Reprise du message précédent :
Me parle pas de disparité des températures, on caille aujourd'hui et on a cuit hier

C'est une fourchette autour de la moyenne saisonnière, +/- l'écart type

 
en ce moment, il faut sortir couvert

Lu dans une revue scientifique (je sais plus laquelle) :
un F/A-18 Hornet (avion de chasse) prend au cours de sa carrière opérationnelle 25grammes/jour, soit 9kgs/an J'arrive pas à comprendre comment c'est possible, poussières s'accumulant ? humidité ? oxydation ?  
 
edit : une video de l'appareil en question, avec un passage en vol quasi stationnaire bluffant
http://www.d0wn.com/article.php?sid=482

25g * 365j = 9 kg/an
 
(j'imagine que ça s'accumule pas, en plus ... crasse aspirée dans les réacteurs ?)

corrigé

c'est le pilote qui grossi peut etre.

Ca s'accumule, la revue indique que durant toute sa vie opérationnelle, l'avion prend plusieurs centaines de kilos

Une partie de cette prise de poids doit être due à l'accumulation des suies sur l'échappement des réacteurs je pense, ainsi que sur les bouches des canons.

Les miettes que fait le pilote en mangeant ?

le pilote peut pas se retenir (G, combinaison antiG, sphincter toussa), alors il fait caca dans son cokpit, à force, ça pèse

Question résolution de TALC : Savez-vous pourquoi, dans l'argot, il semble y avoir souvent une corrélation entre les mots désignant le sexe féminin et ceux désignant la chance ?
Par exemple : moule et chatte. "Il a de la chatte", "gros coup de moule"...

Même corrélation pour certains mots d'argots locaux, comme la "chagate" (je ne sais pas d'où ça vient à la base), qui dans ma paysannie désigne également les deux.

Serait-ce parce que l'argot est développé par des GSNALFs (qui n'ont donc rien de mieux à faire), qui associent le contact avec un piloupilou à un coup de chance inespéré ?

Si vous avez des explications

Ca vient du vocabulaire des poissonniers, à la base.

C'est sans doute a cause de tous les G encaissés par l'appareil au cours de sa vie, faut bien les stocker qqpart

   
1 G par ci, 1 G par là..forcément ça finit par peser tous ces G

 
La chagate ?

 
Je m'autoréponds pour rajouter que dans le même registre, on dit aussi "avoir du cul"... Le mystère s'épaissit

Tu noteras également qu'une bonne partie des insultes a une connotation sexuelle  

 
J'ai trouvé ça qui m'a l'air pas mal
 

 
http://quebechisme.blog.com/290554/

Les insultes une connotation sexuelle en général ouais, mais la chance, spécifiquement correlée au sexe féminin, ya sûrement une bonne raison assez particulière

 
Ok, donc la moule ça doit être pareil mais pour les marins ou sous-mariniers

OK j'explique.
 
Chacun sait que le métier de marin pêcheur est un rude labeur. Des fois on rentre au port avec dans ses casiers pas grand'chose. Aussi, chaque fois qu'ils revenaient à terre vendre le coquillage poisson ou crustacé à la criée, les gars du port hurlaient au marin "Qu'est-ce tu ramènes Marcel ?" et l'homme de la mer de répondre le plus souvent "Rien, que dalle, nippe, peau d'zobe" car ça mord peu (et de moins en moins, selon un rapport de Greenpeace). Aussi, souvent, pour ne pas perdre la face, le capitaine rapportait malgré tout dans ses filets quelque menu fretin, mollusque ou alevins, histoire de dire qu'il n'avait pas chômé.
C'est ainsi que souvent, par ironie, le marin répondait "Aujourd'hui j'ai eu de la moule" pour dire qu'il était bredouille. Et si vraiment il n'y avait que du poisson de basse qualité, à peine digne de servir de repas aux matous du port, par ellipse il répondait "J'ai de la [bouffe pour la] chatte".
Ce à quoi les hommes du port acquiesçaient, tout en invitant le loup de mer à débarquer, par un cri devenu fameux : "Au quai !"
Sauf dans l'hémisphère sud.
 
Pour "la chagat[t]e", c'est propre au Midi, où les mareyeurs avaient coutume, en cas de retour bredouille et par imitation de leurs collègues boulistes, de devoir embrasser les fesses de la tenancière du troquet local, qui à l'époque s'appelait Agathe. "Qu'apportes-tu donc ? - Rien ! - OK, lèche Agathe !" qui donna naissance au "La chagatte", là encore. Et par la suite, à l'expression ironique "Aujourd'hui j'ai du cul"

 
Enorme    
 

 
+1    
surtout qu'ils sont regulièrement demonté/nettoyé/entretenu...  

 
oui, et quand il fait un looping, il en met plein le cockpit, on appelle ça le voile brun

Merde, je bosse moi, si tu pouvais éviter de me faire éclater de rire en plein bureau

 
Autant pour toi, troquet vient de l'américain, pendant la seconde guerre mondiale, quand une escadrille revenait avec 30 morts, pour pas trop fêter ça, ils allaient se finir dans un bar plutôt pourri, ce qui n'était, soit dit en passant pas difficile à trouver à cette période de l'année dans l'enfer du sud est asiatique.
 
Renseigne toi la prochaine fois.

TROQUET, subst. masc.
Pop., fam.
A. Vieilli. Marchand de vin au détail, cabaretier, patron de café. Synon. bougnat, cafetier, mastroquet (v. ce mot A). On casserait une pure croûte chez un troquet (VERLAINE, Corresp., t. 3, 1887, p. 24). Les employés de l'Assistance publique voient sur le trottoir du quai de Gesvres la fille qui vient de toucher rejoindre son souteneur, lui verser l'argent et tous deux vont chez le troquet du coin célébrer cette petite fête (BARRÈS, Cahiers, t. 9, 1911, p. 186).
B. P. méton., mod. Petit débit de boissons. Synon. bistrot, bistroquet, mastroquet (v. ce mot B). Je voudrais du vin à douze sous le litre. (...) Par ici, ma petite fille. Nous irons en boire tous les deux, tous les deux seuls, accoudés sur le zinc du troquet, filou mais cordial, de l'avenue Trudaine (COLETTE, Cl. s'en va, 1903, p. 67). On a fait cette nuit-là (...) tous les troquets du bourg (...) ça me paraissait original, cette nouba tête à tête avec cet inconnu gentil (GENEVOIX, Assassin, 1948, p. 154).
 
On peut te retourner le compliment  

 
On peut également voir que Verlaine utilisait le mot PURE pour caractériser une chose.
De là, on peut faire un cross-topic avec celui des TALMMQER    

 
Ok, tout le monde peut se tromper, hein

Ben tu te fous d'Obsy en lui demandant avec condescendance de se renseigner à propos d'un truc sur lequel tu te goures complètement, t'es assez gonflé de mal prendre qu'on te réponde sur le même mode.

D'autant plus que même si t'avais eu raison, je vois pas en quoi le fait que ça vienne des américains rendrait con de dire que ce mot est utilisé à Paris et pas à Marseille

TALC : Le Couscous Garbit, ça peut etre dangereux  
 

°                                          °
                                           /\
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                                       Celui-là
 

 
Tiens, marrant, y'a un article dans Le Tigre de ce mois-ci

Du couscous    
 
En taule les terroristes!!!!!!!

ou pour des chtis n'enfants
 

 
Blague des sous-doués ça.    

Très con, mais très utile pour sauver une vie
 

Avec le titre adéquat