Reprise du message précédent :

 
C'est tout le nœud du problème, une grande majorité est persuadée du contraire, et dans la mesure ou les salaf ne font pas le ménage eux même, je ne vois pas de raison de leur faire confiance

 
parce qu'ils ont un bonnet ou un hoody
 
Et voilà qu'ils chantent le premier couplet de l'hymne national, celui sur IIIeme Reich

 
Vu qu'on ne me répond pas, je mets lien, débrouillez vous avec :
 
http://www.welt.de/politik/deutsch [...] haben.html
 
En gros d'autres incidents à un autre endroit, mais j'ai pas beaucoup d'infos.

D'ailleurs flic et manifestant sont plus ou moins mêlés là c'est bonne ambiance...

 
des photos devant le Dom avec des pacifistes, Pegida est de l'autre coté
 
bravo la desinformation

 
Alors là il faut voir 70% de femmes et 30% d'hommes.

 
Tu confonds la manif (de Pegida et Hogesa) et les contre-manifs.

Ils ont chanté l'hymne allemand, salauds de racistes    
Ca devient vraiment n'importe quoi là.

 
L'hymne nazi.

 
Je crois que ce qui plaît aux supporters de Trump c'est qu'il met des mots simples, de manière simple, là ou les autres candidats partent en roue libre/novlangue/politiquement correct/langue de bois imbitable et usant (ce qu'on a en Europe aussi d'ailleurs). Après ses idées, c'est autre chose - mais sa comm' tranche bien avec les autres. Mais on devient carrément hors topic là  
 
D'ailleurs y'a un topic Trump? Il est où?

?
 
C'est une réalité, l'Allemagne également.
 
En France tu ne verras jamais (modulo le cas discuté des canadiens-français) un "droit du retour" pour une population "ethniquement" française parce que ça n'existe pas une telle population (cf Nation Subjective). Par contre ce droit existe pour les allemands. Parce que oui il y a des communautés allemandes disséminées partout en Europe centrale/de l'est. Petit exemple : Les allemands de la Volga ou de la mer noire.

Pas Trump mais élections US http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] w=0&nojs=0
 

 
   
 
Les deux premiers couplets ne sont plus chantés officiellement parce qu'ils ont été trop promus pendant le IIIe Reich.
Seuls les néonazis le font de nos jours.

 
Lien? Résumé?  

"révolution"
"guerre civile"
"ca va péter"
"on est pas content"
"y en a marre"
 
 
                       
 
Les gens ne vont jamais lacher leur plasma acheté pdt le black friday ainsi que leur petit noir au pmu du coin contre ça.

 
d'accord
 
serieux renseigne toi...

C'est pas en France que ça bougerais comme ça...  
 
Les allemands subissent et ce bouge le fion.
 
Nous on subit

J'ai tout compris.

Tu subis quoi ?

Monte un collectif pour aller manifester à Calais. Mais non, c'est mieux de se plaindre sur internet.

 
Quoi, ils ont chanté l'hymne espagnol à Barcelone ? J'vois pas l'problème

 
Je connais pas ce journal, ni ne comprends l'allemand - mais ça parle de disco, c'est cette histoire de jeunes qui sont venus agressés des gens dans une boîte de nuit?

 
 
Aucun intérêt

Donc les allemands se "bougent le fion" pour rien. Ok. Merci.

 
Des jeunes gens sympathiques participant aux commémorations de la Première Guerre Mondiale et de la création de la République de Weimar.

Sans redface, je pense qu'il est possible qu'il sorte du bon de tout cela.
Avec un peu de chance, cette crise mettra fin à l'U.E et on se donnera enfin sur les moyens de s'occuper des problèmes d'intégration.

Outre le caractère insulaire et le développement historique en isolement relatif qui peuvent expliquer certaines choses, voici un article intéressant sur le Japon et sa politique migratoire  
 
Les immigrants au Japon passés au crible commun du jus fusionis
Perspective historique - Humbert 2010
http://transcontinentales.revues.org/789
 
Où l'on apprend entre autres :
 
- que le Japon a longtemps pratiqué des politiques explicites ou implicites de pureté ethnique
- la main-d’œuvre « purement » japonaise accepte et prend des emplois manuels et de service qu’en d’autres pays il faut confier à des populations immigrées
- que la limitation de l'immigration est réelle (+ indice d'accessibilité économique bas)
- le Japon est 10 fois plus fermé que la France à l'accueil des réfugiés ainsi qu'à la naturalisation
- en 1952, quand le Japon a recouvré sa souveraineté et inauguré sa toute nouvelle démocratie, un demi-million de Coréens (devenus auparavant administrativement japonais car colonisés par le Japon) avaient choisi de rester et de faire du Japon leur pays. Ils ont alors perdu, du jour au lendemain, leur nationalité japonaise
- En 1990, il y avait déjà au Japon plus de 100 000 Chinois pour 42 000 Brésiliens et 36 000 Philippins. À partir de 2000, le chiffre de la population chinoise décolle et elle devient, en 2007, la première population étrangère au Japon devant les Coréens.
- Jusque 1985, le patronat japonais n’a pas cherché à faire venir de la main-d’œuvre étrangère, préférant automatiser intensément le processus de production tandis que la politique économique et celle du change permettaient le plein emploi et l’élévation des salaires.
-Quand cette main d'oeuvre étrangère est venue (surtout de la main d'oeuvre brésilienne) celle-ci a eu le statut de résident à long terme sans pour autant avoir la citoyenneté japonaise
- Le mariage avec un Japonais est une autre source d’augmentation de la population étrangère, en particulier chinoise, au Japon. Il ne confère pas la nationalité japonaise mais permet d’obtenir ce statut de conjoint ou d’enfant de Japonais et la possibilité d’occuper un emploi dans de bonnes conditions.  
- La crise de 2009, surtout celle de l’industrie, a touché de plein fouet les Brésiliens employés comme travailleurs temporaires dont les contrats n’ont pas été renouvelés. Le Japon leur a offert une aide au retour sous réserve de ne pas revenir avant trois ans sous le même statut. En 2009, le nombre total d’étrangers au Japon a diminué pour la première fois depuis 1961.
 
 
Fukuoka (2000) a élaboré une grille de lecture de cette frontière invisible qui, au sein de la population permanente de l’Archipel, sépare Japonais et non-Japonais et rend la vie difficile à ces derniers. Selon lui, trois caractéristiques jouent un rôle essentiel :
 
a) être japonais par le sang, par la descendance, par une filiation avec des personnes considérées ethniquement comme japonaises ;
b) parler le japonais et se comporter culturellement comme les Japonais ;
c) avoir légalement la nationalité japonaise.
 
Toute personne qui détient au moins l’une de ces caractéristiques peut plus ou moins prétendre à être japonaise. Mais c’est en vain et, en outre, sa vie au Japon comportera pour ces raisons mêmes des moments désagréables voire très pénibles.

 
Je ne parle pas non plus allemand, mais en gros c'est plus ou moins la même chose que Cologne en remplaçant gare par discothèque.

 
Ha ha ha exactement.

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ok je savais pas, j'ai reconnu ce que les footeux allemands chantent avant les matchs, j'ai mal pensé  
En effet sont pas très sympathiques ces gens ><

http://www.politico.eu/article/col [...] years-eve/

http://www.politico.eu/article/ref [...] iere-rape/

Merkel en est encore à se demander si certains groupes ne seraient pas un peu misogynes, quand même.  

C'est sur que les petites suédoises qui ont réussi à castrer leurs mecs ca doit les changer des mecs du sud.
 
PS : Je ne cautionne pas du tout les viols et autres agressions sexuelles ! Je parle uniquement des comportements usuels qui doivent être très différents.

La Melodie est la même, sauf que les couplets ne sont pas les mêmes

Oui j'ai googlé, pas du tout les mêmes même  

Un correspondant Suédois avec qui je parle de temps en temps sur un forum
 

 
Intéressant, ça montre que la classification des parties politiques est complètement subjective
 
En France, un partie souhaitant ce genre de politique migratoire serait consideré comme dangereux, classé comme extrême droite et susciterait des lèves de bouclier de toute part, ainsi qu'une désapprobation des médias.
 
Au Japon, il s'agit simplement de parties de droite...

 
Cela va même beaucoup plus loin
 
«  Le discours sur une homogénéité ethnique japonaise maintenue depuis les temps anciens n’émane pas seulement de conservateurs nostalgiques du kokutai [théorie-idéologie du début du xxe siècle selon laquelle le pays fait corps, avec en son centre, l’empereur] mais également d’historiens “de gauche” comme Tôma Seita ou Fujitani Toshio22 ». Citons Masuda Yoshio : « Les Japonais, comme groupe ethnique homogène, ont gardé une culture homogène depuis les temps préhistoriques23. » Ce discours n’est pas seulement un discours d’intellectuels, il est relayé dans les medias et par des hommes politiques importants. Ainsi le Premier ministre Nakasone (1982-1987) affirmait24, en 1986, que « les Japonais constituent une ethnie unique (tan’itsu minzoku) ». Tandis qu’en 2005, le ministre des Affaires étrangères de Koizumi, Taro Aso, déclarait au journal Yomiuri (Burgess 2005) que le Japon est « une nation, une civilisation, une langue, une culture et une race ».