Reprise du message précédent :

 
avant ou après dévaluation
 
Lui quelque part il s'en fout, il a un pied a terre à Tahiti. Et si t'es résident fiscale là bas c'est 0 impots.

Fun fact : on est ni Taiwan ni Singapour.

Je ne vais pas à la piscine, ça me nique les yeux.

Les gros sont eux aussi des êtres humains tu sais

Deux pays qui n'ont pas choisi le socialisme on notera, ce qui leur a permis de transformer leurs trous à merde respectifs en économies modernes en quelques décennies.

On a tout pour être encore plus performant qu eux, mais bon mauvais esprit, manque de volonté politique, médiocratie, on voit le résultat.

Oui, on connait ta vision idéale du monde : un état policier au service de quelques nantis et qui fait filer doux les esclaves la populace.

Ok merci, du coup je suis pour l'abattage.

 
   
 
https://x.com/fmbreon/status/1999831358420447676?s=61

 
C'est bien. France grande, ouais. Mais continuons la recherche dans les autres énergies tout en continuant le nucléaire. Il faut garder le pays dans une atmosphère innovante.

Oui il est important de trouver de nouvelles façons de faire moins bien que le nucléaire.

 
Oui, laissons nos concurrents innover et ensuite dépendons d'eux, ça a très bien marché jusqu'à maintenant.

 
On peut demander aux PME françaises comme Total ou Engie qui ont bénéficié de l'ARENH pourquoi elles possèdent pas un ou deux EPR à coté de ceux de EDF  

C'est ce qu'on fait déjà en imposant des règlementations délirantes à nos entreprises.

Et même sans ça, pour le secteur concerné l'innovation ne peut pas être décorrélée de la politique énergétique. Tu ne peux pas espérer construire un écosystème de R&D et créer des vocations si l'état décide de flinguer tel ou tel truc.
Et donc pendant 20 ans on a eu une superbe politique de fermeture de réacteurs expérimentaux et d'objectifs 50% max de nucléaire pour ne pas faire que ça.
Je veux bien que jamere nous fasse le bilan des innovations et gains pour le pays.

C'est un état policier Taïwan ?

 
 
Taïwan étant la Chine, la réponse emble assez évidente, il suffit d'écouter (avec dévotion) la Sophia.

Un état facho, qui oppresse les pauvres communistes chinois, même.

C'est une démocratie multipartiste Singapour ?

Oui enfin faut pas exagérer.
Le chantier EPR a commencé y a quasi 20 ans, sans jamais être remis en cause malgré le fiasco économique, et pendant ce temps on a fermé en tout 1 seule centrale.
Et si y a eu volonté de laisser le nucléaire à 50%,  c'était pour développer les ENR, ce qui était de toute façon nécessaire.
Depuis 20 ans tous les partis au pouvoir ou proches d'y accéder ont suivi ça, donc si y a bien un truc où y a de la cohérence niveau politique française c'est bien là.
Donc franchement si on a pas d'entreprises qui innovent sur ces sujets (y compris ENR d'ailleurs) c'est pas là la raison.

Y a peut-être d'autres facteurs, comme le peu de financement pour la recherche de manière générale et surtout un risque très important d'instabilité fiscale qui limite les volontés d'investissement

 
La notion de croissance musculaire "artificielle" est vide de sens. Une croissance, c'est une croissance. Une fois le traitement stoppé, l’animal ne perd pas brusquement sa masse musculaire, mais sa croissance ralentit et revient à un rythme normal.
 

 
 
Je recopie le fil X d'explication d'un vétérinaire pour que tout le monde comprenne la politique sanitaire adoptée.
 
 
https://x.com/DrToudou/status/1999521943972676047
Alors la DNC, qu’est-ce que c’est ? C’est une maladie virale due à un Poxvirus. Pox, dans le jargon médical, ça veut dire pustule. Ça fait donc… des pustules. Une sorte de variole, quoi. Mais pas que. Le symptôme majoritaire reste des nodules cutanés extrêmement douloureux, associés à un état fébrile, une baisse d’état général et parfois la mort. Le gros problème reste quand même économique : chute de production et cuirs non valorisables.
 
C’est une maladie qui ne se soigne pas. Genre, absolument pas. Par pitié, ne croyez pas les toubibs rebouteux de comptoir qui vous vendent de l’ivermectine et des fleurs de Bach. Y a pas de traitement. Point.
 
Par ailleurs, il ne s’agit pas d’une zoonose. En gros, ça ne se transmet pas à l’homme. Pour autant, elle reste extrêmement grave : son impact économique est tel qu’elle est en passe de mettre à genoux la TOTALITÉ de l’élevage bovin français. Donc tuer des éleveurs.
 
Il est donc vital et urgent d’enrayer la propagation de cette maladie. Le problème, c’est que c’est pas un simple rhume, le machin. Vous vous rappelez du Covid et à quel point vous étiez perdus ? Eh bien là, c’est pire. 100 fois pire. Pour trois raisons :
 
1 : c’est une maladie vectorielle.
Pour qu’il y ait transmission, il faut inoculer le virus dans la vache, comme si on le lui injectait directement. Et dans la nature, ça se fait via les moustiques, les mouches ou les taons. Bref, des bestioles qui volent et qui piquent. Et c’est très relou, ça. Parce qu’un moustique, ça vole, loin, très loin. Et ça peut passer d’un élevage à l’autre, d’une commune à l’autre, et infecter tout le monde. En gros, tu auras beau faire toutes les quarantaines que tu veux, ça passera quand même. Ça pose également des problèmes en termes de détection. Si une vache est malade et que tu testes tout le troupeau à l’instant t, qui te dit que le moustique ne va pas piquer une vache négative deux jours plus tard ? Donc tester comme pendant le Covid : pas ouf.
 
2 : le temps d’incubation est long.
C’est le temps nécessaire entre l’infection et l’apparition des symptômes. Pour le Covid, par exemple, c’était 2-3 jours. Eh bien là, c’est plutôt 15 jours. Voire 28. Le virus a largement le temps de se balader avant qu’on s’en rende compte…
 
3 : la morbidité est variable.
C’est le nombre de malades sur la totalité des individus. Et il varie selon les sources. On parle beaucoup de 20-30 % actuellement, mais dans certains pays, on parle plutôt de 50 %, voire 90 % pour les territoires naïfs. Ce qui est très chiant, parce qu’aucune prédiction n’est possible. Si une bête est touchée, on n’a aucun outil statistique pour se dire que la voisine est porteuse ou non. C’est le flou, et on n’y peut strictement rien…
 
Les conséquences de ça, c’est que :
1 : les quarantaines et analyses sanguines ne servent strictement à rien ;
2 : la maladie évolue lentement et a le temps d’infecter tout le monde avant d’être visible ;
3 : on ne peut rien prédire.
 
Vous vous rappelez du Covid ? On nous a mis en quarantaine, on a testé, puis vacciné. Et ça a gueulé, fort, très fort. Et ça a quand même foutu le bordel. Eh bien là, avec ce que je viens de dire, c’est pas la même tisane. C’est pire. Mais pas insurmontable. Comme très souvent dans ce genre de situation, les solutions viennent d’une association de plusieurs mesures. Ici, on parle de deux choses : l’abattage des troupeaux infectés et la vaccination.
 
Pourquoi l’abattage ?
 
Parce qu’on l’a vu : quand une vache présente les symptômes, il est déjà trop tard. On ne sait pas si les copines à côté sont porteuses ou non, ou même si elles le seront dans dix jours. Et faire de l’abattage partiel, c’est repousser le problème à plus tard. Et pendant ce temps, les mouches vont bien s’amuser, passer d’une vache à l’autre, puis d’un élevage à l’autre, puis une commune, puis une région… Ainsi, réduire les potentielles sources d’infection est une urgence absolue.
 
C’est mathématique. Moins il y a de vaches infectées ou potentiellement porteuses, moins le facteur de contamination est grand et moins le nombre de bêtes touchées est important. C’est une course contre la montre à trois ou quatre inconnues…
 
À quoi sert donc la vaccination ?
 
Elle arrive en complément de l’abattage. Un élevage est touché, on bloque tout le monde dans un périmètre de sécurité autour. Dans ce périmètre, on vaccine. Ainsi, si et seulement si la maladie n’a pas visité les voisins, ça les protège. On crée ainsi un cordon sanitaire autour de l’élevage impacté, freinant la propagation et nous offrant un peu plus de temps pour mettre en place des mesures au niveau national. Parce qu’on ne l’oublie pas : il y a le feu.
 
La vaccination à l’échelle nationale, elle, est impossible à l’heure actuelle. Il faut absolument préserver les doses et les moyens humains pour contenir la maladie aux seules zones touchées. En gros, on veut gagner un maximum de temps.
 
Ainsi, ma conclusion ne va très clairement pas vous plaire, parce qu’elle est radicale. Oui, l’abattage total des troupeaux infectés est une mesure urgente et nécessaire.  
C’est ainsi. L’histoire de l’épidémiologie vétérinaire est constituée presque constamment de sacrifices. Mon grand-père a connu la brucellose, puis la tuberculose. Plus récemment, il y a eu l’ESB, puis la fièvre aphteuse ou encore la grippe aviaire.
 
L’émotion est forte, je le concède, et je n’ose imaginer la détresse des éleveurs touchés. Mais il faut bien se rendre compte qu’une telle décision ne se prend pas d’un claquement de doigts par un stagiaire du ministère pour des raisons obscures. C’est le fruit du travail de nombreux spécialistes, de nombreuses études de cas et la réponse à une question morale : doit-on prendre le risque de perdre des millions de bovins et leurs éleveurs pour en sauver quelques centaines ?  
 
Bien évidemment, je tiens à apporter mon soutien sans faille et ma compassion la plus profonde aux éleveurs touchés. Votre sacrifice et votre dignité honorent votre profession, qui, je l’espère, s’en rendra compte en temps voulu. Je tiens également à apporter mon soutien et mon affection à mes confrères et consœurs qui ont la lourde tâche d’effectuer un des actes les plus difficiles qu’il nous est donné de faire, le tout en étant insultés et en emportant les images dans leurs têtes.

 
source tkt

Visiblement la tienne se rapproche de Louis Boyard et ses potes, un mélange de Mexique dans les coins tenus par les cartels et du Bangladesh pour le côté poubelle à ciel ouvert.

Il y a plusieurs partis oui. C'est à mi chemin entre démocratie et régime autoritaire.

Merci pour le partage

C'est ce que je disais hier, comme quoi avec mon air con et ma vue basse, j'ai encore une bonne analyse de la situation.

On laisserait faire les paysans, dans 2 ans on se retrouve avec tous les éleveurs en train de foutre le feu partout pour réclamer des indemnités parce qu'ils ont tout perdu. Avec Nicolas qui devra payer.

Le modèle de Zad quoi. Moi j'en veux pas, je préfère vivre dans un pays où on peut faire à peu près ce que l'on veut. Sans vivre entassés comme là-bas.

Ouai c'est cool les grafitis, les TECs où tu manques de te faite violer, les centre villes où personne n'ose mettre le pied le soleil couché, les rues pleines de mégots et chewing gum....

Fait une pause sur cnews fréro t'es en surchauffe lô.

Merci bien

Moi aussi mais je préférerai qu'on travaille plus et qu'on ait plus de fric.

Les conditions de vie là-bas n'envoie quand même pas du rêve. Je préfère mon mode de vie à la française. Pas certain non plus que tu tiendrais plusieurs mois avec un  tel régime.

Ce que je recherche est un confort de vie. Il ne passe pas par une accumulation d'argent ni de travail, au contraire.

J'en connais qui ont essayé Singapour... ils ont eu des problèmes .

Il faut juste comprendre le fonctionnement des hormones de croissance. Par exemple, il arrive qu'on traite les enfants ayant des retard de croissance avec l'hormone de croissance recombinante humaine, (rhGH). C'est exactement le même principe que pour les bovins. Le traitement dure jusqu’à la fin de la croissance osseuse (entre 16 et 21 ans, disons), et à la fin on a un gaillard plus costaud.

On ne s'attend pas à ce qu'une fois atteint l'âge adulte, l'individu redevienne un nain parce qu'on arrête le traitement. C'est complètement débile en fait.

C'est tout aussi débile appliqué à un bovin.

Sauf dans de très rares exceptions, on ne mange pas des enfants. Les hormones de croissance sont juste là pour engraisser plus rapidement l'animal pour pouvoir le vendre plus rapidement en ayant dépensé le moins possible. Comme d'habitude, c'est une histoire de fric.

 
J'ai du mal à comprendre ce passage, on considère que le risque/profit n'est pas assez bon pour vacciner préventivement ? Trop cher, pas assez de doses ou mauvais pour l'alimentation ?
 
Parce qu'avec une maladie connue, dangereuse pour les élevages et un vaccin disponible, je dois certainement rater un truc.

"préserver les doses" = pas assez de doses pour tous les bovins.

 
Merci de ton éclairage illuminé, la question était surtout pourquoi pas plus de vaccins ne sont produits et injectés préventivement ?

Comment dire...

Elever des animaux est un métier. Un métier, ça sert à gagner de l'argent. Absolument tous les métiers sont une histoire de fric.

Donc oui, absolument, les hormones de croissance sont là pour engraisser plus rapidement l'animal pour pouvoir le vendre plus rapidement en ayant dépensé le moins possible. Rajoutons que ça permet de booster la production laitière.

Et dans la mesure où, de façon scientifiquement très bien étayée, ça ne change rien à la qualité de la viande ou du lait produit par l'animal, je ne vois pas très bien pour ma part sur quelle base on l'interdit.  

Quel est le rapport entre Singapour et Cnews (que je n'ai jamais regardé en dehors d'extraits sur les RS)  ?

 
J'ai demandé à Mixtral    
 
Un million de doses ont déjà été administrées depuis l’été 2025, mais la demande dépasse largement l’offre disponible, notamment en raison de l’extension rapide des zones réglementées et de la dégradation de la situation sanitaire  
 
La production de vaccins (et je rajoute : l'effectif des vétérinaires ?) ne peut pas suivre le rythme de l’épidémie : vacciner l’ensemble du cheptel français (15 millions de bovins) prendrait 30 à 40 semaines selon les estimations, ce qui est incompatible avec l’urgence sanitaire.
 
Et se rajoute à ça une crainte pour les exportations : une vaccination massive remettrait en cause le statut « indemne » de la France, ce qui pourrait bloquer les exportations de bovins vivants vers des pays comme l’Italie ou la Suisse, premiers clients de la France.