Raconte.  

Comme ça c'est plus facile et en prime ça finit par "tous des connards"/"toutes des salopes" pour rendre tout le monde aigri. Je suis clairement pas partisan de ça perso. A long terme la répétition de ce genre de rupture peut complètement déprimer quelqu'un qui les subit d'ailleurs.
 
Je pense que faire connard c'est aussi une manière de se débarasser plus vite de l'autre inconsciemment.

 
Tu attends d'être en levrette sans capote, tu dis 'au fait j'ai le sida' et tu essaies de tenir une minute sans tomber.

 
Tu attends d'être en levrette sans capote, tu dis 'au fait j'ai le sida' et tu essaies de tenir une minute sans tomber.

Je crois que pour le bien de la personne en face, il faut éviter encore une fois de se montrer hyper " bien ", je suis partisan de faire le keunard. Je pense que c'est plus facile pour elle / lui, après. Pour qu'elle puisse te détester bien sèchement et bien rapidement. Qu'il / elle reste pas dans l'ambivalence.  

Je pense que faire connard c'est aussi une manière de se débarasser plus vite de l'autre inconsciemment.

Etre neutre c'est pas mal non plus, jouer au connard, c'est assez facile dans l'absolu finalement.

Chose que j'ai été incapable de faire... et j'ai mis des mois à penser que tout allait bien avant de me prendre le deuxième effet kisskool quand j'ai vraiment réalisé que c'était mort (soit 7 mois après la rupture, quand même )

En même temps quand quelqu'un que tu voyais tout le temps te dit du jour au lendemain que c'est fini, par exemple, ça devient instantanément un connard

franchement moi j'ai eu l'impression qu'on m'amputait de la moitié de mes membres et que j'allais crever quoi

Alors autant s'amuser un peu
"J'te quitte PS : j'ai le sida et jme tape ton meilleur pote frère/père LOL XD XD"

Et ça, je refuse de le croire. Peut-être parce que je suis encore relativement jeune, mais disons que ça me fait penser au problème de l'égo surdimensionné qu'il a également cité. Comme si en étant quitté, on était marqué au fer rouge et que la meilleure des choses ne permettra jamais d'effacer ça.

Chose que j'ai été incapable de faire... et j'ai mis des mois à penser que tout allait bien avant de me prendre le deuxième effet kisskool quand j'ai vraiment réalisé que c'était mort (soit 7 mois après la rupture, quand même )

Mais tu t'es déjà retrouvé dans cette situation après une relation longue ou bien tu déblaterres sur l'inconnu ?

Ah mais je ne dis pas que ce n'est pas intense, mais à lire le message de Sly, on a l'impression que quelqu'un qui a été quitté ne se remet jamais vraiment.

Et ça, je refuse de le croire. Peut-être parce que je suis encore relativement jeune, mais disons que ça me fait penser au problème de l'égo surdimensionné qu'il a également cité. Comme si en étant quitté, on était marqué au fer rouge et que la meilleure des choses ne permettra jamais d'effacer ça.

Ca m'a troué le cul quand un de mes potes m'a très sérieusement dit un jour au sujet d'une ex d'il y a près de 10 ans et avec qui il est resté longtemps "Elle va se marier... mais je suis sûre qu'elle ne m'a jamais oublié. "

Au secours quoi.

 
Tiens, ça me rappelle la technique du rodeo sexuel.

Ca dépend de quelle rupture. De comment elle est survenue. Et de ta façon d'être.
Mais, oui, parfois, en étant quitté, on est marqué au fer rouge.

Oui mais non.
 

Ca dépend de quelle rupture. De comment elle est survenue. Et de ta façon d'être.
Mais, oui, parfois, en étant quitté, on est marqué au fer rouge.

Oui mais non.
 

je crois que tu vois de quoi je veux parler.
 
sinon oui et sinon c'est juste des règles que je dis par induction.  à la fois à propos de la dernière fois ou j'ai été proche ( à durée limitée, certes ) avec une fille, que la dernière fois ou j'ai fait le salaud avec une fille. ( en faisant le mec gentil et ambivalent )  Et puis c'est mes soeurs qui me l'ont dit de faire comme ça : laisser aucun espoir, tenir au maximum sa propre image.
 
Et je déblatère rarement.

 
ça c'est des trucs de romantique. Il suffit qu'une autre relation ( de qualité) survient et tu auras oublié l'autre. Ainsi de suite... La seule chose que tu n'oublieras surement jamais, c'est avec qui la première fois .

Ca fait mal quand même mais tu le fais toi même
C'est un peu la scarification de l'amour

 
ça c'est des trucs de romantique. Il suffit qu'une autre relation ( de qualité) survient et tu auras oublié l'autre. Ainsi de suite... La seule chose que tu n'oublieras surement jamais, c'est avec qui la première fois .

"ternir", plutôt ?

T'es très catégorique. Tout le monde ne fonctionne pas comme toi.

Perso je crois plus à grand chose
Des fois je me dis que ma vie ça va juste être plein de petites histoires à la con, et qu'un jour peut être je déciderai de faire mes gosses toute seule dans mon coin

Perso je crois plus à grand chose
Des fois je me dis que ma vie ça va juste être plein de petites histoires à la con, et qu'un jour peut être je déciderai de faire mes gosses toute seule dans mon coin

je déciderai de faire mes gosses toute seule dans mon coin

Atta atta, j'ai pas dit que la personne ne s'en remettait pas, c'est surtout sur le coup et après sur une durée variable selon la relation et le caractère des gens et les événements qui suivent que ça fait ça. Sur le coup, c'est quand même hyper douloureux si c'est quelqu'un avec qui tu voyais un vrai avenir et dont tu es vraiment amoureux. Ce n'est pas indélébile
 
Un peu comme un bombardement pendant la guerre, la ville est reconstruite, ça prend du temps, il reste parfois des morceaux de ruines en mémoire, mais elle revit après une période douloureuse de reconstruction.

Comment on fait ça ?

Je vois pas trop le rapport, je parlais juste de relations amoureuses là

Ben je vois pas comment on peut parler de "rêves" sur ce plan...

1. Heu non.
 Juste être soi.

2. De plus se dire que celui qu'on aimait est un gros connard, que si ça se trouve il nous a toujours mentis etc.. tu crois vraiment que ça aide à aller mieux.?

3. Pour le coup du tromper toussa Je revois parfaitement un ex me dire "tu sais je ne t'ai jamais aimé, j'ai toujours aimé xx" juste pour se soulager. Ca m'a pas franchement fais du bien

Ca dépend de quelle rupture. De comment elle est survenue. Et de ta façon d'être.
Mais, oui, parfois, en étant quitté, on est marqué au fer rouge.
 
edit.: Mais avec le temps on peut garder la marque en question et revoir les bons moments, ca joue sur les deux tableaux.

Atta atta, j'ai pas dit que la personne ne s'en remettait pas, c'est surtout sur le coup et après sur une durée variable selon la relation et le caractère des gens et les événements qui suivent que ça fait ça. Sur le coup, c'est quand même hyper douloureux si c'est quelqu'un avec qui tu voyais un vrai avenir et dont tu es vraiment amoureux. Ce n'est pas indélébile
 
Un peu comme un bombardement pendant la guerre, la ville est reconstruite, ça prend du temps, il reste parfois des morceaux de ruines en mémoire, mais elle revit après une période douloureuse de reconstruction.

+1
Il va me falloir loooooooooooongtemps avant que j'arrête de penser qu'il va obligatoirement me quitter

J'écoute

J'écoute  

J'suis nettement plus optimiste que toi, j'ai des rêves plein la tête. Et j'ai beau me casser la gueule dix, vingt fois pour les réaliser, je les réaliserai.

Même question que sinking.
 
Et même... je vois pas de "hauteur morale" à ne pas faire le connard... M'enfin je dois être trop bisounours

 
tu lui fais mal , elle a mal , instinctivement pour se protéger elle se casse  
et comme ça elle peut se mettre à te détester ultra plus vite.
 
= mieux pour elle.

Oui, ou alors la personne comprend encore moins pourquoi tu te conduis comme ça, intériorise le tout et pète un plomb puissance quarante.
 
Ou encore, une tout autre gamme d'émotions. Mais bon. C'est mieux pour elle, c'est ça?

Arrête de faire l'impatient.
 
Tu reprends le message que tu quotes, et tu regardes ma réponses à Sly et NeoDC :  

 
Certaines personnes préfèrent fuir plutôt que d'expliquer ce qui les a mené à prendre une telle décision. Et faire le connard sous prétexte de protéger l'autre permet surtout de ne plus se soucier de quoi que ce soit.