Reprise du message précédent :
C'est le majordome le meurtrier.

Je connais une Lénaïe (prononcée lena-i)

Surtout que c'est un titre et pas un prénom.

bonjour
 
le petit seeyan vous passe le bonjour la fami

Super

 
Il est super niveau 1, 2 ou 3 ? Est-ce qu'il va changer de couleur de cheveux à chaque anniversaire et se battre contre les brocolis et les (k)arott à la cantine ?

On dit pas du mal du fils Supacrew.

j'en ai un dans l'entourage, j'ai fait ls mêmes blagues.
Alors que leur premier garçon c'est du genre Alexandre

Je me demande si c'est pas Cyan orthographié à la cassos ?
Mais le Saïan de super cassos c'est plus crédible.

une jeune Pétronille aujourd'hui (enfin 18 ans)

Comme dans la chanson.  
"Harlequin marie sa fille, la petite Pétronille"...

Au cas ou elle oublirai son prenom  
 
https://www.instagram.com/reel/C3zj [...] _copy_link
 
 

j'ai pas les mots

En faisant des recherches généalogiques, je suis tombé sur un Illuminé DIEU, vivant dans les années 1800  
 

"God's power" et "God's time"
 
Prénoms de deux frères, dans l'école primaire où travaille ma femme.
 

Et le cadet God's Illah?
 

Le père trans ça doit être God'Ass et la mère God'ceinture

Mais comment ça peut être accepté bordel ?

Je suppose que ce n'est pas en France, ça ne passerait pas a l'état civil. (J'espère   )

 
Le pouvoir et le temps, voilà une famille parée, ou presque, il lui manque les $$ mais avec l’arrivé du petit frère "God's money" ça ira.
Faudrait évidement pas qu'une petite sœur Godiche vienne tout gâcher ...

 
Je pense que ce serait possible puisque c'est à l'officier d'état civil de décider s'il l'enregistre ou pas. En fait je pense que l'apostrophe poserait potentiellement plus de problème que le reste. Peut être qu'à l'état civil ses enfants n'ont pas l'apostrophe et que ça donne "Gods Time" et "Gods Money".

Godetime....timéo c'est presque pareil  

Si si. Ecole de quartier sensible quelquepart en région grand-est.

edit : faut que je redemande quand même pour l'apostrophe, vous me mettez le doute.
edit2 : Y a bien l'apostrophe sur les étiquettes avec son prénom en classe, mais j'ai pas accès à l'état civil.  

 
 
Bah en tout cas je sais que l'état civil pose des problèmes pour les prénoms avec tilde donc à mon avis pour les apostrophes ça peut être pareil.
 
Sinon je ne vois pas trop la nécessité de préciser "école de quartier sensible en région grand est" quand quelqu'un demande si c'est en France. Un "si c'est en France" n'est pas suffisant?

Bah pourquoi pas ? Faut pas le dire quand c'est dans un quartier sensible ?

 
Je ne sais pas. Est-ce que c'est important pour la personne qui a juste demandé si c'était en France? Et pas "dans quel coin de France?" ou "dans quel quartier de quelle ville"?

Peut être ou peut être pas mais je vois pas en quoi ça te concerne du coup.

Ca concerne tous ceux qui lisent, comme toi tu te sens concerné en répondant à une question qui ne t'es pas adressée.
 
C'est le principe du forum en fait.

Il est serviable, il veut bien faire en précisant plus que nécessaire voila tout. Un homme bien  

Pour moi ça va avec le topic.
Dans l'interrogation sur les prénoms qui peuvent sembler improbable, il y a forcément un questionnement sur l'origine de ces prénoms (considérés, à tort ou à raison comme) douteux ou peu évidents à porter : est-ce une explication culturelle, sociale, ou je ne sais quoi.

Donc oui, le commentaire sur la localisation pourrait aider à cerner l'origine de l'inspiration surprenante de certains parents.

Exemple :
"Quartier banal de la banlieue de telle grande ville de France" pourrait entrainer une réponse du type : "Oh mais là bas il y a une grosse communauté mormone, et ils ont souvent des prénoms un peu dans le genre, tels que XXX ou YYY que j'ai déjà croisés quand j'habitais aux USA"

Typiquement, Quitterie, ça ne doit pas beaucoup se trouver en dehors des quartiers bourgeois de Bordeaux. Un peu à Biarritz et à Versailles ou dans le XVIème.

on a ce problème en bretagne, tilde qui passe pas, mais apostrophe sans souci

Je ne sais pas si c'est sans souci partout, il y a des problèmes avec les Derc'hen régulièrement il me semble. Peut-être qu'en Bretagne ça passe mieux avec le régionalisme, mais qu'ailleurs ce serait plus compliqué.
Comme les fonctionnaires de l'état civil ont le dernier mot, j'ai l'impression qu'il suffit de tomber sur quelqu'un de zélé pour que ça coince et qu'il soit nécessaire soit d'abandonner, soit d'aller en justice.
 
Je connais une personne qui voulait nommer sa fille Kimberley et qui n'a jamais pu. C'était il y a environ 20 ans. Elle a prouvé que des gens avaient vécu en France avec ce prénom, et malgré tout n'a pas eu gain de cause et a été obligée d'appeler sa fille Kim (est-ce réellement pire/mieux que Kimberley ? C'est comme refuser Jefferson et imposer Jeff comme prénom   ). Cette personne est pourtant avocate de profession.
 
De même, je ne veux pas non plus que la personne soit trop reconnaissable sur le net car le prénom est particulier, mais sa fille étant adoptée, elle aurait aimé pouvoir lui donner en deuxième prénom le surnom qui lui était donné dans son orphelinat d'origine. Le fait d'avoir un lien avec son passé me semble très honorable, on aurait pu espérer de la compréhension de la part de l'état civil. Que nenni.
Le prénom en question était du type "Anouschka" (c'est le plus ressemblant qui me vienne à l'esprit, Anouschka est plus exotique que le prénom en question). C'est rare certes, mais il y en a en France. On lui a refusé. Elle n'a pas eu le courage de se battre sur ce deuxième prénom.
 
J'en conclus qu'avec l'état civil, beaucoup de choses sont à la tête du client.
 
Dans les quartiers populaires, je pense que les gens laissent passer tout et n'importe quoi car il y a des choses curieuses tous les jours.
Dans d'autres endroits, il y a probablement des officiers d'état civil qui pensent avoir le monopole du bon gout.
 
Car franchement, le prénom Fraise par exemple n'était pas choquant par rapport à Prune ou Cerise (pour rappel, les parents ont été contraints à "Fraisine" que je trouve bien pire personnellement). Et à coté de ça, on a des trucs à coucher dehors qui passent crème.
 
Donc bon...

Non mais en fait la loi n'est pas dépendante de si tu vis chez les bourges ou pas hein.
La loi depuis 1993 c'est que l'officier d'état civil est tenu d'accepter tout prénom qui ne semble pas clairement porter atteinte aux intérêts de l'enfant et dans le cas contraire, de faire un signalement au procureur.

 
A la tête du client peut être, au bon vouloir de l'agent d'état civil surtout.
 
Effectivement à une époque beaucoup de prénoms "régionaux" étaient refusés si la naissance avait lieu hors de cette région (grosse pensée pour ma copine bretonne dont la mère avait dû retourner à Lorient pour accoucher d'elle et de son frère car dans la famille des prénoms bretons avaient été refusés en île de France). Et j'avais une autre camarade de classe, née en Corse d'un élu municipal, qui portait un prénom non français et considéré comme masculin dans la langue d'origine mais née dans la commune dont son père était élu, bizarrement, pas de souci.
 
Sinon "les trucs à coucher dehors" c'est de la subjectivité, c'est pour cela qu'il est difficile de savoir ce qui "va passer" ou pas à l'état civil.

C'est vrai que ça ne doit pas être évident de trancher. Mais god's time franchement ça me choque. Je ne comprends pas que ça puisse passer.

Les parents ont peut être pu prouver qu'il y avait un précédent.
 
Je crois que c'est ce qu'on avait demandé pour un de mes proches qui a un prénom "américain" (c'était avant l'arrivée en masse des Kevin )

Pour les apostrophes, c'est l'absence de précision dans la circulaire du 23 juillet 2014 qui a engendré un flou.
 
Dans la mesure où, en France, il n'existe pas de liste fermée des prénoms autorisés, il y a forcément un degré de liberté / d'appréciation ( / de tête du client, appelons ça comme on veut ) dans ce "ne semble pas clairement" porter atteinte aux intérêts de l'enfant.
 
Il y a des Tarzan nés en France. Qu'on ne me dise pas que ça ne leur porte pas préjudice.
 
La dernière fois que j'ai été voter, plus de la moitié des prénoms de l'école maternelle étaient imprononçables si le parent n'était pas à coté pour en expliquer la prononciation.
Environ 5 d'entre eux ressemblaient à des caractères tapés aux hasard par un chat sur un clavier. J'avais même hésité à vous les poster, de mémoire.
 
La limite entre le marqueur social préjudiciable (type "Djayzhonne" ) et le préjudice réel est très souvent fine.

Pas porter préjudice ? Comment ces prénoms ont pu passer alors ?

https://www.journee-de-la-femme.com [...] ts-102023/

Je pense que c'est fake pour la plupart.
Photos du document de l'état civil ou il n'en est rien.