Reprise du message précédent :

nan mais nan quoi certes celui ci c'etait pas le moins pire, mais de loin, celui avec le meilleur touché, c le uhlsport, celui des années où guy roux allait les chercher en tribunes    
le genre de balle, qd tu la prend bien, un coup de vent va pas faire devier la trajectoire, pas comme ces balles en mousse qu'on nous sert depuis 10ans

 
de toute facon un ballon match adidas c'est 100€ mini (en district on joues avec des ballons a 30/40 € , pas riches   )
 
le replica adidas actuel n'a rien avoir avec le ballon officiel au niveau decoupe (c'est une decoupe normale)

le Europass (officiel, pas le Replica ) est vraiment pas mal
avec une matière + agrippante, même sous la pluie.
 
Bref à première vue il a pas l'air dégueu et ne semble pas s'envoler comme un vulgaire ballon de plage
à confirmer biensûr ..

ah ben j'achetais peut etre le replica... mais je me rappelle qu'ils coutaient 99 francs.

 
Donc des ballons Uhlsport à Marseille et Djibril finit meilleur buteur ?

 
Le gardien que j'étais ne peut que s'indigner face à de tels propos
 
Au niveau des ballons officiels, c'est le fevernova qui a lancé la mode des ballons de plage Et le Roteiro, c'était encore pire
 
J'ai pas testé les replicas de ces 2 là par contre.

 
J'serais toi j'investirais dans l'officiel .. il est certes horriblement cher, mais là différence de qualité est flagrante

j'ai un truc comme ca (tres ressemnlant)
 

 
bien meilleur qu'un nike ou adidas
 

euh je te parle de ca il y a une bonne 10aine d'année voire plus hein.

 
Au temps pour moi j'ai lu "j'acheterai" au lieu du "j'achetais"  

a mon niveau, c'est pas le ballon qui fait la différence
 
mon image de bon ballon, c'est le vieux compagnon fidèle tellement usé que t'arrives plus à lire quoique ce soit dessus, mais dont toutes les coutures tiennent encore....
 
et correctement gonflé avec un bon petit poids, sans pour autant déclencher un trauma cranien à chaque reprise de la tête
 

Tu as testé les arrets mains opposés avec les 2 ballons ?  

 
j'avais le modele gris , quelle resistance au goudron exeptionnelle , tu le degonflais un petit poil et tu prenais ton pied en 5/5

 
 
il y a pas longtemps dans un magasin d'usine nike j'avais vu l'officiel championnat d'espagne pour 30 €

Une étiquette, ça se change Il suffit d'aller à une caisse avec une meuf et ça passe sans souci. Un peu comme les paires de gants quoi ²

Je ne fais que rarement des arrêts main opposée
 
Par contre, j'ai pris des missiles de 30 mètres qui changeaient 8 fois de direction avec les 2
 

T'as regardé d'où était parti mon super débat sur les ballons ?

D'une frappe qui flotte et qui change de direction quand t'éternues à 10 mètres
Et quel est le ballon incriminé ? Le ballon Nike dont tu parles

Donc, 30 € pour ça, c'est de la sodo-enculerie des fesses

Captain Tsubasa is real \o/

Le Uhlsport c'était l'inverse de tous les autres, il était trop lourd.

Ben, franchement, c'est le seul truc moyennement légal que je faisais, mais quand, en - de 15 ou - de 17, il fallait lâcher 2 paires de gants à 45 € pour tenir la saison, ça piquait un peu les fesses quoi

Olive et TOM    
Ne soit pas honteux    

En revanche, Genzo Wakabayashi, j'ai essayé, mais faut être 'achement souple

 
toi, si    

Bof, ca sonnait mieux comme ca  

Mouais, je veux bien te croire, d'autant que j'ai mis que j'étais pas sûr. Mais j'aime bien quand le ballon part tout seul après une frappe ridicule.  
 

edité  

Mon top 3 "Ballon" :
 
1 - Ulhsport (à l'ancienne), lourd c'est bien, lourd c'est mieux ©

 
2 - Nike "Ronaldinho 10" (en vieux cuir) à la fois lourd mais avec une possibilité de prise d'effet défiant toute concurrence, la Rolls des ballons de street. Mon ballon actuel, increvable, un ballon pour le dribble et la frappe. Annihilateur de goalkeapers.
 
3 - Roteiro, rayon de courbure qui défie le continium espace-temps, une merveille pour les joueurs qui, comme moi, utilisent davantage l'inter et l'exter plutôt que le coup de pied.

Championnat d'Apertura argentin - 18ème Journée ( + matchs avancés pour le titre) :
 

Historique : Lanus champion
 
Pendant ce temps au Parc des Princes...
 

 
 
Matchs avancés (Fecha 19) :
 
 
Pour cause de mondial des clubs, la lutte pour le titre a été avancée.
 
Tigre 2 - 1 Boca Juniors
Highlights (3:15)
 
Si el matador avait encore la possibilité d'aller chercher Lanus, les choses paraissaient difficiles pour les xeneizes qui devaient s'imposer et espérer un faux pas du leader grenat pour s'offrir une finale à la Bombonera. Le hommes de Cagna restent sur une victoire au bout du temps additionnel face à la lanterne rouge. Les bosteros ont, eux, trébuché trois jours auparavant, sur le terrain de l'Arsenal de Sarandi.
 
La partie part sur les chapeaux de roue. Après que Lazzaro et Ibarra eurent chauffé les gardiens (respectivement Caranta et Islas), les P/P entrent en action. Sur un centre de l'uruguayen Alvaro Gonzalez, Santiago Moreno, le défenseur droit d'el matador, se troue. Le ballon profite à Palacio qui remise de la tête à Palermo. Le capitaine boquista signe son 12ème but de la saison (1-0, 7ème). Banega s'essaie sur coup-franc, Islas repousse. Vargas oblige le portier de Tigre à une parade de classe mondiale. Après avoir laissé passer l'orage, el matador se crée une énorme occasion par Ereros dont la tête est repoussée sur la ligne par Battaglia. A la mi-temps, Boca mène au Monumental de Victoria.
 

 
Tigre revient du vestiaire avec de meilleures intentions, Rusculleda oblige Caranta à se coucher. Ereros, à bout portant, allume le gardien boquista. L'équipe de Miguel Angel Russo souffre mais tient le choc. Alors qu'on arrive à la moitié de la seconde période, la réussite va changer de camp. Ereros centre pour Morel, la tête du milieu gauche trouve le poteau. Le ballon revient sur Leandro Lazzaro Liuni, l'homme providentiel. Ce dernier égalise de la teub façon Pippo Inzaghi (1-1, 70ème). Les joueurs de Cagna se mettent à croire en leur étoile et continuent de plus belle à dominer les débats. Sur un une-deux Morel - Lazzaro, le milieu gauche des matadors croise sa frappe, hors de portée de l'excellent portier bosteros (2-1, 76ème). Battaglia, de plus de 30 mètres, tente de tromper la vigilance d'un Daniel Islas irréprochable sur sa ligne. Boca ne marquera pas.
 

 
Avec cette défaite, Boca perd tout espoir pour le titre, ce qui n'est pas le cas d'el matador qui doit compter sur des circonstances favorables (victoire à la Paternal, défaite des grenats à la Bombonera) pour arracher un match d'appui. Pour se consoler, le peuple xeneize peut se gargariser d'avoir recruté l'enfant prodige Juan Roman Riquelme.
 
 
Lanus 4 - 0 Gimnasia La Plata
Les buts (3:28)
 
A ciudad de Lanus, la pépinière de talents (Valeri, Pelletieri, Blanco) de Cabrero, leader d'Apertura, recevait el lobo de Renato Civelli, un mal classé. Le résultat Tigre - Boca, connu peu avant, faisait que, quoi qu'il arrive, les grenats ne seraient pas champions à l'issue de ce match.
 
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les grenats ont déroulé face à une pâle équipe du Gimnasia. Les hommes de Cabrero ont joint le résultat à la manière, lavant ainsi tous les doutes quand à un éventuel fléchissement dans les ultimes journées.
 
Deuxième meilleur buteur du championnat, José Sand ouvre la marque d'une tête plongeante hors de portée de Cristian Cejas. Le centre est signé Sebastian Blanco (1-0, 35ème). L'avant-centre de Lanus marque même un doublé en début de seconde période. Sur un coup-franc de Valeri, Cejas renvoie des poings loin devant, Blanco remet dans le paquet de la tête. En bon roublard des surfaces, Sand profite du mauvais alignement de la défense d'el lobo pour se présenter seul face au portier et frapper en force sous la barre (2-0, 51ème). Le buteur grenat célèbre son but dans une allégresse que seuls les stades argentins savent offrir. Quelques minutes plus tard, Acosta réalise un festival dans la défense d'el lobo (entre Landa et Dominguez), Cejas sort sa frappe mais Diego Valeri qui a bien suivi manque le troisième but (3-0, 57ème). Entré en lieu et place du défenseur gauche Velazquez , Nelson Benitez, décalé par José Sand, participe lui aussi à la fête. D'une frappe croisée à ras de terre, le jeune défenseur grenat marque le quatrième et dernier but (4-0, 86ème).  
 
Avec cette victoire facile, l'équipe de Cabrero n'a pas trébuché sur l'antépénultième marche, s'assurant quasiment le titre de champion. Il ne faut plus qu'un point aux grenats pour inscrire une première ligne à leur palmarès national.  
 
 
Fecha 18 :
 
 
Tous les buts
 
Le showboat argentin : Ranking Lirico (Le prochain championnat sera rythmé par ce classement également)
 
Pour cause de finale de Copa Nissan SudAmericana, le match Gimnasia La Plata - Arsenal a été reporté.
 
Boca Juniors 1 - 1 Lanus
Les buts + la fête du sacre (8:08)
 
La tête déjà au Japon, Boca a fait tourner son effectif pour ce match. Ibarra et Battaglia, notamment, ne sont même pas sur la feuille de match. Une occasion de voir la classe biberon à l'oeuvre. L'objectif est clair, gagner pour que Lanus ne fête pas son titre sur le terrain de la Bombonera. La condition est suffisante mais pas nécessaire puisque même une défaite ne serait pas rédhibitoire si Tigre ne s'impose pas sur le terrain de l'Argentinos. C'est donc confiant que les grenats se déplacent à La Boca : un point suffit aux hommes de Cabrero.
 

 
Les grenats ouvrent la marque par José Sand sur un corner de Valeri. Le buteur grenat place sa tête, son 15ème but de la saison (0-1, 38ème). Plus gros transfert de l'histoire du club l'été dernier (1,5 M€), l'ancien buteur de Colon réalise sa saison la plus aboutie, Cabrero a eu le nez creux.
A la mi-temps, la communion est totale. 50% du chemin effectué. Le but de l'Argentinos libère encore davantage le public grenat qui désormais sait que son équipe ne sera pas rejointe. Le banc grenat est électrique, l'envie de voir la partie se finir, l'excitation de pouvoir fêter un titre inédit. Le but encaissé par capitaine Bossio ne sera finalement qu'anecdotique (Palermo, 1-1, 67ème).
 
 
 
Boca réduit à 10 (exclusion de Vargas), n'a jamais eu vraiment la possibilité de remporter ce match. Félicitations à Lanus, son Trapattoni local, son centre de formation dont est sortie la majorité de cet effectif de champions... En 93 années d'existence, le Club Atletico de Lanus n'avait jamais été sacré, s'en était parfois approché, c'est désormais chose faite. Les grenats n'ont pas dépendu des autres, seront allés jusqu'au bout d'eux-même pour remporter finalement assez logiquement cette Apertura : le pillage va désormais commencer...
 
 
Rétrospective : Boca au Japon - C'est un beau roman... c'est une belle histoire...
 
Depuis 2000, Boca a été 2 fois sur le toit du monde, les xeneizes sont la seule équipe dans ce cas-là. L'édition 2007 du Mondial des clubs (Coupe intercontinentale avec un premier tour en somme) est spéciale puisqu'elle verra probablement son vainqueur devenir le club le plus titré à l'échelle mondiale ; Milan et Boca l'ayant été 3 fois déjà.
 

 
Japon 2003 - Boca vs Milan AC
Japon 2000 - Boca vs Real Madrid
 
 
Argentinos Jr 1 - 0 Tigre
Highlights (6:17)
 
Face à des bichos souverains au stade Diego Armando Maradona, el matador devait réaliser un exploit pour espérer encore un match d'appui pour le titre. La mission n'effraie pourtant pas les hommes de Diego Cagna. Formé à La Paternal, comme beaucoup de grands joueurs argentins, le coach de Tigre ne devait pas faire de sentiments.
 
Crispés, les joueurs de Tigre ont du mal à poser leur jeu, un déchet inhabituel pour l'une des équipes les plus plaisantes à voir jouer de toute la Primera. Ereros rate le cadre. Lazzaro n'appuie pas suffisamment sa frappe pour tromper Nicolas Navarro. Tigre domine mais el matador ne marque pas. L'Argentinos se montre dangereux sur sa première véritable occasion. Martin Cabrera profite d'une erreur de la défense pour se retrouver seul face à Islas. La frappe est croisée trop mollement et Alexis Ferrero parvenant à dégager en catastrophe. Sur le renvoi, le défenseur droit bichos Escudero frappe le dessus de la transversale. Chaude alerte sur les buts d'Islas. Lazzaro Liuni, l'habituel messie de Tigre n'est pas dans un grand soir. Le buteur des matadors rate le cadre en duel avec Navarro. Alors qu'ils viennent d'apprendre l'ouverture du score à la Bombonera, les hommes de Diego Cagna se créent la plus grosse occasion de la première période, le défenseur Blengio se retrouve seul face à Navarro et frappe sur le poteau.
 
Le début de seconde période est totalement à l'avantage des bichos, Islas doit s'employer mais il ne peut rien sur la frappe de Delorte quelques instants plus tard. Heureusement pour lui, le poteau est là, la maladresse de Delorte faisant le reste sur le second ballon. En contre, Ereros bute sur le portier de l'équipe de Gorosito. Tournant du match : le capitaine de Tigre, Juan Carlos Blengio sèche Delorte dans la surface. Second carton jaune synonyme de rouge pour le défenseur d'el matador et penalty. Barzola prend à contre pied Daniel Islas (1-0, 56ème). Malgré l'infériorité numérique, l'équipe de Victoria est loin de s'avouer vaincue. Le ballon va d'un but à l'autre et les deux portiers doivent s'employer à tour de rôle. Malheureux, Tigre termine à 9 après l'exclusion pour un mauvais geste de Morero (84ème).
 
Tigre ne reviendra pas sur Lanus mais le promu aura réalisé une saison sublime et accroche une qualification pour jouer la Libertadores. Qui l'eut cru ?
 
 
Olimpo 4 - 0 River Plate
Highlights - Première mi-temps (4:01)
Highlights - Deuxième mi-temps (7:07)
 
C'est un River Plate en crise (qui n'a plus gagné depuis le 21 octobre soit 7 matchs toutes compétitions confondues) qui se déplaçait à Bahia face à des aurinegros qui, après une adaptation difficile, viennent enfin de prendre la mesure de ce qu'était la Primera. Les millionnaires restent sur deux défaites de rang en championnat, dont une assez humiliante au Monumental face à des sabaleros pas franchement transcendants. L'Olimpo, qui a perdu à San Lorenzo lors de sa précédente levée mais qui restait sur une série de 4 matchs sans défaite, entend bien profiter du PSG albiceleste.
 
L'Olimpo affiche d'emblée la couleur. Sebastian Gonzalez frappe dans le petit filet de Carizzo. La réponse de River, signée Ponzio, sur un coup-franc de plus de 35 mètres, est brutale mais s'écrase sur l'équerre. Les millionnaires ne semblent pas sereins défensivement, les passes sont mal assurées et sur l'une d'entre elles, Carizzo ne peut empêcher le ballon de sortir en corner. Sur le coup de pied de coin, s'en suit un festival de maladresses et d'erreurs défensives. Celles-ci profitent à Pinto qui trompe le portier de River (1-0, 10ème). Carizzo évite le naufrage en sortant une frappe de Morales. Si une majorité des joueurs de River restent sans réaction, ce n'est pas le cas de Leonardo Ponzio. Sa frappe est pure et trouve sur sa route la main ferme de Cauteruchi. Marco Ruben rate un but tout fait après un superbe travail sur l'aile droite d'Augustin Fernandez.
 

 
Au retour des vestiaires, Ponzio, dans un angle fermé, s'essaie à nouveau. Cauteruchi bouche bien son angle. Barrado, des 25 mètres, répond à l'équerre du millionnaire, par une frappe de mule sur la transversale. Le match est plaisant et les évènements vont s'accélérer en 8 minutes. 67ème minute : Coup-franc pour l'équipe de Bahia Blanca, Barrado s'élance et dépose le ballon sur la tête de Javier Paez (2-0). Quelques instants plus tard, une nouvelle barre transversale vient sauver l'Olimpo et son portier Cauteruchi, oeuvre d'Almerares de la tête. 72ème : Gerlo commet une faute sur Leandro Gonzalez (rentré à la place de son homonyme à la mi-temps). L'arbitre n'hésite pas et désigne le point de penalty, expulsant le défenseur de River au passage. Si l'accrochage est grossier, le carton rouge direct l'est tout autant. Josemir Lujambio s'élance... et Carizzo repousse. Sur le second ballon, l'attaquant aurinegro propulse le cuir dans les filets (3-0). Trois minutes plus tard, Leandro Gonzalez réalise le bijou du match. Une frappe enroulée à l'entrée de la surface de réparation qui vient se loger dans la lucarne du but de Carizzo (4-0, 75ème). Les "Olé" pleuvent, River ne se relèvera pas.
 
Humiliation énorme pour les gallinas après cette nouvelle déconvenue face à un promu mal classé. Gordillo ne devrait pas rester longtemps aux commandes de l'équipe et le président Aguilar sent de plus en plus la colère des supporters monter... le mercato risque d'être assez chaud du côté du quartier de Palermo.
 
 
Independiente 1 - 1 Velez Sarsfield
Highlights (4:14)
 
Dans le sprint final, la Roja accuse le coup de son début de saison canon. L'équipe de Pedro Troglio ne gagne plus depuis 5 matchs (2N 3D), son prolifique buteur German Denis a perdu le chemin des filets. Les choses se sont tellement compliquées pour les diables rouges qu'ils sont désormais à la lutte pour ne pas perdre leur place en Copa Libertadores, eux qui y semblaient promis. El fortin reste sur 9 points pris lors des 4 derniers matchs, se déplaçant au Stade Libertadores de America pour en glaner 3 autres et passer devant leurs adversaires du soir.
 
Si Denis est muet depuis quelques matchs, c'est aussi que la malchance s'en mêle. Sur un centre de Sosa, el Tanque s'élève plus haut que tous le monde mais sa tête trouve l'équerre du but de Peratta. La première mi-temps manque sérieusement de rythme. Rolfi se retrouve seul face à Peratta et centre en retrait pour... personne (si ce n'est un défenseur de Velez). Comme ça ne passe pas dans le jeu, l'ancien olympien tente sa chance de loin... sans plus de succès.
 
Balvorin est de retour en grâce depuis le départ de La Volpe. A nouveau aligné, le buteur de l'équipe au scapulaire rate de peu le cadre d'Assmann. On joue le début de la seconde période. Sur une belle construction, Ocampo centre en première intention. Son ballon écrasé arrive dans les pieds de Balvorin, qui lui-même rate sa frappe. Assmann, surpris, se couche. Le ballon va tranquillement mourir dans le petit filet (0-1, 66ème). On se dit alors que le sort s'acharne sur les malheureux diables rouges, incapables de prendre l'avantage et pris en contre sur une frappe de poussin d'un des attaquants les moins adroits du championnat. Heureusement pour les hommes de Troglio, la chance va finir par sourire un peu. Sur un dégagement long d'Assmann, la défense de Sarsfield se troue. Moreno profite de l'aubaine pour aller défier Peratta et gagner son duel (1-1, 80ème). Le colombien José Moreno n'est que le 5ème buteur de l'Independiente différent depuis le début de la saison (après Denis, Montenegro, Matheu et Sosa).
 
Match nul qui n'arrange personne dans la course à la Libertadores, si l'affaire de Velez parait complexe, la Roja garde son destin en main mais il va falloir s'imposer à Sarandi pour conserver son ticket continental. Qui a dit "tâche ardue" ?
 
 
Huracan 3 - 0 Racing Club
Les buts
L'incident du match
 
El Globo vient d'enchaîner 4 matchs sans défaite (2V 2N), ce qui n'était plus arrivé depuis la 6ème journée. La passation de pouvoir entre les coachs Mohamed et Ardiles est enfin faite. C'est dans cette conjoncture plutôt favorable que les blancs recevaient une Academia en convalescence après un mois d'octobre mal négocié qui a fragilisé la position du coach Gustavo Costas et échaudé les esprits les plus calmes.
 

 
L'Huracan trouve très vite l'ouverture par Cellay de la tête sur corner. Hilario Navarro ne bouge pas (1-0, 2ème). Le match est haché, le jeu très dur. El piojo Claudio Lopez est le premier à prendre la porte (33ème). Certains matchs argentins nous rappellent qu'ici le football est une passion et la boxe un cousin pas si éloigné. Huracan - Racing est de cette veine-là. Sur le plan du jeu, rien de majeur à signaler entre la 2ème et la 87ème minute. Le temps que l'équipe d'Avellaneda passe de 11 hommes... à 8. Franco Sosa commet un attentat sur Ivan Naval et reçoit un carton rouge qui provoque une échauffourée entre les joueurs et un des préparateurs physiques d'el globo, obligeant l'intervention des CRS (77ème). L'arbitre exclu Estevez pour sa participation à celle-ci (81ème). Celui-ci, fou de rage, part à la poursuite du préparateur exclu. De cette anarchie notoire naît un calvaire pour les hommes de Costas. Comment tenir avec 3 joueurs de moins le quart d'heure (en comptant les arrêts de jeu) restant à jouer ?
La réponse : en s'écroulant. Ivan Nadal, plutôt bien remis du tacle brutal de Sosa déboule sur la gauche et sert un caviar pour Nieto (2-0, 87ème).
Sanchez Prette donne une ampleur cruelle au score quelques instants plus tard après un service tranquille signé Barijho (3-0, 89ème).
 
Victoire du promu qui prend définitivement ses distances avec les ciels et blancs.
 
 
Colon Santa Fé 0 - 2 Estudiantes
Les buts
 
El leon reste sur 7 matchs sans défaite (3V 4N) et se déplaçait sur le terrain d'un Colon de Santa Fé qui, après une mauvaise série, s'est relancé d'idéale manière en allant s'imposer 2-0 au Monumental.
 
Les sabaleros se font cueillir à froid après seulement 3 minutes de jeu. Salgueiro centre fort, le ballon est taclé par Juan Ramon Fernandez (0-1). Difficile de dire si le ballon avait totalement franchi la ligne. Mauvaise soirée pour le défenseur des negros qui se voit exclu après 2 cartons jaunes (79ème). Entre temps, Pablo Piatti, l'excellent attaquant des pinchas avait tué le match juste avant la pause en dribblant Blazquez (0-2, 44ème).
 
L'équipe d'el cholo Simeone continue sa fantastique remontée vers les cimes de l'Apertura. La qualification pour la Libertadores est désormais envisageable.
 
 
Banfield 1 - 0 San Lorenzo
Le but
 
Après 4 matchs sans défaites (2V 2N), el taladro a subi un coup d'arrêt à el Colosso del Parque (défaite 1-0 face à NOB). La réception d'un cyclon qui ne perd plus (2V 3N) n'était sans doute pas le match le plus simple pour repartir de l'avant et aller accrocher une place en Libertadores.
 
Le colombien Patiño n'est pas seulement un joueur de cirque qui caracole en tête du classement du "Ranking Lirico" (voir sa rabona de la semaine), c'est aussi un footballeur qui sait se montrer efficace. Sa frappe de 34 mètres est sublime, chronométrée à 117 km/h. Imparrable pour l'infortuné Orion qui pourtant se détend de tout son long. Son but est décisif, puisque c'est le seul de la partie (1-0, 42ème).  
 
Banfield est 5ème et garde toutes les cartes en main pour jouer la copa Libertadores l'année prochaine. L'équipe de Ramon Diaz gît en milieu de tableau.
 
 
Gimnasia Jujuy 0 - 1 Newell's Old Boy
Le but
 
Depuis 3 matchs, el lobo jujeño est en perte de vitesse (2D 1N), la réception des leprosos tombe à pic. Les vieux garçons affichent un bilan éloquent, en 8 déplacements dans cette Apertura, ils n'ont pris qu'un seul petit point (7D 1N). Alors qu'à el Colosso del Parque, ils tournent au niveau d'une équipe de haut de tableau (6V 2N 1D).
 
Surprise dans ce match puisque ce sont les vieux garçons qui prennent les 3 points. Sur coup-franc, le défenseur Rolando Schiavi, monté aux avant-postes, place sa tête et lobe Valdiviezo (0-1, 64ème). Ce sera le seul but du match.
 
Grâce à ce but de Schiavi, les leprosos parviennent à vaincre le signe indien et remontent à la 11ème place.
 
 
Rosario Central 3 - 2 San Martin
Les buts
 
Canayas et verdenegros sont au fond du trou, respectivement 20ème et 18ème. Si la place du modeste San Martin peut paraître normale, il n'en est pas de même pour la academia rosarina.
Si San Martin a réussi à se relancer après une longue série de revers (4 consécutifs) lors de la dernière journée en battant el lobo, il n'en est pas de même pour une academia dont la seule victoire cette saison remonte au derby de Rosario le 16 septembre dernier.
 
Après 12 minutes de jeu, José Vizcarra, l'une des rares satisfactions de Central, ouvre la marque d'une belle demi-volée (1-0). Le centre est signé Emiliano Papa (c'est si rare que j'le souligne). A San Juan, l'alter-égo de Vizcarra se nomme Tonelotto. Il ne faut que 7 minutes à celui-ci pour répondre de la tête (1-1, 19ème). Après ce bon début de match plus rien... jusqu'à la 80ème minute. Borzani de la pointe, met les canayas sur la voie du succès (2-1). Vizcarra marque son 9ème but de la saison en solo (3-1, 82ème). Tonelotto d'un piqué, son 8ème seulement (3-1, 85ème). Herrera (San Martin) est exclu. Réduite à 10, l'équipe de San Juan ne reviendra plus.
 
Assurés de la lanterne rouge, les canayas remportent un second succès cette saison, pour l'honneur.
 
 
Les classements (Général + Buteurs)
 

Hérétique

J'aurais foutu en gras tout son post, perso

Je lui ai laissé la 1ère ligne, ma bonté me perdra

  le top du top du pavé  

Tu etais obligé de le quoter?

Une fois c'est marrant, à force c'est vraiment relou

Je serais la a chaque fois qu'un pavé sera mis en travers de ma route et rien ne pourra m'en empecher    
 

 
Je vais essayer d'achetter une PS3 avec ta technique

Ya quelqu'un qui lit ces pavés ?

Oui    
 
(enfin quand j'ai le temps )

moi je les fauche  
 
edit : ok j'arrete  

A vrai dire moi je m'en fous un peu du championnat argentin