. »

Il regarde de partout et surtout devant lui, au milieu du ciel de Jésus qui poudroie de la bonne colombienne, par-dessus l’herbe de la Jamaïque qui verdoie. Solidement démâté, le pilote fouille à tâtons sa blonde et les vastes nuées, à la recherche de l’ivresse totale. Son plaisant appareil se redresse, il reçoit tout d’un coup l’équivalent d’un projecteur de D.C.A à une distance précise de tout près des rétines. Il vérifie rapidement, ce n’est pas la lumière du soleil miroitant sur la couronne dentaire de sa secrétaire, puisque la bouche de cette dernière se ferme sur bien autre chose. Voilà que ça l’émeut et le fait débander. 15 heures sonnent au tableau de bord de son coucou suisse. Soudain, il voit des croissants, entre neuf et un million, qui sillonnent l‘espace, à l’instar de quelques vielles folles au comptoir d’une pâtisserie. Kenneth Arnold à le souffle coupé, il éructe et crache dans l’habitacle, puisque sa secrétaire a terminé son affaire. A ses appels affolés, la radio du bord ne tarde pas à diffuser un de ces vieux tubes de merde qui ont fait swinguer l’été 44, sur les plages du débarquement. Fouillant le slip en coton de sa miss, le pilote pense que tout cela ne mène nulle part. Une chose semble équivoque, tout de même, aux œufs du pilote averti, ce ne sont pas des missiles de ces petites tafiotes de Russes, ni les sex-toys de Marilyne Monroe, encore presque inconnue…

Kenneth Arnold s’écrase enfin sur les bureaux du quotidien « East Oregonian de Pendelton », avec un scoop terrible : il aurait aperçut des cafetières métalliques et des croissants chauds se trémousser comme des tantes dans le ciel évangélique des U.S.A. Sans qu’on insiste, il donne de lui-même sa chair aux rumeurs. Les suppositoires argentés qu’il décrit filaient à une vitesse estimée de 1700 km/heure, il est prudent, sauf à aimer ça, de ne pas les prendre dans le fion. On le soupçonne, l’heure est grave, tout le monde à son poste, fermez les écoutilles, mais les bureaux du F.B.I. sont fermés de l’intérieur pour cause de grève, pas de bol. Kenneth Arnold nettoie ses salades dans la presse, qu’aurait à gagner d’une fabulation un honnête tricheur au poker, un séducteur de secrétaire aéroportée et un indécrottable fraudeur du fisc ? Après avoir passé un moment torride dans la chambre d’hôtel du pilote halluciné, les journalistes inventent les soucoupes volantes pour se faire un tas de blé. Du coup, on en voit tellement à cette époque qu’il devient de plus en plus difficile de se garer sans son disque dans les grandes agglomérations urbaines. C’est un début de preuve. Pour ce qui est des States, c’est désormais l’US Air Force qui enquêtera sur les saucières volantes, terme traduit par ma propre science des analogies, voir des annales ogives, encore, encore plus fort, oui là, c’est bon.

Les extra-terrestres, après les nombreuses enquêtes que j’ai personnellement réalisé, ont six pénis sur le front, et ne sont pas si cons, puisque en général, lorsqu’il kidnappent un humain par mégarde, ils s’aperçoivent bien vite de leur temps perdu et l’éjectent de leur soucoupe à grands coups mérités de leur bottes scintillantes dans son cul de raseur. Ces visiteurs étrangers ne mesurent pas plus qu’on ne peut les mettre et stationnent n’importe où, faut pas se faire chier. Le jour où l’on saura communiquer avec ces enflures de clandestins macaques sidéraux, avec leur gueules de glaires grippales, ces baudruches débiles aux bagnoles en forme de toupies pour les mômes, même pas foutus de nous étaler le Produit National Brut de leur saleté de planète pour l’année passée, il faudra leur apprendre à ne pas se moquer des parkings et des règles de la circulation ! L’état, en la matière, voir la République, est coupable d’une négligence scandaleuse de permissivité. Voilà des engins capturés au radar à des vitesses ultras-supersoniques, et qui ne sont jamais verbalisés !

Est-ce à dire qu’un alien de taille courte préside à l’Elysée ? Ovni soit qui mal y pense…

A suivre prochainement, pour illustrer, l’analyse d’un cas, par l’Abbé Julio, professeur d’Art malléable à l’école primaire de Beaufort l’échelle, près de Richter (Alsace-Lorraine)

Fake.
L'ovni est représenté à l'envers alors qu'il est évident que la base magneto-inductive à phases oscillantes qui en assure la propulsion, est sous le navire spatial, pas au-dessus.
Ce bâtiment de la classe Tecko IV entre assez rarement en atmosphère à cause de la trainée ionique persistante qu'il laisse derrière lui. trainée ionique même pas reproduite sur cette image photoshopée.    

 
réponse de ma copine, précisons, qui n'engage que moi.

Fake, c'est juste une gonzesse.

ok.

après une intense analyse du phénomène des cercles de culture, voici la réponse élaborée par le pro-fesseur Talbazar qu'il convient de répondre aux intrus, en utilisant leur propre mode de communication :
 
 

 
Qui que vous soyez - allez - vous faire mettre

Sentationnel !  
 
après quinze ans d'un travail acharné du pro-fesseur Talbazar, voici la reconstitution en trois dimensions du buste de la célèbre Nerfertarée "la bête est velue" :
 

merde, toujours pas la page 22.
CROTTE