Il est tellement en force notre Kéké. Ça passe quand on est très jeune mais quand le corps dit stop, ça ne pardonne plus rien. Et c'est tellement long à bosser le relâchement, si ce n'est pas travaillé et que le focus n'a jamais été mis là dessus, c'est peine perdu. On ne devient pas Djokovic ou Federer par hasard.
C'est un peu notre Dominic Thiem ou notre Del Potro français le Kevin.
Message édité par PlayTime le 08-07-2024 à 23:56:06