Reprise du message précédent :

Ah putain l'horreur si tu y colles ton zboub, poncage garanti

 
Comme un lundi wsh

ah normal alors.

avec un nouveau standards de moyeux pour accepter les 13 pignons,ou une chaine encore plus étroite et un réglage encore plus pointilleux.
mais c'est sûre qu'on y viendra.

Tous les vrais retourneront au pignon fixe  

Pour 700 balles je vous fournis un Ultra 900 AF en shim 105 et Mavic Aksium. Que de la qualité  

Comme dit plus haut je parle du 2eme lien ici

Ouais bon là il a picolé le gars, mais a priori il a pas tout faux non plus
Et la photo le montre bien (encore une fois j'ai le même, je connais )
 

Yep, c'est l'inconvénient de ce 520, il a beau avoir un petit plateau en 30, la cassette monte pas très haut, donc ça bénéficie moins (30/25=1,2). (mais au moins l'étagement est pas dégueux)
Mais ça reste moins pire qu'un 52-36 avec du 105 11 vitesses en 11-28 comme on peut voir sur certains modèles supérieurs. (35/28 = 1,3)

 
Ce timing de retour    
 
Viens rouler avec moué. 0 sable garanti

c'est un coup à rayer le kask

 
Bof

oui je crois qu'il faut regarder les photos

 
Quand on fait le ratio gains/pertes du mono en route, c'est très peu probable. Surtout avec les groupes élec pour assistés qui font le job à ta place  

Et ton vélo il a une cassette avec 13 vitesses actuellement ?
 
50/36 = 1,4 faut déjà être bien costaud pour emmener ça dans des cols à 12%

Franchement, vu ce que j'ai entendu de mecs IRL... il y en a qui sortent des trucs de ce genre au premier degré....

 
Surveille tes fréquentations  

 
Vivement le 1X22
Avec des chaînes à 300 balles qui durent 500km

CR du Paris Brest Paris 2019.
 
Désolé j'ai une flemme intersidérale de mettre des smileys    
 
 
Préambule
 
En préambule je précise que la mémoire humaine n'est pas parfaite, surtout quand on pousse un peu le corps dans ses limites, donc le CR ne sera pas parfait.
 
Je passe vite fait sur la préparation du PBP lui-même, alors que c'est quand même un gros truc. La décision a été prise en septembre 2018, premier BRM de ma vie en octobre 2018 à Béthune, achat d'un Endurace dans la foulée puis je me suis progressivement équipé en sacoches et en matériel spécifique à la longue distance.
 
En fait le chemin vers le PBP a été magnifique, avec du vélo en hiver, des balades en Bourgogne, sur la Côte d'Azur, en Normandie et en Bretagne, l'Ardéchoise, des BRM qui auront fait tomber pas mal de barrières (BRM300, BRM400, BRM600), des week-ends de balade, des vacances à la montagne... à peu près 12000km depuis le premier BRM en fait, avec beaucoup de vélo et beaucoup de plaisir.
 
Première fois de ma vie que je pense pour de vrai que "l'important c'est la route pas la destination"    
 
Bref, c'est le cœur léger que je suis allé à Rambouillet le dimanche récupérer ma plaque.
 
 
Instant matériel:
 
Je pars avec mon vélo, que je connais bien (Endurace à disques, Ultegra, roues FFWD F3C, capteur de puissance Favero Assioma).
 
J'embarque 3 sacoches.  
- A l'avant une Apidura Racing Handlebar Pack de 4.5L pour emmener le nécessaire pour rouler.  
- Sur le top tube une Apidura Expedition Toptube pour mettre la powerbank et les batteries de la lampe. N'achetez pas cette sacoche, c'est une merde.
- A l'arrière la grosse sacoche Ortlieb Bikepacking de 16L. Une bonne sacoche (étanche, qui ne bouge pas) mais clairement trop grosse... donc elle est remplie à même pas 50%. Une sacoche de 10L serait plus adaptée mais la flemme d'en avoir 2 à la maison.
 
Pour rouler de nuit:  
- lampe Zebralight SC600 à l'avant. testé et approuvé sur brevets, la lampe crame un 18650 pour une nuit complète dehors, donc la lampe + 3 accus et ça roule.
- une lampe torche chinoise de rechange dans la sacoche arrière
- 2 phares rouges Cateye Omni 5, un monté sur les haubans et l'autre accroché à la sacoche
 
Sur moi:
- casque, lunettes, casquette du club
- les mitaines Specialized Grail, parfaites pour moi    
- sous-couche en merinos DHB pas chère mais qui fait le taf, et maillot Rapha Brevet
- cuissard Assos Cento Evo, cher mais testé et approuvé sur la distance
- chaussettes DHB à pas cher et chaussures Mavic Ksyrium, que je traine depuis des années
- le gilet fluo du PBP
 
Dans la sacoche avant le matos "à portée de main":
- les fringues de nuit (jambières et manchettes en merinos DHB, couvre-chaussures courts, Buff Redface, gants longs DHB à pas cher et achetés juste avant le PBP   ) et mes lunettes de soleil
- un coupe-vent et une veste de pluie Goretex Shakedry machin
- le nécessaire de réparation (multitool avec dérive chaine et rivet shimano, démontes pneu, 1 CAA, ma minipompe, une mini burette d'huile)
- mes écouteurs
- mon Garmin de rechange
- de la bouffe (2 Clif Bar, 2 pates de fruit)
- pour les arrêts un sac à dos D4 à 2 balles qui se roule en boule et des couverts
- mon tube de crême pour le ionf et des lingettes
 
Dans la sacoche arrière:
- cuissard, sous-couche et chaussettes de rechange
- second maillot manches longues au cas où (inutile)
- 2 CAA
- 2 barres en plus
- Drap de soie (inutile) et couverture de survie (j'aurais du m'en servir)
- Pharmacie de base (mouchoir, Smecta, brosse à dents, anti inflammatoires et un bout de serviette microfibre...)
 
Le truc marrant c'est que j'embarque à peu près la même chose dès que je pars plus d'un jour et que j'embarquerais surement la même chose pour rouler 2000 ou 3000 bornes... si c'était à refaire je partirais surement plus light sur le PBP où les arrêts sont finalement fréquents et bien achalandés.
 
 
"Jour" 1
 
Départ à 5h15 de Rambouillet. Il fait nuit noire, je suis la file des cyclos dans la Bergerie Nationale, tamponnage du carnet, passage sous l'arche à 5h18, c'est parti. Je roule sans même un café dans l'estomac...  
 
Quelques pelotons dans la campagne mais pas trop, finalement je roule assez seul. Aujourd'hui j'ai déjà oublié mais le vent est bien là, de face, permanent. A un moment j'esquive une chute pas loin devant moi... un peu plus tard je vois le vélo du président du club à côté d'un camion de pompiers mais le temps de réaliser j'ai déjà roulé 1km.
 
Le jour se lève peu à peu, je fais une pause pour me dévêtir et au bout de 4h28 je suis au premier "accueil" à Mortagne au Perche. Je sais plus ce que j'y ai foutu, bu un café surement. Je repars en mode jour, sans les jambières et les manchettes.
 
Puis je roule, seul, jusque, dans les bosses du Perche, jusque Villaines la Juhel, km 217. J'y arrive à 14h05. Premier vrai checkpoint, je réalise qu'à chaque fois il va falloir passer le portique, garer le vélo, marcher quelques minutes pour aller tamponner, marcher jusqu'aux chiottes, marcher jusqu'à la bouffe... relou. Je cherche un coca, ils ont que des 25cl les batards. Bref j'en prends un et je repars.
 
Je mange mes sandwiches sur le vélo. Je roule vers Fougères, j'ai pas trop de souvenirs de ce moment. A part que ça monte, ça descend, et il y a du vent. Pour m'occuper je cherche des mots commençant par les lettres de l'alphabet. A ce jour je cherche toujours des animaux en Q, help.
 
Arrivé à Fougères je m'octroie une pause au Carrouf. Je rentre dans le magasin avec le vélo, tchatche avec la meuf à l'accueil pour qu'elle garde un oeil dessus et achète un repas du soir un peu quali. Genre une salade de quinoa, des wraps pour la nuit, 50cl de Redbull et un gros paquet de bonbecs pour passer la nuit. Puis je file au CP de Fougères, Arrivée à 18h16.  
 
A Fougères les chiottes sont dégueulasses et il y a de la queue, je me casse en zappant cette étape mais j'ai l'idée d'aller voir du côté du self... bingo, meilleurs chiottes du PBP. Pause caca qui veut pas, tartinage de ionf, lavage des mains, pique nique sur la pelouse devant le self, sieste express de 10 minutes (je crois, je suis pas sur) et je repars avec le matos de nuit.
 
Après Fougères, bah je sais pas, à part que la nuit tombe. Et il se met à pleuvoir, donc je mets la Gore Tex et les couvre chaussures. Arrivée à Tinténiac, km 360 à 21h06.
 
Ensuite il y a 85 kil jusqu'au prochain CP. De nuit, seul ou presque, vent de face... plus l'heure avance plus je sens que mes yeux se ferment tout seul. Je reçois un message de ma zouz qui me raconte qu'elle s'est fait voler sa lampe, ça me ronge un peu. Mais surtout je broie un peu de noir parce que je sens la fatigue et que mes yeux se ferment... finalement j'arrive à Loudéac, km445 à 1h14, je vois le prochain CP 80km plus loin, je fais les calculs, je me dis que j'y arriverai pas, je vais dormir.
 
Direction les dortoirs, je demande qu'on me réveille à 4h30 mais je mets un réveil à 3h30, génie... dans le dortoir j'entends les ronflements à travers mes bouchons, y'a du bruit mais je dors vite fait. Réveil à 3h30, je me sens bien mais je veux gratter 1h de sommeil, finalement j'ai super froid, je claque des dents, je somnole mal pendant 1h. Réveil à 4h30, un message de ma meuf qui a quitté Loudéac 20 minutes plus tôt mais qui a roulé avec le président du club, JP, qui est donc reparti, bonne nouvelle!  
 
 
"Jour" 2
 
Bref, tentative de caca, café, sandwich de la veille, tartinage de ionf et c'est reparti à 4h50.
 
43km plus loin les panneaux me font quitter ma trace GPS... Ah tiens un contrôle secret à Saint-Nicolas. km488 à 7h08. Je fais la queue aux chiottes et une bénévole dit en français qu'il y a de la place chez les femmes. Je gruge les étrangers sans arrière-pensée et je fais enfin caca, parfait. Café, viennoiserie, c'est reparti!
 
Il fait froid (5°C), y'a plein de brouillard avec la nuit humide qu'on a eu, pas les meilleures conditions.
 
En arrivant à Carhaix je reconnais ma meuf. Elle roule en non stop depuis la veille, il est plus de 8h. On discute un peu, c'est cool de se voir. A l'entrée de la ville je l'entends dérailler dans une côté. Puis je l'entends crier, elle traverse la route et va tomber dans le fossé . Je fais demi tour, je l'aide à se relever, sa chaine est bien coincée entre le pédalier et le cadre, j'arrive pas à réparer. Une bénévole s'arrête, me file un coup de main, on y arrive toujours pas. Après 15 minutes de perdues je repars et ma meuf finira à pied jusqu'au CP où il y a une assistance mécanique. Qui réparera en 5 secondes bien sur
 
Carhaix, km 521, 9h10, pause café et ptit déj'. Ensuite il y a Brest au km 610, avec Sizun à mi-chemin... Sizun où je m'arrête pour manger vers 11h50, même si j'ai aucun souvenir de ce que j'y ai mangé. je saurais pas dire non plus si le Roch Trédudon était avant ou après Sizun. En revanche je sais que je croise des potes qui sont partis la veille et sont sur le retour, et je reconnais Fiona qui a gagné la TCR. Et c'est plutôt cool de passer Huelgoat et des bouts de monts d'Arrée.
 
Je rattrappe Jipé, le président du club. En fait il a été pris dans une chute et sa roue avant était voilée mais il a réussi à faire réparer dans un garage, il a juste interdiction de se mettre en danseuse   . L'arrivée à Brest se fait avec pas mal de vent et de côtes, j'ai plein de suceurs de roues. Je prends mes premières photos du PBP sur le pont qui arrive à Brest... ah, et il pleuviote aussi, forcément.  
 
Arrivée à Brest, km 610 à 14h. Pas le temps de niaiser, je remplis mes bidons et repars dans la foulée. De toute façon la traversée de Brest est surement le passage le plus moche de ce PBP.
 
Drôle de sentiment que d'être à mi-chemin. D'un côté il y a la satisfaction d'avoir fait la moitié, de l'autre l'idée qu'il reste la même chose à faire...  
 
Je roule à peu près 1h puis à Landerneau je craque et je fais une sieste d'une petite heure sur le bord de la route, dans un jardin public. Sieste qui me fait le plus grand bien et me porte jusque Sizun où je me fais une pizza pour le gouter, vers 16h30. Puis je reprends la route vers Carhaix, km 693 où je pointe à 18h50. Caca, crémage de ionf, plat de pâtes (j'arrive pile entre une fournée de bolo et de carbonara, j'ai droit qu'au rôti de porc    
 
Je repars, km 738 Saint-Nicolas du Pelem et contrôle secret à 21h19.
 
Zéro souvenirs à part de me sentir m'engluer sur le vélo. Je mets de la musique pour pas m'endormir, j'ai l'impression d'entendre pour la première fois des morceaux que j'ai pourtant écoutés des dizaines de fois sur Spotify. Idéalement je roulais jusque Tinténiac... finalement je mets le clignotant à Loudéac, km 783  à 0h30.  
 
Direction le dortoir, peu rempli à cette heure, je demande à être réveillé à 3h. un peu de mal à dormir avec le froid, il me faudra un café et quelques minutes pour émerger. Je ressasse un peu ce que je vis comme un échec (seulement 380 kil roulés sur la journée, plus de 400 kil restant).
 
 
"Jour" 3
 
Je remonte sur le vélo à 3h30, en fait je me réveille pas, les yeux restent fermés. Au bout d'1h30 et après avoir croisé une centaine de mecs en PLS sur le bas-côté je fais pareil, je me pose dans un coin d'un village, je m'asseois contre un mur et je ferme les yeux. Erreur, j'ai pas sorti la couverture de survie et je me réveille gelé, mais d'avoir fermé les yeux me relance, en mode zombie.  
 
un peu plus loin une tente dans un village, des cyclos qui font la queue, je fais la queue aussi, et quand c'est mon tour le mec m'annonce qu'il y a plus de café. J'attends quand même puis je me ressaisis et me rabats sur un chocolat chaud. Finalement mon salut ne viendra qu'une heure plus tard avec un grosse boulange où un café et un pain au chocolat marqueront le début de la fin.  
 
Il est 6h48, le jour se lève et j'ai basculé dans un autre monde où j'ai rangé ma conscience, c'est plus vraiment moi qui pédale. J'ai changé la musique, j'écoute Fontaines D.C. avec un punk / post-punk un peu hargneux et tout.va.bien.
 
A 7h15 un pote me parle de passer me voir à Tinténiac à 8h30. Je fais les calculs, j'y serai dans ces eaux-là, je me hype trop avec cette idée. Traversée de la Bretagne mignonne et arrivée à Tinténiac, km 869 à 8h27. Finalement mon pote a été retenu à Rennes. Je prends mon café et mon ptit déj seul.
 
Je repars et pendant 1h je ressasse sur le fait de pas avoir vu mon pote. Au bout d'1h je me dis que c'était vraiment génial de l'avoir vu, je me suis inventé la conversation dans ma tête. #justpbpthings
 
La route est sans accrocs jusque Fougères, km 923, où je pointe à 11h18. Fin heureux, c'est le moment où je charge la dernière trace dans le Garmin, donc la distance restante = la vraie distance restante, ahah.
 
Pause au self, gros plat de pates, bonne humeur, sieste au soleil dans l'herbe, puis je redécolle. Reste 290km.
 
Sur la route du prochain CP je croise le Stéphane Gibbon mentionné par Mikamika, on discute, ce mec est vraiment génial.
 
La route se charge, plus que les jours précédents puisque je rattrappe les mecs partis le dimanche et qui finiront proches de leur délai. Et en même temps je suis pas du tout en état d'être sociable.  
 
Arrivée à Villaine la Juhel, km 1012 (!) à 17h05, ambiance de Tour de France. En mode asocial extrême je supporte pas le monde. Je bouffe une banane quelques mètres après le centre du village. Je m'arrête 100m plus loin pour un café dans une épicerie.
 
Je pars comme un boubourse dans mon état second, je passe mon temps à remonter des paquets. Comme depuis ce matin en fait.
 
Vers 19h dans un bled inconnu j'aperçois à nouveau Stéphane devant un Carrouf. Je mets le clignotant, je vais acheter un taboulé et des bombecs pour finir. On discute un peu, il me dit qu'il n'y a plus qu'à dormir à mortagne et que c'est gagné? J’acquiesce en sachant que je vais rouler d'une traite et finir en moins de 72h.
 
Je repars en mode nuit, direction Mortagne. Les cyclos roulent n'importe comment, pas de relais, au milieu de la route, voir à gauche pour certains... ça fait du bien d'arriver à Mortagne au Perche, km 1097 à 21h48. Café, coca, viennoiserie et c'est reparti.
 
Reste 80 bornes jusque Dreux. Je m'incruste dans un groupe (enfin!). Seule ombre au tableau mon dérailleur qui commence à rater des vitesses, super énervant quand il est minuit et qu'il reste 100 bornes. Pause à Senonches pour un café qui fait plaisir. Arrivée à Dreux, km1174 à 1h41.
 
Tout va bien, il me reste 3h30 pour arriver faire 45km et terminer en 72h. Je règle mon dérailleur. Ca marche pas. Je tourne la molette et crac, je sens le câble péter et le dérailleur se met tout à droite. Direction l'assistance mécanique, j'assiste impuissant au bricolage du mécano. J'ai plus de cable de dérailleur et ma manette est pétée. Il me propose de partir en single speed, j'accepte. Pas moyen de faire mieux que bloqué sur du 15 (je crois) à l'arrière.Bordel, j'ai perdu du temps avec ces conneries en plus.
 
Je repars peu avant 3h. En 36x18 avec une ligne de chaîne dégueulasse. Par chance c'est globalement plat, même si je me fais rire à envoyer du très lourd dans les bosses et les faux-plats. Les 45 derniers kilomètres se font dans le calme, le silence interrompu par les cris des hiboux. De la foret.  
 
Arrivée à Rambouillet, je décéde sur les pavés de la Bergerie Nationale. Fini. Passage sur la ligne à 4h30 et tamponnage du carnet à 4h48.
 
 
Sous la tente je retrouve Jipé, arrivé 20 minutes avant, je suis ému et j'essaie de bouffer sans penser que je suis gelé (5° + humidité dans la tente) et que j'ai cassé mon vélo... Un dernier café pour me réchauffer et je vais me coucher dans la bagnole (que je galère à retrouver dans Rambouillet), puis retour à Paris, dodo, puis retour à Rambouillet pour récupérer ma meuf.

dans les vélos neufs chez d4 :
rc 120 en 34 / 34
rc 500 34 / 32
rc 520 34 / 32
 
les ultra AF en 50 34, par contre les rcr passent en 36 / 28, mais en dérailleur chape longue quand même.
 
Après si t'achètes de l'occaz sans rien y connaitre et sans demander conseil, c'est normal que tu te plantes...

non mais la plupart des gens peuvent pas monter des cols sur du 39/28    
c'est peut-être valable pour rouler dans du vallonné mais sinon il faut clairement un rapport proche de 1, en mono ça va limiter forcément si tu veux pouvoir pédaler vite et/ou en descente

Nan, bien sur, mais c'est techniquement au point.

Comme un type qui emmène du 53/39 et une cassette en 11-28.

J'en suis clairement pas capable, mais bon, je suis pas "vraiment" une référence en montagne.

Rody, t'as quoi comme braquet ?

On dirait un vieux qui parle.

On est d'accord que l'exemple n'est pas pour nous : le premier public de ce matos c'est les pros.
Mais avec une plage équivalente, je vois pas trop le soucis. Suffit de prendre un platal plus petit.

Et puis bon, en vtt ils ont une cassette en 10-52, donc ça laisse de la marge

le groupe élec est quand même un peu chère pour beaucoup de monde.il y a rarement ici des demandes pour des vélos de dentistes.    
le 2x11,c'est un bon équilibre et pas très chère.
le 12V à VTT,c'est pas mal mais il faut que ça soit régler au poil de couilles et que le cadre/pate de dérailleur soit nikel sinon ça gratte d'un coté ou de l'autre de la K7.

 
Justement, pour moi l'avenir de ce que vont vouloir nous vendre les fabricants, c'est hydro/élec, avec des tarifs qui vont diminuer. Le 105 ne devrait plus tarder à avoir droit à sa version électrique.  
 
Tandis que du 1X avec 72 pignons, ça a du sens sur la gamme GRX, mais pas vraiment en route.

 
Pas mal.

Mouais... un mono c’est l’assurance d’avoir une chaîne jamais alignée
 
Vive le compact en mode auto sur Di2

 
Mais jamais croisée non plus  
 

 
Yes, c'est sympa. Mais autrement plus complexe.

Super vos CR du PBP !    
J'ai tout lu    
 
Je sais pas encore si ça fait envie ou pas  

 
Payer 200 balles pour ressembler à un ouvrier de chantier  

 
78 écus fdp    
 
J'avais comme critère de rester sous les 100  

GG !

Le mécano ne pouvait pas te changer le câble de dérailleur normalement ?

En regardant les temps c'est à partir du mercredi que tu m'as distance et le fait de ne pas avoir dormi la dernière nuit  

Le triple, ça fait un peu débutant et "cyclo" sans doute pour ça que c'est un peu raillié par certains.... les mêmes qui vont aller pendre une cassette >30 dents avec leur plateau de 34...
Franchement le triple en (moyenne) montagne si t'as pas un niveau correct/kilos en trop , c'est une très bonne solution.

C'est quoi le problème d'avoir une cassette >30 dents avec un plateau de 34 ?  

 
Routage interne, il a essayé mais pas réussi.
 
Et d'après le mécano parisien la manette est pétée...
 
... et franchement j'ai jamais compris comment marchait une manette ou un dérailleur donc je laisse faire.

super CR !! Bravo, on a eu tous les détails (y compris les tentatives ratées de caca )
C'est quoi cette histoires de CP secrets ?

Oki, oué c'est compliqué une manette, étant curieux ça m'intéresserait d'en ouvrir une pour comprendre le fonctionnement.

Au retour le point d'accueil de Saint Nicolas du Pelem était un contrôle secret, c'est pour éviter ceux qui montent dans les voitures entre les contrôles .

En même temps c'est toujours le même contrôle secret  

du 105 2x11 élec',je ne dis pas non.    
ça a l'air de bien fonctionner,il faut juste recharger de temps à autres.

   
Et vous étiez prévenus par les panneaux sur la route ?

Oui et par les bénévoles, à l'aller "no control" et au retour "secret control".

 
Attends moi j'ai un tampon à l'aller et au retour à Saint-Nicolas  

 
Ça c'est une autre des mes prévisions : l'arrivée de groupes automatiques, qui se rechargent en piquant quelques W de temps en temps