Reprise du message précédent :

Je voyais pas thierry henry aussi haut ds le classement tiens...

 
Coupe du Monde des clubs, Japon 2007
 
 
 
« Tous prêts pour la grande aventure. »
 
 
 
Tel était le titre ce samedi d’un grand quotidien tunisien, résumant assez bien l’état d’esprit dans lequel les joueurs et le staff de l’Étoile du Sahel s’apprêtaient à vivre cette Coupe du Monde des clubs de la FIFA.  Car en plus d’aller représenter au Japon les couleurs africaines dans la compétition, les étoilés ont une chance unique de montrer leurs talents au monde entier, et la possibilité de rencontrer les illustres Xeneizes, ou encore les Rossoneri milanais, champions d’Europe en titre.
Mais avant tout cela, une première étape se devait d’être franchie : le quart de finale contre le Pachuca CF.
 
 

 
Pachuca, champion du Mexique et d’Amérique du Nord 2007, se présentait ainsi avec une équipe résolument tournée vers l’offensive, en atteste le premier corner qui finit sa course sur la barre de Christian Chaco Gimenez, puis la tête de Caballero sauvée in extremis par le portier tunisien, Balbouli (15'). Ce n’est pas pour autant que les joueurs sahéliens sortirent de leur camp. Solidement regroupés en défense, ils se contentèrent de quelques contres, comme celui de la 25’, où finalement Chermiti tira à côté. Les Mexicains, totalement dominateurs durant cette première période, ne parvinrent pas à concrétiser une de leurs nombreuses occasions.
0-0 à la mi-temps.  
 
 
La seconde période repartit sur les mêmes bases que la première, avec les joueurs de Pachuca toujours plus dangereux et des étoilés bien positionnés à l’arrière. Les actions pleuvent sur le but de Balbouli, mais aucune d’entre elles ne finirent au fond des filets, ce qui a le don d’agacer les Mexicains (cartons jaunes pour Alvarez [51’] et Lopez [71’]).  
L’ESS profita du mutisme de son adversaire pour prendre l’avantage, en transformant l’une de ses seules véritables occasions. Après un bon jeu de passe aux 18 mètres, Moussa Narry (celui qui, déjà, avait marqué le but vainqueur [le 3ème] de la finale de Champion’s League), d’une frappe taïwoesque à l’orée de la surface (déviée pas Lopez) libérait la Tunisie toute entière.
 

 
1-0, 85è.
 
Pachuca lança ses dernières forces dans la bataille (avec les entrées notamment de Chitiva et Rey), mais rien n’y fit, l’Étoile tint bon derrière et réalisa le hold-up parfait.
 
 
Étoile du Sahel – Pachuca CF : Highlights vidéo (2’42)
(source : fifa.com)
 
 
Réactions
 
"Evidemment cette défaite m'attriste, mais je suis très satisfait de mes joueurs. Je crois que nous avons réussi une belle performance collective. Nous nous sommes créés les meilleures occasions. Malheureusement, nous n'avons jamais concrétisé et au final, nous perdons ce match. Cela dit, la victoire de l'Etoile est méritée. Ils ont marqué le seul but de la partie et en football, c'est la seule chose qui compte. Nous méritions sûrement mieux, mais ils étaient vraiment très nombreux à l'arrière. Comme je l'ai dit, je suis triste, mais en même temps très fier de mon équipe, car elle a tout donné".
Enrique Meza, entraîneur de Pachuca.
 
"A la mi-temps, nous nous sommes beaucoup parlés. Le sentiment général était que malgré leur domination en première période, il y avait la place pour remporter ce match. Nous savions que si nous arrivions à bien défendre, ils se fatigueraient et les choses deviendraient de plus en plus compliquées pour eux. Ma position sur le terrain ? J'ai joué plus en retrait que d'habitude, mais je l'ai fait pour le bien de l'équipe. A un moment, j'ai remarqué que les joueurs de Pachuca commençaient à donner des signes de fatigue. Je suis alors monté d'un cran et par bonheur, j'ai eu la possibilité de marquer ce but qui donne la victoire à mon équipe".
Moussa Narry, milieu de terrain et auteur du but de l'Etoile.
 
 
En demi-finale, l’Étoile du Sahel rencontrera Boca Juniors, exempté de quart de finale, le mercredi 12 décembre à Tokyo à 11h45 heure française (12h45 heure tunisienne).

 
 
Finale Retour :
 
L'image :

Andrizzi offre à el Viaducto son premier titre continental
 
 
En s'imposant au Stade Azteca (3-2), el Arse semble avoir réalisé le plus dur dans l'optique de la victoire finale en Copa Nissan SudAmericana. Mais les Eagles de l'America (MEX) n'ont pas dit leur dernier mot. Malheureux à l'aller dans un match qu'ils avaient pourtant maîtrisé, les Mexicains se devaient de s'imposer par deux buts d'écart ou sur n'importe quel score supérieur à 3 buts pour remporter le trophée. Paradoxalement, si el arse a tout gagné hors de ses terres dans cette compétition, il n'en est pas de même à "Del Viaducto" où il ne s'est jamais imposé. Les statistiques nous promettent donc une finale avec du suspense.
 
Les deux entraîneurs reconduisent la même équipe qu'au match aller à une exception près côté Arsenal : Castiglione, suspendu, cède sa place à Israel Damonte.
 

 
D'emblée on comprend qu'on n'assistera pas à la même partie qu'au Mexique, aucune des deux équipes ne se livre et le spectacle s'en ressent. L'équipe de Mexico ne montre pas la même assurance technique qu'au match aller à l'image d'un Federico Insua, brouillon et imprécis dans la transmission. Les hommes de Brailovsky balancent devant, tombant sur une défense de Sarandi bien regroupée et appliquée à ne pas faire d'erreurs. Durant le premier quart d'heure, rien à signaler ou presque. San Martin sollicite Ochoa mais sa tête n'est pas assez appuyée pour être dangereuse (9ème). La réponse est signée Cabañas mais sa frappe écrasée passe à côté (10ème).  
 
Premier rebondissement de la partie : les Eagles travaillent à gauche, Argüello talonne dans la course d'Oscar Rojas. Ce dernier centre, Cristian Diaz coupe au premier poteau et trompe son propre gardien. Coup de froid à Del Viaducto (0-1, 17ème). Ce but ne change pas foncièrement la donne car l'Arsenal reste devant grâce aux buts à l'extérieur, mais les hommes d'Alfaro sont désormais sous le coup d'un retour des Mexicains et vont devoir prendre le jeu à leur compte.
 
La réaction ne se fait pas attendre. Javier Yacuzzi frappe dans le petit filet d'Ochoa (19ème). Dans la minute qui suit, l'équipe de Sarandi se crée une énorme occasion. Coup-franc de Yacuzzi tête d'Andrès San Martin, Ochoa cafouille et relâche le ballon dans les pieds de Calderon. On croit à l'égalisation mais le buteur d'el arse, pourtant à 1,50m du but plein axe, frappe sur le poteau (21ème). Les argentins poussent, Calderon veut se rattraper et sollicite à nouveau Ochoa. Sans danger pour le portier mexicain (24ème). Les contres de l'America ne sont guère dangereux, continuellement annihilés par des mauvaises passes et des contrôles ratés. Les hommes de Brailovsky s'énervent et répètent les fautes à 40 mètres du but. Davino et Villa sont avertis. Pendant ce temps, c'est la saison des vendanges dans la surface mexicaine. Calderon, de demi-volée, heurte le dessus de la transversale (29ème). Sur un corner mal repoussé, Josemir Mosquera se retrouve seul aux avant-postes à à peine un mètre du but d'Ochoa. Le défenseur d'el arse trouve le moyen de la mettre à côté (31ème). Sur un nouveau coup-franc de Yacuzzi, San Martin place sa tête (non ce n'est pas un running gag !). Guillermo Ochoa sort le grand jeu et claque en corner (36ème). Sur le ballon suivant, Mosquera place sa tête, de peu à côté.
 
Après cette vague déferlante, les joueurs se calment. Rien jusqu'à la mi-temps. Seul un accrochage Matellan/Cabañas dans la surface de Cuenca, vient prêter à discussion. Le Mexicain reste à terre, les Albicelestes font comme si de rien n'était et continuent à jouer avec l'aval de l'arbitre colombien Monsieur Oscar Ruiz. Il y avait peut-être un petit quelque chose à signaler...
 

 
Le début de la deuxième mi-temps voit l'Arsenal dominer son sujet et l'America ne pas arriver à poser le jeu. Diego Villar s'essaie au 20 mètres, sans succès (48ème). Papù Gomez, héros du match aller, réalise un festival entre Oscar Rojas et Juan Carlos Silva. Sa frappe puissante est relâchée par Ochoa, obligeant Castro à dégager en catastrophe sous la menace de Calderon (50ème). Les cartons pleuvent, Oscar Rojas (AM, anti-jeu), Villa (AM, protestation) et Yacuzzi (ARS, tacle dangereux) récoltent le jaune.
 
Action anodine pour l'America (MEX), Villa fait une chandelle. A la retombée du ballon, Gandolfi et Cabañas sont à la lutte. Plus préoccupés par leurs vis-à-vis que par le ballon, les deux hommes passent au travers. Juan Carlos Silva qui a bien suivi a un relent de Chris Waddle, version OM-Milan AC 1991. Cuenca, pas trop sollicité jusqu'alors, n'avait pas bien fermé son angle. La demi-volée du gauche de l'ailier des Eagles trouve le chemin des filets (0-2, 63ème). Désormais, c'est l'équipe de Brailovsky qui est devant sur l'ensemble des deux matchs (3-4).  
 
Alfaro entame alors son coaching. Yacuzzi cède sa place à Biagini (66ème) suivi de peu par Andrizzi (qui remplace Villar (68ème)). Entre temps, Ochoa sort une frappe vicieuse de Papù Gomez. El Arse se découvre, ce qui permet aux Mexicains de s'exprimer davantage en contre. Le match s'anime. Brailovsky sort alors un attaquant pour un défenseur. Rodrigo Lopez quitte le terrain, remplacé par Ismael Rodriguez (70ème). Biagini manque de peu de prolonger une frappe de Calderon dans les filets d'Ochoa (72ème). L'Arse se heurte à un mur, Calderon et Diaz voient leurs frappes repoussées. Gustavo Alfaro abat sa dernière carte avec l'entrée en jeu de Raymonda en lieu et place de Damonte (77ème). Andrès San Martin, excellent dans ce match, finira seul devant la défense.
 
La poussée est de plus en plus difficile à supporter pour les Eagles. Mosquera quitte ses bases défensives pour prêter main forte à ses attaquants. San Martin prend un carton jaune pour une grosse faute sur l'Argentin de l'America Insua qui s'apprêtait à partir en contre-attaque (79ème). Ce même Insua met à contribution Cuenca (80ème). Le match gagne en intensité dans les dix dernières minutes. C'est l'état de siège autour du but d'Ochoa. Andrizzi oblige le portier international mexicain à une parade de haut vol (81ème). Le ballon ne sort plus de la moitié de terrain mexicaine. Les Eagles plient de plus en plus et finissent par rompre. San Martin trouve Andrizzi dans la surface. Ce dernier pivote, marche sur le ballon, chute, se relève et accélère. Tous cela dans une marée humaine. Parvenant à s'extirper on ne sait trop comment, l'ailier de Sarandi frappe en bout de course. Le stade explose. Le ballon termine au fond des filets de Guillermo Ochoa (1-2, 83ème). Un véritable miracle qui vaut à son auteur, la Nissan offerte à l'homme du match car comme vous l'aurez compris, l'America ne s'en remettra pas.
 

 
Comme à l'aller, el arse se remet à attendre la fin du match au niveau du poteau de corner des Mexicains. Bailovsky lance Castroman en lieu et place de Ricardo Rojas (87ème). L'ancien joueur de la Lazio de Rome ne jouera que 3 minutes. Davino est l'auteur d'un méchant tacle sur San Martin. La tension est palpable entre les joueurs. Castroman met une claque à Matellan. Oscar Ruiz exclut les deux joueurs de l'America (Davino et Castroman). A 9 contre 11, la conservation du résultat à la sauce Arsenal est encore plus facile... et plus frustrante pour l'adversaire qui s'adonne à quelques gestes d'agressivité incontrôlée.
 
Résultat frustrant pour l'America (MEX), grand favori de cette finale et qui tombe au but à l'extérieur. Arsenal remporte le premier trophée notable de toute son histoire.
El viaducto s'offre le droit d'aller défier Boca Juniors pour la Recopa SudAmericana, sorte de Super Coupe d'Europe à la Sud-Américaine. Rendez-vous est pris pour fin Mai - début Juin 2008.  
 

 
 
La fiche du match :
 

 
 
Le résumé :
Highlights (6:01)

Cimer atlanta.

Merci les petits
 
Et merci P.-P., j'avais pas le courage là
 

Ouais hip hip hip à P.P.

A poil P.P.  

Ioure ouailcome  
 

Demain, t'auras mon pavé hebdomadaire.  
 
 
 
 
 
 

 
Ca montre une nouvelle fois qu en France,il n est pas reconnu a sa juste valeur.
Ca m a toujours fait sourire quand j entendais des gars repeter qu Henry marquait beaucoup de buts en Angleterre a cause des defenses et des gardiens en carton........c est une idee qui a longtemps et qui continue d ailleurs de circuler en France malgre ses stats en LDC(et surtout les equipes contre lesquelles il a marqué des buts) et meme en EDF.
 
 
Sinon Kahn continue de faire des siennes :
 

Nan mais genre c'est une contre-performance horrible d'aller perdre à Lorient, mais ferme ta gueule putain.

Nan, c'est vrai, ils ne sont en champions league eux    

 
y'a pas de mots pour designer cette video
enfin si un : magnifique        

'lu du lundi
 

j'ai pas vu, mais j'suis d'accord là dessus
 

j'matterais ce soir

ça dépend, Orry-la-Ville c'est au nord ou au sud du cercle polaire valentinois ?
 

 
bah il a raison

J'ai vu et je propose qu'on lapide Valdes à coup de figues molles

 
Enorme la video, dommage que la qualité est pas top
 

 
Evidement que l'om est en dessous du bayern

 
   
 
La fin ²²²²²²²²
 
Loulou forever

   
 
Faudrait faire un smiley ou un gif de son " ça suffit ". Parfait pour les débats interminables.  

Salut l'topic.
 
Pour le match des pieds carrés () au pershing dimanche ne comptez pas sur moi je suis pas dispo.
Par contre je serais certainement au Parc samedi, avec Elmander vs Camara on va voir du but

Il est pas suspendu le Johan ?

Faudra quand même que je vois ça avant de valider un châtiment aussi barbare

http://www.d1g.com/video/show/?id=1595862
L'exemple type de l'utilisation inopportune de la main opposée.

"main opposé" devrait être un terme prohibé sur ce topic.

Exactement, fuck les fautes d'ortho.

 
Non, mais il manquera Battles, Mansaré et Emana.

pas mieux
 
merci pour la vid', j'ai faillit reussir à contourner le proxy du taff, mais ça devra quand même attendre ce soir

L'utilisation de ballons de beach-volley n'a certes pas aidé le pauvre Victor, mais franchement...
 
Tiens, d'ailleurs, débat du jour : Quel est le meilleur ballon avec lequel vous ayez joué ?
 
Perso, c'est le Terrestra officiel (ballon de l'Euro 2000), une tuerie absolue : super agréable au toucher, trajectoires précises :

 
Toutes les merdes qui ont pu être faites depuis ne lui arrivent pas à la cheville (trajectoires dignes des ballons "Corner" en particulier )

Aucune idée, le seul truc que je constate, c'est que au fur et à mesure des années l'écart en tre les ballons de foot et les ballons de plage s'amenuise

 
le ballon de la coupe du monde 2002 , etais tres bon aussi , je me rappelles l'avoir garder 2 ans facile sans qu'il prenne un pet alors qu'on jouais sur le goudron (et l'avoir perdu en dessous la voiture en la chargeant en vacances   )
rien a voir avec les ballons nikes merdiques qui s'arrachent au bout 2 ou 3 matchs meme sur l'herbe
 
de toute facon les ballons que je preferes c'est les uhlsport , pas l'impresssion d'une pierre quand tu  tapes dedans , bonne trajectoire et ils volent pas trop

Aucun ballon ne m'a vraiment marqué l'esprit. J'aimais bien les Questra, les Terrestra. Les Adidas d'il y a plus de 4 ans restent les mieux pour moi. Ceux d'aujourd'hui, même un poussin t'envoie une minasse du rond central sous la barre.
Le Fevernova restait acceptable, tout d'même.

Donc tout le monde s'accorde à dire que l'évolution des ballons ne va pas dans le bon sens
 
Pourtant, vous devriez être contents, ça favorise le football offensif
 
/met les footeux face à leurs contradictions

 
Cette évolution fait qu'il deviennent beaucoup plus sensibles au fond rebonds, ce qui est génant pour moi vu les terrains ou l'on pratique. De plus la sensation n'est pas forcément agréables notement pour effectuer les centres (enfin la je parle pour moi)

+1 j'ai principalement joué avec ces ballons, ils coutaient 100 balles à décath'
 


 
 
sinon pour la nostalgie, historique des balles de la coupe du monde:
 

Pour moi, il me semble que c'était ce bon vieux Roteiro (Euro 2004) mais j'en suis pas sûr en fait...
 

 
c'est vrai que la L1 est connue pour ses frapasses a 30 metres    

Un Terrestra officiel, ça coûtait 650 FF quand même (oui, c'était encore des francs à l'époque ).
 
Et, honnêtement, la différence avec le replica (qui devait coûter l'équivalent de 2 kebabs) était ahurissante.

Juninho
 
Fais-lui tirer ses coups-francs avec un Tricolore ou un Terrestra, y'en a la moitié qui rentrent pas (genre celui de 40 mètres face à Pourrito©PES)

nan mais nan quoi certes celui ci c'etait pas le moins pire, mais de loin, celui avec le meilleur touché, c le uhlsport, celui des années où guy roux allait les chercher en tribunes    
le genre de balle, qd tu la prend bien, un coup de vent va pas faire devier la trajectoire, pas comme ces balles en mousse qu'on nous sert depuis 10ans