"On cède progressivement sur leurs revendications communautaires"
 
"On les encourage en partageant leur haine antisioniste sachant, qu'évidemment, l'antisionisme n'est qu'un masque pour cacher l'antisémitisme. On cède progressivement sur leurs revendications communautaires puisque leur objet, au départ, c'était de pouvoir pratiquer la rupture du jeûne du ramadan au sein de l'université. Et lorsque le référent laïcité a tapé du poing sur la table, ils nous ont bloqué l'Université", raconte-t-il.

Donc pour éviter les blocages, on négocie avec eux et on les encourage. Alors ensuite, évidemment, ils vont traquer les professeurs qui s'opposent à ce terrorisme intellectuel, qui s'oppose à ces pratiques", complète l'enseignant.

"Et comme je n'ai pas l'opinion qu'ils espèrent, comme je ne chante pas sur les toits mon amour pour la Palestine, les frères musulmans, et bien ils sont venus m'attaquer",

L’eurodéputé RN Fabrice Leggeri dénonce le projet d’un «Coran européen» financé par l’UE

L’ancien directeur exécutif de Frontex dénonce un programme subventionné à hauteur de 9,8 millions d’euros par l’UE, qui vise à étudier la place du Coran au sein de l’histoire intellectuelle européenne.

«Coran européen» ? L’étonnante expression figure expressément dans l’intitulé du programme de recherche «Le Coran européen : l’étude du Texte sacré de l’islam à travers la culture et la religion européenne» (en abrégé «The EuQu»). Lancé en 2019, ce projet mené sur six ans est «construit sur la conviction que le Coran a joué un rôle important dans la formation de la diversité et de l’identité religieuses européennes médiévales et modernes et continue de le faire», comme l’on peut le lire sur son site officiel.

Ce projet se veut être une «étude du Coran et de son ancrage dans l’histoire intellectuelle, religieuse et culturelle de l’Europe entre le XIIe et le XIXe siècle», comme l’on peut le lire sur la plaquette de présentation, téléchargeable en français, en anglais et en arabe. «Le Coran est utilisé sans cesse en Europe depuis le XIIe siècle», résume pour Le Figaro John Tolan, professeur d’Histoire à l’université de Nantes, un des quatre chercheurs porteurs du projet. En somme, il s’agit de montrer la relation particulière des intellectuels religieux et laïcs européens au livre saint de l’islam, en vue de replacer «l’étude du Coran au cœur de l’histoire intellectuelle européenne».

Ce document présente les objectifs, méthodes et premiers résultats du projet de recherche européen « The European Qur’ān » (EuQu), qui étudie la place du Coran dans l’histoire intellectuelle, religieuse et culturelle de l’Europe médiévale et moderne (1143-1850).
 
Objectifs et approche du projet
 
Le projet vise à comprendre comment le Coran a été traduit, interprété, adapté et utilisé par divers groupes européens : chrétiens, juifs, libres penseurs, athées et musulmans européens.
 
Il s’intéresse à la manière dont le Coran a été intégré dans les débats religieux, politiques et intellectuels européens, tant dans la polémique anti-musulmane que dans les controverses internes au christianisme (notamment entre catholiques et protestants).
 
L’équipe EuQu développe une base de données recensant la circulation des manuscrits coraniques, les éditions et traductions européennes (en latin, grec, langues vernaculaires), ainsi que les traités polémiques anti-coraniques produits en Europe entre 1143 et 1800.
 
Le Coran dans la culture européenne : exemples et circulations
 
Le document illustre la diversité des usages du Coran en Europe, par exemple l’admiration de Napoléon pour Mahomet, ou l’utilisation du Coran comme modèle ou contre-modèle dans la littérature et la politique.
 
Il retrace l’histoire de la première traduction latine complète du Coran par Robert de Ketton en 1143, commandée par Pierre le Vénérable. Cette traduction, largement diffusée, a servi de référence majeure jusqu’à la première impression du Coran (en latin) à Bâle en 1543.
 
Les traductions européennes du Coran, souvent indirectes et filtrées par des commentaires chrétiens, ont parfois abouti à des textes très éloignés de l’original arabe, créant ainsi une « tradition européenne » du Coran.
 
Réception et usages intellectuels
 
Les intellectuels chrétiens médiévaux ont tenté de situer le Coran dans leur propre schéma théologique, le considérant comme une « loi » concurrente à la Loi mosaïque et à la Loi chrétienne, mais d’origine humaine et illégitime.
 
Les débats et controverses autour du Coran ont nourri les réflexions sur les rapports entre Bible et Coran, aussi bien dans la polémique que dans la recherche de points communs ou de dialogue.
 
Le Coran a parfois été mobilisé pour défendre des positions théologiques ou ecclésiologiques au sein même du christianisme, par exemple lors du concile de Bâle (1431-1449), où certains théologiens citaient le Coran pour argumenter sur la pureté de Marie ou l’autorité conciliaire.
 
Projets de recherche en cours
 
Plusieurs chercheurs du projet travaillent sur l’édition critique de textes médiévaux liés au Coran (traductions, commentaires, polémiques), sur la réception du Coran dans le monde grec byzantin, ou sur la transmission de matériaux coraniques dans la littérature française médiévale.
 
L’équipe prépare également des outils pour la recherche future, comme une base de données sur la circulation des manuscrits et des traductions, et des éditions critiques de textes-clés.
 
Conclusion
 
Le projet EuQu met en lumière la complexité et la richesse des interactions entre l’Europe et le Coran, bien au-delà de la simple opposition religieuse.
 
Il montre que le Coran a été un objet de curiosité, de polémique, d’étude et parfois d’admiration, et qu’il a joué un rôle significatif dans la formation de la culture et de l’érudition européennes du Moyen Âge à l’époque moderne.
 
Ce résumé met en avant la dimension interdisciplinaire et transnationale du projet, ainsi que l’importance du Coran comme acteur à part entière de l’histoire culturelle européenne

Un institut spécialisé dans l'enseignement des langues a été fermé ce lundi à Colombes (Hauts-de-Seine), soupçonné d'abriter une "école coranique". "Le Préfet Alexandre Brugère a décidé de la fermeture en urgence de l’Institut Lissen sur la base des très graves défaillances constatées en matière de sécurité incendie, mettant en danger la vie des enfants accueillis", indique sur X la préfecture.

Outre ces éléments liés à la sécurité, le préfet met en avant la découverte de "plusieurs affichettes représentant des adultes et des enfants dépourvus de visage". "Les mêmes éléments ont déjà été découverts dans d’autres structures dispensant un islam radical, ce qui interroge", selon les autorités. "Conformément aux orientations du ministre de l'Intérieur, aucune forme d'accointance avec l'islamisme ne sera tolérée", écrit le préfet Alexandre Brugère, qui qualifie l'institut d'"école coranique".

Le décès de WeRenoi a mis en lumière les vices de beaucoup d’Africains non musulmans.
 
Ils mangent à la même table que les racistes qui nous attaquent sans relâche.
 
L’illusion de fraternité entre eux et nous ne tient qu’au fait qu’on vit dans les mêmes quartiers et qu’on appartient à la même classe sociale.
 
Ils pensent comme ceux qu’on appelle les “fachos”, mais bénéficient d’une forme d’immunité parce qu’ils sont noirs.
 
Et quand je parle d’immunité, c’est parce que pour beaucoup être noir et raciste semble antinomique, car ils se sont accaparés la cause.
 
Ces tweets ne visent pas ceux qui nous respectent, on les respecte en retour.

De jeunes français, nés en France, ayant la mentalité d’un taliban, traquent depuis deux jours sur Twitter tous ceux qui diffusent la musique d’un rappeur mort.  
 
Qu’avons-nous fait pour hériter de cette génération d’arriérés ?

Réseaux tentaculaires, organisation secrète, quartiers islamisés... Le rapport choc sur les Frères musulmans qui veulent instaurer la charia en France

Interdiction du voile chez les moins de 15 ans, délit de communautarisme... Les propositions chocs d’Attal
 
INFO LE PARISIEN. Le Parisien s’est procuré les mesures que l’ex Premier ministre compte mettre en œuvre contre l’islamisme politique, s’il revient aux affaires.