(et quand tu vois comment c'est une salade de numéros, tu te dis que c'est pas un bon chemin à prendre )

c'est vrai on va plutot comparer ça à une bite, comme on dit souvent qu'une femme c'est un garage à bite    
 
et sinon c'est quoi la blague "997<->799" ?

Arrêtez de poster, faut que j'aille manger.

On a pas regardé le même film je crois

 
" -Allo?
-Allo chéri c'est moi! Ca fait longtemps!!
-Bin ouais une demi heure quoi...
-Et alors t'as fait quoi pendant cette demi-heure? Raconte moi!
-Bin heu J'me suis fait à manger...
-Génial! Et t'as mangé quoi?
-Des pâtes c'était trop passionnant."

 
Non, sinon j'aurai pas de problèmes à en trouver une. Il y a effectivement des filles qui recherchent juste un sponsor, mais en général, on les voit arriver de loin. Après y'en a qui s'en contente, mais pas moi, et c'est là que ça se complique, car friqué ou non, c'est compliqué de se trouver une fille "normale", dans le sens pas intéressé juste par le fric, le superficiel etc...

Je m'autoquote à moitié mais ce topic va trop vite
 
Vous pensez que les sdr c'est le seul moyen de rencontrer des gens quand on arrive dans une ville où on connaît personne et qu'au taf c'est que des mecs?  
 
 
(et sinon je suis toujours preneur d'une liste de sites potables, mais vu que personne veut me répondre (    ) je crois que je vais chercher tout seul

(fils de prolétaires)

Bref le chemin sera long avant que je puisses converser avec Arielle Dombasle ou Ardisson dans la piscine du Ritz Club.

 
Ca te dirait pas de leur commander un taxi dès maintenant?

Je m'autoquote à moitié mais ce topic va trop vite
 
Vous pensez que les sdr c'est le seul moyen de rencontrer des gens quand on arrive dans une ville où on connaît personne et qu'au taf c'est que des mecs?  
 
 
(et sinon je suis toujours preneur d'une liste de sites potables, mais vu que personne veut me répondre (    ) je crois que je vais chercher tout seul

toutafaÿ.
 
moi hier soir, j'avais plein de truc a dire, elle a pas pu en placer une.

tain un cube de pipi violet/rose Le rayon alcool a bien changé

Toi et tes copains de ton environnement disent souvent qu'une femme c'est un garage à bite, nuance

 
Non, sinon j'aurai pas de problèmes à en trouver une. Il y a effectivement des filles qui recherchent juste un sponsor, mais en général, on les voit arriver de loin. Après y'en a qui s'en contente, mais pas moi, et c'est là que ça se complique, car friqué ou non, c'est compliqué de se trouver une fille "normale", dans le sens pas intéressé juste par le fric, le superficiel etc...
Ca me rappelle une rencontre avec une fille sur match.com, dans mes mail de contact, je sortais des trucs bateau, dont mon job. La fille, caissière à Auchan, m'a contacté et on s'est vu. 28 piges, elle me sort qu'elle habite chez ses parents, puis commence à me demander si je suis venu en voiture, la marque de la voiture, quand je lui est dit mercedes, elle m'a dis "t'es garé ou". Je me suis dis OK, elle m'a pris pour un tiroir caisse. On s'est balladé ensuite dans la ville, elle me parlait de l'immobilier trop cher etc... Bref, une rencontre foireuse de plus à mon actif .
 
Sinon ce matin y'a une copine qui a appellé la meuf soi disant dépressive qui s'est pourtant envoyée en l'air hier soir. Elle m'a dit, "elle avait une voix fatiguée". Tu parles .
 
Edit: y'a une réflexion que ls potes me font souvent: "pourquoi tu va pas en chercher une en Russie?". Et en général, ça me fait tirer une gueule pendant 10 min, comme si avec la tête que j'ai, c'était mon seul espoir

Bon un peu de neuf.
Je continue à visiter Paris dans l'optique de connaitre plus de monde. Évidemment, mon entreprise de socialisation est grandement freinée par mon absence totale de revenus, levier indispensable pour orbiter dans la stratosphère avec Charles-Henri. Mais j'essaie tant bien que mal d'écourter cette période transitoire compromettante.  
 
J'ai tout de même commencé la rédaction d'un guide : "De la socialisation à Paris" (titre indicatif).    
 
----------
 
Hier jeudi soir je m'en vais tester un de ces fameux afterworks parisiens. Même sans avoir le *work*. Après tout, en bon jeune arriviste (fils de prolétaires), j'ai mis le point d'honneur à essayer tout et n'importe quoi où y'a du monde, dans une optique irréaliste d'ascension sociale.
 
Au premier abord, ambiance cozy et décors kitsh inesthétique, mais bref osef. Le principe est d'aller se torcher après son travail neurasthénique au bureau, en discutant (encore) entre collègues. Évidemment, c'est aussi officieusement le lieu pour faire des rencontres hétéro (ou pas) avec d'autre personnes.  
 
20 h, c'est le début des joyeusetés. Il faut se presser, c'est Open Bar uniquement pendant 1 heure. La foule s'agglutine donc au bar pour chopper 3 malheureuses coupes de mousseux, donc bref pas de quoi se bourrer convenablement. Pourtant, il faut se battre pour boire entre le BCBG coincos et la pouffe en tailleur Zara, car il faut rentabiliser la soirée. Niveau bouffe fallait pas s'attendre à des miracles, et là pareil c'est la guerre.  
 
Les choses sérieuses, maintenant. Rencontrer. Il faut surperformer avant 21h, avant que le DJ envoit sa purée térébrante de musique mainstream. L'abordage est facile, mais faut dire que plus artificiel comme soirée c'était difficile.  
Mais entre la vieille de 45 piges et la pouffe de 27 piges avec son mec, c'est quand même pas la fête.
Les discussions ne volent pas haut, mais on pourra discuter de taff (encore !   ) ou de CAC40. Je vous épargne les dialogues.  
 
Bilan : 7-8 abordages, avant d'être happé par les décibels et la foule des BCBG maladroits sur la piste.  
Je récupère quand même 2 facebook (de mec).
 
Conclusion :  
Prix : 15 euros la soirée, avec OB + bouffe pendant 1 heure.
 

• Difficulté à l'entrée : 0/5
• Facilité d'abordage de la gent féminine : 5/5
• Ratio F/H : 3/5
• Intérêt général: 1.5/5

Bref le chemin sera long avant que je puisses converser avec Arielle Dombasle ou Ardisson dans la piscine du Ritz Club.

Bon un peu de neuf.
Je continue à visiter Paris dans l'optique de connaitre plus de monde. Évidemment, mon entreprise de socialisation est grandement freinée par mon absence totale de revenus, levier indispensable pour orbiter dans la stratosphère avec Charles-Henri. Mais j'essaie tant bien que mal d'écourter cette période transitoire compromettante.  
 
J'ai tout de même commencé la rédaction d'un guide : "De la socialisation à Paris" (titre indicatif).    
 
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Hier jeudi soir je m'en vais tester un de ces fameux afterworks parisiens. Même sans avoir le *work*. Après tout, en bon jeune arriviste (fils de prolétaires), j'ai mis le point d'honneur à essayer tout et n'importe quoi où y'a du monde, dans une optique irréaliste d'ascension sociale.
 
Au premier abord, ambiance cozy et décors kitsh inesthétique, mais bref osef. Le principe est d'aller se torcher après son travail neurasthénique au bureau, en discutant (encore) entre collègues. Évidemment, c'est aussi officieusement le lieu pour faire des rencontres hétéro (ou pas) avec d'autre personnes.  
 
20 h, c'est le début des joyeusetés. Il faut se presser, c'est Open Bar uniquement pendant 1 heure. La foule s'agglutine donc au bar pour chopper 3 malheureuses coupes de mousseux, donc bref pas de quoi se bourrer convenablement. Pourtant, il faut se battre pour boire entre le BCBG coincos et la pouffe en tailleur Zara, car il faut rentabiliser la soirée. Niveau bouffe fallait pas s'attendre à des miracles, et là pareil c'est la guerre.  
 
Les choses sérieuses, maintenant. Rencontrer. Il faut surperformer avant 21h, avant que le DJ envoit sa purée térébrante de musique mainstream. L'abordage est facile, mais faut dire que plus artificiel comme soirée c'était difficile.  
Mais entre la vieille de 45 piges et la pouffe de 27 piges avec son mec, c'est quand même pas la fête.
Les discussions ne volent pas haut, mais on pourra discuter de taff (encore !   ) ou de CAC40. Je vous épargne les dialogues.  
 
Bilan : 7-8 abordages, avant d'être happé par les décibels et la foule des BCBG maladroits sur la piste.  
Je récupère quand même 2 facebook (de mec).
 
Conclusion :  
Prix : 15 euros la soirée, avec OB + bouffe pendant 1 heure.
 

• Difficulté à l'entrée : 0/5
• Facilité d'abordage de la gent féminine : 5/5
• Ratio F/H : 3/5
• Intérêt général: 1.5/5

Bref le chemin sera long avant que je puisses converser avec Arielle Dombasle ou Ardisson dans la piscine du Ritz Club.

non mais c'est pas la peine de le prendre au premier degré lol
et encore une fois arrête de te croire différent et unique, crois moi c'est faux

répond plutot à la seconde question  

Ben franchement je sais pas. Moi il m'arrive de dire des trucs qui valent le coup d'être dits, mais en cumulé ça doit faire moins de 30mn/semaine.
Faudrait que les couples présents nous disent de quoi ils peuvent bien parler qui soit plus intéressant à écouter que le silence d'une bouche fermée.

 
De nos projets (à court, moyen ou long terme), de nos envies, de ce qu'on peut voir à la télé ou sur hfr, de nos journées de boulot, de ce qu'on a pu lire ou découvrir dans la journée ... et j'en passe.

Je demande à voir la personne qui a TOUJOURS des trucs palpitants à raconter le soir.
Une journée type, aller :
- Boulot
- Rentrer
- Occupations du soir [Télé / Sport / Autre activité]
 
Enfin, chacun voit midi à sa porte, et je concois que ma vision est personnelle à ce niveau

Il appelle parce que c'est toujours mieux que de pas savoir quand tu vas l'emmerder.
/réponsatou