Rien que les 99% du prix du paquet qui va direct dans les caisses de l'état, on a plutôt intérêt à avoir plein de fumeurs, c'est une bénédiction

NEW YORK (AFP) - Décédée au début du mois, Leona Helmsley, la magnat de l'immobilier qui était surnommée la "reine des avares", n'a pas failli à sa réputation même dans la mort en privant d'héritage deux de ses petits-enfants au profit... de son chien.
 
"Trouble" (ennuis), le bichon maltais de Leona Helmsley, doit recevoir 12 millions de dollars...

NEW YORK (AFP) - Décédée au début du mois, Leona Helmsley, la magnat de l'immobilier qui était surnommée la "reine des avares", n'a pas failli à sa réputation même dans la mort en privant d'héritage deux de ses petits-enfants au profit... de son chien.
 
"Trouble" (ennuis), le bichon maltais de Leona Helmsley, doit recevoir 12 millions de dollars, la plus grande partie de l'héritage de l'ancienne propriétaire d'un empire immobilier comprenant la gestion de l'Empire State Building à New York, selon le testament dévoilé mardi devant un tribunal new-yorkais.
 
A sa mort, le petit chien blanc et désormais millionnaire, devra être enterré auprès de sa maîtresse et de son mari, Harry, décédé en 1997.
 
Le frère de la défunte, qui a la garde de "Trouble" selon la volonté testamentaire, a reçu 10 millions de dollars. Deux petits-fils recevront chacun 5 millions de dollars mais à la condition d'aller se recueillir au moins une fois par an devant la tombe de leur père. Les deux autres petits-enfants ne recevront pas un cent "pour des raisons connues par eux", précise le testament.
 
Morte à l'âge de 87 ans, Leona Helmsley et son époux Harry dirigeaient un empire foncier d'une valeur de 4 milliards de dollars. En 1992, elle avait été condamnée à une peine de prison pour évasion fiscale. "Nous ne payons pas d'impôts. Il n'y a que les petites gens qui paient des impôts", se serait-elle vantée.

CINCINNATI - Victoria and Tim Lasita ont remis ça: ils sont parents de triplés pour la deuxième fois. Casey, Caden et Carson sont nés mercredi, quatre ans après leurs aînés, Jessica, Jillian and Brian.
 
Ils avaient envie d'en avoir "encore un", ils en ont eu trois de plus. "On aurait probablement du être plus précis, dire qu'on voulait un enfant de plus, pas un autre lot", a déclaré Victoria, 39 ans, après avoir à nouveau donné naissance à ses triplés à l'issue de 34 semaines de grossesse, sans avoir eu recours à aucun traitement de fertilité.
 
Selon le Dr Glen Hofmann, directeur médical du Centre Bethesda pour la santé reproductive et la fertilité à Cincinnati, en moyenne une femme sur 8.000 a des triplés conçus naturellement et une sur 64 millions réitère l'exploit...
 
Victoria Lasita a mis au monde Casey Alexander (1,88kg) à 13h57, Caden Bradley (2,2kg) deux secondes plus tard et Carson Charles (2,08kg) deux minutes plus tard. Les nourrissons mesurent environ 45 centimètres.
 
"Tout le monde semble aller bien", a affirmé le père, présent dans la salle d'accouchement pendant l'accouchement par césarienne qui a nécessité la mobilisation de pas moins de 18 membres du personnel médical.
 
La date du retour à la maison des triplés n'est pas encore connue, mais Jessica, Jillian and Brian, qui auront quatre ans en décembre, les y attendent de pied ferme.
 
La première série de trois était née après 28 semaines de grossesse, tous les bébés pesant tous moins de 1,36 kilogrammes à la naissance. Si les débuts ont été un peu difficiles, les enfants souffrant de problèmes pulmonaires, la mère des triplés affirme qu'aujourd'hui ils sont globalement en bonne santé.
 
D'après le couple, cette nouvelle "fournée" de triplés équivaut à changer 300 couches par semaine et faire 168 biberons...
 
"Vous prenez ce que Dieu vous donne, a déclaré Mme Lasita. "Il a décidé qu'on en était capables."
 
Les Lasita sont mariés depuis six ans. Et comme si leurs petits faits en commun ne suffisaient pas à les occuper, ils ont déjà trois enfants plus âgés de précédents mariages...
 
Une femme de New Brunswick, dans le New Jersey, avait donné naissance à une deuxième série de triplés conçus naturellement en mai 2006.
 
AP

FAIRBANKS, Alaska - Trop ivre pour prendre lui-même le volant, un habitant de l'Alaska a demandé à son fils de onze ans de conduire à sa place, selon un quotidien local.
 
Le garçon a été stoppé par la police jeudi soir après avoir été repéré en train de conduire dans le mauvais sens dans une rue à sens unique, au volant d'un camion Chevy de 1992.
 
Son père, Frank Neff, était ivre et avait demandé à son fils de les ramener à la maison, a expliqué la police au "Fairbanks Daily News-Miner". Il a été condamné à 15 jours de prison.
 
Il a raconté aux policiers qu'il enseignait la conduite à son fils depuis qu'il avait huit ans.  
 
AP

Pas de maillot moulant pour la photo de famille de l'Apec
AFP 03.09.07 | 10h38
 
Il est d'usage pour la photo annuelle du forum de l'Asie-Pacifique (Apec) que les dirigeants revêtent l'habit traditionnel du pays hôte. Mais pas question, cette semaine en Australie, d'enfiler un maillot de bain moulant, a affirmé le Premier ministre John Howard. "La seule tenue australienne que je veux écarter est (le maillot) Speedo et la paire de tongs", a déclaré lundi M. Howard. Le maillot Speedo et les tongs étant couramment portés dans les stations balnéaires australiennes, certains avaient suggéré cette tenue à M. Howard. Mais demander à ses invités, parmi lesquels le président américain George W. Bush, le président russe Vladimir Poutine, le président chinois Hu Jintao et la présidente philippine Gloria Arroyo de poser en maillot "ne serait pas très diplomatique", a-t-il estimé. Il n'a pas révélé quelle serait la tenue choisie. Au petit jeu des prédictions, le chapeau Akubra tient la corde: ce chapeau de feutre ressemblant au Stetson américain est typiquement porté dans le bush australien. Lors de précédents sommets de l'Apec, les dirigeants ont porté une étoffe batik en Indonésie (1994), un blouson d'aviateur au Canada (1997), un costume de cour en Chine (2001), une chemise de soie en Thaïlande (2003), un "chamanto" (couverture tissée) au Chili (2004), un "durumagi" (manteau de soie) en Corée du Sud (2005), un "ao dai" (tunique de soie et pantalon) au Vietnam (2006).

Aux Etats-Unis, un nouveau scandale de moeurs embarrasse les républicains
NEW YORK CORRESPONDANT
Ultraconservateur et puritain affiché, le sénateur de l'Idaho, Larry Craig, a démissionné. Il avait été arrêté en juin dans les toilettes d'un aéroport pour avoir fait des avances à un policier
 
Sénateur de l'Idaho depuis 1990, après avoir siégé à la Chambre des représentants durant huit ans, Larry Craig, 62 ans, a annoncé, samedi 1er septembre, sa démission du Sénat à la fin du mois, suite à ses aveux écrits reconnaissant une " conduite contraire aux bonnes moeurs ".
 
Le 11 juin, un policier était posté dans une des cabines des toilettes de l'aéroport de Minneapolis (Minnesota) pour " piéger " d'éventuels contrevenants à la moralité. Son voisin lui aurait alors " fait du pied " sous la paroi qui les séparait : une sollicitation homosexuelle explicite, selon le représentant de la loi. Celui-ci a immédiatement arrêté l'homme, qui s'est avéré être le sénateur. [...]