Reprise du message précédent :
arrêtes de me prendre pour un con, je suis pas ton frère et je sais où je suis.
T'es mal barré pour m'apprendre à vivre, ma chérie.
c'est qu'un forum avec que des mecs fondamentalement plus humbles que toi, happy.
tu balances pas des vannes, juste des aigreurs. Les vannes, c'est drôle.

 
Mais arrête de me parler d'être drôle, j'ai pas envie d'être drôle quand je te dis que je vais pas à des kimouss de merde, boire de la badoit avec des connards. J'ai juste pas envie, tu saisis ? J'ai pas besoin de me faire des amis virtuels, et je me fous du consensus mou qui règne sur la majorité des topics de ce forum, et dont la conséquence est souvent une kimouss, au cours de laquelle on se rend compte que les gens avec qui on discute depuis 6 mois sont en fait de parfaits connards insipides, à qui on n'a rien d'autre à dire que "ah ouais t'as vu l'autre, sur le topic machin, rah putain la déconne". De l'apéro jusqu'au digestif, on parle HFR, on rigole HFR, on débriffe HFR. J'ai déjà donné, et plusieurs fois, merci.
 
Je ne te prends pas pour un con, contrairement à moi, qui suis aigri, toi je te trouve drôle. Et je veux rien t'apprendre du tout, pour ça démerde-toi. Chuis pas ton père.
 
Si t'es pas heureux, humble pro-fesseur talbazar, tu m'en vois désolé pour toi. Mais pour moi, RAB.

j'vais en prendre un pour taper sur l'autre, ça va être vite vu.

Même pas chiche.

Parce que Maldo, il doit être difficile à soulever.

En fait, j'en sais rien.

C'était ma contribution importante du jour.

 
Mais on baigne en pleine couettitude ici    
 
OK pour une énorme bataille de pizzas (variante subtile compte-tenu des circonstances de la banale bataille de polochons)
 
Il va falloir que je me mette à la lecture pour rattraper mon retard talbazarencyclopédique    
 
 

La politique, c'est du stress, alors de temps en temps, des cigarettes qui font rire...
 
 
 

Objets fortement secoués

Aujourd'hui : Les boules à neige

Vieillir chauve, avoir à cause de son âge la boule à zéro, est une chose formidable, puisqu’elle nous permet d’éviter les cheveux blancs. Blancs comme neige, ce qui en met pas mal en boule. Pour une poignée d’Euros seulement, votre sœur peut tenir au bout du poignet une de ces charmantes petites boules qu’elle ira au bazar cueillir avec amour comme on cueille des melons. Car nos amies, particulièrement, adorent les tripoter, les secouer en savantes frictions, ce qui finit toujours par en remuer la neige. Cela les amusent, elles en tirent en générale un plaisir bien innocent.

Collectionner les boules à neige porte un nom très sérieux : la Chionosphèrophilie, qui n’à rien à voir avec l’urophilie. Car il existe des collectionneuses de cette boule à neige que l’on voit là si bien enveloppée d’un culte.

Ces chionosphèrophiles mutines connaissent les similitudes entre les hommes et les tempêtes de neige : elles ne savent jamais à l’avance combien de centimètres il y aura, ni combien de temps cela durera. Reste quand même que beaucoup de femmes détestent qu’on les leur montre d’une manière intempestive, si elles ne nous ont pas invité à les déballer. Ceci dit, toutes les connaissent, même si ce n’est pas travestir la vérité d’affirmer qu’elles n’en ont pas toutes. Les deux cédilles des garçons français sont par nature ce qui manquent aux filles. Beaucoup de nostalgie se glisse dans ces petites boules là, véritables temples du mauvais goût, mais qu’elle idée aussi de vouloir les lécher ! Parfois, pourtant, votre sœur aura eu le loisir d’en admirer de superbes exemplaires, prometteuses de quelques  soirées amusantes.
Qui pourrait résister à l’envie irrépressible de les secouer  d’un savant mouvement vertical du poignet, pimenté d’attendrissantes rotations, pour finir par en voir la neige tomber en pluie attendue, immaculée ? Les boules à neige renferment, c’est leur rôle, tout un petit monde en puissance, une infinité d’êtres possibles et l’on peut tout rêver. Elles sont lisses, d’une douceur exquise, parfaites en main, et leur aspect très kitch ne nous fera pas médire l’adage du qu’importe le flacon pourvu qu’on ai l’ivresse.  
Quelque soit l’endroit du monde que vous aurez visité,  il est toujours possible d’en ramener une paire ou deux. C’est bien souvent une idée de cadeau  que l’on offrira aux copines ravies de cette attention délicate. Une aubaine inattendue, parfois de mauvais goût, il faut bien le souligner.

On se souviendra alors avoir été nu au soleil, comme Brigitte Bardot qui en secoua beaucoup, du temps de sa splendeur,  avec dans le creux des paumes ces chères boules à neige qui nous auront fait don de leur averse aussi blanche que le coton d’un slip de collégienne. Je vous laisse méditer devant. Il existe un musée original, à Montréal, uniquement consacré aux boules à neige. Là, tous les ans y est élue une miss Boule à neige. Dès lors, on se prend à rêver. Si vous être très gentils avec elle, elle vous secouera les boules, en vous laissant résoudre cette charmante énigme éculée :
 

« Qu’est ce qui commence par  L, qui est froide, qui tombe en hiver et qui se termine par ARD ? » :
Réponse :

c'est à pisser de rire, le sondage s'est clos tout seul.
Je n'arrive pas à réouvrir l'ouverture du sondage.
Quelle frustration !

 
Il en manque, IL EN MANQUE §§
 
FELLONIE §§§

Mettre une couche-culotte est un conseil avisé, une recette de grand-mère digne des meilleurs onguents.

Vous oignez-vous, d'ailleurs, et si oui, a quelle fréquence, vitesse, température de fusion ?

Une proposition de sujet, c'est, Caleb ?

 
MAis pkoi pas !

trop technique et peu confidentiel : risque de fuites.

Salon des inventions.
 
Les machines essentielles du pr Talbazar : Stimulateur de collaborateur.
 
 


 
 Indéniablement, les bons collaborateurs d’entreprises sont des hommes et des femmes qui savent capter les signaux de l’environnement, pour en informer à tout instant la société mère. Ce stimulateur de collaborateur n’exige aucune formation particulière préalable à son utilisation.
 Grâce à cette boule de cristal simplement posée sur leurs bureaux, les cadres développeront des idées nouvelles, garantes d’un excellent feed-back et acquérant avec profit de nouvelles compétences, pour mieux réussir.  Un fonctionnement résiliaire de plusieurs stimulateurs peut même s’envisager.
 Focalisation sur l’évolution des marchés, besoins des prospects, tout peut s’interpréter sans effort dans la boule du stimulateur, incluant de nouvelles méthodes de management.
 Le collaborateur n’aura aucun mal à décoder les signaux reçus, impulsant à son entreprise des voies d’exploration neuves et inédites.
 Perception rationnelle et intuition prospective se rejoignent pleinement pour coller à toutes les anticipations.

J'en veux une. On peut lui mettre la culotte qu'on veut ?

Ma chère navy, tu poses là une bonne question, embarrassante, toutefois, mais je dois répondre. Les culottes ont précisement été inventées pour y mettre ses boules.
Et faisont gaffe à ceux qui risqueraient de nous les briser.
 
Et le pr Talbazar aime montrer ses fouilles :
 

 
   
 
tout d'un coup, une angoisse, tu parlais du stimulateur, ou de la jeune personne qui illustrait l'article ?

Lits et ratures.

Aujourd'hui : « Alice au pays des merveilles »  (1865) - Lewis Caroll.

La première mouture de la merveilleuse romance de Lewis Caroll s’intitulait en fait « ça glisse aux paradis des merdes en veille.», mais l’éditeur refusa tout net :
- La guerre de sécession est terminée depuis quatre ans, mon cher Strauss, (le vrai nom de Lewiss était Strauss) ça n’ira pas. Tâtons encore de ce cigare cubain et revoyons ce titre !
 Suçant l’opportun barreau de chaise de son éditeur, Lewis Caroll opta donc pour une dénomination plus con et nettement moins sensuelle. Quoique. Nous sommes à même de dévoiler aujourd’hui ce premier manuscrit, qui vit le jour à l’issue de nombreux tâtonnements dans la redingote de l’auteur, voir dans le petit bateau d’Alice.

Ca glisse aux paradis des merdes en veille

Tous les chapitres empilés

Alice est une mignonne petite fille, couverte des pieds à la tête d’un grand tablier de boucher. Alors qu’elle est en train de fumer de l’herbe, pendant que sa grande sœur lui lit la bible avec angoisse, voilà que se pointe un vieux lapin tout blanc, complètement sous speed. Ce toqué de lapin pénètre dans le petit terrier d’Alice qui commence à l’engueuler, parce qu’une fois de plus il arrive en retard :

- T’es vraiment bas-débit, mon lapin, couina Alice en reprenant haleine et rabaissant sa jupe. Je te ferais signer un forfait ADSL et tu te feras bien baiser ta gueule de lapin, si tu sais pas lire entre les lignes, malgré ton lorgnon.

- T’es vraiment la reine des salopes, Alice !

- C’est ça qui fait tout mon charme, tu crois que j’aurais été un best-seller de l’Angleterre victorienne, sinon ? Lui rétorqua Alice en s’essuyant.
-Mais si tu m’avais dit que tu étais pucelle, aussi, j’aurais été moins vite…
- Pauvre con, suinta Alice, si tu avais été moins pressé de me faire ma fête, j’aurais pris le temps d’enlever mes collants !

Je suis encore en retard, dit ce con de lapin, après s’être extirpé des collants d’Alice. De son côté, Alice continua de visiter par elle-même son puits interminable; elle tombe à la renverse et finit , essoufflée, par atterrir  doucement. Pendant ce temps-là, sa sœur est restée avec le lapin, pour dieu sait faire quoi. Au fond du puits, Alice repère un bar Lounge avec de la musique transe. Elle commande un litre de vodka Polonaise au barman pédé, et lui offre un verre. Il a sans doute mis un truc dans son verre, à elle, parce qu’après avoir chiqué les ¾ du litre, elle commence singulièrement à planer, se tordre, opérant de sublimes distorsions du buste qui la font pendant de longues heures péter de rire. Le barman, lui, un peu moins, il n’a pas l’autorisation municipale des deux heures du matin. « Bois-moi » dit la bouteille qui venait tout d’un coup d’apprendre le langage des signes. Alice n’a plus besoin de verre, elle est cette fois raide torchée : « cabane sous le chien », disent les bretons qui en connaissent un rayon, question bouteilles sourdes et muettes.

Quand Alice atteint la taille suspecte de trois centimètres, le bar devient immense et les toilettes hyper éloignées, quelle cuite ! Elle commande un kebab par téléphone, mais le barman n’a jamais aimé les femmes, et surtout pas les blondes de dix ans, il lui refile en douce un gâteau au haschisch, qu’Alice commence à déguster. Après l’avoir avalé sans laissé une seule miette, elle part en courant le vomir sur son voisin, puis elle s’allonge, s’allonge, jusqu’à toucher le plafond du bar, c’est la reine des spot-lights. La douane, postée en intervention à l’entrée du terrier, gyrophares allumés, ne peut intervenir, à cause de l’étroitesse des lieux.
 Le lapin héroïnomane au yeux injectés de rose, se repointe soudain, habillé en Drag-Queen, ce qui plait tellement au barman, que celui-ci lui offre un Blue-Lagon. Cette fois,  ce sale lapin fait beaucoup pleurer la pauvre Alice. A force de s’agiter mutuellement, ils se retrouvent tout les deux dans une véritable mare envahie d’animaux étranges, comme des morpions géants. Au milieu de cette flaque de cyprine, Alice et tous ces bestiaux se concertent en se séchant. Une souris, dans un coin, s’amuse encore un peu avec sa queue. Tout cela est un peu étrange. Finalement, Alice, complètement paf, s’endort sur un clic-clac, atteinte d’une tendinite irréversible du poignet. Bien fait pour elle, écrira la police, plus tard.

Le lapin est encore sur elle et lui propose de chiquer une nouvelle bouteille chez lui, de l’eau de vie de sa grand mère lapine, histoire de causer, tu vois ? Cette fois, ils mettent un sacré bordel dans le quartier, ils font un raffut tel que le lapin se met soudainement à voler dans les airs, rapport à un voisin mécontent. Alice s’occupe de la cheminée. Bill, le valet du lapin, rentre dedans et décide de ne plus en sortir. Alice est profondément d’accord, au début, mais quand elle le décide, elle lui flanque un coup de latte dans les roubignolles, pour lui apprendre à ne pas forcer les cheminées des filles que l’on croit connaître. Alice cavale ensuite s’inscrire sur Meetic, afin de se rassurer, elle reprend du gâteau au shit et se trouve en proie à la pire des anamorphoses spontanées. Elle rétrécit encore, on la distingue à peine, en tout cas pas les douaniers.

C’est à ce moment là qu’elle fait la rencontre sur son site de rencontre, d’un super-mec, un lover-latino en forme de ver à soie.

-Ce gros ver est à moi, hurle Alice, au comble de l’extase.

Après l’amour, le ver à soie lui fait fumer un narghilé bourré de Bombay black, puis il lui cède moyennant finance un peu de champignons. Alice en avale la moitié, ce qui la fait déformer quelques poèmes, morte de fatigue. Elle doit se frayer un chemin semé de cadavres de chèvres et de dromadaires, c’est l’aventure. Le ver à soie disparaît en lui laissant gratos quelques champis. Alice lutte contre l’anorexie des ados et retrouve enfin avec bonheur sa taille normale d’un mètre douze. Il était grand temps. Voilà qu’en se promenant dans le pays des merveilles, elle taille la bavette avec un étrange pigeon obsédé par son sexe, et qui se prend pour un boa. Sur les conseils de son psy, le pigeon abandonne Alice dont le cou s’allonge avec vigueur à l’opposé de son cul, puis elle planque le reste des champignons, parce que les douaniers ont réussis à prévenir leurs collègues du pays des merveilles. Ca craint. Trop tard, elle est quand même arrêtée et conduite chez la reine, fers aux pieds.

La reine du pays des merveilles, bien qu’elle soit blonde à l’intérieur, n’aimait pas les blondes de l’extérieur*, ces déesses de l’amour et de la fertilité, ces onéreuses expériences que certains hommes font, allumés par de vains espoirs, alors qu’eux-même ne pensent qu’à s’engager dans ces Aphrodites fragiles et décolorées. La duchesse est une vraie salope, elle possède un chat noir qui ressemble à Olivier Fogiel, à cause de son éternel sourire de faux-cul. Alice tombe enceinte, ensuite, sur un chapelier à la ramasse, qui vit du minimum d’insertion, c’est pas franchement la joie. Alice  lui propose gentiment de faire un thé, comment qu’il l’envoie chier ! Lui il veut du pinard, du millésimé, non mais, connasse !

-Je vois ce que je bois, dit-il, et c’est pas pareil que je bois ce que je vois.

Ce qui est une étrange vérité. Déroutée, Alice est pénétrée une nouvelle fois et se fait défoncer la théière par un grand loir musclé. Elle décide de finir ses champignons et passe un porte de vingt centimètres, afin d’entrer dans un jardin lumineux, où fleurissent d’innommables étamines sur le compost puant.

Ensuite, Alice a le con frotté par trois jardiniers qui jouent au poker, pour savoir qui finirait par se la taper. La reine surprend tout à coup la partouze, se racle avec un coton-tige et ordonne que les jardiniers soient coupés. Elle invite Alice  à faire une partie de croquet dans ses jardins lumineux, où tombent partout de brillantes pampilles et quelques cloches de maraîchers abrutis, voir de chapeliers à la ramasse. Il y a là partout des hérissons avec de grosses boules et des soldats courbés en deux occupés à bander leurs grandes arbalètes. La reine se rhabille enfin et botte le cul de son chat qui souriait toujours en matant dans son coin.

A la fin, la reine présente à Alice une espèce d’escogriffe, avec une grosse queue, des bottes en caoutchouc et des oreilles de renard, puis aussi une tortue déviante trop occupée à déposer sa poule dans un grand fait-tout pour daigner parler à Alice. A cause de l’escogriffe, la bouche d’Alice est encore occupée et n’arrête pas de se déformer. La douane est là, et colle à tout monde les mains en l’air, suivi d’un procès pour usage de dope et trafic de flingues.

Alice, cependant, a beaucoup grandit, elle a compris le danger de s’envoyer en l’air et, du coup, elle plaide non-coupable. La reine, cette garce, est proprement furieuse, furibonde de ce qu’Alice se soit tapé tous les champignons et toutes les queues d’escogriffes du royaume.

Finalement, après avoir accepté un taf sous-payé pour payer son retour, Alice  se réveille enfin. Elle est couchée sur un talus, une fois de plus, la tête entre les genoux de sa propre sœur, si c’est pas malheureux. La grande sœur comblée a reposé sa bible, pour se retrouver le jouet d’une étrange vision :

- Je dois, Jésus du grand ciel, bouter les Anglois hors de France et faire sacrer mon gentil dauphin à Reims, avant d’être livrée aux English, putain, ça va le faire !

A ces mots, Flipper le dauphin arrive de Miami, Florida, en ondulant de la queue. Il est très content et se tape le lapin blanc, qui proteste mais change de forfait.

Pas de doute là-dessus, Alice au pays des merveilles est un pur roman initiatique.

* La moyenne Encyclopédie du pro-fesseur Talbazar / Rapports humains et fesses de société - Interviewe d’une blonde. VOL 1

 
 
Et ne pas oublier que c'est Charles D. qui a ecrit Alice au pays des merveilles hein ? Et non pas cet usurpateur de Lewiss Caroll comme le tendrait a prouver l'imagette incluse, qui comme vous l'avez fait si bien remarquer s'appelait Strauss et venait de Nimes.

s'agirait t-il du grand Charles D ? ce général qui se tapait la gaule et qui créa le machin ?
merci bien d'éclairer ce débat et de tamponner les imposteurs.
Ce qui est parfait, dans la ville de Nimes, ce sont les niçoises qui ne font pas de salades.
Il fait beau, à Hong Kong, où la terre est plus secouée que ses habitants, parfois ?

 
quel con, j'ai lu les 2 à la suite.
 
En apnée et sans oxygène, donc...

avec un bon coup de gnole, tout passe.
 

gnole ?
 
gnaule ?
 
Je ne sais plus.

gnlol

Eau de vie à pépé, ça le fera.
Gnole, je suis certain;  
75 ° sinon c'est pas jeu.

c'est qui gnaule?

Qui ne va pas sans Gnafron .
 

faut juste le faire avant d'écrire

 
 
 
 
cher Mcberd, bien sûr je comprend que la vie te sois insoutenable, qu'il est bon de se torcher la gueule, non sans prétention, avec la moyenne Encyclo.  
Mais sois très prudent, il existe des risques certain de forte dépendance, et tu finiras dans le caniveau, à dormir sur Stipey, en injuriant les passants, ce qui serait mal.
 
Lisons, introduisons, instruisons, mais n'abusons de rien.
 
 

Beau ? C'est d'ici qu'un autre usurpateur a puise son inspiration pour son Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine !
Je ne resiste pas au plaisir de gourmet que de vous reveler l'alexandrin original :
 
Sui Sai Wan, Sui Sai Wan, Sui Sai Wan, morne plaine.
 
Aller il se fait tard, et comme on dit par ici : faudrait pas rire jaune !

Je crois que je ne pourrai jamais me résoudre à insulter les passants ...
 
Encore qu'il ne faut jamais dire "bouteille, je ne boirai pas de ton absinthe" !

Alors, j'ai vraiment adoré l'histoire d'Alice sous pyramide verte, texte onirique s'il en est (et ils en sont, plusieurs), et empreint d'une poésie féroce et drôle. J'ai lu, le sourire aux lèvres, et l'imagination en érection (ça me fait chier de le dire). J'ai suivi docilement le fil, intelligemment déroulé par l'auteur, qui déjoue tous les pièges de l'alitée rature, laquelle ne souffre ni l'a peu-près, ni l'approximation, ni a fortiori l'invraissemblance (tu dis hein, si j'en fais trop. Des fois j'exagère, un peu), j'étais captivé, abandonné, je ne luttais plus, je dérivais avec Alice et délice sur le styx. Bref, n'ayons pas peur des formules à l'emporte-pièce et des commentaires choc, comme on dit chez moi : "ça a de la gueule, c'bordel". Oui, on dit souvent ça chez moi. On le dit aussi ailleurs, mais j'en ai rien à foutre, j'y vis pas, ailleurs (McBerd, avant de montrer ta bile à tous les passants, et puisque tu parles d'absinthe, sache qu'après l'héroïne, la cocaïne, l'extazy, les champignons hallucinogènes, les acides divers et variés, l'opium que l'on fume, que l'on mange, que l'on récolte soi-même, que l'on mélange à du hash (ah le bombay black, ça m'a projetté 20 ans en arrière tiens), la white widow, le mezcal, et "Smells like teen spirit", qui s'écoute à 180 sur l'autoroute, thermostat 120 décibels, l'absinthe est probablement un des alcools qui te procurera le plus de sensations. A égalité bien entendu avec le whisky, la bonne vodka (pas la smirnoff, ni la zubrowvka, qui sont un alcool pour adolescents, pour l'une, et un alcool pour touristes, pour l'autre), le calvados (cocorikofkofkof). Et le Nectar des dieux. Notez que l'un des deux mérite une majuscule. Mais il est déjà temps de refermer cette parenthèse et d'aller relever mes mails. Ca travaille pas beaucoup, les avocats. Tas de feignasses).

je trouve ces propos totalement degradants.
"bien vivre, c'est savoir bien mourir"
il n'y a que les samurais et certains bouddhistes alcooliques qui l'ont compris.

ma mere n'a que peu d'interet, hein
a part associée avec un pere violent...

et alcoolique, j'espère.

 
L'absinte, c'est une boisson de pédé espagnol  

Essaie l'alcool de bois, alors.

 
Tout à fait d'accord. Tout comme l'hydromel est une boisson de pédé breton. Ca a du bon, ces petits régionalismes ordinaires.

 
On parle de sensations fortes, pas de suicide.

meme pas