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Auteur Sujet :

le travail est il une valeur ?

n°3171010
DepZ
Me choose to Go Face.
Posté le 09-07-2004 à 14:10:23  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

fiston a écrit :

[:rofl]  [:rofl]  
 
Non mais franchement t'es qui pour chier sur la tête de tout le monde !!
Un pauvre avocat en début de carrière qui plus est à Paris, l'endroit le plus blindé d'avocats ...
 
je le sais, je ne suis pas sur Paris profesionnelment, tu as du mal lire.
 
T'es hautain, de mauvaise foi et l'idée que tu te fais de la réussite sociale est abjecte !! Bon t'as des circonstances atténuantes, tu viens de débuter dans ton taff, c'est dur, tu plaides probablement de la merde et t'es déçu mais ça n'excuse pas toute la merde que tu deverses ici depuis qq jours !
 
Bof, sur le plan financier j estime ma situation tres satisfaisante  et je n estime pas non plus plaider de la merde...
 

mood
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Posté le 09-07-2004 à 14:10:23  profilanswer
 

n°3171054
DepZ
Me choose to Go Face.
Posté le 09-07-2004 à 14:13:29  profilanswer
 

cyberslan a écrit :


 
je suis etudiant.
 


 
Interessant d'entre les conceptions de quelqu'un qui n a pas du etre enormement confronté au monde du travail en dehors de jobs etudiants ou de jos de vacances.
 
Ne crois pas que je t agresse mais ta vision montre quand meme que tu n as pas ete confronté a certaines realités.

n°3171077
DepZ
Me choose to Go Face.
Posté le 09-07-2004 à 14:15:19  profilanswer
 

sowetoguy a écrit :

Attention: nous parlons ici de valeur: cela va donc au-delà des différents types d'activité envisagés.


 
Il est entendu que sur un plan humain les pompiers sont surement plus utiles que les footeux. Mais c'ets assez subjectif comme critere d evaluation du salaire.
 
 
 

n°3171308
Marc
Super Administrateur
Chasseur de joce & sly
Posté le 09-07-2004 à 14:30:27  profilanswer
 

depz a écrit :

Concretement la tu fais quoi a par m agresser parce que j ai le malheur de penser comme la majorité ?  
 
Tu crois que ca peut changer quelquechose ?

J'essaie de te faire comprendre en quoi juger les idées d'une personne en fonction de son activité sur un sujet qui n'a rien à voir me semble idiot, mais apparament tu t'en contrefout, donc effectivement ca ne sert à rien. Sur ce a+

n°3664307
Profil sup​primé
Posté le 05-09-2004 à 08:25:00  answer
 

le proto a écrit :

oui, faudrait peut etre deja commencer par donner la definition du mot "travail" deja [:itm]


 
 
Le travail n'est rien d'autre que l'esclavage des temps moderne. Certes on ne fouette plus et on essaie de nourrir les travailleurs correctement, on y gagne au niveau de la rentabilité et de la paix sociale. Le fouet a pris une autre forme, la fiche de paye, sans c'est le bannissement pur est simple de la société, rejeté dans les nimbes des laissés pour comptent. Le problème c'est qu'aujourd'hui il n'y a plus de travail pour tout le monde, donc sa coince et cela ne va pas allé en s'arrangeant.
Posez vous la question, à qui profite le travail, a vous à moi ?
Certainement pas, certain sans tirent mieux que d'autre mais dans l'ensemble l'immense profit produit par les travailleurs a travers le monde va dans les poches d'un minorité, est c'est bien ou ce trouve le problème.  
Quand je vois l'état et le Medef remettre au goût du jour la valeur travail, cela me fait bien rire (jaune). On essais par tout les moyens de motiver la masse a des salaires de misères permettant de résorber une partie du chômage.
 
Le mot travail vient du bas latin tripalium (VIe siècle) instrument de torture formé de trois pieux.
Altération sous l'influence de la famille de trabs, trabis : poutre. (travée)
Au XIIe siècle: Travail : Tourment, souffrance. Travailler : Tourmenter, souffrir.
Au XVIe siècle : "Se donner de la peine pour".

Voilà, ça veut tout dire !


Message édité par Profil supprimé le 05-09-2004 à 08:26:56
n°3664311
agreuh
Posté le 05-09-2004 à 08:33:43  profilanswer
 

zmed> +1

n°3664316
Magicpanda
Pushing the envelope
Posté le 05-09-2004 à 08:38:27  profilanswer
 

Je ne pense pas qu'on puisse élever le travail comme une valeur fondatrice de la Nation francaise , je prefere "Liberté , Egalité , Fraternité " que " Travail , Famille , Patrie " , ce n'est pas un hasard si ces devises sont associées à des régimes différents ...
 
De plus depuis quelques années , la vie des gens se limite aux perspectives professionels , tout le reste devient vite secondaire


Message édité par Magicpanda le 05-09-2004 à 08:38:58

---------------
" Quel est le but du capital ? Le but du capital c'est produire pour le capital. L'objectif, lui, est illimité. L'objectif du capital c'est produire pour produire." - Deleuze || André Gorz - Vers la société libérée
n°3664334
l'Antichri​st
Posté le 05-09-2004 à 09:06:59  profilanswer
 

Citation :

Le mot travail vient du bas latin tripalium (VIe siècle) instrument de torture formé de trois pieux.  
Altération sous l'influence de la famille de trabs, trabis : poutre. (travée)  
Au XIIe siècle: Travail : Tourment, souffrance. Travailler : Tourmenter, souffrir.  
Au XVIe siècle : "Se donner de la peine pour".


 
 
Fondamentalement, le travail est l'activité par laquelle l’homme entreprend d’arraisonner la nature. Chasse, pêche, cueillette sont encore des actions naturelles qui ne font qu’effleurer la nature, y prélèvent un tribut modeste qui la laisse intacte. C'est pourquoi, on dit que la révolution néolithique est révolutionnaire en ce qu’elle passe d’une adaptation de l’homme à son milieu, d’une sorte de symbiose, à une adaptation par l’homme de ce milieu (domestication d’espèces, aménagement du paysage, appropriation sédentaire du territoire, fabrication de substances non spontanément présentes dans la nature telles que métaux et alliages...). Or, tout cela, dit Rousseau, est le produit fortuit d’une " circonstance extraordinaire ", ce qui tend à suggérer que tous les développements de la civilisation et du travail qui accompagne celle-ci n’avaient rien d’inéluctable et que l’homme pouvait continuer de " s’en tirer ", sans faire grand-chose, comme nous le montre, aujourd’hui encore, les sauvages fort occupés de fêtes, de peinturlurages corporels, d’épouillage convivial et de rites divers bien plus absorbants que le boulot-métro, triste apanage des civilisés fils du blé et du fer. Cet état béni de sauvagerie était " le meilleur à l’homme ", le " moins sujet aux révolutions " et l’homme n’en sortit " que par quelque funeste hasard qui pour l’utilité commune eut dû ne jamais arriver ". Car enfin qu’en est-il des soi-disants avantages libérateurs du travail ? On voit surtout cette aberration que pour se libérer (croit-il) du besoin et de la nécessité, l’homme s’enchaîne à un univers laborieux toujours plus colossal. Il est naïf de croire que le travail viendrait soulager un besoin en une sorte de réponse fermée et définitive. En réalité, le travail créer ses propres besoins, que de nouveaux travaux doivent alors satisfaire, lesquels à leur tour... En outre, le besoin satisfait par quelque travail ne supporte bientôt plus d’être frustré ce qui conduit à tout faire pour que la satisfaction soit toujours mieux et plus assurée et par conséquent à un surcroît d’efforts. Hegel à écrit une forte page sur ce mouvement de complexification et de raffinement et des besoins et des travaux requis pour les satisfaire (cf. Principes de la philosophie du droit, §. 190-191). Bref, on en arrive à ce cercle comique qui consiste à se donner un mal fou pour inventer de quoi soulager sa peine ; moyennant quoi les dispositifs censés soulager la peine des hommes sont employés à produire davantage pour satisfaire un désir croissant et l’on travaille autant sinon plus qu’avant. Bref, ceux qui prétendent que l’homme se libère par son travail, ne veulent pas voir qu’en réalité il s’emprisonne lui-même dans un dispositif formidable dont l’expansion est irrésistible, et dont il devient lui-même l’esclave. En sorte que l’homme est la proie moins d’une nécessité externe, celle de subvenir à ses besoins, que d’une nécessité interne à sa propre entreprise censée desserrer cet étau du besoin et qui substitue à un besoin primitif finalement bien peu exigeant et fort aisé à satisfaire, un besoin proliférant, omniprésent, lancinant. Et Rousseau de retrouver les accents des moralistes cyniques ou stoïques pour railler ces hommes qui s’exténuent en vue de la satisfaction, perdant leur vie en prétendant la gagner et l’embellir, se donnant un mal de chien en visant un bonheur que les moyens employés pour atteindre cet fins leur interdiront à jamais de réaliser (cf. début de la note " i " du second Discours). Le travail, au sens que la civilisation a donné à ce terme, n’était donc nullement nécessaire. Il l’est seulement devenu au sein d’une entreprise qui, loin de libérer l’homme du besoin, l’asservit à un besoin toujours plus étendu et factice et du coup le conduit à s’imposer les contraintes exténuantes d’un travail planétaire. On ne chasse plus dans " les vastes forêts " simplement pour regarnir le garde- manger, on sarcle au long du jour " en des campagnes riantes qu’il [faut] arroser de la sueur des hommes parce qu’une récolte réclame des soins de tous les instants pour n’être pas gâtée. " Une nécessité naturelle primitive s’est muée en nécessité artificielle formidable génératrice de contraintes de plus en plus contraire à la vie belle et bonne : pour tenir à bout de bras l’univers planétaire du travail, il faut travailler sans repos de longues heures, travailler la nuit, faire les 3x8, détraquer nos rythmes de vie. Le travail devient contre-nature, il difformise la vie, la rend parfois obsessionnellement dépendante (produire plus, gagner plus) ; de moyen il devient fin par une perversion fréquente et typique. Ainsi peut-on comprendre cette réputation odieuse qu’il a prise et qu’il puisse apparaître comme une sorte de " loi d’airain ", de malédiction, de fatalité, de châtiment qui pèse sur l’humanité pour quelque obscur faute ou par quelque malignité d’un absurde destin.
 
Or, il se pourrait bien que soient de la sorte méconnue ou mal appréciés divers aspects du travail. On peut sans doute admettre que le travail ayant pour fonction fondamentale d’assurer la subsistance des communautés humaines à proportion de leur développement et de leur complexification, occupe une place tout de même subordonnée par rapport aux buts et aux entreprises que l’homme ainsi libéré de besoin matériel peut se proposer. Il est frappant de voir Marx rejoindre Aristote dans cette idée que la libre praxis sera nécessairement au delà de la pesante poiesis. Peut-on pour autant méconnaître que le travail soit aussi quelque chose où l’esprit est présent et actif, où l’humanité en ses meilleures qualités se montre et se prouve, bref quelque chose où la nécessité extérieure en son aspect le plus pauvre et le plus immédiat se fait arraisonner par les ressources de l’intelligence et de l’ingéniosité, de la patience et de l’opiniâtreté, de l’imagination, de la volonté, du goût de l’effort et même de l’amour du travail bien fait, fini, toutes qualités remarquablement absentes à cet égard dans les analyses d’Aristote pourtant si apte par ailleurs à l’observation ? L’examen et la reconnaissance de ces caractères du travail où s’investissent la pensée et la volonté justifient la constitution d’un sens original du terme de travail. Le travail c’est sans doute cette sphère technico-économico-sociale de la production, de l’organisation de celle-ci, de l’appropriation et des échanges qu’on a considérée jusqu’à présent et dont l’appréciation donne lieu à ces jugements antithétiques ; mais c’est aussi une activité opératoire d’un certain type. Si le terme de travail a largement débordé le cadre de ce monde du travail et s’emploie en des circonstances et des situations très variées et très larges (le boxeur travaille son gauche, le maître travaille son cours, l’artiste son oeuvre ou son rôle, l’administrateur son dossier, le philosophe son concept, puisque la pensée elle-même travaille comme le montre Spinoza dans son passage connu du Traité de la réforme de l’entendement, §. 30) c’est parce qu’il a fallu admettre que la poiesis n’était pas sans pensée, participait d’elle, ce qui revient à dire que travail et pensée, travail et esprit ne sont pas étranger l’un à l’autre. Le travail n’est donc pas seulement ce complexe technico-économico-sociale, cette infrastructure matérielle des sociétés qui répond, croit-on, à une nécessité vitale ; il n’est pas seulement la tâche qu’un nombre plus ou moins grand d’individus est contraint d’effectué chacun pour son compte afin de gagner sa vie (le métier) ; il est aussi quelque chose d’opératoire en général, une démarche sérieuse où s’investissent les forces humaines en vue de produire un ouvrage et ceci en des occurrences parfois très éloignées de la production matérielle ou du gagne-pain et nullement sanctionné par quelque aspect économique comme c’est le cas pour les deux significations précédentes. C’est pourquoi, si pour Aristote l’homme politique étudiant un dossier (ou le philosophe confectionnant un traité) ne " travaille " pas (c’est de la praxis), pour nous il le fait, non en ce qu’il relèverait du monde du travail ou en ce qu’il gagnerait son pain mais en ce qu’il peine pour élaborer une matière (administrative ou diplomatique, scientifique ou pédagogique) pour en tirer un résultat (règlement, traité, concept, argument...). La contrainte elle-même, qui est rarement absente du travail, n’a pas qu’un visage nécessairement rebutant. Elle est cette tension inhérente à l’opération laborieuse qui doit s’astreindre à la discipline d’un ordre, d’une méthode, à l’attente soutenue, au réalisme qui ne doit pas diverger, à la patience qui réfrène un désir qui veut tout tout de suite et n’a pas le sens des contraintes inhérentes au processus en son ordre. Elle secoue l’inertie et la mollesse, dope le caractère, oppose la rationalité du faire ordonné à l’anarchie du désir. Hegel a raison de dire que le travail forme (cf. Phénoménologie de l’Esprit, IV) c’est-à-dire qu’il éduque et en cela participe au processus d’éducation de l’humanité. Le travail comme opération peut donc être considéré comme une conduite en laquelle est possible aux hommes, sinon de se réaliser entièrement, du moins de réaliser quelque chose d’eux-mêmes qui importe car l’ouvrier est la manifestation et l’ouvrage le miroir objectivé de ses facultés. Et c’est pourquoi, un simple clou peut-être dit quelque chose de plus haut que les plus belles production de la nature car il est l’oeuvre, non d’une force aveugle, mais d’un esprit et d’une volonté qui se savent. En ce sens, le travail apparaîtra, non comme le fruit malencontreux de quelques hasard externe, mais comme une nécessité interne à l’humanisation de l’homme. Mais alors, nous voici bien loin de Rousseau ! En vérité, nous sommes bien plus près de notre auteur qu’il n’y paraît car cette nécessité interne ne relève-t-elle pas de ce que Rousseau appelle la " perfectibilité ", apanage de notre seule espèce ? Le rapport même difficile de l’homme comme pur animal à son milieu ne nécessitait pas le travail (ni même d’abord la socialité). Mais l’homme n’est pas un pur animal lors même qu’il le semble et il ne pouvait pas ne pas sortir de l’état de nature (et même de la sauvagerie) et cela conformément à sa nature c’est-à-dire conformément à ce que la nature voulut pour lui. Le perfectionnement humain était nécessaire c’est-à-dire inévitable, inéluctable et même, l’admet Rousseau, nécessaire parce qu’indispensable et souhaitable pour un être qui, sans lui, fut demeuré stupidement insensible " vivant sans rien sentir, mourrant sans avoir vécu ". Le travail procède de la nécessité inhérente à la perfectibilité et il est nécessaire pour le perfectionnement de l’homme : Emile apprendra un métier. Mais comme la socialité (et d’une manière générale, l’humanité de l’homme), le travail recèle le meilleur et le pire, la vertu et la dépravation, l’humanisation et la dénaturation.


Message édité par l'Antichrist le 05-09-2004 à 10:21:21
n°3664366
agreuh
Posté le 05-09-2004 à 09:41:10  profilanswer
 

yanng a écrit :

Le travail est un mal

[:aloy]

n°3664373
agreuh
Posté le 05-09-2004 à 09:42:46  profilanswer
 

Tu pourrais faire plus de paragraphes, histoire d'aérer, parce que là, lire ça sur le pc.. :/

mood
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Posté le 05-09-2004 à 09:42:46  profilanswer
 

n°3667946
La vaca
vache volante
Posté le 05-09-2004 à 20:32:51  profilanswer
 

Un jour où j'avais rien à faire, g écrit ce ke je pensais du travail :
 
-LE TRAVAIL-
 
 
      L’origine de ce mot suggère l’idée d’un assujétissement pénible.
« Travail » vient en effet du latin populaire « tripalum » qui désigne d’abord un appareil formé de trois pieux servant à maintenir les chevaux difficiles pour les ferrer, puis un instrument de torture. De même, le latin « labor » d’où sont issus les mots « labeur » et « labour », évoque tout à la fois le travail et la peine.
C’est que le travail est d’abord une nécessité vitale. Il exprime le dénuement originel de l’homme qui ne parvient à survivre dans la nature qu’au prix d’un effort douloureux. Rien de ce dont il a besoin pour vivre ne lui est donné.
Ainsi, dans la tradition Judéo-chrétienne, le travail est un CHÄTIMENT !
« Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front », dit Dieu à Adam (Genèse,III,19).
 
      L’accumulation de l’argent est un processus sans limites et, à vouloir s’enrichir on peut perdre sa vie à la gagner. L’argent dénature aussi le travail lui-même, qui ne se définit plus d’après son résultat mais d’après le gain qu’il procure. Le travail n’est plus pour le travailleur qu’un moyen de gagner sa vie !
Non seulement le travailleur n’a aucun droit de propriété sur le produit de son travail, mais aussi et surtout il est dépossédé réellement de son travail dans lequel « il ne s’affirme pas mais se nie, ne se sent pas à l’aise mais malheureux, ne déploie pas une libre activité physique et intellectuelle, mais mortifie son corps et ruine son esprit ». Le travail est donc un travail forcé !
Mais c’est aussi la vie hors travail qui est ALIENEE : elle n’est plus que temps de repos. Le travail a donc revêtu au cours de son histoire des formes concrètes aliénantes : ESCLAVAGE, SERVAGE, SALARIAT.
 
      Une conclusion inéluctable semble donc s’imposer à nos esprits clairs et sains ; NOUS avons saisi le sens de la vie, et s’il ne doit en rester que deux, alors nous serons ceux-là !  
         
                    LE TRAVAIL EST UNE CALAMITE !  
                                                      J.V.

n°3671812
barna
Posté le 06-09-2004 à 12:55:51  profilanswer
 

flaguer son propre thread, si c'ets pas malheureux....


Message édité par barna le 06-09-2004 à 12:56:15
mood
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Posté le   profilanswer
 

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