Reprise du message précédent :
quoi comme zique ?

Metal et un peu de punk quand j'ai envi de me marrer.
D'ailleur mon avatar c'est Eddie, la mascote du groupe de heavy metal, Iron Maiden

iron ça veut dire "fer à repasser" en anglais.
SIC

Ne sois pas sarcastique  

Iron ca veut dire "fer" tout court, et maiden "jeune fille" (ou tout ce qui y ressemble comme vierge).  La traduction c'est la vierge de fer.

Ce topic part en sucette.
 
Il est temps que je termine mon article.

Les vierges, il faut se les faire.
Et se les repasser.

[quotemsg=10875701,405,60784]Ce topic part en sucette.
 
quotemsg]
 
Non, il va comme il faut.

J'ai un peu de temps cet aprem. Tu as une idée pour moi ?

Je peux éventuellement t'en vendre une ou deux, prix d'ami.
Paiement étalé, bien sûr.
Carte bleue, bien entendu.

pour ceux qui douteraient encore de mes diplômes et hautes incompétences :
 

Je suis une princesse pauvre, il va falloir trouver autre chose  

paiement nature.
Absence de choix.
Sauf si ta pantoufle correspond, là je t'épouse.
et la suite au Georges V.

Je suis toujours pieds nus, mais peut-être on s'arrangera ?

non, sûrement pas.
Dégage.

C'est noté !

Ou alors met des pompes, comme tout le monde.
Tiens dis donc ? La guêpe s'est pendue.
A mon cou, sans doute.

Hmm... Les films en noir et blanc ?

Bon, trêve de plaisanterie.
 
Métiers d'antan
 
Aujourd'hui : Samouraï
 
Dans le Japon féodal, à une époque qui se situe entre y’a longtemps et ça fait un bail, les Seigneurs de chaque province, qui n’en foutaient pas une, avaient sous leurs ordres des guerriers redoutables, qui leur étaient entièrement dévoués, appelés « samouraïs ». Ces derniers étaient formés dès leur plus jeune âge à la stratégie, aux techniques de combat avec ou sans armes et à la philosophie, ce qui en faisait des militaires intelligents (race totalement disparue aujourd’hui). On apprenait également aux jeunes samouraïs à confectionner des bouquets de fleurs et à plier des cocottes en papier, parce que « quand on s’fait chier, faut bien s’occuper » (Yomota Foka, in « Etre samouraï c’était pas d’la tarte », 1909). La principale mission des samouraïs était de se balader à cheval toute la journée en poussant des cris gutturaux, vêtus d’armures coquettes confectionnées par leurs mamans, tout en faisant croire à leur con de Seigneur qu’ils s’occupaient de ses intérêts. Ils se déplaçaient toujours en nombre (minimum 7), en partie à cause des tarifs de groupe pratiqués aux péages de chaque province. Ce problème fut d’ailleurs résolu lorsqu’un Seigneur visionnaire instaura une carte permettant aux samouraïs de voyager gratuitement durant le weekend, les vacances et les jours fériés, sans limitation de zone : le Pass’Mouraï. Cependant, l’habitude de voyager en nombre (minimum 7) resta, et le chiffre 7 devint en quelque sorte leur chiffre fétiche. Les samouraïs sont d’ailleurs, il est nécessaire de le préciser, à l’origine de tout un tas de créations utilisant le chiffre 7, comme le jeu des 7 familles ou encore l’émission de Julien Courbet « Les 7 péchés capitaux ».
 
En plus d’être de redoutables guerriers, les samouraïs étaient de fins mélomanes. Le shamizen (mivénèr), sorte de longue guitare électrique mais sans électricité, était leur instrument de prédilection et on retrouve parfois, dans certains ouvrages spécialisés, des écrits relatant l’existence d’un tournoi, le Gi-Ta Reiro, réservé aux samouraïs, où chaque guerrier devait mimer le jeu au shamizen, sur une scène, devant une foule de paysans édentés en délire (Cf. « Air Guitar, du Japon féodal aux années 2000 », 2005). Certains samouraïs laissèrent même tomber leur métier pour se consacrer à la musique. La légende raconte d’ailleurs que le premier disque de l’histoire du Japon était un disque de samouraï appelé « Samouraï’N’B Fever ».
 
Toujours à la recherche du bonheur, les samouraïs commencèrent à en avoir ras le cul du Japon (d’autant que leur cote de popularité était en chute libre au profit des ninjas) et se mirent à explorer d’autres contrées. Chevauchant leurs montures, ils se rendirent d’abord en Chine (ils perdirent d’ailleurs quelques montures en chemin, puisque ces cons de chevaux n’avaient pas appris à nager), puis dans de nombreux pays du sud-est asiatique, tels que le Laos, le Vietnam ou la Suisse. Il y eut donc, petit à petit, des clans de samouraïs dans le monde entier : des samouraïs de Corée (les Hwarang), des samouraïs d’Inde (Les Moustachus), des samouraïs du Vatican (les Papes) et, bien entendu, des samouraïs de Chine (désolé). Néanmoins, avec l’apparition du fusil à pompe et du jean taille basse, le métier de samouraï en armure devint obsolète. Les clans se séparèrent, décevant leurs fans, et leurs membres s’éparpillèrent un peu partout (ce qui était franchement dégueulasse).
 
Parmi les samouraïs connus, citons Miyamoto Musashi, Catherine Lara (qui rit) ou encore Alain Delon. Aux dernières nouvelles, le dernier samouraï connu était scientologue.

COMMUNIQUE IMPORTANT !
 
Comme il n’est pas pensable de s’en tenir à des propos oiseux et des injures policées, le pro-fesseur Talbazar vous invite à la plus grande corrida jamais exécutée de votre vivant  !
 
Nous allons, mes frères, mes sœurs et mes rudites, organiser une de ces noubas qui pourra se terminer très tard à l’aurore. Réjouissons-nous d’être vivants, partageons en chœur une nuit inoubliable dans plus que la joie et la douce folie. Tel sera le programme décidé. Mais déjà, il nous faut partager les tâches. Choisir le jour et l’heure, puisque nous avons l’endroit. Nous ne craindrons pas d’ennuyer les voisins, c’est pour la plupart déjà fait. Ceux d’entre eux qui ne dormiront pas pourront se joindre à nous. Faisons la fête, et chassons ensembles ces émotions négatives qui nous turlupinent et noircissent nos écrans.  
 
Le jour et l’heure, mes braves. Amenez-vous chez moi, la place est immense, et vous ferez comme chez vous.  
 

• Stipey, amène la bière et les bons vieux CD de rock
• Maldoror, amène Mona Soyoc, je serais ravi de la connaître
• Mona Soyoc, amène Maldoror, tu l’arrêteras de picoler, si c’est lui qui te ramène
• Navy, amène toi, ça suffira
• La guêpe, amène la schnouff, on te paiera plus tard
• Panchopa, amène les lamas, au cas ou les filles seraient fatiguées de danser le tango
• Elmoricq, amène des couettes pour ceux qui voudront dormir
• P47alto1 amène les flics, au cas où…
• L'Autiste amène les glaçons, pour la vodka
• Nausicaa_l amity amène tes couettes et des pizzas
• Cao Bo Ieu et gilou amenez les drapeaux
• Caleb2000 amène les trucs qui font rire
• Xamoth amène ta mère et tu garderas l'entrée.
• gui haume amène tes fautes, on les corrigera, et tu pourras dormir avec stitch+
• stitch+ amène ton sourire, et tu devras dormir avec gui haume  

 
Lâchez-vous, lâchons-nous, pour la première fête jamais organisée sur un forum !
La nuit sera la nôtre : mettons nous d’accord. Le jour, et l’heure !
 
 

Je réfléchis.
 
Sinon, après avoir lu tes Samouraux, j'ai enfilé des tongs roses ; c'est dire mon allégresse consécutive

 
Comme j'ai rien à porter que moi, je viendrai quand vous voulez.

J'aurais préféré un thong rose.
 
Mais bon.

les samouraux qui s'bécotent sur les bancs publics...

La Norvège est un pays qui rassure.
 

 
Je vais pas aux kimouss qui craignent, boire de la badoit avec des connards.
Désolé.

OUF, me voilà rassuré.

Tu t'inquiétais ma p'tite poule ?

Pour lé fôte jeu comensse lai prauvision

Talbonjour,
Si on peut éviter de voir des flics, j'en serais très heureux. Quant à savoir ce qui a bien pu te faire penser que je pourrais en amener, le mystère plane.

regarde derrière toi.
On sait jamais...

 
Je sais pas, des fois, tu es tout sauf drôle.

 
Si tu savais, justement. Il y a en a tellement partout que si je pouvais oublier leur présence le temps d'une soirée, ce serait paradisiaque.

 
J'avais pas envie d'être drôle.
Quel mot t'as pas compris dans, je me vois dans l'obligation de me citer, pardonnez m'en par avance :
 

 
Hein ?
Tu crois que j'ai vocation à être drôle ? Que c'était mon destin ? Ben si tu crois ça, j'ai une pénible nouvelle pour toi : j'ai raté la correspondance.

je me branle comme de l'an 3000 de ta vocation.
Et encore plus de ta destinée.
Et je trouve que tu prends de la place.

Economie galante

Aujourd'hui : La tire-lire

Au XVII éme siècle, les pauvres n’avaient pas d’économies, c’est pour cela qu’ils étaient pauvres. Mais ils avaient des femmes charmantes que les nobles employaient, ce qui procurait aux pauvres quelques rentes bienvenues. L’ouverture de notre caisse d’épargne date, nous n’avons pas le choix dans la date, du 22 mai 1818. Elle fut créé par un bourgeois et un aristocrate qui voulaient lutter efficacement contre les fléaux du jeu, de l’alcoolisme, la prison pour dettes, la maladie et le chômage. Un ouvrier gagnait 100 francs par mois, une femme de chambre deux fois moins par lui (nourrie, blanchie, tringlée, logée). L’ouverture de la caisse d’épargne est très lente, progressive, même, et eut lieu un dimanche, parce que le samedi était jour de paie.

Mais éloignons nous de ces placements, nous touchons ici et jetons en douce un œil impudique sur cette petite rente remplie de tant de prévoyance. Certes, trop d’économie gonfle l’endettement, c’est un début, nous sommes d’accord sur ce point. Le livret A ne baisse jamais l’impôt.
Avant l’invention du coffre-fort et de la ceinture de chasteté, nos ancêtres caressaient avec parcimonie ces petits bas de laine où se cachaient leurs petits trésors domestiques. Cela n’a pas changé. On met toujours ses gros sous dedans, quand la tirelire a l’impudence de nous signaler ses tarifs, à l’angle de certaines rues. Je ne parle pas des parc-mètres, mais bien d’autres petites fentes, vous l’aurez compris, voir touché du doigt.

Certaines tire-lires se cachent sous d’avares jupons. Certains bas de laine se montrent alors très rétractables devant le manque d’extension de certains magots, qui s’allonge ou rétrécissent à la vue de ces tire-lires qui les attirent tant. Certaines bourses peuvent être grosses, agrémentées pour le plaisir des yeux de filets de soie et dans le meilleur des cas perlé d’acier. On engrange avec douceur ou force, c’est selon, dans sa petite tire-lire le produit de ses efforts, en espèce bien souvent sonnants qui charment les oreilles.

Dans ces petites fentes adorables aux formes variées, on se fout bien souvent les jetons, quand même, de peur de manquer d’ardeur à la dépense. Les latins avaient « l’Oculi » nous dit Horace, qui préfigurait déjà nos précieux entrepôts. J’usqu’au XVII aime siècle, on se sert d’un tronc, synonyme de « Bloqueau » pour désigner la précieuse tire-lire. Mais le tronc suppose le don de soi, l’offrande totale, la petite tire-lire des dames est pas souvent moins généreuse. La tire-lire n’est pas d’église. Elle est munie d’une fente dans laquelle on glisse, et parfois, on ne peut en sortir sans la briser.
Il n’y a pas d’amour heureux.

Quelques longues fouilles urbaines nous ont livré de nombreuses boîtes à saouls. On trouve en Amérique de ravissantes tire-lire aux noms évocateurs et très charmants : « coup de pied de la mule », « joly niger »,  « la charge du bison », « le numéro de cirque ». Ces petites machines s’animent au moindre contact et vous remercient de votre bonté par un déclic appréciateur.

Ovales ou rondes, grandes ou petites, on a l’embarras du choix. La tire-lire déploie ses trésors de fantaisie pour mettre nos plaisirs à l’abri. Le petit cochon rose nous invite à le remplir jusqu’à ce qu’il crie grâce. Car il est des tire-lire gloutonnes, des statiques que l’on secouera en vain, d’autres qui se mettent à bouger au moindre contact, et l’on voit la tête qui se met à dodeliner comme un merci. Je vous laisse méditer là-dessus. Il est malheureusement des tire-lires souvenirs dont on se souviendra longtemps, après avoir dû les casser pour mieux les piller. Adieu jolie petite tire-lire, tu ne paiera pas l’impôt sur le revenu, étant partie à jamais abriter d’autres petits fous. Et un fou, c’est un fou, n’est-ce-pas ?

 
Oh, p'tit bichon, je te gène sur ton tomic p'tèt ? Tu voudrais que je m'en aille ?

je ne me sens pas l'âme du propriétaire, mais je crois que je me ferais solidement chier sur le tien, si t'en avais un.
Mais bon les opportunismes...

 
Je suis au courant.

 
T'es un peu trop tendre, mais c'est pas grave. C'est comme ça qu'on t'aime
Tu sais, moi je l'aime bien ton topic. T'es souvent poétique. Parfois chiant, mais ça, hein, comme tout le monde.
Faut juste bien que tu comprennes que c'est qu'un forum, ici. C'est pas la vraie vie, tu comprends ? Dans la vraie vie, je m'appelle pas "Maldoror", et si ça se trouve, je te parlerais peut-être pas comme ça.
 
Enfin, peut-être que si, quand même, parce que je suis vraiment un sale con
Mais si tu ne supportes pas qu'on te balance des vannes, faut pas en balancer aux autres, ma p'tite poule.
 
Quand à moi, j'en avais fait un, de topic, y a bonbon, mais tu te serais vraiment fait chier dessus, je confirme.

arrêtes de me prendre pour un con, je suis pas ton frère et je sais où je suis.
T'es mal barré pour m'apprendre à vivre, ma chérie.
c'est qu'un forum avec que des mecs fondamentalement plus humbles que toi, happy.
tu balances pas des vannes, juste des aigreurs. Les vannes, c'est drôle.