Reprise du message précédent :
What ?

Shera le retour

http://www.premiere.fr/Series/News [...] Netflix-le

j'ai pensé a vous ^^

l'ancienne qui n’était pas asexué :
http://i68.servimg.com/u/f68/13/74/84/96/26001210.jpg

La secte pédophile préfère s'occuper des homos que des prêtres violeurs d'enfants

Ou faire pression en Argentine pour ne pas légaliser l'avortement

Bonjour a tous, que la paix soit avec vous.    
 
Il risque quelque chose le pape avec ce genre de propos?

A part un tollé, pas grand chose puisqu'il les a prononcé dans l'avion...

... Avion de la flotte Irlandaise Aer Cunilingus...

 
Plus rien ne m'étonne.
La semaine dernière, j'ai légérement insulté sur Twitter un apprenti député de la région ouest, en invitant son employeur à se positionner sur ses positions un peu homophobes(en clair, il est pour la détection de l'homosexualité chez les futurs prêtres, et prêtent que la pédophilie n'est que l’apanage des homosexuels)
 
https://www.komitid.fr/2018/08/21/d [...] es-ventes/
 
Si tu savais depuis une semaine les torrents de merdes que j'ai pu voir se déverser suite à ca...puis ceux qui viennent maintenant dire que j'ai déformé, et que le lobby LGBT à déformé ses paroles...
Putain, je suis vraiment impressionné par tant de connerie des milieux facho catho.
Comme je disais avant, ils ont pas un échantillon de l'amour que devrait proner leur religion.
La je ne peu que le confirmer.

Ça change quoi ? Vraie question.

Il me semble que dans ce cas la législation applicable c'est celle du pays d'immatriculation de l'appareil faudrait un juriste pour le confirmer

C'est des paroles en l'air

 
En tout cas, c'est la première chose que mon mec m'a dite au réveil.
 
Même si ça n'a pas de conséquences directes (sur qui pour commencer ? les catholiques ?), il l'a dit et les gens le savent.

histoire  2004 à 2015   chercher  "homophobe"  pour  forum HFR
 
ouai !    
 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Homophobie
 
L’homophobie englobe donc les préjugés et les discriminations (emploi, logement, services), et cela peut se manifester par de la peur, de la haine, de l'aversion, du harcèlement, de la violence ou encore de la désapprobation intellectuelle intolérante envers l'ensemble de la communauté LGBT
 
L'homophobie peut être de différentes origines : issue de positions religieuses, de considérations cliniques (en médecine, en particulier en psychiatrie, et en psychologie), anthropologiques (au nom de la différenciation des sexes) ou issue de désirs homosexuels refoulés.
 
-------------------------
 
Le renforcement de la lutte contre les propos discriminatoires à caractère sexiste ou homophobe a été ainsi établi par le législateur :
 
Article 20
Après le huitième alinéa de l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
 
« Seront punis des peines prévues à l'alinéa précédent ceux qui, par ces mêmes moyens, auront provoqué à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou de leur handicap ou auront provoqué, à l'égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal. »
 
 

Attention aux effets de l'Androcur, quelque soit votre genre
http://www.msn.com/fr-fr/actualite [...] ocid=ientp

WTF ?    
 
 
https://lobservateur.info/la-une/de [...] c-en-ciel/
 
Dépénalisation : L’Inde arc-en-ciel
 
Le 6 septembre 2018, l’Inde a mis fin à la pénalisation de l’homosexualité. Jusqu’à tout récemment, les relations sexuelles entretenues entre des personnes du même sexe étaient passibles de la prison à perpétuité au vu de l’article 377.
 
La Cour suprême indienne vient donc d’invalider cet article du code pénal datant de l’époque britannique, qui interdisait les relations sexuelles entre personnes de même sexe. Ces liaisons étaient extrêmement discrètes jusque-là, en raison des tabous existants. Cette loi était déjà levée sur le territoire de Delhi, son application s’étend désormais à l’ensemble du pays.
 
Plusieurs personnalités indiennes éminentes ont mené un combat durant des années pour faire valoir que « l’ordre de la nature n’est pas invariable », que « la morale change au fil des générations ».
 
Manvendra Singh Gohil, surnommé le « prince rose », est l’un des artisans de ce changement de mentalité, lui qui a été rejeté par sa famille et sa société très conservatrice pour avoir eu le courage de révéler son homosexualité en 2006. « Les gens en Inde pensent que l’homosexualité est une maladie. Ma mère a tout essayé. Elle m’a emmené à l’étranger, m’a fait opérer et faire des séances d’électrochocs pour que je change », confie-t-il.
 
Bien que l’homosexualité reste un tabou social très fort dans la société indienne, les avis restent mitigés. En effet, suite au changement de loi, des experts vont jusqu’à mettre en avant la naissance d’un marché de niche à destination de ce public dans le géant d’Asie du Sud.
 
Selon une déclaration à l’AFP de Keshav Suri, militant gay de premier plan, « Cela (le changement) peut rapporter des milliards de dollars à l’économie indienne s’ils arrivent à faire dépenser les personnes gays en Inde ».
 
De plus, d’autres avis fusent quant au surpeuplement en Inde et favorisent la théorie disant que « les couples homosexuels ont en moyenne moins d’enfants que les couples hétérosexuels et des salaires plus élevés, ce qui se traduit par un pouvoir d’achat supérieur et un amoindrissement de naissances ». C’est un argument de taille dans le second pays le plus peuplé de la planète.
 
 

Bonjour.

Bondour.

Drapal

Euh, vous allez bien en France, besoin d'aide? https://www.francebleu.fr/emissions [...] l-temoigne

Point du tout. La loi applicable est celle du pays survolé au moment des faits (principe), après il y a des dispositions spécifiques au cas par cas.

et bonjour

De toutes facons, comme c'est le pape dont il est question, il ne risque pas grand chose.
 
Pour qu'il soit traduit en justice, faut que le pays où l'infraction ait eu lieu demande au vatican (qui est un état) une extradition. Déjà que pour Milosevic, ca a pris des décennies ... Bref, c'est pas demain la veille qu'il se retrouve devant un juge ...
 
D'autant plus que, au vu de son statut, il a certainement l'immunité diplomatique.

Bordel ce topic qui remonte des fins fonds de HFR, pourtant y’a de l’actualité !  

Les LGBTQA+ levez la main déjà Savoir si le troll va être mené par la droite blanche

J’avais oublié ce topic ! Bon la Pride cette année était un peu triste

Ma dernière remonte à l’Irlande... j’étais dans le cortège avec les gens de ma boîte qui est localement investie dans toutes les causes
 

 
Ouais le cliché

Celle de Dublin était sympa mais un peu trop commerciale. Trop d’entreprises manifestant

Cork c’était cool
 
Excuse ma mauvaise mémoire des pseudos, mais on avait bouffé ensemble en 2016 ou pas ?

Nope pas moi!

Effectivement en regardant dans mes MP

 
Je comprends pas que le topic soit si peu actif    
 
drap caché

On va mettre un peu d'animation, qui a vu le film "les crevettes pailletées" ?

Ouiiii
Il est sympa ce film

J’ai regardé Jonas sur Netflix, c’est triste

Salut!
 
J'ai une question sur un sujet probablement simple mais qui m'échappe un peu.
 
Je ne comprends pas bien le concept de non-binarité. Autant j'arrive à concevoir un raisonnement purement logique selon lequel il est possible de ne pas se définir uniquement par l'un ou l'autre des genres, autant j'ai du mal à saisir la traduction concrète de ce raisonnement. Ca consiste en quoi concrètement d'être non-binaire? Dans la vie tous les jours, qu'est-ce que ça implique?

La question du genre n'a pas de sens pour moi. Je ne me reconnais/m'identifies pas en tant que femme ou homme. C'est absurde.  
Par contre je suis bue "comme une femme" et en ce sens je subis les discriminations associées. Mais ça n'est qu'une construction sociale qui n'a aucun sens pour moi.  
 
Je ne sais pas si c'est clair ou si ça repond à la question

Merci pour ta réponse.
Mais ça ne me rend pas encore la question tout à fait claire.

Si nous parlons bien du genre et de ses conséquences sociales, je comprends que tu puisses refuser une case de genre au dépend d'une case "humain" par exemple. Un peu sur le principe de "je suis un humain dont les capacités sociales ne dépendent pas d'un sexe biologique, le fait que je sois sexué n'a pas à entrer en compte dans mes interactions sociales".

Mais, si c'est ça, n'est-ce pas le discours d'un féminisme égalitariste? Est-ce que la non-binarité n'est pas, de ce point de vue, simplement une revendication d'égalité (et donc, in fine, de remettre la question du genre à une place minime, voire inexistante)?

Si ce n'est pas ça, qu'est-ce qui fait la différence?

Autre question: cette non-binarité prend-elle une forme active dans ton quotidien? Je comprends qu'il y a une conséquence passive bien désagréable, celle des discriminations genrées, mais y a-t-il une manière de "vivre en non-binaire"?

Dernière question (dsl, je profite du fait que tu m'aies répondu): la non-binarité ne s'exprime-t-elle qu'à travers la question de genre (construction sociale) ou a-t-elle une traduction sexuelle qui lui est propre et différente de pansexuel ou bisexuel par exemple?

Il y a plusieurs types de non-binarité si je ne me trompe, dont ceux qui vont justement se reconnaître dans les deux genres, et assumer à tour de rôle les deux genres, i.e. s’habiller dans un style relevant le genre du moment et/ou demander à être adresser en tant que il et/ou elle.  
 

Pas exactement. Je suis aussi féministe, mais tu peux etre egalitariste (meme salaire à meme boulot, ect) tout en, par exemple, aimant te faire belle et être feminine.  
 
Pour le genre, c'est un peu comme un trip sado maso ou tout autre jeu sexuel "rare" : un jeu de rôle qui n'a pas de sens hors cadre du jeu. Sauf qu'on le fout à toutes les sauces (Mr/Mme, vêtements du quotidien, activités de loisir et professionnelles préférencielles, education genrée des enfants... ) et qu'en plus il est imposé de l extérieure, tant celui auquel on est supposé appartenir que comment ça s'exprime.  
 
 
Pour vivre "non-binaire" : je ne sais pas : je n'ai mis que récemment des mots dessus et je ne me sens appartenir à aucun genre. Alterner entre les deux n a pas beaucoup de sens pour moi.  
Et perso je suis "bi" : je me fous du sexe de mes partenaires. Mais je crois que ce sont deux questions qui n'ont rien à voire....  

Hello ! Content·e de voir que ça parle de non-binarité. Je comprends qu'on puisse s'interroger sur le sujet. Me concernant, je pense que ça fait un long moment que que je voyais les choses liées au genre un peu différemment du commun des mortels, mais ça fait seulement un an ou deux que j'ai pu coller des mots là dessus.
 

En fait, un homme peut tout à fait être convaincu par une idéologie féministe égalitariste et "rester" un homme. Le fait qu'il pense que les femmes ont droit à l'égalité ne lui enlève pas son identité d'homme, et il peut continuer à aimer faire des "trucs d'homme" et avoir une apparence masculine, aimer qu'on l'appelle monsieur, et détester faire des "trucs de femme". Son opinion... "politique" sur l'égalité des genres n'est pas liée à son propre ressenti de genre.  
De même pour une femme qui serait féministe égalitariste et qui "resterait" une femme, parce que son ressenti propre est celui d'une femme et qu'elle ne s'identifie pas du tout à un homme.
 
Pour ce qui est du ressenti des personnes non binaires, ce ressenti prend tellement de formes que je peux juste parler de mon expérience propre. Je suis féministe effectivement, mais c'est plutôt une conséquence de ma non-binarité et pas une cause.  
Bien qu'ayant été reconnu·e garçon à la naissance, j'ai été principalement élevé·e par des femmes, qui m'ont transmis leur culture de femmes. Par exemple, elles m'ont appris à coudre, broder, faire du crochet. Un "vrai" garçon leur aurait probablement répondu que ce genre d'activité "de filles" ne l'intéressait pas et serait allé jouer au foot avec ses copains, parce que c'est ce que la société nous inculque (mais c'est purement social, ça n'a pas de fondement biologique : un garçon peut physiquement coudre et une fille peut physiquement jouer au foot). Et elles m'ont laissé jouer aussi bien avec les poupées de ma grande soeur qu'avec le Mecano de mon grand frère. À l'adolescence je trainais principalement avec des garçons avec qui j'avais des activités de garçons (jouer au soldat, faire du foot américain, etc).
 
Ça ne veut pas dire non plus que je me sens à moitié fille et à moitié garçon. Si je devais me placer quelque part sur le spectre du genre, je dirais que je me sens à peu près 30% homme, 20% femme, et 50% autre chose. Quand on me pose des questions sur le sujet, je dis parfois que je suis polygenre.
 

Au quotidien, même si j'ai une apparence (un "passing" ) généralement masculin je porte très souvent du vernis à ongles (et pas du noir comme les goths et les métalleux ) et il m'est arrivé de temps en temps de porter des jupes. Je me genre de façon neutre auprès des personnes avec qui je suis out, et les autres doivent me prendre pour quelqu'un de gay ou de bizarre.
 
Je ne cherche pas spécialement à avoir un air plus féminin ou androgyne, parce que je n'ai pas spécialement de dysphorie par rapport à mon corps. Mais si un vêtement me plait je me fous que ce soit supposé être un vêtement "pour homme" ou "pour femme". J'ai plusieurs sweaters et T-shirts femme dans ma garde-robe.
Je dis que je ne cherche pas à avoir un air androgyne, mais d'un autre côté je reconnais que si c'était le cas ça inciterait probablement plus les gens à me voir comme quelqu'un de non binaire. Parce que j'imagine que si je faisais mon coming out à certains ils me diraient sans doute "Nan mais t'es juste un mec qui met du vernis pour te la péter, c'est tout, fais pas chier".

Je dirais que la sexualité et le genre sont deux choses qui ne sont pas liées. Il y a des NB qui aiment les hommes, des NB qui aiment les femmes, d'autres qui aiment les deux ou qui se fichent du genre de leurs partenaires, et encore d'autres qui n'aiment ni l'un ni l'autre.
 
En ce qui me concerne j'ai longtemps pensé être un homme attiré par les femmes. Et au final je découvre que je suis une personne non binaire et asexuelle. Je ne suis sorti·e qu'avec des femmes, mais je n'exclue pas du tout la possibilité d'être panromantique, c'est un sujet sur lequel je suis encore en questionnement.