Oui mais quand tu proposes à ces gens les actions plutôt que les diamants, ils disent que les actions c'est trop risqué.
Vu régulièrement autour de moi, notamment au boulot avec le collègue qui avait "investi" dans les manuscrits.
Je vous invite à faire le test quand ça parle pognon

Pas un TRI (annualisé c'est implicite) sur YTD mais sur durée totale, enfin c'est que je comprends. L'intérêt c'est de savoir depuis que tu as commencé, de combien tes investissements ont performé en moyenne annualisée.

au boulot dès que je parle PEE et non imposition on me regarde avec de gros yeux alors les diamants....

France Telecom aussi, y'a quelques valeurs qui avaient fait fureur à leur sortie et qui ont refroidi des générations d'épargnants.

 
 
Moi tous les mois avec mon fichier Excel.
1 colonne par mois. 1 produit par ligne.

Oui.
Je compte ce qui tombe dans ma poche.
Mon salaire je compte le virement sur mon CC, pas le brut.

changement d'ISIN parti au LUX.
filtre sur le topic une alternative a été proposée.

Question conne (:o) je suis le seul a ne pas réussir à me connecter à Wesave ?  

La finbox ça marche avec tout le monde ? (ou autrement dit, avec qui ça merde ?

Comme promis hier soir, petit topo sur pourquoi IL NE FAUT PAS investir en SCPI actuellement.

- Les frais afférents (6 à 10% de "droits d'entrée", 10 à 12% de commission de société de gestion sur les loyers bruts, commissions sur achats/ventes/travaux des immeubles...) sont scandaleusement élevés eu égard aux rendements proposés. Les SCPI, c'est le paradis des commissions et rétrocommissions, et par conséquent un PRODUIT qu'on vous VEND, pas un investissement

- Les SCPI sont transparentes fiscalement. Cela signifie qu'en possession en direct, les investisseurs sont imposés sur le résultat fiscal de la SCPI, et non sur les distributions. Cela n'a rien d'anecdotique : la SCPI peut devoir reconnaître fiscalement un certain nombre de charges et produits comptables, qui, sur une année, peuvent changer la donne par rapport aux distributions. Si le résultat fiscal est supérieur aux distributions, l'investisseur va payer des impôts supplémentaires, sans aucune assurance qu'il récupèrera un jour la différence (soit il sera sorti avant, soit la différence ne peut être reconnue qu'à la liquidation du patrimoine, par exemple)

- Les SCPI sont un produit financier dont le prix est déterminé par le management (la société de gestion). Relisez bien cette phrase 2 fois. Et maintenant reliez au point 1 sur le % de "droits d'entrée" qui sont acquis à la société de gestion, non à la SCPI.

- 1ère conséquence, ces produits sont foncièrement illiquides, puisque l'ajustement par le prix n'est pas possible. Si le marché secondaire se tarit, les parts de SCPI sont invendables. Et que ceux qui se croient protégés par leur acquisition via assurance-vie relisent bien leurs conditions générales ou leurs avenants.

- 2ème conséquence, les intérêts du management (la société de gestion) et des actionnaires sont divergents. Outre les "droits d'entrée" qui leur sont acquis, les sociétés de gestion se rémunèrent sur les loyers bruts, pas sur le résultat. Le risque est donc nul pour elles, tout est supporté par l'investisseur.

- Corollaire des points ci-dessus, en-dehors des SCPI gérées et commercialisées par de grandes banques (Elysées Pierre HSBC, Génépierre SG, Investipierre BNP, Edissimmo CA via Amundi), les sociétés de gestion n'ont ni l'assise financière ni le risque réputationnel qui permettraient de "bail out" les particuliers en cas de retournement brutal du marché. Il ne restera donc aux investisseurs que leurs yeux pour pleurer.

- Dernier point, la presse grand public en parle depuis 18 mois, et le terme percole autour des machines à café (pun intended), vu que "l'immobilier, c'est du solide". Beaucoup d'argent se dirige donc vers les SCPI, sans que le marché puisse l'absorber, avec les conséquences suivantes :

soit la SCPI est à capital fermé, les acheteurs sont donc bien plus nombreux que les vendeurs, et elle est inaccessible ;

soit la SCPI est à capital variable (cas le plus fréquent), et l'afflux d'argent ou dilue tout le monde ((en premier chef les investisseurs existants) : mêmes revenus, plus de parts, ou amène à acheter des biens à tout prix pour limiter la dilution. Et pendant ce temps, la société de gestion continue d'encaisser les droits d'entrée et la com sur les loyers. Pour dire, mon père (75 ans aux fraises, a bien évidemment perdu quelques dizaines de milliers de francs avec l'IPO de France Télécom et probablement avec Eurodisney et Eurotunnel aussi) m'en a parlé comme alternative à son fonds euro AFER. J'ai vite calmé l'idée.

Rappel dans le respect.  

Hello les frers !  
 
Que pensez vous de ma répartition ?  
https://image.noelshack.com/fichier [...] -titre.png
 
Je suis en train de loucher tous les mois sur la partie long terme, pour que cela finisse par représenter 50%.
Quand j'aurai terminé mon DCA, je souhaite voir 25% sur court terme, 25% sur moyen terme et 50% sur LT.

Merci frer.

Excellent post (que j'avais raté à l'époque). On devrait éditer les paroles de ce monsieur et en faire un livre sacré.

Mais deux énormes avantages pour le grand public :

- C'est l'immo, man
- C'est pas de la bourse donc pas du casino

Et puis on reçoit par les PTT des jolis photos d'immeubles.

bourso vie € exclu fait mieux pour le court terme

Parce que j'aime la Fronsse et que j'aime bien la plupart des mes collègues et que ça me fait mal de les voir décomposer leur pognon avec des AV en BeD à 1 % par an

 
Oui, je sais, mais étant un indé, j'ai vraiment besoin d'avoir du salaire déblocable de suite.
 
Surtout qu'une période d'inactivité dans mon domaine pourrait coincider avec une crise de confiance, et donc une AV sapinée.

 
Je fais une photo mensuelle de mon patrimoine, pour voir s'il prend bien la bonne direction.
En février il n'a progressé que de 800€ à cause de la baisse des actions, bof, sous 1k par mois je suis déçu.
 
Et je mesure le % actions. Pour rééquilibrer si nécessaire et revenir sur mon budget cible.
 
Indispensable.  
 

https://www.bloomberg.com/news/feat [...] s-multiply
 
“There’s an ever-present incentive to betray your client’s interest.”
 
“Some firms ‘specialize’ in misconduct and attract unsophisticated customers,” the researchers write.
 
More astute investors aren’t entirely at the mercy of advisers. Certain products are so expensive and so typically underperform that their mere presence in your portfolio can suggest you’re getting bad advice.  
 
Non-traded REITs charge, on average, upfront fees of 13.2 percent, while delivering returns about half those of traded REITs, which are also much easier to buy and sell.

Parce que j'aime la Fronsse   et que j'aime bien la plupart des mes collègues et que ça me fait mal de les voir décomposer leur pognon avec des AV en BeD à 1 % par an    
#empathie #solidarité #GarsSympa    

https://www.paref-gestion.com/pdf/r [...] 3-2018.pdf
 
Novapierre 1 augmente le prix de sa part
Pour les snipers de l'immo-jeu.

Quels produits t'ont rapporté 800€ en février si c'est pas la partie risquée ?
Fonds €, PEL... ?

Tu fais la photo aussi sur ce type de produits qui "n'évolue" pas sauf au 1er janvier quand les intérêts tombent ?